Le budget explique pas mal de truc en effet. Par contre les motards un peu foufou, j'ai pas trop kiffé. :p
"je suis l'aigle de la route !!" en même temps ça correspond à l'archétype de la "racaille" à cette époque, les mecs un peu loubards, blousons en cuir et tout....
Ouais c'est vrai que le film a peu mal vieilli à ce niveau-là.
le 2 et 3 ont moins vieillit eux, car on est dans un univers post-apocalyptique que le film a inventé donc à partir de la tout les autres arts s'en sont inspirés donc....
Oui mais attention parce que Mad Max 3 c'est vraiment le plus naze de la trilogie. Il a pas forcément moins vieilli que le premier d'ailleurs.
Pour le coup de l'"Australie méconnaissable", c'est pas tant visuellement (quoique, je suis jamais allé en Australie mais je mets ma main à couper que ça ressemble pas à ça en vrai) qu'il faut l'interpréter, mais au niveau de l'ambiance. Ils sont rares les films qui véhiculent si bien une ambiance aussi âpre et violente, où tout tourne autour de l'asphalte, du cuir, des moteurs, avec son héros tourmenté. Ces petits élements font qu'on est devant un film comme aucun autre et donc fatalement, l'univers est lui aussi tout autre que celui de notre réalité.
A part ça "montage vraiment foiré" ?! Tu as vu une version somalienne ou quoi ? Mad Max c'est juste une technique au poil avec une mise en scène de grand malade, du vrai Georges Miller, un des plus grand technicien à l'heure actuelle.
Celui qui plaît généralement à le plus de monde, c'est le deux. C'est très rythmé, très bien réalisé, et l'univers est bien rendu. On s'ennuie pas une seule seconde, t'as de grandes chances d'aimer.
A titre personnel, c'est le 1 que je préfère. Sombre, austère, torturé, et sans trop d'artifices, avec des défauts par ci par là qui rajoutent à son charme, une des références en matière de monde post-apocalyptique pour moi.
C'est incroyable, je m'achète le Blue Ray d'un film, et voila que ce film passe tout le temps sur Arte: Les affranchis. Comme toujours j'ai adoré. Scorsese avait réalisé un fabuleux exercice avec ceux film, il y a énormément de personnages et plein de costumes. Par contre, cette fois çi, j'ai eu des trucs à redire, je me suis rendu compte par exemple que la performance de Lorraine Bracco n'est pas aussi top que ça, et peut être même aussi celle de ... Ray Liotta. Petit je m'identifiais un peu Henry (bon, c'est trop dire parce que c'est un gangstere ce gars là) à cause de son côté (qui me semblait) détaché, il n'avait pas l'air d'être aussi investi dans le mal que par exemple Tommy, mais en fait je me suis rendu compte que j'ai peut être été un peu trop naïf petit. Henry, c'est aussi un connard, en fait, c'est juste que ce n'est pas un psychopathe comme Tommy, ni un personnage "machiavélique" comme Jimmy, mais c'est bien un salaud. C'est juste que la performance pas aussi top que ça de Ray Liotta (avec son manque de charisme) qui le donne un léger air détaché, du coup j'avais l'impression que c'était juste un gars qui trainait avec des méchants.
Bon, j'ai revu Minority Report, et j'ai même lu la nouvelle pour l'occasion. Je sais pas si c'est parce que les gens parlait de référence à Hitchcock dans le film, que j'ai eu l'impression de voir énormément de référence (ou de clin d'oeil) à la mort aux trousse dans cette nouvelle (si quelqu'un qui passe par là, l'a déjà lu, je serais ravi d'en parler). En tout cas, excellent film, plutôt sombre je dirais, mais excellent.
Il semblerait que la nouvelle de Philip K.Dick ait été publié en 1956, soit trois ans avant la sortie du film d'Hitchcock, donc s'il y a référence c'est plutôt dans le sens inverse.
Mais si t'aimes le style et la complexité de Philip K.Dick, n'hésite pas à lire "Ubik".
Merci, mais j'ai déjà lu Ubik. Chef d'oeuvre en effet! Quelle fin!
CYAN a écrit:
Il semblerait que la nouvelle de Philip K.Dick ait été publié en 1956, soit trois ans avant la sortie du film d'Hitchcock, donc s'il y a référence c'est plutôt dans le sens inverse.
Hum... dans ce cas, je pense que les coïncidences ne sont purement dû qu'au hasard, et aussi à mon acharnement à voir des ressemblances là où il n'y en a sûrement pas: c'est quand même incroyable dans les deux oeuvres, un personnage s'appelle Kaplan, etc... mais tout ceci n'est sûrement dû qu'au hasard.
"je suis l'aigle de la route !!" en même temps ça correspond à l'archétype de la "racaille" à cette époque, les mecs un peu loubards, blousons en cuir et tout....
Ouais c'est vrai que le film a peu mal vieilli à ce niveau-là.
le 2 et 3 ont moins vieillit eux, car on est dans un univers post-apocalyptique que le film a inventé donc à partir de la tout les autres arts s'en sont inspirés donc....
Ah, ça me donne envie de les voir alors :)
Oui mais attention parce que Mad Max 3 c'est vraiment le plus naze de la trilogie. Il a pas forcément moins vieilli que le premier d'ailleurs.
Pour le coup de l'"Australie méconnaissable", c'est pas tant visuellement (quoique, je suis jamais allé en Australie mais je mets ma main à couper que ça ressemble pas à ça en vrai) qu'il faut l'interpréter, mais au niveau de l'ambiance. Ils sont rares les films qui véhiculent si bien une ambiance aussi âpre et violente, où tout tourne autour de l'asphalte, du cuir, des moteurs, avec son héros tourmenté. Ces petits élements font qu'on est devant un film comme aucun autre et donc fatalement, l'univers est lui aussi tout autre que celui de notre réalité.
A part ça "montage vraiment foiré" ?! Tu as vu une version somalienne ou quoi ? Mad Max c'est juste une technique au poil avec une mise en scène de grand malade, du vrai Georges Miller, un des plus grand technicien à l'heure actuelle.
non j'ai vu la vrai version et la montage est pas vraiment réussi, désolé.
Celui qui plaît généralement à le plus de monde, c'est le deux. C'est très rythmé, très bien réalisé, et l'univers est bien rendu. On s'ennuie pas une seule seconde, t'as de grandes chances d'aimer.
A titre personnel, c'est le 1 que je préfère. Sombre, austère, torturé, et sans trop d'artifices, avec des défauts par ci par là qui rajoutent à son charme, une des références en matière de monde post-apocalyptique pour moi.
C'est incroyable, je m'achète le Blue Ray d'un film, et voila que ce film passe tout le temps sur Arte: Les affranchis. Comme toujours j'ai adoré. Scorsese avait réalisé un fabuleux exercice avec ceux film, il y a énormément de personnages et plein de costumes. Par contre, cette fois çi, j'ai eu des trucs à redire, je me suis rendu compte par exemple que la performance de Lorraine Bracco n'est pas aussi top que ça, et peut être même aussi celle de ... Ray Liotta. Petit je m'identifiais un peu Henry (bon, c'est trop dire parce que c'est un gangstere ce gars là) à cause de son côté (qui me semblait) détaché, il n'avait pas l'air d'être aussi investi dans le mal que par exemple Tommy, mais en fait je me suis rendu compte que j'ai peut être été un peu trop naïf petit. Henry, c'est aussi un connard, en fait, c'est juste que ce n'est pas un psychopathe comme Tommy, ni un personnage "machiavélique" comme Jimmy, mais c'est bien un salaud. C'est juste que la performance pas aussi top que ça de Ray Liotta (avec son manque de charisme) qui le donne un léger air détaché, du coup j'avais l'impression que c'était juste un gars qui trainait avec des méchants.
Bon, j'ai revu Minority Report, et j'ai même lu la nouvelle pour l'occasion. Je sais pas si c'est parce que les gens parlait de référence à Hitchcock dans le film, que j'ai eu l'impression de voir énormément de référence (ou de clin d'oeil) à la mort aux trousse dans cette nouvelle (si quelqu'un qui passe par là, l'a déjà lu, je serais ravi d'en parler). En tout cas, excellent film, plutôt sombre je dirais, mais excellent.
Il semblerait que la nouvelle de Philip K.Dick ait été publié en 1956, soit trois ans avant la sortie du film d'Hitchcock, donc s'il y a référence c'est plutôt dans le sens inverse.
Mais si t'aimes le style et la complexité de Philip K.Dick, n'hésite pas à lire "Ubik".
Merci, mais j'ai déjà lu Ubik. Chef d'oeuvre en effet! Quelle fin!
Hum... dans ce cas, je pense que les coïncidences ne sont purement dû qu'au hasard, et aussi à mon acharnement à voir des ressemblances là où il n'y en a sûrement pas: c'est quand même incroyable dans les deux oeuvres, un personnage s'appelle Kaplan, etc... mais tout ceci n'est sûrement dû qu'au hasard.