A Plague Tale : Innocence (1/11)
Nouvelle épopée sur A Plague Tale : Innocence
Nouvelle épopée sur A Plague Tale : Innocence
Seconde partie de l'épopée A Plague Tale : Innocence
3ème partie de l'épopée A Plague Tale : Innocence
4ème partie de l'épopée A Plague Tale : Innocence
5ème partie de l'épopée A Plague Tale : Innocence
6ème partie de l'épopée A Plague Tale : Innocence
55 Commentaires
Quel pauvre fou a dit que seules les puissances américaines et japonaises était en mesure de produire de grandes œuvres vidéoludiques ? La qualité de l'ensemble détonne en un grand uppercut visuel. Les graphismes particulièrement soignés impressionnent et renforcent encore plus l'impression architecturale moyenâgeuse. Même la topographie des lieux et l'ambiance quotidienne d'il y a plus de six siècles semblent réunies, criantes de vérité. C'est comme si tout ce microcosme prenait vie de façon réaliste en nous donnant ainsi accès au musée virtuel d'une petite bourgade du bas moyen-âge. Et la fierté de cette création est d'autant plus totale qu'elle émane d'un studio français. Les artisans bordelais de ce joyau ont abattu un travail colossal, rien que sur cette première heure de jeu.
Ce qui frappe aussi est la filiation avec l'œuvre de Ueda et ses exceptionnelles aventures métaphysiques entrées au Panthéon du jeu vidéo. La place réservée à des décors majestueux, l'aspect lapidaire du gamaplay entrevu volontairement effacé au profit des émotions entre les personnages, la thématique de la tragédie grecque infusée dans le scénario et l'épure de la mise en scène rappellent constamment l'héritage du maître nippon.
Une excellente idée du Gros Ours que de nous permettre de vivre en même temps que lui cette expérience qui s'annonce sublime, qui plus est en off. Dénué du caractère parasitaire du Chat et de l'immédiateté de la diffusion, le Hooper va vivre personnellement, et nous avec, l'aventure la plus pure que semble mériter cette toile. L'immersion totale dans ce genre de ce jeu jouxtant avec le film interactif s'impose pour profiter son éclat le plus complet. Ces derniers étant essentiellement conçus pour une introspection solitaire. C'est peu dire que cette épopée peut atteindre des sommets. Si jamais la complicité narrative et formelle entre nos deux petits êtres isolés est bien exploitée au sein de ce concept déjà édifiant, l'œuvre d'art du studio Asobo pourrait devenir immense et simplement bouleversante.
J'ai cru voir un anachronisme : dans le village maudit, les portes des gens infectés sont marquées d'une croix. Mais avec des coulures de peinture ??!! Au 14 siècle ??!! J'ignorais que la famille Ripollin existât déjà en ces temps obscurs. Ou il y aurait-il une explication logique ?
Je ne savais pas que Ripolin avait inventé la peinture.
Le retour des caisses :D
Il est pas mal ce jeu je regarde la suite tout de suite
Désolé mais là, c'est plus un ours :D
J'aime bien l'ambiance et c'est plutôt joli même si techniquement c'est pas ouf (rigidité, fluidité et animation bof bof)
Je vais suivre ça
Chouette chouette chouette!
J'adore le genre d'ambiance de ce jeu, ça me fait beaucoup penser à GOT le jeu et à la série.
Ça me fait penser aussi un peu à the witcher 2.
En tout cas c'est une épopée que je vais suivre ^^
En voilà un bon début d'épopée. T'es super enthousiaste et ça fait plaisir. Tellement enthousiaste que j'ai même trouvé ça louche, loul. T'as l'air d'apprécier le jeu alors que c'est extrêmement linéaire et que tu peux absolument rien faire à par ce que t'ordonne le jeu, tant mieux du coup.
L'ambiance médiéval j'adore, et si t'ajoutes un petit côté thriller / horrifique ça me va à 2000%. Je sens que je vais bien l'aimer cette épopée. Si j'ai un petit truc à reprocher au jeu ce serait juste l'animation des personnages, qui est un peu rigide quand même. M'enfin, c'est déjà hallucinant si c'est un petit studio qui l'a créé. Ça promet du bon!
Après quelques recherches. Le jeu tourne bien 30 fps constant mais avec des versions légèrement mieux optimisés comme la one S supérieure a 35 fps par rapport a la One X qui est scotchée a 30 Fps
Vraiment joli mais des mécaniques ultra dépassées comme on trouve dans la plupart des jeux narratifs depuis 10 ans au moins. Des scripts à gogo, tu déplaces une caisse à l'endroit prévu et paf, tu ne peux plus l'utiliser ni la redéplacer, les personnages qui te disent quoi faire et quand agir pour pas rendre le truc trop difficile, bref, du classique. L'ambiance est réussie c'est sûr mais c'est vraiment pas un jeu qui va laisser le joueur libre dans sa progression ou le laisser expérimenter, on suit le tracé quoi. Tu toc sur une porte et une fois que le script indique qu'elle est fermée, tu ne peux plus re-taper dessus (alors oui ça servirai à rien, je suis d'accord, mais ça prive de la liberté de le refaire). Ça ressemble pas mal à Hellblade Senua's Sacrifice je trouve. En revanche bluffant au niveau du choix des couleurs et de l'éclairage ouais, ça me fait penser à certains environnements de The Order 1886 au niveau du rendu, qui étaient aussi très jolis en terme d'éclairage/couleur avec un aspect très gris et photo réaliste par moment.
Je me pose une question : le jeu s'est-il inspiré du manoir de Hooper? Oui car dans ce chateau j'y verrais bien Hooper.
La question ce n'est pas si c'est du déjà vu ou pas, mais de comment c'est fait.
Les livres sont du déjà vu aussi hein :D et pourtant...
Y'a 17 ou 18 chapitres
On ne dit rien Hooper, promis :D
Très bon choix de jeu.
Merci Gros Ours !!!
Ah ben tu l'as encore une fois chercher mon chère Hooper.
Très bonne partie !
Le jeu est trés beau, une bonne ambiance et les 2 protagonistes attachants.
Mouais, je crois que je vais faire l'impasse de celui-là. Ça commence à bien faire les jeux d'escorte de mômes!
Pas mal ton épopée, t'es agréable dans cette partie!