non mais jveux dire par là que des persos importants (notamment dans le 2) comme Humungus et Wez tu les vois mais tu sais rien d'eux quoi,
Frustrant, possible. Mais il faut bien voir que 'Mad Max' avec une ambiance post-apo comme ca c'est très difficile de balancer de la narration ou flashback pour expliquer des backgrounds de perso. Regarde 'La Route' par exemple, pas d'explications complètes (le film se plante mais c'est autre chose encore^^)
L'idée est aussi de faire travailler le spectateur, de le mettre à contribution pour deviner qu'elles sont les événements qui ont fait que les persos sont devenus comme cela et dans 'Beyond the Thunderdome' c'est encore plus flagrant, le beau vagabond qui vient de nulle part, la communauté revenue à l'état primitif en attendant Captain Walker dont l'avion s'est explosé (référence aux WHO par ailleurs!)... Tout ceci se passe après une guerre nucléaire c'est pour ca que ca me fait bcp penser à 'La planète des Singes' et le 2 plus précisément (mais en moins kitsch) > 'Le Secret de la P. des Singes'.
D_Y a écrit:
Ah mais non me dis pas que tu descends "Orange Mécanique" pour défendre "Mad Max" :'(
Je suis un grand admirateur de Kubrick mais quand on dit qu'une oeuvre a vieilli je trouve ca injuste et il faut se remettre dans le contexte.
D'où mon exemple avec 'Orange mécanique' qui a lui aussi beaucoup vieilli mais ca peu (voire personne) le dise.
Je suis un grand admirateur de Kubrick mais quand on dit qu'une oeuvre a vieilli je trouve ca injuste et il faut se remettre dans le contexte.
D'où mon exemple avec 'Orange mécanique' qui a lui aussi beaucoup vieilli mais ca peu (voire personne) le dise.
J'avais compris mais je trouvais ça assez moyen de citer Orange Mécanique en sous entendant que personne ose le critiquer, comme si Mad Max était la victime incomprise dans l'histoire.
Enfin bref concernant la question de remise dans le contexte, je suis pas souvent d'accord car de mon point de vue un film, quelle que soit son époque, s'il allie richesse thématique/visuelle, tu pourra le regarder 30 ans après et ne pas te rendre compte que c'est un vieux film. En ce sens, Mad Max comme Orange Mécanique sont des films intemporels.
J'avais compris mais je trouvais ça assez moyen de citer Orange Mécanique en sous entendant que personne ose le critiquer, comme si Mad Max était la victime incomprise dans l'histoire.
Mais il faut arrêter de déformer et d'amplifier les propos des autres^^
J'ai dit que PEU de personnes ne disent que le film a VIEILLI, je n'ai pas parlé de moi moi moi et c'est une critique relative, je parle de la place du film dans le temps pas de sa technique, de son contenu.
Citation:
je suis pas souvent d'accord car de mon point de vue un film, quelle que soit son époque, s'il allie richesse thématique/visuelle, tu pourra le regarder 30 ans après et ne pas te rendre compte que c'est un vieux film
Ce que j'entendais, c'est qu'il faut remettre les films dans leur contexte et voir quand ils ont été tournés. Après et de ce fait, tu peux les regarder mais par exemple au niveau de la technique, si ce que tu penses était vrai, ils auraient dû anticiper le passage du N&B à la couleur. Je suis d'accord, il y a des films intemporels parce que de par le bon jeu des acteurs ou les thèmes universels évoqués ils traversent les âges. En revanche, quand t'as un sujet bien précis (un docu très spécifique) ou un film marqué par son époque ('Saturday Night fever') ou bien encore un projet de dingo ('Fitzcarraldo'), il vaut mieux (et mes exemples sont bons) qu'ils soient réussis.
Petit truc que je n'avais pas précisé pour les affranchi, Scorsese nous passe du Georges Harrison! C'est pas fabuleux? NOn? OK.
J'avais suivi un film à (vers) sa sortie: The Good Girl. Un film avec Jennifer Anniston. Dans ce film, elle formait un couple avec un gars plus jeune qu'elle au cheveux noir, un peu trop emportén qui me faisait penser à Elija Wood. C'était un bon film, sauf qu'à la fin j'ai crié: "arrêtez de vous la pété existentialiste! Bon Dieu". Bref j'ai voulu revoir le film donc je me suis fourni le DVD. Et la surprise, le gars au cheveux noir, c'était Jake Gyllenhaal! Je le connaissais pas à l'époque. Ça fait vraiment bizarre de revoir un film dont le casting nous était quasi-inconnu avec maintenant plus d'acteur connus. Anaconda j'avais aimé à l'époque, mais maintenant que je connais J-Lo, c'est un film que je déteste. En tout cas, ça n'a pas changer pour The Good Girl, j'ai toujours bien aimé.
The wrestler: un chef d'oeuvre. Mickey Rourke est plus vrai que nature, la réal est top comme toujours avec Aronofsky. C'est une réalisation que je qualifierai de plutôt "sobre" en comparaison de ce qu'il fait d'habitude. Même si certaines façon de filmer (la caméra subjective derrières le personnage) rappellent certains de ses films et notamment l'excellent Black Swan.On est cependant loin des images stroboscopiques de requiem for a dream ou même de pi. Le réalisateur centre l'attention sur le personnage principal d’où l'utilisation continuelle de cette fameuse vue subjective.(comme à son habitude, excepté pour requiem for a dream ou il suit le devenir de plusieurs individus sous l'emprise de la drogue). L'histoire du film n'a rien d'exceptionnelle mais ce n'est pas un défaut, car cela amplifie le réalisme saisissant de ce film. Les combats de catch sont incroyablement filmés, Mickey Rourke a du bosser comme un taré pour faire ce qu'il fait dans le film.On se prend d’affection pour cette ancienne star du catch sur le déclin qui ne veut pas lâcher... Franchement si vous ne l'avez pas encore vu allez y les yeux fermés.
L'écume des jours. Alors là par contre, j'ai été déçu. D'autant plus que j'aime bien Gondry, même si je n'avais pas été convaincu par be kind rewind. Et bien là rebelote, les intentions sont bonnes, les effets sont sympas mais il manque quelque chose. C'est pas tellement définissable, on sent que les ingrédients sont là mais la sauce prend pas. ça sonne faux. Peut être à cause du casting, (Romain Duris est limite catastrophique dans le rôle). De toute façon je pense que le livre était difficilement réalisable. (j'avais déjà eu du mal à le lire) C'est tellement onirique que c'est difficile de retranscrire à l'écran et pourtant le pire c'est que Gondry s'en sort bien de ce point de vu là. Un gout amer dans la bouche comme dirait l'autre...
Ah mais non me dis pas que tu descends "Orange Mécanique" pour défendre "Mad Max" :'(
Frustrant, possible. Mais il faut bien voir que 'Mad Max' avec une ambiance post-apo comme ca c'est très difficile de balancer de la narration ou flashback pour expliquer des backgrounds de perso. Regarde 'La Route' par exemple, pas d'explications complètes (le film se plante mais c'est autre chose encore^^)
L'idée est aussi de faire travailler le spectateur, de le mettre à contribution pour deviner qu'elles sont les événements qui ont fait que les persos sont devenus comme cela et dans 'Beyond the Thunderdome' c'est encore plus flagrant, le beau vagabond qui vient de nulle part, la communauté revenue à l'état primitif en attendant Captain Walker dont l'avion s'est explosé (référence aux WHO par ailleurs!)... Tout ceci se passe après une guerre nucléaire c'est pour ca que ca me fait bcp penser à 'La planète des Singes' et le 2 plus précisément (mais en moins kitsch) > 'Le Secret de la P. des Singes'.
Je suis un grand admirateur de Kubrick mais quand on dit qu'une oeuvre a vieilli je trouve ca injuste et il faut se remettre dans le contexte.
D'où mon exemple avec 'Orange mécanique' qui a lui aussi beaucoup vieilli mais ca peu (voire personne) le dise.
Si, Sarkozy :p
J'avais compris mais je trouvais ça assez moyen de citer Orange Mécanique en sous entendant que personne ose le critiquer, comme si Mad Max était la victime incomprise dans l'histoire.
Enfin bref concernant la question de remise dans le contexte, je suis pas souvent d'accord car de mon point de vue un film, quelle que soit son époque, s'il allie richesse thématique/visuelle, tu pourra le regarder 30 ans après et ne pas te rendre compte que c'est un vieux film. En ce sens, Mad Max comme Orange Mécanique sont des films intemporels.
Mais il faut arrêter de déformer et d'amplifier les propos des autres^^
J'ai dit que PEU de personnes ne disent que le film a VIEILLI, je n'ai pas parlé de moi moi moi et c'est une critique relative, je parle de la place du film dans le temps pas de sa technique, de son contenu.
Ce que j'entendais, c'est qu'il faut remettre les films dans leur contexte et voir quand ils ont été tournés. Après et de ce fait, tu peux les regarder mais par exemple au niveau de la technique, si ce que tu penses était vrai, ils auraient dû anticiper le passage du N&B à la couleur. Je suis d'accord, il y a des films intemporels parce que de par le bon jeu des acteurs ou les thèmes universels évoqués ils traversent les âges. En revanche, quand t'as un sujet bien précis (un docu très spécifique) ou un film marqué par son époque ('Saturday Night fever') ou bien encore un projet de dingo ('Fitzcarraldo'), il vaut mieux (et mes exemples sont bons) qu'ils soient réussis.
Petit truc que je n'avais pas précisé pour les affranchi, Scorsese nous passe du Georges Harrison! C'est pas fabuleux? NOn? OK.
J'avais suivi un film à (vers) sa sortie: The Good Girl. Un film avec Jennifer Anniston. Dans ce film, elle formait un couple avec un gars plus jeune qu'elle au cheveux noir, un peu trop emportén qui me faisait penser à Elija Wood. C'était un bon film, sauf qu'à la fin j'ai crié: "arrêtez de vous la pété existentialiste! Bon Dieu". Bref j'ai voulu revoir le film donc je me suis fourni le DVD. Et la surprise, le gars au cheveux noir, c'était Jake Gyllenhaal! Je le connaissais pas à l'époque. Ça fait vraiment bizarre de revoir un film dont le casting nous était quasi-inconnu avec maintenant plus d'acteur connus. Anaconda j'avais aimé à l'époque, mais maintenant que je connais J-Lo, c'est un film que je déteste. En tout cas, ça n'a pas changer pour The Good Girl, j'ai toujours bien aimé.
Non c'est juste logique, il en est fan si bien que le projet de docu 'George Harrison: Living in the Material World' est bel et bien sorti !
Je verrai ca...
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The wrestler: un chef d'oeuvre. Mickey Rourke est plus vrai que nature, la réal est top comme toujours avec Aronofsky. C'est une réalisation que je qualifierai de plutôt "sobre" en comparaison de ce qu'il fait d'habitude. Même si certaines façon de filmer (la caméra subjective derrières le personnage) rappellent certains de ses films et notamment l'excellent Black Swan.On est cependant loin des images stroboscopiques de requiem for a dream ou même de pi. Le réalisateur centre l'attention sur le personnage principal d’où l'utilisation continuelle de cette fameuse vue subjective.(comme à son habitude, excepté pour requiem for a dream ou il suit le devenir de plusieurs individus sous l'emprise de la drogue). L'histoire du film n'a rien d'exceptionnelle mais ce n'est pas un défaut, car cela amplifie le réalisme saisissant de ce film. Les combats de catch sont incroyablement filmés, Mickey Rourke a du bosser comme un taré pour faire ce qu'il fait dans le film.On se prend d’affection pour cette ancienne star du catch sur le déclin qui ne veut pas lâcher... Franchement si vous ne l'avez pas encore vu allez y les yeux fermés.
L'écume des jours. Alors là par contre, j'ai été déçu. D'autant plus que j'aime bien Gondry, même si je n'avais pas été convaincu par be kind rewind. Et bien là rebelote, les intentions sont bonnes, les effets sont sympas mais il manque quelque chose. C'est pas tellement définissable, on sent que les ingrédients sont là mais la sauce prend pas. ça sonne faux. Peut être à cause du casting, (Romain Duris est limite catastrophique dans le rôle). De toute façon je pense que le livre était difficilement réalisable. (j'avais déjà eu du mal à le lire) C'est tellement onirique que c'est difficile de retranscrire à l'écran et pourtant le pire c'est que Gondry s'en sort bien de ce point de vu là. Un gout amer dans la bouche comme dirait l'autre...