Naomi était un prénom que l'on pouvait trouver au Japon à cette époque? De fils en aiguilles, j'étais déjà tombé sur cet auteur, mais j'ai jamais rien lu de lui.
En réalité, Naomi est une occidentalisation du nom de la fille qui est un nom Japonais typique : "Na-o-mi".
De mon côté, c'était mon premier roman de cet auteur. Son œuvre la plus connue est Quatre sœurs, déjà acheté mais ce sera pour plus tard.
J'ai jamais lu Blade Runner, vu que les films. Mais ça a l'air vraiment pas mal ; à voir pour plus tard ;-)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Ok Na-O-Mi...
En fait, je viens de me rendre compte que j'ai un livre de Junichirô Tanizaki dans ma bibliothèque numérique! Affaire à suivre!
Bon, dernièrement, j'avais lu:
- Lennon Remembers l'intégral de l'interview qu'accorda John Lennon à Jann S.Wenner (cofondateur de Rolling Stone le mag) en 1970
- Rencontres avec John et Yoko, un ensemble de conversations s'étalant dans le temps qu'accorda John Lennon à Jonathan Cott…
Vous l'avez deviné, oui je suis un fan des Beatles! Ainsi donc au total, je possède quatre livres sur eux. Un sur les paroles des chansons du groupe, un dédié à Paul, et ces deux derniers. A la base, je cherchais un livre retranscrivant l'interview de John dans playboy, bon ben, je me suis retrouvé avec ces deux là. Faut croire que c'est ce que j'avais trouvé de mieux sur Amazone à l'époque.
Bon alors, mon premier reflexe, c'est de comparer ces deux livres, à celui que j'ai sur Paul. Car tout le monde le sait Paul est quelqu'un qui arrondi les angles, alors que John lui, conserve les angles droits, et donc qu'est ce que cela donne sur les livre? Eh bien je ne vais pas faire de comparaison, mais cela va peut être arrivée malgré moi…
Tout d'abord, une chose: ces livres sont destinés aux fans des Beatles. En effet, cela parle principalement de leurs histoires. Il faut savoir qui est qui, que un tel est mort vers telle période, qu'il s'est passé tel évènement vers une certaine période, et il faut aussi connaître toutes les accusation dont a été victime John (et dans une moindre mesure Yoko). Heureusement je suis un fan des Beatles (j'avais beaucoup lu sur eux sur le net), et heureusement qu'avant de lire ce livre j'avais lu celui de Paul!
Bon, pour en revenir au fond de l'interview, tout d'abord une surprise, John Lennon ne répond pas coup pour coup. Certes, il est acide, je l'ai même trouvé parfois un poil hautain, élitiste, mais il n'est pas forcément agressif envers les autres. Il ne charge pas vraiment les autres, même si il lui arrive de balancer des trucs de façon sec (et parfois oui, ça fait un peu mal dans les côtes). Ces livres, fut aussi l'occasion pour John de répondre à quelques attaques où bien de raconter sa version des faits, cela s'est révélé très intéressant pour moi, car la version des fait de Paul (qui a d'ailleurs réussi à convaincre tout le monde) st très critique envers John et envers Yoko.
Seul regret, pas assez de Georges Harrison dedans, c'est dommage. De tout temps, j'ai cherché à savoir que pensait les autres Beatles des musique de Georges à partir de du White Album, mais j'ai toujours été déçu. Au moins l'un de ces deux livres nous donne l'avis complet de John sur l'album de Georges mais j'ai jugé son avis de piètre qualités…
Bref, vous êtes un fan des Beatles, je vous conseille ces livres. Vous voulez un peu en savoir plus sur les année 60? Je ne vous conseille pas ces deux là plutôt celui de Paul écrit par Barry Miles!
Doublr post car je le vaut bien!
Oui, finalement, j'ai lu ce Week end un roman de Junichirô Tanizaki: Svastika
Sonoko, une japonaise des années 1920 (je suppose),raconte d'un trait à l'auteur, l'histoire qui va lui arrivée à elle et à son mari, et qui donc constitue le roman. Qu'est ce qui arrive à Sonoko? Eh bien alors qu'elle prend dans une école des cours de peinture japonaise, Sonoko sans s'en rendre compte semble fascinée par Mitsuko. Elles deviennent amis puis franchissent la ligne... C'est parti pour une histoire où l'on découvrira qui est qui et que la situation n'est pas telle qu'elle paraît...
Wow quelle histoire... J'ai d'abord un peu été interloqué quand dès les premiers chapitres, on nous annonce de façon indirecte, mais très clairement qui va mourrir. Néanmoins, avec ses volte face et rebondissement parfois spectaculaire, on finit par ne se concentré que sur le présent. C'était à un point tel que j'ai été surpris de voir mourrir les personnage dont on avait annoncé la mort dès de début...
Peut-on qualifier cette histoire de sordide? Jene sais pas... Peut être... En fait les personnages (pas tous, deux seulement) sont kafkaïen. Quand on pense à Kafka, on pense à relation sociale bizaroïde, mais moi je fait plutôt référence à un type de personnage insignifiant qui ne parle jamais, mais qui lorsqu'il se décide à parler WOW, vous ne vous en remettrer pas!
Bon, le livre est court, donc je vais éviter de trop en dire dessus, je vous le conseille en tout cas!
Après pas mal de temps, je reviens sur ce topic pour vous parler du deuxième tome du roman phare de Roger Martin du Gard : Les Thibault.
Je vais pas trop en dire si ce n'est que le roman suit l'histoire des deux frères jusqu'à la veille de la Première Guerre Mondiale. Il se passe quelques événements avant cette partie mais comme ils sont assez importants dans l'histoire, je ne veux pas trop en dire. Sachez seulement que toute la partie avant le préambule à la guerre est magistrale.
Pour être honnête, l'histoire a été un tantinet plus compliquée à suivre en ce qui me concerne pour la raison majeure qu'on retrouve principalement Jacques qui fraye avec les milieux communistes "semi-clandestins". Perso, ça m'ennuie beaucoup comme sujet. Pour faire court, c'est de la politique, et la politique, ça m'emmerde... Une deuxième chose à prendre en compte, c'est que le temps se dilate beaucoup puisqu'à la veille de la Première Guerre Mondiale, l'écrivain relate les événements au jour le jour. Ceci m'a cependant terriblement intéressé car on sort de la politique pour entrer dans l'histoire. Il faudrait vérifier si ce qui y est raconté est vrai mais j'ai l'impression que oui. Enfin, c'est toujours d'une virtuosité psychologique incroyable.
Je vous propose un petit passage pour vous montrer qu'on a toujours affaire à de la dentelle littéraire :
Citation:
Daniel soulevait ses toiles, une à une, les tournait vers la lumière, leur jetait, à travers ses paupières plissées, un rapide coup d'œil, puis il les remettait en place. De temps à autre, il en posait une, à l'écart, au pied du chevalet le plus proche : "Pour Ludwigson."
Il haussa les épaules et marmonna entre ses dents :
"Au fond, le don, ça n'est presque rien — tout en étant indispensable !... C'est le travail qui importe. Sans travail, le talent n'est qu'un feu d'artifice ; ça éblouit un instant, mais il n'en reste rien."
Bonne lecture !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Aujourd'hui, j'aimerais vous parler une nouvelle de Romain Gary que j'aime beaucoup par le biais de son roman Les cerfs-volants.
Dernière œuvre du maître, le roman paraît en 1980, quelques mois avant le suicide de l'écrivain. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur son acte mais parlons plutôt du livre.
L'histoire raconte la vie de Ludo autour du seul amour qu'il ait jamais eu : Lila Bronicka, aristocrate qui passe ses vacances avec ses parents dans la Normandie des années 30, tout près de notre héros. Ce dernier, élevé par son oncle, créateur de cerfs-volants, possède un don familial : une légère "folie" due à sa mémoire présentée comme exceptionnelle. Il travaille bientôt pour le père de sa dulcinée voyant en lui un moyen de se faire un gros paquet de fric. Il fera également la rencontre de son rival, le bel Allemand Hans von Schwede, lui aussi amoureux de la belle.
La guerre éclate bientôt et nos deux protagonistes se retrouvent séparés — c'est un peu plus compliqué que ça mais je ne vous dis rien de plus. Je termine sans spoiler avec la fin du quatrième de couverture : "Pour traverser les épreuves, défendre son pays et les valeurs humaines, pour retrouver son amour, Ludo sera toujours soutenu par l'image des grands cerfs-volants, leur symbole d'audace, de poésie et de liberté inscrit dans le ciel."
Le roman m'a assez touché même si j'ai trouvé le début quelque peu poussif où l'auteur se laisse aller à des "facilités d'écriture". Néanmoins, à partir de la guerre, les lignes sont resserrées et plus maîtrisées, laissant place à des passages bien plus vrais que dans la première partie. J'en donne ici un petit exemple que je trouve très juste :
Citation:
—... elle ne m'a pas quitté un seul instant depuis qu'elle est partie, et maintenant qu'elle est revenue, c'est une autre...
— Dame, mon gars. Tu l'as trop inventée. Quatre ans d'absence, ça laisse une part trop belle à l'imagination. Le rêve à touché terre et ça fait toujours des dégâts. Même les idées cessent de se ressembler quand elles prennent corps. Lorsque la France reviendra, tu verras la gueule qu'on va faire ! On dira : c'est pas la vraie, c'est une autre ! Les Allemands nous ont donné beaucoup d'imagination. Quand ils seront partis, les retrouvailles seront cruelles. Mais quelque chose me dit que tu vas la retrouver, ta petite. L'amour a du génie et il a le don de tout avaler. Quand à toi, tu croyais avoir vécu de ta mémoire, mais tu as surtout vécu de ton imagination.
Il s'est marré.
— L'imagination, Ludo, c'est pas une façon de traiter une femme.
Bonne lecture !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Je dois avouer que je lis énormément, et de tout les genres. Je me lance même dans plusieurs trilogies ou sagas en même temps (bonjour l'acharnée !).
Bref. En ce moment je lis le deuxième tome de la saga "Millénium". En faire un résumé serait long et fastidieux. " Millénium" est une saga hors norme. Toutefois, il ne faut pas avoir peur des gros pavés :).
Franchement? C'est pas mal les milleniums! Il y a un quatrième tome qui est sortie, celui là je ne compte pas le lire. Je sais qu'avant ça mort, l'auteur semblait avoir prévu un quatrième tome, mais je trouve que le tome 3 est une bonne conclusion.
Avant de me jeter sur un livre dont beaucoup on vanter l'intérêt, j'ai d'abord voulu relire un livre. Le château de Hurle de Diana Wynne Jones: Sophie est une pauvre jeune fille qui travaille dans la boutique de chapeau de sa belle mère. Sans en connaître la raison, elle provoque l'ire de la sorcière du désert, qui la change alors en vieille femme. Fuyant sa maison et se dirigeant vers pays connu étant rempli de magicien, elle tombe sur le château du magicien Hurle. C'est un château qui se déplace, mais le plus terrible, c'est que son propriétaire est connu comme étant un terrible magicien qui mange le cœur des jeunes filles. Etant devenu vieille Sophie n'a pas peur et s'y refugie… Elle tentera alors de lever le sortilège dont elle est victime…
Pouf c'est compliqué de faire un résumé de ce livre! Bon, il s'agit du roman adapté par Miyazaki sous le nom: le château ambulant.
Wow, c'est un roman à l'histoire complexe, vraiment très complexe! Il y a beaucoup de personnage! En fait non, ils ne sont pas si nombreux que ça, mais chaque personnage apporte une telle brique de complexité à l'intrigue qu'on a l'impression qu'il y a trop de personnages. L'autre chose, c'est que même Sophie n'est pas le narrateur, l'histoire est racontée à travers son point de vue, et croyez moi, ça complique beaucoup les choses. Bref, c'est un excellent roman! Néanmoins, accrochez vous, les intrigues et les questionnement se multiplient au fil des pages, mais pas de souci, tout est expliqué à fin. Je tiens aussi à préciser qu'a aucun moment, je n'ai pensé que les explications venaient de nulle part. L'intrigue est très complexe, mais parfaitement maitrisée, chapeau à l'auteure!
C'est un roman "jeunesse" que je vous conseille!
Un héros de notre temps de l'écrivain russe Mikhaïl Lermontov. Imaginez un écrivain un peu à la Pouchkine : mort prématurée à cause d'un duel manqué — rien que ça, c'est la classe !
L'histoire est construite en deux parties et a comme principal protagoniste Petchorine, jeune officier ayant perdu foi dans la vie et pas toujours de la plus haute qualité morale — n'hésite pas à faire pleurer les jeunes filles et autres femmes respectables si vous voyez ce que je veux dire. Ce court roman a ceci d'original que le héros est présenté tout d'abord par un narrateur extérieur, avant de l'être de l'intérieur grâce à son journal trouvé par le narrateur tiers du début.
Je retiens de ce roman deux choses :
La première est la description des paysages du Caucase qui est tout simplement prodigieuse — surtout dans la première partie. C'est simple, on s'y croirait.
La deuxième c'est la psychologie très travaillée des personnages qui fait que je suis passé d'une sorte d'antipathie pour Petchorine à une forme de respect pour son courage tout en acceptant sa cohérence propre.
On y parle des femmes, des relations humaines, de l'amour-propre, de l'honneur, de la mort, de l'amitié, bref, ce roman parle de tout.
Un petit passage que j'ai bien aimé et que j'ai trouvé, ma foi, pas si faux que ça ^^ :
Citation:
Depuis que les poètes écrivent et que les femmes lisent (ce dont on leur doit la plus profonde gratitude), on les a si souvent appelées des anges qu'elles ont vraiment cru, en toute simplicité d'âme, au compliment, oubliant que les mêmes poètes, pour de l'argent, avaient hissé Néron au rang de demi-dieu...
93, j'avais commencé à le lire un jour, puis j'ai suspendu depuis, comme à mon habitude de ne pas terminer. J'ai dû m'arrêter au moment où...
Spoiler ▼▲
des jeunes enfants allaient être brûlés dans un château, ou un truc dans le genre chez les chouans.
J'ai pas trouvé que il y avait des mots durs dedans le bouquin, peut-être que je suis avec un gros Q.I. dans ma tête ! C'est très descriptif, mais je n'ai pas trouvé cela bizarre ou incommodant. Après, Victor Hugo Montano en fait toujours des caisses, pour peu de buts marqués oui. Je l'ai toujours trouvé meilleur en vers qu'en prose, surtout quand il jouait à la Paillade !
L'histoire est violente, mais ça correspond bien aux troubles qui agitent la Seine-Saint-Denis, entre Booba, Kaaris et Robespierre.
Un autre livre, le dernier que j'ai laissé en rade, c'est Le Silence des Côtes d'Agneaux de Thomas Harris, le gars des brioches prédécoupées et moelleuses, dont je n'ai dévoré que les premières tranches en dégustant un excellent chianti. Pourquoi le lirai-je, alors qu'il y a l'adaptation cinématographique avec Sméagol, l'ours qui chante en fa en sol, en do dièse en mi bémol, en gilet et en faux-col ?
En réalité, Naomi est une occidentalisation du nom de la fille qui est un nom Japonais typique : "Na-o-mi".
De mon côté, c'était mon premier roman de cet auteur. Son œuvre la plus connue est Quatre sœurs, déjà acheté mais ce sera pour plus tard.
J'ai jamais lu Blade Runner, vu que les films. Mais ça a l'air vraiment pas mal ; à voir pour plus tard ;-)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Ok Na-O-Mi...
En fait, je viens de me rendre compte que j'ai un livre de Junichirô Tanizaki dans ma bibliothèque numérique! Affaire à suivre!
Bon, dernièrement, j'avais lu:
- Lennon Remembers l'intégral de l'interview qu'accorda John Lennon à Jann S.Wenner (cofondateur de Rolling Stone le mag) en 1970
- Rencontres avec John et Yoko, un ensemble de conversations s'étalant dans le temps qu'accorda John Lennon à Jonathan Cott…
Vous l'avez deviné, oui je suis un fan des Beatles! Ainsi donc au total, je possède quatre livres sur eux. Un sur les paroles des chansons du groupe, un dédié à Paul, et ces deux derniers. A la base, je cherchais un livre retranscrivant l'interview de John dans playboy, bon ben, je me suis retrouvé avec ces deux là. Faut croire que c'est ce que j'avais trouvé de mieux sur Amazone à l'époque.
Bon alors, mon premier reflexe, c'est de comparer ces deux livres, à celui que j'ai sur Paul. Car tout le monde le sait Paul est quelqu'un qui arrondi les angles, alors que John lui, conserve les angles droits, et donc qu'est ce que cela donne sur les livre? Eh bien je ne vais pas faire de comparaison, mais cela va peut être arrivée malgré moi…
Tout d'abord, une chose: ces livres sont destinés aux fans des Beatles. En effet, cela parle principalement de leurs histoires. Il faut savoir qui est qui, que un tel est mort vers telle période, qu'il s'est passé tel évènement vers une certaine période, et il faut aussi connaître toutes les accusation dont a été victime John (et dans une moindre mesure Yoko). Heureusement je suis un fan des Beatles (j'avais beaucoup lu sur eux sur le net), et heureusement qu'avant de lire ce livre j'avais lu celui de Paul!
Bon, pour en revenir au fond de l'interview, tout d'abord une surprise, John Lennon ne répond pas coup pour coup. Certes, il est acide, je l'ai même trouvé parfois un poil hautain, élitiste, mais il n'est pas forcément agressif envers les autres. Il ne charge pas vraiment les autres, même si il lui arrive de balancer des trucs de façon sec (et parfois oui, ça fait un peu mal dans les côtes). Ces livres, fut aussi l'occasion pour John de répondre à quelques attaques où bien de raconter sa version des faits, cela s'est révélé très intéressant pour moi, car la version des fait de Paul (qui a d'ailleurs réussi à convaincre tout le monde) st très critique envers John et envers Yoko.
Seul regret, pas assez de Georges Harrison dedans, c'est dommage. De tout temps, j'ai cherché à savoir que pensait les autres Beatles des musique de Georges à partir de du White Album, mais j'ai toujours été déçu. Au moins l'un de ces deux livres nous donne l'avis complet de John sur l'album de Georges mais j'ai jugé son avis de piètre qualités…
Bref, vous êtes un fan des Beatles, je vous conseille ces livres. Vous voulez un peu en savoir plus sur les année 60? Je ne vous conseille pas ces deux là plutôt celui de Paul écrit par Barry Miles!
Doublr post car je le vaut bien!
Oui, finalement, j'ai lu ce Week end un roman de Junichirô Tanizaki: Svastika
Sonoko, une japonaise des années 1920 (je suppose),raconte d'un trait à l'auteur, l'histoire qui va lui arrivée à elle et à son mari, et qui donc constitue le roman. Qu'est ce qui arrive à Sonoko? Eh bien alors qu'elle prend dans une école des cours de peinture japonaise, Sonoko sans s'en rendre compte semble fascinée par Mitsuko. Elles deviennent amis puis franchissent la ligne... C'est parti pour une histoire où l'on découvrira qui est qui et que la situation n'est pas telle qu'elle paraît...
Wow quelle histoire... J'ai d'abord un peu été interloqué quand dès les premiers chapitres, on nous annonce de façon indirecte, mais très clairement qui va mourrir. Néanmoins, avec ses volte face et rebondissement parfois spectaculaire, on finit par ne se concentré que sur le présent. C'était à un point tel que j'ai été surpris de voir mourrir les personnage dont on avait annoncé la mort dès de début...
Peut-on qualifier cette histoire de sordide? Jene sais pas... Peut être... En fait les personnages (pas tous, deux seulement) sont kafkaïen. Quand on pense à Kafka, on pense à relation sociale bizaroïde, mais moi je fait plutôt référence à un type de personnage insignifiant qui ne parle jamais, mais qui lorsqu'il se décide à parler WOW, vous ne vous en remettrer pas!
Bon, le livre est court, donc je vais éviter de trop en dire dessus, je vous le conseille en tout cas!
Après pas mal de temps, je reviens sur ce topic pour vous parler du deuxième tome du roman phare de Roger Martin du Gard : Les Thibault.
Je vais pas trop en dire si ce n'est que le roman suit l'histoire des deux frères jusqu'à la veille de la Première Guerre Mondiale. Il se passe quelques événements avant cette partie mais comme ils sont assez importants dans l'histoire, je ne veux pas trop en dire. Sachez seulement que toute la partie avant le préambule à la guerre est magistrale.
Pour être honnête, l'histoire a été un tantinet plus compliquée à suivre en ce qui me concerne pour la raison majeure qu'on retrouve principalement Jacques qui fraye avec les milieux communistes "semi-clandestins". Perso, ça m'ennuie beaucoup comme sujet. Pour faire court, c'est de la politique, et la politique, ça m'emmerde... Une deuxième chose à prendre en compte, c'est que le temps se dilate beaucoup puisqu'à la veille de la Première Guerre Mondiale, l'écrivain relate les événements au jour le jour. Ceci m'a cependant terriblement intéressé car on sort de la politique pour entrer dans l'histoire. Il faudrait vérifier si ce qui y est raconté est vrai mais j'ai l'impression que oui. Enfin, c'est toujours d'une virtuosité psychologique incroyable.
Je vous propose un petit passage pour vous montrer qu'on a toujours affaire à de la dentelle littéraire :
Bonne lecture !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Aujourd'hui, j'aimerais vous parler une nouvelle de Romain Gary que j'aime beaucoup par le biais de son roman Les cerfs-volants.
Dernière œuvre du maître, le roman paraît en 1980, quelques mois avant le suicide de l'écrivain. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur son acte mais parlons plutôt du livre.
L'histoire raconte la vie de Ludo autour du seul amour qu'il ait jamais eu : Lila Bronicka, aristocrate qui passe ses vacances avec ses parents dans la Normandie des années 30, tout près de notre héros. Ce dernier, élevé par son oncle, créateur de cerfs-volants, possède un don familial : une légère "folie" due à sa mémoire présentée comme exceptionnelle. Il travaille bientôt pour le père de sa dulcinée voyant en lui un moyen de se faire un gros paquet de fric. Il fera également la rencontre de son rival, le bel Allemand Hans von Schwede, lui aussi amoureux de la belle.
La guerre éclate bientôt et nos deux protagonistes se retrouvent séparés — c'est un peu plus compliqué que ça mais je ne vous dis rien de plus. Je termine sans spoiler avec la fin du quatrième de couverture : "Pour traverser les épreuves, défendre son pays et les valeurs humaines, pour retrouver son amour, Ludo sera toujours soutenu par l'image des grands cerfs-volants, leur symbole d'audace, de poésie et de liberté inscrit dans le ciel."
Le roman m'a assez touché même si j'ai trouvé le début quelque peu poussif où l'auteur se laisse aller à des "facilités d'écriture". Néanmoins, à partir de la guerre, les lignes sont resserrées et plus maîtrisées, laissant place à des passages bien plus vrais que dans la première partie. J'en donne ici un petit exemple que je trouve très juste :
Bonne lecture !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Je dois avouer que je lis énormément, et de tout les genres. Je me lance même dans plusieurs trilogies ou sagas en même temps (bonjour l'acharnée !).
Bref. En ce moment je lis le deuxième tome de la saga "Millénium". En faire un résumé serait long et fastidieux. " Millénium" est une saga hors norme. Toutefois, il ne faut pas avoir peur des gros pavés :).
Franchement? C'est pas mal les milleniums! Il y a un quatrième tome qui est sortie, celui là je ne compte pas le lire. Je sais qu'avant ça mort, l'auteur semblait avoir prévu un quatrième tome, mais je trouve que le tome 3 est une bonne conclusion.
Avant de me jeter sur un livre dont beaucoup on vanter l'intérêt, j'ai d'abord voulu relire un livre.
Le château de Hurle de Diana Wynne Jones: Sophie est une pauvre jeune fille qui travaille dans la boutique de chapeau de sa belle mère. Sans en connaître la raison, elle provoque l'ire de la sorcière du désert, qui la change alors en vieille femme. Fuyant sa maison et se dirigeant vers pays connu étant rempli de magicien, elle tombe sur le château du magicien Hurle. C'est un château qui se déplace, mais le plus terrible, c'est que son propriétaire est connu comme étant un terrible magicien qui mange le cœur des jeunes filles. Etant devenu vieille Sophie n'a pas peur et s'y refugie… Elle tentera alors de lever le sortilège dont elle est victime…
Pouf c'est compliqué de faire un résumé de ce livre! Bon, il s'agit du roman adapté par Miyazaki sous le nom: le château ambulant.
Wow, c'est un roman à l'histoire complexe, vraiment très complexe! Il y a beaucoup de personnage! En fait non, ils ne sont pas si nombreux que ça, mais chaque personnage apporte une telle brique de complexité à l'intrigue qu'on a l'impression qu'il y a trop de personnages. L'autre chose, c'est que même Sophie n'est pas le narrateur, l'histoire est racontée à travers son point de vue, et croyez moi, ça complique beaucoup les choses. Bref, c'est un excellent roman! Néanmoins, accrochez vous, les intrigues et les questionnement se multiplient au fil des pages, mais pas de souci, tout est expliqué à fin. Je tiens aussi à préciser qu'a aucun moment, je n'ai pensé que les explications venaient de nulle part. L'intrigue est très complexe, mais parfaitement maitrisée, chapeau à l'auteure!
C'est un roman "jeunesse" que je vous conseille!
Un héros de notre temps de l'écrivain russe Mikhaïl Lermontov. Imaginez un écrivain un peu à la Pouchkine : mort prématurée à cause d'un duel manqué — rien que ça, c'est la classe !
L'histoire est construite en deux parties et a comme principal protagoniste Petchorine, jeune officier ayant perdu foi dans la vie et pas toujours de la plus haute qualité morale — n'hésite pas à faire pleurer les jeunes filles et autres femmes respectables si vous voyez ce que je veux dire. Ce court roman a ceci d'original que le héros est présenté tout d'abord par un narrateur extérieur, avant de l'être de l'intérieur grâce à son journal trouvé par le narrateur tiers du début.
Je retiens de ce roman deux choses :
La première est la description des paysages du Caucase qui est tout simplement prodigieuse — surtout dans la première partie. C'est simple, on s'y croirait.
La deuxième c'est la psychologie très travaillée des personnages qui fait que je suis passé d'une sorte d'antipathie pour Petchorine à une forme de respect pour son courage tout en acceptant sa cohérence propre.
On y parle des femmes, des relations humaines, de l'amour-propre, de l'honneur, de la mort, de l'amitié, bref, ce roman parle de tout.
Un petit passage que j'ai bien aimé et que j'ai trouvé, ma foi, pas si faux que ça ^^ :
Bonne lecture !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Je viens de finir Quatrevingt-Treize de Victor Hugo. Voilà ma critique.
Génération Mega Drive
93, j'avais commencé à le lire un jour, puis j'ai suspendu depuis, comme à mon habitude de ne pas terminer. J'ai dû m'arrêter au moment où...
J'ai pas trouvé que il y avait des mots durs dedans le bouquin, peut-être que je suis avec un gros Q.I. dans ma tête ! C'est très descriptif, mais je n'ai pas trouvé cela bizarre ou incommodant. Après, Victor Hugo Montano en fait toujours des caisses, pour peu de buts marqués oui. Je l'ai toujours trouvé meilleur en vers qu'en prose, surtout quand il jouait à la Paillade !
L'histoire est violente, mais ça correspond bien aux troubles qui agitent la Seine-Saint-Denis, entre Booba, Kaaris et Robespierre.
Un autre livre, le dernier que j'ai laissé en rade, c'est Le Silence des Côtes d'Agneaux de Thomas Harris, le gars des brioches prédécoupées et moelleuses, dont je n'ai dévoré que les premières tranches en dégustant un excellent chianti. Pourquoi le lirai-je, alors qu'il y a l'adaptation cinématographique avec Sméagol, l'ours qui chante en fa en sol, en do dièse en mi bémol, en gilet et en faux-col ?