Red Dead Redemption 2 (13/13)
L'interminable fin de Red Dead Redemption 2
Mon avis réfléchi à froid:
Live sur Red Dead Redemption 2
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227 Commentaires
J'ai perdu le timecode où l'on entend Willie Nelson. Sa voix est tellement unique, elle ne m'aurait pas échappé. J'ai l'impression que Cruel World est une compo inédite, spécialement faite pour RDR. 🙀 Bon, Nelson n'est pas mon chanteur country préféré, mais quand je l'entends aux côtés de Cash, Jennings et Kristofferson, putain... ♥️♥️
J'écoutais le test de Padawam sur RDR2 et ce passage m'a fait sourire. J'ai cru un moment que c'était moi qui pensais à voix haute, mais non ^^
(En plus ça me permet de tester l'option de création d'extraits sur youtube. Ça semble fonctionner mais faut cliquer sur le lien vers youtube, la vidéo ne s'affiche pas ici directement).
[https://youtube.com/clip/Ugkx-LKGAALr-86xvcd6FnEAdwZ9I6Hqc9S3?si=8TOOIpvlLKWRAf2t]
Depuis mon dernier commentaire sous cette vidéo, j'ai joué au jeu et j'ai beaucoup aimé. Vraiment beaucoup aimé. Le jeu m'a totalement embarqué malgré le fait que je sois d'accord avec le diagnostic du gros ours quant aux qualités et défauts du jeu. C'est juste que chez moi, la balance ne penche pas du même côté. Ma réception est différente.
C'est dingue à quel point RDR2 offre une immersion quasi inespérée sur 80% de ses aspects : environnements, animations, routines des pnj, exigences envers le joueur vis à vis du rôle-play, et surtout au niveau de l'écriture globale. Sur ces plans, Red Dead 2 est exemplaire. Mais les 20% restant sont loin d'être anecdotiques.
Le jeu se foire totalement dès qu'une mission principale est enclenchée. Lors des quêtes du scénario, le joueur n'a absolument aucune marge de manœuvre. Aucune. Zéro. Rien, nada, nichts, niente, nothing, que dalle. On se retrouve enchainé à des rails scénaristiques grossiers qui révèlent la fainéantise d'un jeu qui pourtant est un monstre de travail. Sacré paradoxe.
Rockstar semble être embarrassé par la présence du joueur. Notre existence encombre monsieur Rockstar. Ça l'emmerde que l'on tienne la manette. Pourtant le joueur est l'unique élément qu'un développeur n'a pas le droit de mettre de côté. Jamais. Rockstar devrait prendre exemple sur (au hasard ^^) Kingdom Come Deliverance pour piger la façon habile de mener le joueur au sein d'un scénario tout en lui laissant l'impression d'avoir choisi sa propre voie et sa propre approche. L’issue prévue par les auteurs reste inéluctable car il y a une histoire à raconter, certes. Mais les façons d'achever les objectifs sont laissées à la discrétion du joueur. RDR2 ne fait pas cet effort. RDR2 nie le libre arbitre du joueur. Faute grave.
Pour un jeu qui par ailleurs montre un tel souci du détail sur presque tous les points, c'est déconcertant et somme toute décevant.
Si ce putain de gameplay avait été plus ouvert, avait été au service du joueur et non au service de l'histoire si bonne soit-elle, alors ce jeu aurait été pour moi un sérieux challenger à BOTW.
"Mais RDR2 et BOTW ça n'a rien à voir nya nya nya..." fermez vos mouilles et ouvrez vos chakras bande de cons. (on rigole, je vous aime aussi les amoindris :p).
PS : Arthur est à mon goût un bien meilleur personnage que John Marston. J'ai infiniment plus d'empathie pour Arthur que pour Marston.
Entièrement d'accord avec toi.
Soit on arrive a passer outre le gameplay catastrophique (et ses scripts dirigistes à outrance) et on se prend tous les autres aspect du jeu en pleine face, soit on n'arrive pas à maitriser le bousin comme Hooper et on bloque dessus pendant toute l'aventure ce qui gâche entièrement l'expérience. RDR II est un tour de force sur tous les aspects SAUF pour ce principe vidéolique basique qui est "faire une action simple = un bouton simple" et ces rails scénaristiques que nous impose Rockstar. C'est fou à quel point ils sont passé à rien du tout d'un jeu légendaire, parce que le gameplay n'est pas seulement mauvais mais hallucinemment incohérent avec tout ce qu'il se fait depuis 30 ans. Et c'est encore plus incompatible avec des scripts incessants.
Malheureusement le Hooper a toujours fait passer le gameplay avant tout le reste - à raison souvent - mais là il est passé à côté de beaucoup trop de chose à vouloir "flemmardiser" en activant tout le temps la vue cinématique lors des trajets, se mettre en vue FPS et tirer dans tous les sens sans prendre le temps d'essayer de comprendre comment se mettre à couvert ou utiliser d'autres mécaniques de gameplay aussi mal branlées soi t-elle. Je pense que cette fois ci il aurait dû se forcer un peu plus, parce que ça en valait la peine (mais c'est très subjectif comme avis).
Il n'y a pas plus frustrant que de voir un tel monstre vidéoludique être si proche d'un accomplissement technique et ce, sur tous les aspects.
Pour moi aussi, sa rédemption et sacrément bien retranscrite.
La première est une vision que l'on pourrait qualifier de "pure" au sens noble du terme (non pas que l'autre soit impure, bien évidemment). Elle fait jouer des éléments d'ordres rationnels qui privilégient nettement le gameplay stricto sensu et donc le fun. Les individus qui la partagent tiennent donc plutôt compte du challenge et de l'expérience vidéoludique apportée. Il s'agit de l'idée selon laquelle le jeu vidéo est avant tout un art totalement indépendant et qui s'autosuffit. Selon cette définition, on peut aisément placer le Hooper dans cette sphère de la typologie, qui correspond grossièrement à une conception traditionnelle.
La seconde serait celle qualifiée de "sensible". Elle emprunterait une dynamique plutôt relative à l'évasion de l'ordinaire avec une prédominance certaine pour les éléments externes au noyau dur qu'est le gameplay, à savoir l'univers, les cinématiques, les personnages, la narration, la plastique, etc... Ceci cible une forme de fun à plus long terme avec un prise en considération du challenge moins importante puisque dissoute dans une expérience viscérale. Ici le joueur se transpose dans le personnage en s'y abandonnant fondamentalement et non plus rationnellement, avec du recul. Cette caractérisation est bien évidemment particulièrement proche du ressenti cinématographique vers lequel le jeu vidéo essayerait de tendre comme objectif ultime. Il parait, en outre, possible d'avancer que cette seconde section se répand progressivement dans l'opinion au fur et à mesure que la technique de cet art se raffine et que la frontière avec le 7ème art s'effrite.
Bien évidemment, tout n'est qu'une question de point de vue. Chaque personne pourrait se revendiquer comme appartenant à l'une, en en vantant les mérites ou la supériorité, mais il s'agit évidemment d'une question de goût propre, personnel. De plus, il serait bien trop réducteur d'affilier les joueurs d'office dans ces cases artificielles, ces derniers pouvant modifier leur perception au fil des aventures, des jeux, des expériences diverses. Pour aller plus loin, il est également raisonnable de confirmer que les adeptes du jeu vidéo piochent dans l'une comme dans l'autre pour former leur critiques (qu'on espère constructives, autant que faire se peut :p). Bien malins sont ceux qui se sentiraient capables, immédiatement, de se décrire comme s'intégrant dans l'une d'elles à tel point elles communiquent entres elles et paraissent paradoxalement indispensables pour l'autre entité. Les jeux eux-mêmes ne s'immergent pas totalement dans une seule. Il est d'ailleurs intéressant de relever que le Hooper estime privilégier plus qu'auparavant (au moment de ces lives sataniques tout du moins), les jeux au gameplay fort.
Au-delà de ces aspects théoriques, se joue l'adhésion ou non à certains titres et ce RDR 2 en est un exemple étourdissant. Autant préciser d'emblée qu'il vaut mieux appartenir à la catégorie "sensible" pour l'avoir apprécié ! Il reste bien entendu des critères objectifs pouvant lui être imputés.
Tout d'abord, le jeu qui aura fait "souffrir" (!) le Hoopy est une très belle synthèse de ce qu'est Rockstar Games, son développeur devenu une marque estampillant ses produits d'une qualité hors norme. Et c'est peu dire que ce jeu défragmente toutes les conventions installées jusqu'à présent. Les graphismes, tout d'abord, sont mythologiques. La claque ulcère à chaque pas, chaque foulée dans les champs, chaque balade (et il y en a !) en cheval. L'open world est évidemment tel que Notre Gourou l'a suffisamment explicité : "le plus beau jamais créé". Et la note de la perfection sera tenue à même la fin. L'intégralité de cette technique stratosphérique qui devrait humilier encore bien des jeux est d'autant plus impressionnante qu'elle n'a pas de domaine de prédilection. Tout est une maestria hallucinante. Après les longues heures d'errements avec le Hooper, on analyse que la distance d'affichage, les éclairages, les effets météorologiques, les textures, les animations, la physique, tiennent du génie et il vaut mieux signifier que la liste est très longue.
Mais passé le traditionnel coup de bluff originel des jeux Rockstar (GTA, L.A. Noire et donc RDR), des faiblesses assez présentes se font étrangement ressentir. L'esprit critique hooperien oblige à reconnaitre les défauts qui sautent au yeux après avoir passé quelques heures d'absolue sidération. Oui, évidemment que le système d'ergonomie de la roue des armes est scandaleux (j'espère sincèrement que c'est un bug qui a depuis été patché, mais j'ai cru lire que les armes qui dépopaient sur le cheval étaient un véritable soucis de gameplay). Oui, bon nombre de missions sont relativement peu intéressantes et répétitives, quoiqu'au vu de la durée du bouzin, RDR 2 semble mieux se débrouiller que son grand frère de 2010. Oui, l'open world est relativement creux. Et oui, l'autolock (voir le Dead Eyes, c'est à discuter), ne sont pas du gameplay et cette simplicité insultante est d'autant plus désolante qu'elle passe inaperçue pour une majorité des joueur qui s'y accommode bien.
Mais avec un peu de nuance on observe également que la lourdeur du gameplay souhaitée est un vecteur d'inertie franchement bien senti (surtout que le cadre du FPS peut l'évacuer un poil) et que le challenge vient des missions qui sont parfaitement envisageable en "mode difficile", en essayant de récolter la médaille d'or (pas mal en ces temps de JO paralympique :p). De surcroît, l'autolock peut être désactivé (il devrait l'être de base ou bien correspondre à une difficulté choisie en début d'aventure plutôt que d'être imposé de la sorte). Au vu des lives du GroZours, il semble "possible" d'y jouer sans cette feature désobligeante à pied, mais pas en cheval. En plus, la carte regorge tout de même de nombreuses trouvailles sympathiques pour combler ce monde énorme. Les cartes au trésor sont de retour, les défis amusants, la chasse et la pêche (loul, même si pour les poissons légendaires, l'opération est relativement chronophage et demande un certain doigté :p), les animaux légendaires (même s'ils sont malheureusement scriptés), les missions annexes qui sont pour la plupart assez originales et quelques autres recherches d'os ou d'easter egg dont ces développeurs sont friands, s'autorisant même de menues énigmes ! Avec ces éléments, le monde se dote d'un frémissement indéniable accru par les événements annexes qui s'inscrivent dans une logique de vie inédite (à l'image d'un pauvre fou mordu par un serpent au beau milieu de la cambrousse dont on aspire le venin et puis qui vient nous remercier par la suite dans une ville, ou bien du vétéran cher au cœur du Hooper !).
Ce qui est aussi palpitant à observer est le "syndrome GTA", à savoir la difficulté qu'a Rockstar à se départir du fun à court terme procuré par le bordel produit par le joueur (qui consiste à tuer tout le monde et faire monter la prime) pour impulser un rythme propre au scénario principal. Initié par la saga des GTA, ce système qui corrompait jusqu'à la moelle ces jeux en sclérosant la quête principale, connait des ramifications dans ce RDR 2 qui en montre certains stigmates. Le croisement entre un jeu comme GTA misant tout sur ce type de mécaniques et un autre voulu plus "sérieux", constitue un bien curieux mélange. C'est comme si le scénario luttait contre la main invisible de la brutalité du joueur. On peut tout de même leur savoir gré d'avoir conçu un mécanisme de prime particulièrement strict, dégoûtant le joueur du délit, scrutant au contraire (curiosité délicieuse dans un jeu aussi proche de l'ADN des GTA), les moindres faits et geste du personnage afin d'être le plus clean possible ! Autre problème de taille assez dommageable résulte du gain rapide d'argent et de loot qui déconnecte un peu l'open world de ses possibilités et du stress qui devrait y transpirer, en mettant rapidement à l'abri Arthur de la complexité des gunfights.
Au niveau du scénario, une sorte de cycle a lieu, d'abord accrocheur avant de devenir léthargique dans une sorte de simulation/arcade (!) de la vie façon Western fin 19ème. Fort heureusement, ces instants sclérosant de l'histoire sont dégagés
La quasi totalité des jeux ont une campagne solo qui se démène pour ne pas se terminer, la durée de vie de l'œuvre étant unanimement consacrée comme une qualité du jeu. RDR 2 qui ne fait rien comme les autres se surprend à l'inverse à se battre pour s'arrêter. À vue de gros nez, il aurait pu durer encore bien des heures avant qu'il ne soit décidé d'y mettre fin. L'aventure est monumentale question contenu et d'une générosité sans nom. Ce qui est vraiment étonnant est que les développeurs semblent avoir effectivement réalisé un titre presque à contre-courant de ce qu'on pouvait attendre d'eux, et ce qui est probablement l'une de ses plus grandes qualités... est sa lenteur hallucinante ! Nous ne les remercierons jamais assez pour avoir fait de l'attente et de la frustration un ciment de cette expérience, surtout que le jeu s'est vendu comme des petits pains. Que ce soit le rythme volontairement haché ou les trajets interminables en canasson, le jeu y va façon rebrousse poil, ce qui est aux antipodes de la stratégie communément admise par ce type de gros studio. Ainsi, il n'est pas étonnant de s'autoriser des séquences ahurissantes pendant lesquelles seule la marche lancinante est admise voir le trot. Un tel tour de force est total au sein d'une période dans laquelle on habitue les populations à toujours plus d'immédiateté dans les relations individuelles et dans l'art en général, le cinéma et le jeu vidéo ne sortant pas de ce schéma simplificateur des œuvres à outrance. Rockstar se permettent un séisme silencieux très étonnant qui forcément déconcerté, divisé, voir écœuré les joueurs. Il est vrai qu'après avoir côtoyé son cheval pendant 80/90h sans voyage rapide direct, certains ont pu ressentir une forme de lassitude et de frustration ! Mais les diligences et les TP à mi-chemin aident un peu à l'affaire. La direction artistique cette fois-ci presque exclusivement verdoyante tranche, de plus, avec l'imagination que l'on se fait traditionnellement d'une sombre histoire de Cow-boy et c'est très futé de leur part.
Je tiens enfin à remercier le Hooper pour cette aventure inouïe au pays des vaches et des blaireaux ou il aura dignement tenu le bambou. Même si je persiste à penser quelle cette folle aventure aurait nécessité une épopée off à la longévité absolue (type GoW et ses presque 80 parties !), ce qui aurait permis plus d'immersion à l'Ours mal léché, même si ces sessions lives de gros bourrin ont été d'excellents crus. Il aurait pu continuer à visiter ses prairies encore longtemps, ce qui était le plus fun pour lui et pour nous ! Les parties dans lesquelles il ne faisait que visiter le monde sont définitivement les plus intéressantes, ce qui n'est pas si étonnant que cela venant d'un jeu à l'open world proprement hallucinant et qui restera sa force incontestée. Peut-être aurait-il fallu plus d'aération entre les missions principales pour s'adapter à la manière selon laquelle a été formulé l'objet vidéoludique non identifié, pour ne pas saturer la bête par la répétitivité induite de ses missions. Mais cette expérience à de l'allure et le Hooper Cow-boy au chapeau blaireau nous a proposé de biens belles parties de pur shot hooperien avec son lot d'amusement, de rires et de cris pour les spectateurs qui ont eu l'impression de faire les 400 coups avec lui ! Et surtout, la mention est de nos jours cardinale du courage et l'objectivité sans failles dont notre Ours à tous a été plus que jamais à l'origine, n'hésitant pas à déglinguer le jeu dans les règles de l'art à un moment où peu osaient encore le faire. Son esprit libre n'est définitivement qu'une anomalie dans cette génération malheureusement bien trop formatée.
Quand à Arthur Morgan, le grand héros de cette épopée, il l'emporte au final par surprise sur le charisme de John Marston, une mission presque impossible nous disions-nous à l'aube du chapitre premier. Et pourtant, il s'affirme après quelques heures comme un personnage à la la psychologie profonde, digne des westerns à l'ancienne avec un développement à grimper au rideau qui le positionnent foncièrement au panthéon du jeu vidéo. Après avoir traversé tant d'épreuves, les magiciens de Rockstar donnent à sa complexité l'illustration qu'elle mérite au terme d'une séquence déchirante bercée par la mélodie exceptionnelle "That's The Way It Is" dont l'obstacle le plus difficile du joueur consistera simplement, à la lumière de leur jeu pétri de contradiction, à maintenir une unique touche pour faire galoper Arthur vers les étoiles.
Au vue de beaucoup de commentaires, on peut lire :
Que "RDR2" est chiant, est un film interactif, mon dieux ! Les gens, vous avaient réellement oubliez se qu'est vraiment, un vrais film interactif ! et un vrais jeux CHIANT !
J'ai jouer à RDR2 et j'ai jouer mais des heures , même si j'ai pas finie le jeux ( pour d'autres raison), se jeux est dingue ! Moi perso, j'ai trouver plein de bugs , oui, j'ai trouver plein de défauts, oui, même beaucoup trop perso, mais, es que je me suis fait chier ? clairement pas du tous !
Je veut dire, au moment ou les missions principale ou secondaire t'emmerde, tu a juste à partir dans l'open world, faire littéralement se qui te plait.
C'est ça, se faire chier ? C'est ça un jeux chiant ?
Je pense pas ?
Au passage, je suis de 82.
J'ai donc on peut dire, vue l’évolution du jeux vidéo dans sa quasi totalité, à quelque exception, comme :
les micros ou les console du style , la vertrex ou autre étrangeté " mdr"
Donc, je pense pouvoir être en état de juger de se qu'est un jeux chiant et un jeux incroyablement, attractif, même si l'ensemble du jeux lui même n'en fait pas le meilleur des jeux !
Je te rejoins totalement.
Je ne l'ai pas encore fini mais je n'ai aucun doute sur le fait que ce titre est à mes yeux l'un des plus grands jeux de l'Histoire.
Evidemment que ce titre a beaucoup de défauts, et le plus problématique pour moi étant l'imprécision globale du gameplay, mais pour ma part j'ai rarement vu un jeu aussi immersif... Ce titre propose un écosystème tellement incroyable... Et contrairement aux propos de Hooper, la narration est vraiment excellente. Rarement un jeu a été aussi profond sur les thématiques de la liberté face à l'état de droit, sur des personnages conscient de leurs obsolescence face à l'évolution du monde, sur la violence et son rapport à la civilisation...
Ce jeu est un bijou naturaliste comme on en a rarement vu...
Mais certes, il faut savoir à quoi l'on joue. C'est n'est pas du fun permanent, et cela comporte les défauts inhérent aux jeux RockStar.
Oui très bonne critique de ta part franchement !
Les gens en fait, ça c'est mon avis, mais on pas compris que les jeux évolue mais, le gameplay aussi !
Donc, se qui veut dire : " Que l'on vas devoir APPRENDRE à jouer différemment !
Se réhabitué a de nouveaux style de jeux ! Comme RDR2 !
Exploité clairement une nouvelle façon de jouer et dans se cas précis, ils on essayaient en fait, la SIMULATION sur un jeux console ! La simulation, la majeur partie du temps, se font sur PC (jeux d'avion de pilotage et autres ? )
Là, pour un jeux que l'on a, à disposition dans notre salon, c'est un genre de jeux que vous allez lancer, puis vous allez devoir au final faire se que votre " IMAGINATION vous propose !
Cette à dire en gros :
se que vous voulez !
ou
Vous choisissez de faire ou suivre le rythme de l'histoire.
Et au final je pense que tous ça condenser n'a clairement pas plus a des gens comme HOOPER ou les autres du même avis que lui je pense ? ( ça ne veut en aucun cas dire que je suis dans le juste ? je précise )
J’ai enfin fini de regarder toute la redif. Ayant fait le jeu en juin dernier, tout est encore frais dans ma tête. Je trouve que c’est encore le plus beau jeu même en 2020. Rockstar on fait un tour de force pour nous proposer un tel rendu! Tout comme le Hooper, on s’arrête pour regarder les panoramas. Je ne serai pas aussi trash que le Hooper en ce qui concerne le gameplay mais on se bat plus avec le gameplay difficile à prendre en main qu’avec les enemies du jeu. Combien de fois j’ai tiré sur quelqu’un alors que je voulais lui parler...
je trouve que malgré ses défaut c’est une vitrine de our technologie et tu te demande comment les autres studio font pour ne pas avoir la même qualité dans un jeu type couloir!
Je suis pas très friand des open world car c’est souvent vide. Rdr2 nous fait voyager et moi ça me suffit finalement.
Très bon jeu!
L'un des gros point noir du jeux au début clairement pour ma part , que de pétage de plombs sur ça hoalalala surtous que les Marshalls et le sheriff de la ville vous saute littéralement dessus comme un pédéraste en manque de sexe "mdr" best camparated
je sais ;) mdr
Pour revenir à ce que tu dis à la fin, je ne pense pas que ça aurait été si bien que ça de choisir un personnage dans la bande et faire toute l'aventure avec lui.
Lorsque le jeu avait été annoncé, je pensais vraiment qu'on pourrait contrôler la plupart des persos car sur l'artwork d'annonce, on en voyait bien plusieurs :
Et puis Rockstar avait fait GTAV où on pouvait déjà en contrôler 3, je pensais encore une fois qu'ils iraient plus loin à ce niveau là, qu'on aurait des missions avec des groupes de 3 et on pourrait alterner comme on le souhaite par exemple.
Finalement, ça ne s'est pas fait et je suis bien déçu, car l'histoire d'Arthur n'est pas si importante comparée à celle de la bande. Pouvoir contrôler Dutch, Sadie, Micah, Hosea, Charles ou Bill auraient permis de plus impliquer le joueur et mieux connaître tous les personnages.
Ceci dit, je préfère tout de même RDR2 à GTAV comme je préfère RDR à GTA4 ^^
Ro putain que si au contraire ça aurait était juste fou et énorme de pouvoir faire l'aventure avec n'importe quel personnage de la bande imagine 56 min le truc de fou ?
Par contre, ça aurait était un bordel monstre niveaux script je pense sachant que
Bon ben j'ai profité du confinement pour rattraper ce jeu très chronophage.
J'ai vraiment apprécié l'expérience, mais pas vraiment en tant que jeu vidéo, (ce qui est un problème on en conviendra) plus en tant que série interactive (dont chaque mission était un épisode et chaque chapitre une saison), la seule plus value étant de pouvoir flâner de temps en temps entre chaque mission.
Je rejoins donc Hooper sur sa critique du gameplay, inintéressant au possible (les missions principales étant du niveau de The Order, et les trajets à cheval interminables) mais je serais moins sévère sur le scénar. J'ai vraiment été pris par cette aventure, et je me suis attaché à la bande de Dutch comme rarement je me suis attaché à des personnages de jeux vidéos.
Mais c'est vrai qu'il y a du gras, pas mal de redites dans les péripéties, Dutch qui trouve toujours un énième plan et pas mal de missions redondantes pour justifier des gunfights. Là encore, je pense qu'au format série ça aurait peut être gagné en rythme.
Mais j'irai pas jusqu'à dire que 80% est à jeter.
Il n'y a pas vraiment de basculement je pense et d'ailleurs, John le dit vers la fin je crois : il s'est juste révélé sous son vrai jour... Dutch c'est le chef charismatique avec une grande gueule, des principes, des idéaux, sauf qu'il est extrêmement présomptueux, au point de s'en rendre aveugle, et lorsque ça finit par lui retomber sur la gueule, lorsqu'il est mis en difficulté, poussé dans ses derniers retranchements, ben tu te rends compte qu'il est prêt à renier toutes ses valeurs et même à abandonner les siens! C'est un fumier, mais un fumier qui se donner des airs...
Content que tu ais eu la bonne fin avec Arthur, j'ai vu les autres fins sur YouTube et elles sont horribles! Celle-ci est la seule valable et la vraie fin d'Arthur pour moi. Je ne trouve pas ça vite expédié : il y a l'attaque du train, le sauvetage d'Abigail, la fuite avec John lors de l'attaque du campement par la Pinkerton, le duel avec Micah, plus la mort d'Arthur au levé du soleil, à la Luke Skywalker, il te faut quoi de plus..?
Dommage que t'ais zappé le générique, il restait encore pas mal de scénettes sympas à regarder.
Que dire en conclusion? Encore une épopée qui comportait pas mal de passages pénibles, où j'ai fait beaucoup d'avance rapide. Il y a des moments où je ne supporte vraiment plus de t'entendre débiter des âneries tout ça parce que tu ne comprends pas ce qui se passe, mais sinon oui le jeu a plein de problèmes, sur tous les plans : la narration, il y a du bon et du passable, le gameplay est lourdingue, rempli de choses inutiles... Au final, il n'y a que la technique qui est irréprochable! C'est un jeu très impressionnant, mais qui a beaucoup de défauts.
C'est exactement ça Hooper ton problème, tu l'as identifié toi-même : tu ne joues pas aux bons jeux. Tu n'as pas le radar des jeux que tu aimera/n'aimera pas ? Pourtant après 30 ans dans les JVs il devrait être en toi !!!^^ Tu joues à des jeux qui ne sont pas bons ou/et pas pour toi.
Sinon tu as enfin parlé d'un "problème" que tu n'avais pas encore mentionné depuis le début : on n'a pas l'impression de jouer à un vrai Western quand on est dans la map principale, pas uniquement parce qu'on est en groupe mais SURTOUT pour les décors : pas de canyons, pas de vastes déserts, pas de cactus (loul) enfin bref l'environnement de la nouvelle map moi m'a plus fait penser à un The Witcher qu'à un red dead quand j'y joue, manquait plus qu'Ablette loul. C'est quand même un énorme problème. Moi je voulais jouer à un western, retrouver les décors/sensations du premier et durant TOUT LE PUTAIN de jeu, on ne va jamais dans un décor vraiment western à part quelques endroits sur la map principale mais ça n'était jamais vraiment western quoi, la vraie map western c'est celle du 1 clairement.
Et moi ce défaut il m'a gâché le jeu, parmi d'autres choses of course. Tout le jeu j'ai attendu cet univers/environnement western que je n'ai jamais trouvé, et quand je suis arrivé à Guarma franchement là j'étais complètement hors du jeu, j'arrêtais pas de raler 'mais on s'en bat les couilles de leur histoire de guerre à la CON je veux jouer à RED DEAD REDEMPTION, à un WESTERN bordel de merde !!!!' je suis devenu complètement fou ahahaha.
Enfin bref je vais pas m'éterniser, énorme déception pour moi ce jeu, le pire c'est qu'une fois dans la map du premier à la fin du jeu .... Bah y'a rien à faire, loul, super le truc, j'ai attendu tout le jeu pour m'y rendre pour me rendre compte qu'à part la contemplation y'avait que dalle .........
@unclekaz : Le genre "western" est quand même très vaste, il serait très réducteur de résumer les décors aux déserts et aux cactus. Tu as aussi des westerns avec un décor plutôt orienté "bayou" ou "Mississippi" (le film "La Captive aux Yeux Clairs", par exemple), ou bien carrément des décors hivernaux (récemment, le film "The Revenant"). Sans parler des décors de type "prairie", très présents dans les westerns.
Quand on pense aux westerns, on pense généralement aux westerns spaghetti (les films de sergio leone entre autre) donc oui, avoir des décors très forestier et montagnard peut rebuter un peu.
Mais effectivement, les westerns ne résument pas à un simple décor. On pourrait même qualifier Star Wars de westerns, pourtant c'est un space opera.
Mais honnêtement le côté désert, plaine désolé et aride m'ont également manqué dans ce jeu. C'est con, mais c'est comme ça.
Oui je sais le western ne se résume pas à du désert et des cayons mais le problème c'est qu'on en a presque pas du tout dans la nouvelle map, moi ça m'a dérangé, je voulais quelque chose de plus proche de RDR 1 et on a eu tout le contraire loul. Et la verdure partout des arbres partout on voit rien quoi j'aime pas ça, heureusement que certains paysage sont plus ouvert, c'est ce que je voulais moi. Un peu de verdure des arbres un bayou degueulasse (mais extrêmement bien fait) why not mais le désert, les cayons etc etc m'ont bien manqué.
@smough & unclekaz : Justement, voir du désert et des plaines arides dans Red Dead Redemption 2, est-ce que ça n'aurait pas fait un peu redite avec le premier Red Dead Redemption ? Ce n'est peut-être pas plus mal que le 2 se démarque du premier en proposant des décors différents, non ?
Sinon, le "western spaghetti", je pense que c'est ce que j'aime le moins en fait (je sais que je m'étais fait chier devant "Il était une fois dans l'ouest", certes la musique est culte, mais ce n'est pas suffisant pour faire un bon film selon moi, et il y a tout ce côté "codifié" et "cliché" du genre qui m'agace maintenant). ^^
Je préfère les westerns "classiques" ou les westerns "crépusculaires" (ou d'autres westerns décalés comme "Dead Man" que j'adore).
Oui je suis complétemment d'accord mais vu que la
Perso moi c'est tout l'inverse, les films de Sergio Leone et particulièrement celui que tu as cité, font partis de mes films préféré, une histoire simple, des héros hyper charismatique, le tout orchestré par la musique d'ennio morricone. Tout les cliché du westerns spaghetti sont la et c'est pour ça que je les aimes autant, mais je comprend que tout le monde n'y adhère pas.
Les westerns plus classique j'avoue ne pas en connaître beaucoup. La plupart que j'ai vu consistait à sauvé la d'moiselle en détresse avec John Wayne et je l'ai trouvais assez chiant dans l'ensemble. Même si j'aime beaucoup la prisonnière du désert.