C'est vrai que ce n'est pas son meilleur film mais on s'en fiche, on sourit tout le long et il arrache des oh et des ah qui suffisent à faire passer l'histoire un peu planplan. Et il dégueule de générosité. On en sort tout guilleret.
This ! :D
Rudolf, pour la petite anecdote, Spielberg et Kubrick étaient très amis et respectaient beaucoup le travail de l'autre.
Pour A.I., c'est Kubrick qui voulait que Spielberg le réalise, il estimait ne pas avoir la sensibilité pour le faire.
Voilà ^^
Citation:
Parce que sinon cette année, j'ai vu son Pentagon Papers, mais ça ne m'a pas trop emballé : il fait partie de la facette "film sérieux/historique" que j'aime moins chez lui.
Je n'ai pas vu celui-là mais, dans les Spielberg plus sérieux et graves récents, je te conseille quand même Le Pont des Espions et, surtout, Munich, qui est un chef-d'oeuvre.
Il y a des synchronicités qui font mal au cœur : R. Lee Ermey nous a quitté, à l'âge de 74 ans [1944-2018].
Moi qui n'ai en ce moment pas trop le temps de regarder des films (exception ciné : RPO), j'avais quand même réussis à le trouver pour me taper un de mes films favoris : Fantômes Contre Fantômes, l'un des autres chef-d’œuvres de Peter Jackson. Je ne l'avais pas revu depuis un long moment, m'étais offert le Blu Ray à cette occasion, et me suis à nouveau régalé, donc en plus en HD, et redécouvert ce film aux airs de classique des années 80 perdu dans les années 90, que je connais pourtant par cœur... Et! me suis donc amusé à retrouver l'une de ses blagues méta : la réapparition de R. Lee Ermey dans son rôle de sergent Hartmann...
Entre autres rôles qu'il a eut dans sa carrière, les seules fois où je me suis dit "Eh ! Full Metal Jacket !",
c'est pour le prologue d'un épisode de X-Files, et - au bout de deux-trois visionnages quand même (étonnement doublé) :
le chef de Somerset et Mills dans Se7en.
J'ai trouvé un sérieux concurrent à La Forme de l'eau pour prétendre au titre de "film de l'année" car je viens de voir L'Île aux Chiens au cinéma, de Wes Anderson. J'ai trouvé ça somptueux !
(affiche japonaise signée Otomo ! )
L'animation en stop-motion est au poil (c'est le cas de le dire ! ), les chiens sont super bien fichus, je suis fan de leur caractérisation super réussie, on s'attache à toutes ces boules de poils (pourtant, je ne suis pas un grand fan des chiens, moi je suis plus chat ^^).
L'histoire est assez riche, se passant dans un Japon un peu modifié où il est question d'une légende ancienne à propos des chiens (prologue), et tout le reste se passe dans une sorte de dystopie dans laquelle les chiens sont mystérieusement touchés par une fièvre : à cause de ça, le maire Kobayashi a signé un décret pour expulser tous les chiens du pays sur une "île poubelle". Mais c'est sans compter Atari, un enfant de douze ans recueilli par Kobayashi, qui est parti vers l'île pour chercher son chien Spots qui est en fait le tout premier chien à avoir été expulsé vers l'île.
Ce dessin animé met en scène un périple poétique sur cette île abandonnée, remplie de détritus et d'infrastructures/usines/parcs d'attraction en ruines, il prend le temps de poser l'ambiance. A côté, il y a toute une intrigue plus politique et "complotiste" sur toute cette affaire de chiens malades et expulsés vers l'île par le maire Kobayashi. Les relations dépeintes entre le jeune garçon et les chiens sont assez tendres, mais le dessin animé ne manque pas non plus d'ironie et de cynisme sur la situation, les maîtres qui ont finalement avalé les paroles du maire et de ses sbires pour abandonner leurs chiens qui leur étaient fidèles.
Visuellement, c'est splendide, ça exploite bien le background japonais, j'adore toutes les phases de récit sous forme de théâtre kabuki, les illustrations magnifiques façon "estampes". J'aime bien aussi l'idée d'adopter une représentation "dessin animé" dans tous les passages filmés par des caméras. Une autre idée marrante, c'est d'avoir "traduit" en anglais les aboiements des chiens, alors que tous les humains parlent réellement en japonais (ce qui ne facilite pas la communication entre les chiens et le jeune garçon Atari).
Et les musiques démontent, elles sont géniales ! Elles font vraiment penser aux films d'Akira Kurosawa, ça donne un certain cachet à ce dessin animé (mais elles ne seront pas au goût de tout le monde) :
Franchement, L'Île aux Chiens, ça fait partie du haut du pavé du cinéma d'animation. Plus fort encore, je trouve que c'est le meilleur truc qui soit jamais sorti dans le cinéma sur la thématique des chiens. Meilleur que des films ou dessins animés comme Beethoven ou Volt, mais pour moi il a même accompli l'exploit de surpasser les 101 Dalmatiens ou La Belle et le Clochard. Après, tout le monde ne sera pas forcément d'accord, ça ne va pas forcément plaire à ceux qui sont habitués aux dessins animés classiques de Disney car L'Île aux Chiens adopte un rythme délibérément lent (comme dans un vrai film japonais), mais qui encore une fois pose à merveille l'ambiance, permet de s'attacher aux personnages, de développer l'histoire (qui culmine dans un final plus "insurrectionnel") et d'admirer à la fois le design des chiens et les très beaux décors au cours d'un vrai voyage sur cette île étrange. On voyage vraiment avec nos héros.
Vraiment, je suis sur le cul, j'ai même envie d'aller le revoir.
Le genre de film, qui a sa sortie ne m’a pas absolument donné envie de le voir, mais bon…. Il n’est jamais trop tard comme on dit.
Drive, c’est en gros [je vous la fais courte], l’histoire d’un cascadeur qui travaille pour Hollywood et qui est en parallèle un chauffeur pour la mafia. Le gars mène une vie posée jusqu’au moment où il rencontre sa jolie voisine, une petite blonde avec un sourire d’ange, qui vit seul avec son gosse et dont le mari est en prison. Voili voilou.
Drive, une esthétique sobre et classe
En regardant Drive, on est d’abord assez subjugué par son esthétique, ma foi, très classieux, oui, et ça, c’est incontestable, le film est très beau avoir, les plans sont bien choisis et s’intègres parfaitement à l’environnent, une réalisation minutieuse et léché qui est réellement un vrai plaisir pour les yeux. Mention spéciale au générique du début, qui est juste super style et très épique, sincèrement, j’étais totalement abasourdie, en fond sonore, on entend Night Call de Kavinsky, qui nous livre une production incroyable.
Les scènes de mort sont également parfaitement réalisées, la violence des meurtres contraste largement avec l’univers bien rangée du film, même chose pour les cascades, qui sont très agréables à regarder, dommage qu’il en est si peu. Même le style vestimentaire du Driver est vraiment classe. Enfin bref, un petit orgasme visuel au niveau de la réalisation, aucun doute là-dessus.
Ryan Gosling, le charisme, et encore le charisme
Je sais que c’est un sujet de controverse, ayant lu plusieurs critiques sur la prestation de Ryan Gosling et le personnage du Driver, on lui reproche d’être vide généralement, ce qui peut sembler vrai dans un premier temps. En réalité, le personnage est bien plus complexe que ça, le Driver est une machine à conduire, il n’agit pas comme un humain, on pourrait même dire que c’est un sociopathe, absence d’expression sur son visage, son indifférence insolente, le regard vide et cette
impression qu’il donne d’être toujours concentré sur un objectif. Le driver me fait un peu penser à Dexter dans sa façon d’être et d’agir, le mec est réglé comme une horloge suisse, très minutieux et attentif à ce qu’il fait, imperturbable au possible en situation de conduite, sûr de lui, le sang-froid et la concentration sont ses plus grandes armes. Vous l’aurez compris, ici, nous faisons face à un personnage qui parle peu [très peu de répliques dans le film] mais agit beaucoup.
Le seul moment où on peut entrevoir une once d’humanité chez lui, c’est lorsqu’il esquisse un sourire à sa voisine, ça lui donne un côté charmant et casse un peu l’image de robot du personnage.
Bande son, du miel pour les oreilles
Bon pas grand-chose à dire là-dessus, c’est clairement le plus gros point fort du film, une bande son somptueuse et qui colle parfaitement à l’univers, les artistes ont été choisie avec minutie. Du grand art tout simplement.
Le scenario, mouais… pourquoi pas….
Vous savez, parfois, on se réveille le matin, on se sent traversé par une sensation de félicité ultime, on prend une douche, on s’habille avec ses plus beaux vêtements, on se regarde dans le miroir, puis on se dit qu’on n'est plutôt pas mal, on se prépare le petit-déjeuner en chantonnant, puis là, en s’installant à table, on renverse notre café sur notre chemise toute blanche. Dur retour à la réalité.
C’est un peu l’impression que me laisse le scénario de Drive, l’image d’un mec qui a tout pour lui, mais qui foire tout ce qu’il fait.
Le long-métrage de Nicolas Winding Refn avait tout pour lui, un style bien léché, un personnage charismatique, une bande son génial, mais à la vue du scénario on retombe bien bas….
Donc, on résume, des malfrats s’en prennent au mari de la voisine tout fraîchement sortir de prison, celui-ci aurait une dette qu’il doit payer envers eux, possiblement remboursable en effectuant un travail pour les malfaiteurs, le braquage d’un bookmaker. Bon ok. S’il n’accepte pas cette condition, les malfrats sen prendront à sa femme et ses enfants. Ok, assez classique, mais pourquoi pas. Le driver propose son aide au mari de la voisine pour réaliser le braquage afin de préserver la vie du gosse et de la fille qu’il a rencontré y à peine 1 semaine [le mec est tombé in love au bout de 2 RDV où il ne s’est rien passée loul], il se propose comme conducteur.
À la suite de ça, évidemment, le braquage ne se passe pas comme prévue [un sacre rebondissement n’est-ce pas], et il devra donc tuer les membres de la mafia qui lui court après, mais également pour protéger la fille et l’enfant. J’ai résumé assez vulgairement, mais en gros, c’est ça tout le long du film. Autant vous dire qu’on est dans le simplet et le classique, alors que je pense qu’il y avait matière à faire tellement mieux. Et puis ça m’énerve un peu les héros qui ont pour seul leitmotiv l’amour et la bonté, mais ça, c’est un autre débat.
Conclusion
En gros, Drive est un film que j’ai aimé regarder, mais que je n’ai pas aimé suivre.
Morale de l’histoire, évité de tomber amoureux de votre voisine.
Effectivement Drive est un film esthétiquement sublime avec une ambiance incroyable mais qui ne s'embarrasse pas vraiment d'un scénario original.
Pour ma part :
Bridget Jones 2 : L'Âge de Raison de Beeban Kidron
Bon... Sans commentaire étant donné que je ne suis absolument pas la cible de ce film. C'est une comédie romantique classique qui arrache quelque sourire au spectateur peu exigeant. C'est aussi un sacré malaise quand le film essaye d'aborder un sujet assez sérieux (les prisons liées au trafic de Drogue en Asie du Sud-Est) avec la grâce d'un éléphant dans un magasin de porcelaine...
Bridget Jones 2 : L'Âge de Raison de Beeban Kidron
Quelque chose me dit que c'est ta femme qui a décidé du choix du film. ^^
________________________________________
Ready Player One
En 2045, suite à une crise énergétique sans précédent, la Terre connait une grande misère sociale avec une hausse de la pauvreté et un déclin des ressources. Une réalité pas vraiment réjouissante que les gens réussissent à fuir grâce à jeu multijoueur et véritable phénomène de société leur permettant d'incarner un personnage virtuel et de pouvoir vivre une sorte de seconde vie, l'OASIS. Et quand le créateur du jeu, James Halliday, invite juste avant de décéder tous les joueurs à une ultime quête où ils doivent retrouver l'"Easter Egg", leur offrant ainsi son immense fortune et le contrôle total de l'OASIS, le jeu fait preuve d'un engouement et d'une compétition sans précédent. Et c'est dans ce cadre que Wade Watts, un jeune orphelin de 18 ans et immense fan de Halliday, décide, avec l'aide de ses amis, de se lancer à la course à ce fameux "Easter Egg". Mais il n'est pas le seul à s'y intéresser, car l'entreprise IOI dirigé par un certain Nolan Sorrento est prête à tout pour empocher la récompense.
Dire que j'attendais ce film était un euphémisme. Hollywood qui produit un blockbuster avec pour toile de fond le jeux vidéo, le tout tiré d'un très bon livre (que je n'ai pas encore lu) et avec le magicien Steven Spielberg au commande, l'annonce à tout pour faire baver le fan de pop culture qui sommeille en nous ! Mais que vaut-il au final ?
Pour commencer cet avis en tant que gros fan de cinéma et de jeux vidéos, je n'aurais forcément pas le même regard que le mec lambda qui ne s'y connait pas en pop culture. Après je pense que ce "Ready Player One" est avant tout à destination des bon gros geek que nous sommes et que les autres sont gentiment mit sur la touche.
Bref, pour commencer "Ready Player One" est hyper généreux en terme de contenu et ca fait vraiment plaisir à voir ! Entre Alien (et Aliens), Shining, Retour vers le futur, Mortal Kombat, GEARS OF WAR (!!!!!), Halo, Minecraft, Worms/Monthy Python, le Géant de fer, Machagodzilla, King Kong, Star Wars, Akira, Jurassic Park, Warhammer,... et j'en passe encore plein d'autres ! De ce coté-là il n'y a pas à dire tonton Spielberg a fait les choses en grand et que ca soit les gamers et les cinéphiles, les petits et les grands, les novices et les amateurs, ceux qui ont des yeux normaux et ce qui peuvent faire des arrêts sur image,... il y en a pour tout les gouts. Parfois un peu trop même d'ailleurs ce qui donne une impression de "on veut faire plaiz à tout le monde, comme ca ils seront content". A l'instar du film "Les mondes de Ralph" qui se spécialisait un peu plus dans ses références et cela rendait le tout plus digeste. Mais il serait dommage de bouder notre plaisir face à temps de générosité, donc carton plein de ce coté-là !
Pour ce qui est à ranger du coté des bons points également c'est le visuel et pour être plus précis les passages dans l'OASIS, qui constitue à vue de nez 80 à 85 % du film. Concernant les passages en prises de vue réelle, ils sont bons sans être renversant. Ils font le taff quoi en gros. C'est surtout le reste donc qui vaut le coup d’œil. Et il y a un passage qui illustre parfaitement ca, c'est celui avec Shining. En effet d'un coté on a les décors et environnements du film de Kubrick retranscrit avec énormément de fidélité et de réussite, si bien qu'on se croyait dans le film, et les avatars issus de l'OASIS qui évoluaient dans ce décor et qui grâce à la qualité de leur animation et de leur rendu, ne tranchaient pas du tout avec le reste ! Comme quoi en terme d'animation aujourd'hui on arrive vraiment à faire des choses sublimes.
Malheureusement le tableau n'est pas parfait. A commencer par l'histoire déjà qui est bien trop classique pour surprendre voir tout simplement tenir en haleine. Même si le film reprend la trame du livre, ce dernier abordait des thèmes philosophiques autour du jeux vidéo. Mais là non, tout cet aspect abstrait a été mit de coté pour au final aboutir à une histoire complétement banal. Le méchant est très méchant, le héros est parfait et tombe amoureux de la première avatar sexy qu'il croise et même les "vrais" gens derrière les avatars manque d’originalité. Genre bah les deux asiatiques et copains du héros ont tous deux des ninjas comme avatar. Et la fille avatar et bien c'est également une fille et pas moche comme par hasard. J'aurais donc aimé plus de réalisme de ce coté-là.
Et autre chose qui m'a un peu fait grincer des dents, c'est la toute toute fin quand le héros rappel qu'il n'y a pas que les jeux vidéos dans la vie et que la vie réelle est importante. NON MAIS LOUL QUOI ! J'étais pas au courant de l'info merci de me le rappeler ! Sérieusement déjà que les super médias nous rabâchent que les jeux rendent violent, asocial, et tout un tas de conneries que seul des incompétents peuvent sortir, cette petite phrase à détruit en bonne partie l’intérêt du film. Et pourtant Spielberg est un mec qui adore le jeux vidéos, donc je ne comprend pas comment il a pu décider de mettre une telle phrase dans son film. Mais en tout c'était hyper maladroit de se la jouer moralisateur dans un film qui a pour but de rendre hommage aux jeux vidéos et à la culture pop en général.
Pour conclure ce bon gros avis, "Ready Player One" est le film que j'attendais. Un visuel réussit, un rythme maitrisé et bien sûr des tas de références à gogo. On sent qu'avec ce film Spielberg a voulu nous faire partager son amour pour le jeux vidéo tout en apportant divers clins d’œil au 7e art. Seul point noir, un certain manque d'originalité et une fin un poil moralisatrice mais n'ayant rien à faire dans ce genre de film.
qu'il n'y a pas que les jeux vidéos dans la vie et que la vie réelle est importante. NON MAIS LOUL QUOI ! J'étais pas au courant de l'info merci de me le rappeler !
C'est là tout l'intérêt de ce rappel : le monde entier sait qu'un tel message tombe sous le sens, et pourtant les concernés ne peuvent s'empêcher de mal le prendre... Ça m'a fait la même chose sur le coup. Puis en y songeant, c'est certainement parce qu'on l'assimile spontanément à une "morale" liberticide, alors que ce serait plutôt une invitation à l'action, très progressiste. (Et contrevenant notamment à la "nostalgemania", c'est en toute logique une autre raison pour certains de la prendre mal, cette invitation...)
Il est de ces films qui, sous une surface d'intrigue de timbre-poste, sont très complexes et intelligents. Tout comme Black Swan n'est pas un film sur la danse ou The Big Lebowski un simple film sur un chômeur qui fume des oinj, Ready Player One n'est pas un film sur le jeu-vidéo...
Et puis après tout, l'intouchable Retour Vers Le Futur détient lui ce que certains pourraient appeler "une morale de chiotte", illustrée dans le fait que la récompense du petit Marty à son retour n'a rien d'une sagesse : en plus de sauver son ami d'une mort qui l'affectait mais ne faisait en rien l'objet d'un débat moral intérieur (c'est même Doc qui choisit d'ouvrir ou non la lettre), il obtient des parents riches et la voiture de ses rêves.
Moi j'ai trouvé le message de fin de film plutôt intelligent de la part de Spielberg : plutôt que de faire de la basse propagande anti-jeu vidéo et anti-virtuel (le film aurait très bien pu se terminer par
Spoiler ▼▲
le héros qui appuie sur le bouton rouge pour tout éteindre, à un moment donné j'y ai cru d'ailleurs, le film s'en amuse même quand le bonhomme manque de le faire de manière "involontaire" et que l'autre lui dit en gros "Bon, ne coupe peut-être pas l'Oasis pour ton premier jour" ^^),
ou plutôt que de faire la propagande inverse consistant à se perdre exclusivement dans le réel pour fuir irrémédiablement une "triste réalité", le film prend le parti pris qu'on trouve aussi bien du bon dans ce monde virtuel que dans le monde réel.
Tout ce qui se passe dans le film illustre ce constat : le héros s'est fait des amis et a trouvé l'amour grâce au virtuel (il le dit lui-même durant son fameux discours de ralliement vers la fin), et il prolonge cette expérience "IRL".
Au moins, ça change, quoi, ce genre de message, c'est au contraire très progressiste. Mais bon, visiblement il y a des gens qui n'ont pas compris car j'ai lu aussi dans plusieurs articles que le film avait pour but de dénoncer la "réalité virtuelle".
Pierre lapin, le dernier film produit en partie par Sony.
Un film americano australien qui se déroule en Angleterre, c'est un peu étrange mais c est comme ça lol
Après une désillusion professionnel un londonien va hériter d une maison à la campagne avec un beau jardin riche en légumes et convoités par des lapins qui parlent.
Ce londonien y découvrira l amour d une femme célibataire artiste vivant à côté de ce manoir hérité et il découvrira la guerre contre des lapins assez lapinous comme tout.
Petit film qui montre les déboires d un homme face à des choses qu il ne maîtrise pas, comme des lapins intelligents.
Ça fait un peu penser quand dans la vie le destin semble se jouer de nous et nous en fait baver, et bien la c est le même principe sauf que la force agissante allant à l encontre de cet homme sont des lapins.
This ! :D
Rudolf, pour la petite anecdote, Spielberg et Kubrick étaient très amis et respectaient beaucoup le travail de l'autre.
Pour A.I., c'est Kubrick qui voulait que Spielberg le réalise, il estimait ne pas avoir la sensibilité pour le faire.
Voilà ^^
Je n'ai pas vu celui-là mais, dans les Spielberg plus sérieux et graves récents, je te conseille quand même Le Pont des Espions et, surtout, Munich, qui est un chef-d'oeuvre.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Ça me fout le bourdon ce genre de faute...
Il y a des synchronicités qui font mal au cœur : R. Lee Ermey nous a quitté, à l'âge de 74 ans [1944-2018].
Moi qui n'ai en ce moment pas trop le temps de regarder des films (exception ciné : RPO), j'avais quand même réussis à le trouver pour me taper un de mes films favoris : Fantômes Contre Fantômes, l'un des autres chef-d’œuvres de Peter Jackson. Je ne l'avais pas revu depuis un long moment, m'étais offert le Blu Ray à cette occasion, et me suis à nouveau régalé, donc en plus en HD, et redécouvert ce film aux airs de classique des années 80 perdu dans les années 90, que je connais pourtant par cœur... Et! me suis donc amusé à retrouver l'une de ses blagues méta : la réapparition de R. Lee Ermey dans son rôle de sergent Hartmann...
Entre autres rôles qu'il a eut dans sa carrière, les seules fois où je me suis dit "Eh ! Full Metal Jacket !",
c'est pour le prologue d'un épisode de X-Files, et - au bout de deux-trois visionnages quand même (étonnement doublé) :
le chef de Somerset et Mills dans Se7en.
R.I.P. - Couilles de Loup/20
J'ai trouvé un sérieux concurrent à La Forme de l'eau pour prétendre au titre de "film de l'année" car je viens de voir L'Île aux Chiens au cinéma, de Wes Anderson. J'ai trouvé ça somptueux !
(affiche japonaise signée Otomo ! )
L'animation en stop-motion est au poil (c'est le cas de le dire ! ), les chiens sont super bien fichus, je suis fan de leur caractérisation super réussie, on s'attache à toutes ces boules de poils (pourtant, je ne suis pas un grand fan des chiens, moi je suis plus chat ^^).
L'histoire est assez riche, se passant dans un Japon un peu modifié où il est question d'une légende ancienne à propos des chiens (prologue), et tout le reste se passe dans une sorte de dystopie dans laquelle les chiens sont mystérieusement touchés par une fièvre : à cause de ça, le maire Kobayashi a signé un décret pour expulser tous les chiens du pays sur une "île poubelle". Mais c'est sans compter Atari, un enfant de douze ans recueilli par Kobayashi, qui est parti vers l'île pour chercher son chien Spots qui est en fait le tout premier chien à avoir été expulsé vers l'île.
Ce dessin animé met en scène un périple poétique sur cette île abandonnée, remplie de détritus et d'infrastructures/usines/parcs d'attraction en ruines, il prend le temps de poser l'ambiance. A côté, il y a toute une intrigue plus politique et "complotiste" sur toute cette affaire de chiens malades et expulsés vers l'île par le maire Kobayashi. Les relations dépeintes entre le jeune garçon et les chiens sont assez tendres, mais le dessin animé ne manque pas non plus d'ironie et de cynisme sur la situation, les maîtres qui ont finalement avalé les paroles du maire et de ses sbires pour abandonner leurs chiens qui leur étaient fidèles.
Visuellement, c'est splendide, ça exploite bien le background japonais, j'adore toutes les phases de récit sous forme de théâtre kabuki, les illustrations magnifiques façon "estampes". J'aime bien aussi l'idée d'adopter une représentation "dessin animé" dans tous les passages filmés par des caméras. Une autre idée marrante, c'est d'avoir "traduit" en anglais les aboiements des chiens, alors que tous les humains parlent réellement en japonais (ce qui ne facilite pas la communication entre les chiens et le jeune garçon Atari).
Et les musiques démontent, elles sont géniales ! Elles font vraiment penser aux films d'Akira Kurosawa, ça donne un certain cachet à ce dessin animé (mais elles ne seront pas au goût de tout le monde) :
Franchement, L'Île aux Chiens, ça fait partie du haut du pavé du cinéma d'animation. Plus fort encore, je trouve que c'est le meilleur truc qui soit jamais sorti dans le cinéma sur la thématique des chiens. Meilleur que des films ou dessins animés comme Beethoven ou Volt, mais pour moi il a même accompli l'exploit de surpasser les 101 Dalmatiens ou La Belle et le Clochard. Après, tout le monde ne sera pas forcément d'accord, ça ne va pas forcément plaire à ceux qui sont habitués aux dessins animés classiques de Disney car L'Île aux Chiens adopte un rythme délibérément lent (comme dans un vrai film japonais), mais qui encore une fois pose à merveille l'ambiance, permet de s'attacher aux personnages, de développer l'histoire (qui culmine dans un final plus "insurrectionnel") et d'admirer à la fois le design des chiens et les très beaux décors au cours d'un vrai voyage sur cette île étrange. On voyage vraiment avec nos héros.
Vraiment, je suis sur le cul, j'ai même envie d'aller le revoir.
Drive, c’est en gros [je vous la fais courte], l’histoire d’un cascadeur qui travaille pour Hollywood et qui est en parallèle un chauffeur pour la mafia. Le gars mène une vie posée jusqu’au moment où il rencontre sa jolie voisine, une petite blonde avec un sourire d’ange, qui vit seul avec son gosse et dont le mari est en prison. Voili voilou.
Drive, une esthétique sobre et classe
Les scènes de mort sont également parfaitement réalisées, la violence des meurtres contraste largement avec l’univers bien rangée du film, même chose pour les cascades, qui sont très agréables à regarder, dommage qu’il en est si peu. Même le style vestimentaire du Driver est vraiment classe. Enfin bref, un petit orgasme visuel au niveau de la réalisation, aucun doute là-dessus.
Ryan Gosling, le charisme, et encore le charisme
impression qu’il donne d’être toujours concentré sur un objectif. Le driver me fait un peu penser à Dexter dans sa façon d’être et d’agir, le mec est réglé comme une horloge suisse, très minutieux et attentif à ce qu’il fait, imperturbable au possible en situation de conduite, sûr de lui, le sang-froid et la concentration sont ses plus grandes armes. Vous l’aurez compris, ici, nous faisons face à un personnage qui parle peu [très peu de répliques dans le film] mais agit beaucoup.
Le seul moment où on peut entrevoir une once d’humanité chez lui, c’est lorsqu’il esquisse un sourire à sa voisine, ça lui donne un côté charmant et casse un peu l’image de robot du personnage.
Bande son, du miel pour les oreilles
Le scenario, mouais… pourquoi pas….
C’est un peu l’impression que me laisse le scénario de Drive, l’image d’un mec qui a tout pour lui, mais qui foire tout ce qu’il fait.
Le long-métrage de Nicolas Winding Refn avait tout pour lui, un style bien léché, un personnage charismatique, une bande son génial, mais à la vue du scénario on retombe bien bas….
Donc, on résume, des malfrats s’en prennent au mari de la voisine tout fraîchement sortir de prison, celui-ci aurait une dette qu’il doit payer envers eux, possiblement remboursable en effectuant un travail pour les malfaiteurs, le braquage d’un bookmaker. Bon ok. S’il n’accepte pas cette condition, les malfrats sen prendront à sa femme et ses enfants. Ok, assez classique, mais pourquoi pas. Le driver propose son aide au mari de la voisine pour réaliser le braquage afin de préserver la vie du gosse et de la fille qu’il a rencontré y à peine 1 semaine [le mec est tombé in love au bout de 2 RDV où il ne s’est rien passée loul], il se propose comme conducteur.
À la suite de ça, évidemment, le braquage ne se passe pas comme prévue [un sacre rebondissement n’est-ce pas], et il devra donc tuer les membres de la mafia qui lui court après, mais également pour protéger la fille et l’enfant. J’ai résumé assez vulgairement, mais en gros, c’est ça tout le long du film. Autant vous dire qu’on est dans le simplet et le classique, alors que je pense qu’il y avait matière à faire tellement mieux. Et puis ça m’énerve un peu les héros qui ont pour seul leitmotiv l’amour et la bonté, mais ça, c’est un autre débat.
Conclusion
Morale de l’histoire, évité de tomber amoureux de votre voisine.
Effectivement Drive est un film esthétiquement sublime avec une ambiance incroyable mais qui ne s'embarrasse pas vraiment d'un scénario original.
Pour ma part :
Bridget Jones 2 : L'Âge de Raison de Beeban Kidron
Bon... Sans commentaire étant donné que je ne suis absolument pas la cible de ce film. C'est une comédie romantique classique qui arrache quelque sourire au spectateur peu exigeant. C'est aussi un sacré malaise quand le film essaye d'aborder un sujet assez sérieux (les prisons liées au trafic de Drogue en Asie du Sud-Est) avec la grâce d'un éléphant dans un magasin de porcelaine...
Sell kids for food
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En 2045, suite à une crise énergétique sans précédent, la Terre connait une grande misère sociale avec une hausse de la pauvreté et un déclin des ressources. Une réalité pas vraiment réjouissante que les gens réussissent à fuir grâce à jeu multijoueur et véritable phénomène de société leur permettant d'incarner un personnage virtuel et de pouvoir vivre une sorte de seconde vie, l'OASIS. Et quand le créateur du jeu, James Halliday, invite juste avant de décéder tous les joueurs à une ultime quête où ils doivent retrouver l'"Easter Egg", leur offrant ainsi son immense fortune et le contrôle total de l'OASIS, le jeu fait preuve d'un engouement et d'une compétition sans précédent. Et c'est dans ce cadre que Wade Watts, un jeune orphelin de 18 ans et immense fan de Halliday, décide, avec l'aide de ses amis, de se lancer à la course à ce fameux "Easter Egg". Mais il n'est pas le seul à s'y intéresser, car l'entreprise IOI dirigé par un certain Nolan Sorrento est prête à tout pour empocher la récompense.
Dire que j'attendais ce film était un euphémisme. Hollywood qui produit un blockbuster avec pour toile de fond le jeux vidéo, le tout tiré d'un très bon livre (que je n'ai pas encore lu) et avec le magicien Steven Spielberg au commande, l'annonce à tout pour faire baver le fan de pop culture qui sommeille en nous ! Mais que vaut-il au final ?
Pour commencer cet avis en tant que gros fan de cinéma et de jeux vidéos, je n'aurais forcément pas le même regard que le mec lambda qui ne s'y connait pas en pop culture. Après je pense que ce "Ready Player One" est avant tout à destination des bon gros geek que nous sommes et que les autres sont gentiment mit sur la touche.
Bref, pour commencer "Ready Player One" est hyper généreux en terme de contenu et ca fait vraiment plaisir à voir ! Entre Alien (et Aliens), Shining, Retour vers le futur, Mortal Kombat, GEARS OF WAR (!!!!!), Halo, Minecraft, Worms/Monthy Python, le Géant de fer, Machagodzilla, King Kong, Star Wars, Akira, Jurassic Park, Warhammer,... et j'en passe encore plein d'autres ! De ce coté-là il n'y a pas à dire tonton Spielberg a fait les choses en grand et que ca soit les gamers et les cinéphiles, les petits et les grands, les novices et les amateurs, ceux qui ont des yeux normaux et ce qui peuvent faire des arrêts sur image,... il y en a pour tout les gouts. Parfois un peu trop même d'ailleurs ce qui donne une impression de "on veut faire plaiz à tout le monde, comme ca ils seront content". A l'instar du film "Les mondes de Ralph" qui se spécialisait un peu plus dans ses références et cela rendait le tout plus digeste. Mais il serait dommage de bouder notre plaisir face à temps de générosité, donc carton plein de ce coté-là !
Pour ce qui est à ranger du coté des bons points également c'est le visuel et pour être plus précis les passages dans l'OASIS, qui constitue à vue de nez 80 à 85 % du film. Concernant les passages en prises de vue réelle, ils sont bons sans être renversant. Ils font le taff quoi en gros. C'est surtout le reste donc qui vaut le coup d’œil. Et il y a un passage qui illustre parfaitement ca, c'est celui avec Shining. En effet d'un coté on a les décors et environnements du film de Kubrick retranscrit avec énormément de fidélité et de réussite, si bien qu'on se croyait dans le film, et les avatars issus de l'OASIS qui évoluaient dans ce décor et qui grâce à la qualité de leur animation et de leur rendu, ne tranchaient pas du tout avec le reste ! Comme quoi en terme d'animation aujourd'hui on arrive vraiment à faire des choses sublimes.
Malheureusement le tableau n'est pas parfait. A commencer par l'histoire déjà qui est bien trop classique pour surprendre voir tout simplement tenir en haleine. Même si le film reprend la trame du livre, ce dernier abordait des thèmes philosophiques autour du jeux vidéo. Mais là non, tout cet aspect abstrait a été mit de coté pour au final aboutir à une histoire complétement banal. Le méchant est très méchant, le héros est parfait et tombe amoureux de la première avatar sexy qu'il croise et même les "vrais" gens derrière les avatars manque d’originalité. Genre bah les deux asiatiques et copains du héros ont tous deux des ninjas comme avatar. Et la fille avatar et bien c'est également une fille et pas moche comme par hasard. J'aurais donc aimé plus de réalisme de ce coté-là.
Et autre chose qui m'a un peu fait grincer des dents, c'est la toute toute fin quand le héros rappel qu'il n'y a pas que les jeux vidéos dans la vie et que la vie réelle est importante. NON MAIS LOUL QUOI ! J'étais pas au courant de l'info merci de me le rappeler ! Sérieusement déjà que les super médias nous rabâchent que les jeux rendent violent, asocial, et tout un tas de conneries que seul des incompétents peuvent sortir, cette petite phrase à détruit en bonne partie l’intérêt du film. Et pourtant Spielberg est un mec qui adore le jeux vidéos, donc je ne comprend pas comment il a pu décider de mettre une telle phrase dans son film. Mais en tout c'était hyper maladroit de se la jouer moralisateur dans un film qui a pour but de rendre hommage aux jeux vidéos et à la culture pop en général.
Pour conclure ce bon gros avis, "Ready Player One" est le film que j'attendais. Un visuel réussit, un rythme maitrisé et bien sûr des tas de références à gogo. On sent qu'avec ce film Spielberg a voulu nous faire partager son amour pour le jeux vidéo tout en apportant divers clins d’œil au 7e art. Seul point noir, un certain manque d'originalité et une fin un poil moralisatrice mais n'ayant rien à faire dans ce genre de film.
Signé: Clone Tr'Hooper Quenthi
DuelsCiné recherche un repreneur. Faites-vous connaitre pour la reprise !
C'est là tout l'intérêt de ce rappel : le monde entier sait qu'un tel message tombe sous le sens, et pourtant les concernés ne peuvent s'empêcher de mal le prendre... Ça m'a fait la même chose sur le coup. Puis en y songeant, c'est certainement parce qu'on l'assimile spontanément à une "morale" liberticide, alors que ce serait plutôt une invitation à l'action, très progressiste. (Et contrevenant notamment à la "nostalgemania", c'est en toute logique une autre raison pour certains de la prendre mal, cette invitation...)
Il est de ces films qui, sous une surface d'intrigue de timbre-poste, sont très complexes et intelligents. Tout comme Black Swan n'est pas un film sur la danse ou The Big Lebowski un simple film sur un chômeur qui fume des oinj, Ready Player One n'est pas un film sur le jeu-vidéo...
Et puis après tout, l'intouchable Retour Vers Le Futur détient lui ce que certains pourraient appeler "une morale de chiotte", illustrée dans le fait que la récompense du petit Marty à son retour n'a rien d'une sagesse : en plus de sauver son ami d'une mort qui l'affectait mais ne faisait en rien l'objet d'un débat moral intérieur (c'est même Doc qui choisit d'ouvrir ou non la lettre), il obtient des parents riches et la voiture de ses rêves.
Moi j'ai trouvé le message de fin de film plutôt intelligent de la part de Spielberg : plutôt que de faire de la basse propagande anti-jeu vidéo et anti-virtuel (le film aurait très bien pu se terminer par
ou plutôt que de faire la propagande inverse consistant à se perdre exclusivement dans le réel pour fuir irrémédiablement une "triste réalité", le film prend le parti pris qu'on trouve aussi bien du bon dans ce monde virtuel que dans le monde réel.
Tout ce qui se passe dans le film illustre ce constat : le héros s'est fait des amis et a trouvé l'amour grâce au virtuel (il le dit lui-même durant son fameux discours de ralliement vers la fin), et il prolonge cette expérience "IRL".
Au moins, ça change, quoi, ce genre de message, c'est au contraire très progressiste. Mais bon, visiblement il y a des gens qui n'ont pas compris car j'ai lu aussi dans plusieurs articles que le film avait pour but de dénoncer la "réalité virtuelle".
Pierre lapin, le dernier film produit en partie par Sony.
Un film americano australien qui se déroule en Angleterre, c'est un peu étrange mais c est comme ça lol
Après une désillusion professionnel un londonien va hériter d une maison à la campagne avec un beau jardin riche en légumes et convoités par des lapins qui parlent.
Ce londonien y découvrira l amour d une femme célibataire artiste vivant à côté de ce manoir hérité et il découvrira la guerre contre des lapins assez lapinous comme tout.
Petit film qui montre les déboires d un homme face à des choses qu il ne maîtrise pas, comme des lapins intelligents.
Ça fait un peu penser quand dans la vie le destin semble se jouer de nous et nous en fait baver, et bien la c est le même principe sauf que la force agissante allant à l encontre de cet homme sont des lapins.