Désolé de ne pas participer au TriMovies en ce moment, même si j'ai le temps de voir quelques films, je ne pense pas avoir le temps d'écrire! Le mois prochain, je devrai être bon, je pense :P
Pas de problème NicoNico, tu sais que qu'un simple avis sur 4-5 lignes fait amplement l'affaire aussi !
J'espère que tu seras dispo pour le mois d'Octobre qui arrive à grand pas...
3 Jours !!!
@Romano: Content que tu aies apprécié :D
Et très Bonne critique soit dit en passant !
Je m'excuse d'avance mais je ne vais pas pouvoir regarder ton troisième film (pas le temps et pas l'envie) idem pour foulsac, je... suis... désolé ! ;(
Citation:
Sinon, pour changer, je propose que lors d'une prochaine cession un des vainqueurs du prix du jury ou des votes de membres impose une critique d'un FILM CONNU.
Tu souhaites que le gagnant du jury impose un film connu ?
Il fait comme il veut mais oui, il est possible au gagnant de jury d'imposer un film dérogeant à la règle des moins de 5000 notes, s'il veut il peut proposer le seigneur des anneaux, star wars, mad max ou même le roi lion :p
Excellente ta critique Kalameet, elle m'a bien fait rire ^^
Je m'y retrouve complètement !
Citation:
Ouais, t'es comme Kaz, pourtant il est plus jeune que moi :p
*voix d'Eric Cartman* Hey !
On a seulement une année d’écart mon Yoco :p
Citation:
Sinon, lettre ouverte à Kaz :
Ô Kaz,
Ô Kaz dont la grandeur et la magnificence dépassent le soleil au plus haut de son zenith (de St-Petersbourg ou d'ailleurs...)
Ô Kaz dont l'intelligence supérieure provoque des orgasmes incontrôlés à Julien Lepers
Ô Kaz dont la bonté ferait passé la bande entière des Bisounours pour d'impitoyables capitalistes égïstes,
Serait-il possible de pouvoir mettre nos critiques jusqu'au dimanche 2 vu que c'est un week-end, on pourra pondre des critiques à la hauteur du respect qu'on porte à notre binôme et surtout à ton jeu aussi addictif que la physique mammaire de Dead or Alive.
Pourra as-tu seulement accéder à la demande d'un humble participant dans ta générosité extrême.
Accède à ma demande Ô Kaz ! Sois notre glorieux Solid Snake et nous serons tes fidèles Otacon...
Euh.. et bien ma foi, face à tant de flatteries bien placées je ne peux qu'agréer à ta requê...
Citation:
Sans jugement personnel, moi aussi je te te trouve un peu chafoin et catégorique sur tes critiques cinés en ce moment.
Oui le flashback c'était un peu gratuit, c'est plus la manière dont il est amené que je critique, un peu trop gros sabot quoi m'enfin, c'est un détail c'est sur...
Non non mais on est bien d'accord que le film est "profondément ancré" dans la culture coréenne. C'est évident que c'est très différent d'un film occidental. Mais c'est comme pour le dernier loup. J'ai l'impression que les gens ne comprennent pas bien la nuance que je veux faire passer.
Il ne s'agit pas de dire que le film est une bête copie d'un film américain, ou qu'il aurait une vision occidentale. Non, ce que je critique c'est justement l'américanisation. Il est impossible de nier, à moins d'être de totale mauvaise fois, que le film Sunny est construit sur une profonde admiration, sur les fantasme que se font les coréens sur la société occidentale. Il suffit de relever les citations, y'en a pleins, j'en ai seulement entendu quelque unes vu que je n'ai pas tout regardé, mais genre quand elle parle de Sophie Marceau comme exemple, ou lorsque les groupes prenne un "nom américain" (sunny) et que le groupe de fille rival est jaloux et qu'elles viennent dire "nous aussi on va prendre un nom américain" (sous entendu pour faire class). Ou le coup de la classe qui s'habille entièrement en Nike (à fond le placement de produit à propos...). Et puis quiconque connaît un peu les séries américaines "lycéennes" ou les films américains pour ados reconnait exactement les mêmes codes. D'où l'allure masculinisé de la chef du groupe par exemple. Etc. etc. etc. etc.
Je suis désolé mais ma critique est solide. Personne ne peut prétendre que ça, c'est la société coréenne traditionnelle. Ca, c'est la société coréenne moderne, qui s'est occidentalisée à mort depuis quelques décennies. C'est la même chose partout en asie orientale, même en Chine. J'ai un ami à Taiwan que je connais bien qui pourrait vous en parler. Et bien, moi,je trouve ça terrible. Ca me rend malade.
Alors vous allez me dire, j'ai peut-être tord de prendre trop au sérieux, que je devrais voir ça hors contexte, avec humour et me laisser aller à la compréhension... Désolé mais je n'y arrive pas. Mais après comme je le disais, du coup, ce n'est pas une critique du film en lui-même. Ce que je critique en fait, c'est la société. J'ai bien précisé dans mon texte que mes reproches ne faisait pas partis d'une critique cinématographique pure, mais simplement mon ressenti brut par rapport au film.
PS: Yoco, le coup des whaaat da fuck (c'est un effet de style contemporain), c'est parce que, figurez-vous, je suis un peu anglo-saxon moi aussi ^^ je vis à Londres. Et j'ai la trentaine, je ne suis pas si vieux que ça si vous voulez savoir...
Et du coup non GreenSnake, je ne crois pas que la société était déjà autant américanisée en 1980. Mais en France, l'évolution est moins visible, parce que je peux vous dire (j'ai un peu voyagé, même un peu jusqu'aux USA justement) que la France est l'un des dernier grands pays en europe (avec les pays "latins") à résister au mode de vie américain. Suffit de vivre en angleterre pour s'en rendre compte. Ici, les choses sont incroyablement différentes. C'est l'amérique à fond, une société ultra-libérale totalement conformisée, glorifiant la consommation de merdes, l'argent, la carrière, etc. Ils ont perdu tout art de vivre, du style apprécier la qualité de la bouffe ou d'un bon vin, de faire autre chose que se bourrer la gueule le week end, d'apprécier la vie hors facebook-twitter-instagram, etc. En France on est, il me semble, très loin de tout ça... remarque les choses ont peut-être changé en deux ans que je ne suis plus venu au pays??
Je m'excuse d'avance mais je ne vais pas pouvoir regarder ton troisième film (pas le temps et pas l'envie) idem pour foulsac, je... suis... désolé ! ;(
En même temps, t'as été clair d'entrée quand tu as dit que c'était pas ton type de film. C'est le revers de la médaille quand on prépare une liste sur un thème précis. C'est sympa et ça donne une identité à la sélection, mais si la personne n'aime pas le type de film proposé, dommage.
Tu en as apprécié un sur deux, c'est déjà pas si mal ;)
@Kalameet, pas mal ta critique de city hunter
ça m'a donné envie de revoir quelques épisodes
je ne me souviens plus trop de "flash special" mais dans mes souvenirs mon oav préféré c'est "goodbye my sweetheart"
@ Kalameet : Je pense vraiment que le réalisateur a montrer ce qu'était la société séoulite d'un point de vue des jeunes qui étaient fortement américanisées. Après j'en suis pas sur à 100% donc je vais pas pousser le débat plus loin.
Ne pleure pas GreenSnake, n'oublie pas qu'officiellement la session se terminera le 30 à 20h45 tandis qu'officieusement ça peut facilement se terminer le 02 :)
Je crois qu'il est temps de faire la critique de Kaspar Hauser, l'horloge parlante du nom de Kaz me dit que le temps est compté !
La Legende de Kaspar Hauser
Kaspar Hauser est ce qu'on peut appeler un OVNI, ou plutôt un FPVNI (Film Pas Volant Non Identifié )
L'image, qui est la première scène du film, le prouve bien, et ne met pas de doute sur l'aspect ovniesque de ce film, et cette scène bouclera également le film, si jamais on avait un doute !
Qu'est-ce que Kauspar Hauser ? Le Film reprend le mythe du même nom, un ado de 16 ans qui débarque, qui ne sait ni parler, ni faire grand chose ... Et qui a été tué en 1833 pour des raisons qu'on ignore.
Le film reprend ce mythe, d'homme sacré pour certains, pour d'autres un vulgaire charlatant, qui reprend pour moi, du moins j'ai fais le rapprochement avec Jésus (sauf que jésus était pas muet, ce qui aide quand même )
Le film débute par le Shérif, l'un des personnages principaux, qui veille sur l'île ...Mais une île un peu désertique qui n'abrite disons le, pas grand chose.
Puis par des pouvoirs de divination, le Shérif devine l'arriver de Kaspar Hauser, le prince héritier qui se serait mystérieusement volatilisé. Kaspar Hauser échoue donc sur l'île (non il ne s'appelle pas Link) et le shérif le recueil et a une lubie étrange: que Kaspar Hauser devienne DJ car tout le film se passe sur fond de techno...D'ou je suppose, l'appellation de film burlesque.
Même si le film propose un aspect visuel plutôt intéressant, et des scènes qui peuvent faire sourire, l'ensemble du film peine à trouver sa juste mesure et la surabondance de la mise en scène expérimentale vient trop souvent en cache misère pour dissimuler une absence de direction générale.
On peut de nouveau faire un rapprochement avec jésus: le film est découpé en chapitres et épisodes biographique. Mais malheureusement le scénario et le récit de se film n'arrive jamais à faire naître un souffle qui porte l'idée au dela de la mise en scène ou de motif scénaristique.
Il y a plusieurs choses qui font que la trajectoire est plutôt catastrophique :
-l'emploi quasi constant de musique electronique, qui sont plutôt efficace dans un premier temps, mais qui finisse par être fatigante et excessif vers la fin, et qui est utilisé comme cache misère pour dissimuler et faire moins sauter aux yeux des spectateurs le manque flagrant de certaines scènes et de la plus part des dialogues.
-les scènes sont découpé à la hache, aléatoirement, des objets pop comme ça, pour des raisons qu'on ignore et qui casse un peu l'immersion, si toutefois on a réussi a y rentré, ce qui est pas évident. Sans oublier des plans ou des scènes souvent molle et vide
-Kaspar Hauser ne parle pas, ne fait rien, et c'est difficile de faire tourner une histoire, un film, sur un personnage qui ne sait rien faire, qui ne sait pas parler, et qui ne fait que bouger ...
Au final, Kaspar Hauser est un film indéterminé car on ne comprend pas le but recherché, ni même la relation entre les personnages tellement leur lien et leur relation sont ... inexistante, avec des dialogues parfois qui frôle l'incompréhension, même si les scènes du prêtre sont assez drôle, mettant en scène l'italien dans toute sa splendeur.
Du début à la fin, le film ne donne pas d'explication, et on ne sait pas pourquoi les personnages font ce qu'ils font.
Sans oublier que la plus part des scènes sont déroutante, passant d'un "duel" a base de techno à des crises d'épilepsie avec de la bave de partout ... Etrange, je dirais même inquiétant.
Kaspar Hauser réussi tout de même à mettre bien en scène un être androgyne, qui est d'ailleurs joué par une femme (mais ça voix la trahit, personnellement en l'entendant parler, je n'ai eu aucun doute la dessus )
Un film que je n'ai pas du tout apprécié, trop de techno même si y'a des bons morceaux, au bout de 1h30 on est juste saoulé...Des scènes ennuyeuses, du vide, des passages vraiment trop long, des monologues pour la plus part des scènes... Une incompréhension dans l'idée que le réalisateur voulait passer ainsi que le but de tout ça, sans oublier les scènes tiré par les cheveux et incompréhensible pour la plus part, avec des personnages éteint, juste avec une coquille qui n'ont pas de réel émotion à part pour une scène : le dealer à la fin.
Pour terminer, un film inexpliquable, un film qui mélange plusieurs genres mais qui se perd en chemin, n'arrivant pas a ce trouver, un titre pour les plus fous d'entre nous qui aime le burlesque et qui aime les films perché.
On fini en chanson:
La meilleure musique du film pour moi
Bon, faut que je regarde Sunny maintenant ... Je sais pas pourquoi, j'ai peur...:(
Pas de problème NicoNico, tu sais que qu'un simple avis sur 4-5 lignes fait amplement l'affaire aussi !
J'espère que tu seras dispo pour le mois d'Octobre qui arrive à grand pas...
@Romano: Content que tu aies apprécié :D
Et très Bonne critique soit dit en passant !
Je m'excuse d'avance mais je ne vais pas pouvoir regarder ton troisième film (pas le temps et pas l'envie) idem pour foulsac, je... suis... désolé ! ;(
Tu souhaites que le gagnant du jury impose un film connu ?
Il fait comme il veut mais oui, il est possible au gagnant de jury d'imposer un film dérogeant à la règle des moins de 5000 notes, s'il veut il peut proposer le seigneur des anneaux, star wars, mad max ou même le roi lion :p
Excellente ta critique Kalameet, elle m'a bien fait rire ^^
Je m'y retrouve complètement !
*voix d'Eric Cartman* Hey !
On a seulement une année d’écart mon Yoco :p
Euh.. et bien ma foi, face à tant de flatteries bien placées je ne peux qu'agréer à ta requê...
Finalement non ! :D
Oui le flashback c'était un peu gratuit, c'est plus la manière dont il est amené que je critique, un peu trop gros sabot quoi m'enfin, c'est un détail c'est sur...
Non non mais on est bien d'accord que le film est "profondément ancré" dans la culture coréenne. C'est évident que c'est très différent d'un film occidental. Mais c'est comme pour le dernier loup. J'ai l'impression que les gens ne comprennent pas bien la nuance que je veux faire passer.
Il ne s'agit pas de dire que le film est une bête copie d'un film américain, ou qu'il aurait une vision occidentale. Non, ce que je critique c'est justement l'américanisation. Il est impossible de nier, à moins d'être de totale mauvaise fois, que le film Sunny est construit sur une profonde admiration, sur les fantasme que se font les coréens sur la société occidentale. Il suffit de relever les citations, y'en a pleins, j'en ai seulement entendu quelque unes vu que je n'ai pas tout regardé, mais genre quand elle parle de Sophie Marceau comme exemple, ou lorsque les groupes prenne un "nom américain" (sunny) et que le groupe de fille rival est jaloux et qu'elles viennent dire "nous aussi on va prendre un nom américain" (sous entendu pour faire class). Ou le coup de la classe qui s'habille entièrement en Nike (à fond le placement de produit à propos...). Et puis quiconque connaît un peu les séries américaines "lycéennes" ou les films américains pour ados reconnait exactement les mêmes codes. D'où l'allure masculinisé de la chef du groupe par exemple. Etc. etc. etc. etc.
Je suis désolé mais ma critique est solide. Personne ne peut prétendre que ça, c'est la société coréenne traditionnelle. Ca, c'est la société coréenne moderne, qui s'est occidentalisée à mort depuis quelques décennies. C'est la même chose partout en asie orientale, même en Chine. J'ai un ami à Taiwan que je connais bien qui pourrait vous en parler. Et bien, moi,je trouve ça terrible. Ca me rend malade.
Alors vous allez me dire, j'ai peut-être tord de prendre trop au sérieux, que je devrais voir ça hors contexte, avec humour et me laisser aller à la compréhension... Désolé mais je n'y arrive pas. Mais après comme je le disais, du coup, ce n'est pas une critique du film en lui-même. Ce que je critique en fait, c'est la société. J'ai bien précisé dans mon texte que mes reproches ne faisait pas partis d'une critique cinématographique pure, mais simplement mon ressenti brut par rapport au film.
PS: Yoco, le coup des whaaat da fuck (c'est un effet de style contemporain), c'est parce que, figurez-vous, je suis un peu anglo-saxon moi aussi ^^ je vis à Londres. Et j'ai la trentaine, je ne suis pas si vieux que ça si vous voulez savoir...
Et du coup non GreenSnake, je ne crois pas que la société était déjà autant américanisée en 1980. Mais en France, l'évolution est moins visible, parce que je peux vous dire (j'ai un peu voyagé, même un peu jusqu'aux USA justement) que la France est l'un des dernier grands pays en europe (avec les pays "latins") à résister au mode de vie américain. Suffit de vivre en angleterre pour s'en rendre compte. Ici, les choses sont incroyablement différentes. C'est l'amérique à fond, une société ultra-libérale totalement conformisée, glorifiant la consommation de merdes, l'argent, la carrière, etc. Ils ont perdu tout art de vivre, du style apprécier la qualité de la bouffe ou d'un bon vin, de faire autre chose que se bourrer la gueule le week end, d'apprécier la vie hors facebook-twitter-instagram, etc. En France on est, il me semble, très loin de tout ça... remarque les choses ont peut-être changé en deux ans que je ne suis plus venu au pays??
En même temps, t'as été clair d'entrée quand tu as dit que c'était pas ton type de film. C'est le revers de la médaille quand on prépare une liste sur un thème précis. C'est sympa et ça donne une identité à la sélection, mais si la personne n'aime pas le type de film proposé, dommage.
Tu en as apprécié un sur deux, c'est déjà pas si mal ;)
@Kalameet, pas mal ta critique de city hunter
ça m'a donné envie de revoir quelques épisodes
je ne me souviens plus trop de "flash special" mais dans mes souvenirs mon oav préféré c'est "goodbye my sweetheart"
Merci. Ah ben j'ai pas vu le reste des autres city hunter, mais va falloir que je me les fassent du coup !
@ Kaz : Tristesse infinie...
@ Kalameet : Je pense vraiment que le réalisateur a montrer ce qu'était la société séoulite d'un point de vue des jeunes qui étaient fortement américanisées. Après j'en suis pas sur à 100% donc je vais pas pousser le débat plus loin.
Sell kids for food
Ne pleure pas GreenSnake, n'oublie pas qu'officiellement la session se terminera le 30 à 20h45 tandis qu'officieusement ça peut facilement se terminer le 02 :)
Je crois qu'il est temps de faire la critique de Kaspar Hauser, l'horloge parlante du nom de Kaz me dit que le temps est compté !
Kaspar Hauser est ce qu'on peut appeler un OVNI, ou plutôt un FPVNI (Film Pas Volant Non Identifié )
L'image, qui est la première scène du film, le prouve bien, et ne met pas de doute sur l'aspect ovniesque de ce film, et cette scène bouclera également le film, si jamais on avait un doute !
Qu'est-ce que Kauspar Hauser ? Le Film reprend le mythe du même nom, un ado de 16 ans qui débarque, qui ne sait ni parler, ni faire grand chose ... Et qui a été tué en 1833 pour des raisons qu'on ignore.
Le film reprend ce mythe, d'homme sacré pour certains, pour d'autres un vulgaire charlatant, qui reprend pour moi, du moins j'ai fais le rapprochement avec Jésus (sauf que jésus était pas muet, ce qui aide quand même )
Le film débute par le Shérif, l'un des personnages principaux, qui veille sur l'île ...Mais une île un peu désertique qui n'abrite disons le, pas grand chose.
Puis par des pouvoirs de divination, le Shérif devine l'arriver de Kaspar Hauser, le prince héritier qui se serait mystérieusement volatilisé. Kaspar Hauser échoue donc sur l'île (non il ne s'appelle pas Link) et le shérif le recueil et a une lubie étrange: que Kaspar Hauser devienne DJ car tout le film se passe sur fond de techno...D'ou je suppose, l'appellation de film burlesque.
Même si le film propose un aspect visuel plutôt intéressant, et des scènes qui peuvent faire sourire, l'ensemble du film peine à trouver sa juste mesure et la surabondance de la mise en scène expérimentale vient trop souvent en cache misère pour dissimuler une absence de direction générale.
On peut de nouveau faire un rapprochement avec jésus: le film est découpé en chapitres et épisodes biographique. Mais malheureusement le scénario et le récit de se film n'arrive jamais à faire naître un souffle qui porte l'idée au dela de la mise en scène ou de motif scénaristique.
Il y a plusieurs choses qui font que la trajectoire est plutôt catastrophique :
-l'emploi quasi constant de musique electronique, qui sont plutôt efficace dans un premier temps, mais qui finisse par être fatigante et excessif vers la fin, et qui est utilisé comme cache misère pour dissimuler et faire moins sauter aux yeux des spectateurs le manque flagrant de certaines scènes et de la plus part des dialogues.
-les scènes sont découpé à la hache, aléatoirement, des objets pop comme ça, pour des raisons qu'on ignore et qui casse un peu l'immersion, si toutefois on a réussi a y rentré, ce qui est pas évident. Sans oublier des plans ou des scènes souvent molle et vide
-Kaspar Hauser ne parle pas, ne fait rien, et c'est difficile de faire tourner une histoire, un film, sur un personnage qui ne sait rien faire, qui ne sait pas parler, et qui ne fait que bouger ...
Au final, Kaspar Hauser est un film indéterminé car on ne comprend pas le but recherché, ni même la relation entre les personnages tellement leur lien et leur relation sont ... inexistante, avec des dialogues parfois qui frôle l'incompréhension, même si les scènes du prêtre sont assez drôle, mettant en scène l'italien dans toute sa splendeur.
Du début à la fin, le film ne donne pas d'explication, et on ne sait pas pourquoi les personnages font ce qu'ils font.
Sans oublier que la plus part des scènes sont déroutante, passant d'un "duel" a base de techno à des crises d'épilepsie avec de la bave de partout ... Etrange, je dirais même inquiétant.
Kaspar Hauser réussi tout de même à mettre bien en scène un être androgyne, qui est d'ailleurs joué par une femme (mais ça voix la trahit, personnellement en l'entendant parler, je n'ai eu aucun doute la dessus )
Un film que je n'ai pas du tout apprécié, trop de techno même si y'a des bons morceaux, au bout de 1h30 on est juste saoulé...Des scènes ennuyeuses, du vide, des passages vraiment trop long, des monologues pour la plus part des scènes... Une incompréhension dans l'idée que le réalisateur voulait passer ainsi que le but de tout ça, sans oublier les scènes tiré par les cheveux et incompréhensible pour la plus part, avec des personnages éteint, juste avec une coquille qui n'ont pas de réel émotion à part pour une scène : le dealer à la fin.
Pour terminer, un film inexpliquable, un film qui mélange plusieurs genres mais qui se perd en chemin, n'arrivant pas a ce trouver, un titre pour les plus fous d'entre nous qui aime le burlesque et qui aime les films perché.
On fini en chanson:
La meilleure musique du film pour moi
Bon, faut que je regarde Sunny maintenant ... Je sais pas pourquoi, j'ai peur...:(
Moi je n'arrive pas à accéder à Sunny, je ne trouve rien, et je n'ai pas envie d'aller sur des sites trop suspects que je ne connais pas.
Je n'ai pas trouvé d'explication à ce sujet dans la page 1 du topic, mais est-on aussi obligé de voir le film imposé?
Sinon j'ai vu Belle de Jour, et je suis en train de voir Pulsions. Je parlerai de tout ça plus tard, avant la date limite.
Oui!
Une âme charitable devrait pouvoir t'envoyer en Mp, le lien qu'il te faut ;)