Mais cette vox populli est intéressante dans la tournure qu'elle prend, et ça, non, y'a pas beaucoup d’œuvres qui traite une révolution ainsi.
Après il présente une dystopie, qui à aux premiers abords des allures d'utopie, mais qui va sombrer par les maux qui la gangrènes.
l'idée des bioshock c'est surtout de présenter des dystopie et de les faire découvrir au joueurs en les immergeant dans la ville, ps d'être 100% original du début à la fin. Ils essaient d'imaginer, voila, c'est une société (utopique, pour bioshck 1, voir même infinite) qui repose sur ça ça et ça, qu'est-ce qui pourrait se passer dedans, quels sont les dysfonctionnement et les failles qui fait que ce système ne marche pas et va se casser la gueule ? , et non de faire du 100% inédit, sinon ils feraient rien. l'atlantide existait avant rapture, des villes volante, pas inédit non plus, des expériences génétiques qui tournent mal ? pas inédit. des oeuvres qui traitent de racisme ? pas inédit. L'important c'est si au final, le jeu à son identité propre, si c'est du déjà vu etc..et au final, oui, clairement bioshock et bioshock infinite, malgré des themes déjà abordés dans d'autres oeuvres, sont uniques. offre une histoire plaisante qui leurs st propres, pareil pour leurs background.
Aussi, tu parles de systeme shock, mais l'univers de système shock est beaucoup plus banales que ceux des bioshock, c'est de la sf ultra classique. C'est par pour autant que c'est mauvais, c'est même pas un défaut.
Mais cette vox populli est intéressante dans la tournure qu'elle prend, et ça, non, y'a pas beaucoup d’œuvres qui traite une révolution ainsi.
Et quelle genre de tournure elle prend pour qu'elle soit plus intéressante que d'autres ? C'est ça que je veux savoir moi.
Citation:
et non de faire du 100% inédit, sinon ils feraient rien. l'atlantide existait avant rapture, des villes volante, pas inédit non plus, des expériences génétiques qui tournent mal ? pas inédit. des oeuvres qui traitent de racisme ? pas inédit.
Si chaque œuvre devait être 100% inédite, on serait quand même bien dans la merde...
C'est pas vraiment ça l'idée. Tout est question de traitement encore une fois. Si le concept de la cité engloutie ne date pas de Bioshock, son traitement est unique, cette ambiance steampunk/vintage fait que ce jeu est original. De même que Columbia, dans sa manière de dépeindre une société qui se croit parfaite, références bibliques à l'appui, soutenue par une direction à tomber par terre, là encore je considère le traitement à ce niveau comme largement abouti.
C'est d'ailleurs également pour ça que cette histoire de la Vox Populi ne me plait pas. Le jeu est artistiquement au poil mais tu cales la dedans une histoire de révolution somme toute très clichée, ça ne veut pas dire que l'idée de base est mauvaise, juste qu'elle aurait pu être davantage surprenante. C'est d'autant plus dommage qu'à côté, l'intrigue temporelle a une conclusion remarquable.
On peut également parler des références visuelles du travail ouvrier, qui montre le travailleur comme une machine, qui donne forcément une impression de déjà vu (limite copie carbone du Metropolis de Fritz Lang).
Citation:
Aussi, tu parles de systeme shock, mais l'univers de système shock est beaucoup plus banales que ceux des bioshock, c'est de la sf ultra classique. C'est par pour autant que c'est mauvais, c'est même pas un défaut.
J'ai pas souvenir d'avoir jamais vu un univers SF aussi abouti dans un jeu vidéo avant System Shock. D'autant plus que ce n'est pas de la "SF ultra classique" puisque la science fiction est portée non seulement par les décors mais également pas le scénario (qui pour le coup est excellent).
La question n'as aucun sens puisque "révolution fasse à l'oppresseur" c'est vachement vague. Ça peut en outre être raconté de plein de façons différentes, on ne peut donc pas être aussi catégorique.
Tant qu'on prend pour base une "révolution fasse à l'oppresseur" tu aurais quand même trouvé ça pauvre comme idée dans la façon dont l'aborde Bioshock Infinite : lutte des classes, révolte des ouvriers, révolte des esclaves noirs et irlandais ? * (J'espère que tu comprends mieux ma question maintenant.)
Citation:
Pour te donner un semblant de réponse ce n'est pas l'idée (au demeurant universelle, et qui ne date pas d'hier mais j'avoue que j'me suis mal exprimé) qui est pauvre, c'est le traitement. Je trouve que le traitement dans Bioshock est très limité, ce qui ne veut absolument pas dire que le sujet n'est pas abordable de la meilleure des façons.
Je comprends déjà mieux ton point de vue même si je ne le partage pas.
Bon, t'as pas apprécier cet aspect, mais non il n'est pas foireux et oui il est bien traité. la vox poppuli est bien exploité même avant la révolte dans plusieurs détail intéressant (par exemple la fête foraine du début). jusqu'à la dite révolution, qui évolue vers quelque chose qu'on voit pas souvent dans les autres oeuvres (qui généralement reste dans un manichéisme pur et dur), pourtant, y'a pas mal de chose à analyser sur ce qui advient, et Ken levine nous dit beaucoup de chose sur la nature humaine.
Je l'ai fini tout a l'heure:
-Elizabeth est magnifique, son personnage est vraiment intéressant
-Notre anti-héros est superbe dans sa VF ce qui est rare
-Gameplay très bon
-Ambiance au summum
-Graphiquement sublime
-Narration et scénario a coupé le soufle
Les seuls reproches n'empêche pas le 20/20
-quelque ralentissement lors des chargement
-la technique est pas la meilleur du monde (mais l'ambiance génarale est tellement belle...)
-Et Hooper n'a pas encore fait la review xp
Spoiler ▼▲
La fin du jeu, avec Booker qui est en fait Comstock plus jeune, le petit doigt d'Elizabeth, Anna en fait, on comprend comment il est coupé, et le cercle enfin coupé car Booker ne renaît pas et donc ne peut pas fournir a son homologue de son monde parallèle sa fille: Anna (Elizabeth donc), afin qu'elle détruise les EU (la Sodome inférieur. Une histoire prenante et très bien ficellé. Vivement qu'Hooper essaye de l'expliqué ha ha ha!
Tant qu'on prend pour base une "révolution fasse à l'oppresseur" tu aurais quand même trouvé ça pauvre comme idée dans la façon dont l'aborde Bioshock Infinite (lutte des classes, révolte des ouvriers, révolte des esclaves noirs et irlandais ? * (J'espère que tu comprends mieux ma question maintenant.)
Ben oui je trouve ça pauvre dans la façon donc l'aborde Infinite, c'est de ça qu'on parle depuis deux pages non ?
(considère que j'ai toujours pas compris la question du coup)
Citation:
la vox poppuli est bien exploité même avant la révolte
Encore heureux, manquerait plus que ça arrive sans qu'on le voit arriver...
A part ça mes capacités d'analyse doivent être limitées parce que cette histoire ne m'as pas du tout donner envie de réfléchir sur quoi que ce soit.
Finalement on ne connaît toujours pas ton avis sur le jeu dans sa globalité.
Je me doute bien de ta réponse si tu n'as point voulu te poser plus de questions que cela après avoir fini le jeu sachant que l'histoire est le plus gros morceau du jeu.
Je me doute bien de ta réponse si tu n'as point voulu te poser plus de questions que cela après avoir fini le jeu sachant que l'histoire est le plus gros morceau du jeu.
Ah ben c'était bien la peine de préciser que j'ai bien aimé le scénario avec les Lutèce et les univers parallèles. C'est malin je passe pour celui qui a rien bité au jeu alors que j'ai beaucoup aimé la fin et la réflexion qu'elle dégage ^^
Sinon pour le jeu en lui même, j'ai bien aimé pour les même raisons que le premier mais j'y trouve les même défauts, en pire. En gros c'est une vraie baffe visuelle pendant une grosse partie du jeu. Évidemment c'est pas tant techniquement qu'il impressionne, puisque certaines textures sont très moches, mais il a une patte artistique extrêmement plaisante, qui rend l'aventure pas désagréable du tout. Pour tout dire même cette histoire avec la Vox Populi n'as pas réussie à me sortir du jeu tant j'étais à fond sur les décors.
Ceci étant, passé ce détail, il y a tout le reste. Et le reste qui me reste en travers de la gorge, ce sont les combats, qui sont comme dans Bioshock 1. En gros c'est bien mauvais. Brouillons, inintéressants, chiants, sauf que dans Bioshock il y avait des subtilités qui faisaient que c'était pas un calvaire de combattre. Déjà parce que le choix des armes n'était pas limité à deux (grosse idée de merde), mais aussi et ça personne n'en parle, chaque arme avait plusieurs types de munitions qui ajoutaient de la variété aux gunfights. Sans compter que les pétards étaient visuellement très jolis alors que là ils sont très communs.
Certains se diront que je dis n'importe quoi puisqu'on a des toniques à côté, mais la plupart sont moins jouissifs que les plasmides. Comparer juste le plasmide "Incinération" du premier avec "Le Baiser du Diable" de Infinite, l'un était un putain de flamme, l'autre une petite boule de feu. Je pense qu'il n'y a pas photo à ce niveau là. "Retour à l'Envoyeur" est assez cool cela dit mais bon pas de quoi se lever la nuit.
Heureusement pour limiter la casse il y a beaucoup d'équipements qu'on trouve un peu partout, mais j'ai pas trouvé que ça donnait énormément d'ampleur aux combats.
Même le système de Skyline si bien vendu dans les vidéos se révèle décevant, dans la mesure où il ne délimite que des zones prédéfinies, en l'occurrence des zones plutôt limitées qui se révèlent peu variées. Les failles en plein combat c'est une bonne idée par contre mais ils auraient pu les varier un peu plus, et puisque j'aime bien enculer les mouches, ça aurait été mieux si enlaidissaient pas le level design.
A part ça de manière générale, il m'as un peu (même beaucoup) soulé arrivé à un moment, en gros après Shantytown et l'usine de Finkton. Surtout parce qu'à partir de ce moment les décors deviennent franchement ternes et sans aucun génie, mais aussi parce que c'est là que les combats deviennent les plus nombreux et les plus chiants. J'ai fais de la recherche religieusement dans tous les recoins mais voila, si ça n'avait tenu qu'à moi j'aurais rushé les objectifs principaux sans m'occuper du reste.
J'ai parlé aussi il y a quelques pages de l'intéractivité qui est à mon sens indigne d'un jeu de 2013 de cette envergure, mais bon je vais pas trop y revenir.
Bref voilà, Bioshock Infinite c'est une super ambiance, un super univers, mais il aurait été largement meilleur sans ses gunfights moisis et son dernier quart très décevant. Reste un scénario principal qui est bien trouvé (mais pas très limpide quand même) et une bande son toujours au top.
Mais cette vox populli est intéressante dans la tournure qu'elle prend, et ça, non, y'a pas beaucoup d’œuvres qui traite une révolution ainsi.
Après il présente une dystopie, qui à aux premiers abords des allures d'utopie, mais qui va sombrer par les maux qui la gangrènes.
l'idée des bioshock c'est surtout de présenter des dystopie et de les faire découvrir au joueurs en les immergeant dans la ville, ps d'être 100% original du début à la fin. Ils essaient d'imaginer, voila, c'est une société (utopique, pour bioshck 1, voir même infinite) qui repose sur ça ça et ça, qu'est-ce qui pourrait se passer dedans, quels sont les dysfonctionnement et les failles qui fait que ce système ne marche pas et va se casser la gueule ? , et non de faire du 100% inédit, sinon ils feraient rien. l'atlantide existait avant rapture, des villes volante, pas inédit non plus, des expériences génétiques qui tournent mal ? pas inédit. des oeuvres qui traitent de racisme ? pas inédit. L'important c'est si au final, le jeu à son identité propre, si c'est du déjà vu etc..et au final, oui, clairement bioshock et bioshock infinite, malgré des themes déjà abordés dans d'autres oeuvres, sont uniques. offre une histoire plaisante qui leurs st propres, pareil pour leurs background.
Aussi, tu parles de systeme shock, mais l'univers de système shock est beaucoup plus banales que ceux des bioshock, c'est de la sf ultra classique. C'est par pour autant que c'est mauvais, c'est même pas un défaut.
Et quelle genre de tournure elle prend pour qu'elle soit plus intéressante que d'autres ? C'est ça que je veux savoir moi.
Si chaque œuvre devait être 100% inédite, on serait quand même bien dans la merde...
C'est pas vraiment ça l'idée. Tout est question de traitement encore une fois. Si le concept de la cité engloutie ne date pas de Bioshock, son traitement est unique, cette ambiance steampunk/vintage fait que ce jeu est original. De même que Columbia, dans sa manière de dépeindre une société qui se croit parfaite, références bibliques à l'appui, soutenue par une direction à tomber par terre, là encore je considère le traitement à ce niveau comme largement abouti.
C'est d'ailleurs également pour ça que cette histoire de la Vox Populi ne me plait pas. Le jeu est artistiquement au poil mais tu cales la dedans une histoire de révolution somme toute très clichée, ça ne veut pas dire que l'idée de base est mauvaise, juste qu'elle aurait pu être davantage surprenante. C'est d'autant plus dommage qu'à côté, l'intrigue temporelle a une conclusion remarquable.
On peut également parler des références visuelles du travail ouvrier, qui montre le travailleur comme une machine, qui donne forcément une impression de déjà vu (limite copie carbone du Metropolis de Fritz Lang).
J'ai pas souvenir d'avoir jamais vu un univers SF aussi abouti dans un jeu vidéo avant System Shock. D'autant plus que ce n'est pas de la "SF ultra classique" puisque la science fiction est portée non seulement par les décors mais également pas le scénario (qui pour le coup est excellent).
Tant qu'on prend pour base une "révolution fasse à l'oppresseur" tu aurais quand même trouvé ça pauvre comme idée dans la façon dont l'aborde Bioshock Infinite : lutte des classes, révolte des ouvriers, révolte des esclaves noirs et irlandais ? * (J'espère que tu comprends mieux ma question maintenant.)
Je comprends déjà mieux ton point de vue même si je ne le partage pas.
Ce jeu est incroyable :-) meme si notre ami bibi300 ne l'a pas trop aimer ^^
Bon, t'as pas apprécier cet aspect, mais non il n'est pas foireux et oui il est bien traité. la vox poppuli est bien exploité même avant la révolte dans plusieurs détail intéressant (par exemple la fête foraine du début). jusqu'à la dite révolution, qui évolue vers quelque chose qu'on voit pas souvent dans les autres oeuvres (qui généralement reste dans un manichéisme pur et dur), pourtant, y'a pas mal de chose à analyser sur ce qui advient, et Ken levine nous dit beaucoup de chose sur la nature humaine.
Je l'ai fini tout a l'heure:
-Elizabeth est magnifique, son personnage est vraiment intéressant
-Notre anti-héros est superbe dans sa VF ce qui est rare
-Gameplay très bon
-Ambiance au summum
-Graphiquement sublime
-Narration et scénario a coupé le soufle
Les seuls reproches n'empêche pas le 20/20
-quelque ralentissement lors des chargement
-la technique est pas la meilleur du monde (mais l'ambiance génarale est tellement belle...)
-Et Hooper n'a pas encore fait la review xp
Ben oui je trouve ça pauvre dans la façon donc l'aborde Infinite, c'est de ça qu'on parle depuis deux pages non ?
(considère que j'ai toujours pas compris la question du coup)
Encore heureux, manquerait plus que ça arrive sans qu'on le voit arriver...
A part ça mes capacités d'analyse doivent être limitées parce que cette histoire ne m'as pas du tout donner envie de réfléchir sur quoi que ce soit.
Finalement on ne connaît toujours pas ton avis sur le jeu dans sa globalité.
Je me doute bien de ta réponse si tu n'as point voulu te poser plus de questions que cela après avoir fini le jeu sachant que l'histoire est le plus gros morceau du jeu.
Je voulais dire bien exploité dans le sens intelligemment.
Ah ben c'était bien la peine de préciser que j'ai bien aimé le scénario avec les Lutèce et les univers parallèles. C'est malin je passe pour celui qui a rien bité au jeu alors que j'ai beaucoup aimé la fin et la réflexion qu'elle dégage ^^
Sinon pour le jeu en lui même, j'ai bien aimé pour les même raisons que le premier mais j'y trouve les même défauts, en pire. En gros c'est une vraie baffe visuelle pendant une grosse partie du jeu. Évidemment c'est pas tant techniquement qu'il impressionne, puisque certaines textures sont très moches, mais il a une patte artistique extrêmement plaisante, qui rend l'aventure pas désagréable du tout. Pour tout dire même cette histoire avec la Vox Populi n'as pas réussie à me sortir du jeu tant j'étais à fond sur les décors.
Ceci étant, passé ce détail, il y a tout le reste. Et le reste qui me reste en travers de la gorge, ce sont les combats, qui sont comme dans Bioshock 1. En gros c'est bien mauvais. Brouillons, inintéressants, chiants, sauf que dans Bioshock il y avait des subtilités qui faisaient que c'était pas un calvaire de combattre. Déjà parce que le choix des armes n'était pas limité à deux (grosse idée de merde), mais aussi et ça personne n'en parle, chaque arme avait plusieurs types de munitions qui ajoutaient de la variété aux gunfights. Sans compter que les pétards étaient visuellement très jolis alors que là ils sont très communs.
Certains se diront que je dis n'importe quoi puisqu'on a des toniques à côté, mais la plupart sont moins jouissifs que les plasmides. Comparer juste le plasmide "Incinération" du premier avec "Le Baiser du Diable" de Infinite, l'un était un putain de flamme, l'autre une petite boule de feu. Je pense qu'il n'y a pas photo à ce niveau là. "Retour à l'Envoyeur" est assez cool cela dit mais bon pas de quoi se lever la nuit.
Heureusement pour limiter la casse il y a beaucoup d'équipements qu'on trouve un peu partout, mais j'ai pas trouvé que ça donnait énormément d'ampleur aux combats.
Même le système de Skyline si bien vendu dans les vidéos se révèle décevant, dans la mesure où il ne délimite que des zones prédéfinies, en l'occurrence des zones plutôt limitées qui se révèlent peu variées. Les failles en plein combat c'est une bonne idée par contre mais ils auraient pu les varier un peu plus, et puisque j'aime bien enculer les mouches, ça aurait été mieux si enlaidissaient pas le level design.
A part ça de manière générale, il m'as un peu (même beaucoup) soulé arrivé à un moment, en gros après Shantytown et l'usine de Finkton. Surtout parce qu'à partir de ce moment les décors deviennent franchement ternes et sans aucun génie, mais aussi parce que c'est là que les combats deviennent les plus nombreux et les plus chiants. J'ai fais de la recherche religieusement dans tous les recoins mais voila, si ça n'avait tenu qu'à moi j'aurais rushé les objectifs principaux sans m'occuper du reste.
J'ai parlé aussi il y a quelques pages de l'intéractivité qui est à mon sens indigne d'un jeu de 2013 de cette envergure, mais bon je vais pas trop y revenir.
Bref voilà, Bioshock Infinite c'est une super ambiance, un super univers, mais il aurait été largement meilleur sans ses gunfights moisis et son dernier quart très décevant. Reste un scénario principal qui est bien trouvé (mais pas très limpide quand même) et une bande son toujours au top.