Et pourtant ça parle déjà de remplacer l'actrice dans le prochain film (si suite il y a bien sûr) malgré l'oscar qu'elle a reçu et ses efforts d'avoir prit 5 kilos de muscles spécialement pour le rôle.
Apparemment le film n'a pas reçu les retombées commerciales que Warner souhaitait, du moins aux Etats-Unis car dans le reste du monde le film aurait plutôt bien marché à ce que j'ai compris.
Pffff... qu'est ce que je vais dire sur ce film... bah c'est de la merde, je l'ai vu il y a de ca quelques jours et je l'ai deja globalement bien oublié.
J'ai du me le mater en plusieurs fois tellement la real me faisait mal aux yeux avec toute cette surcharge de cgi et de flash lumineux, film deconseillé aux épileptiques.
Quand au scenar, y a pas vraiment de fond
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tout tourne sur le retour de Superman et finalement on le voit presque jamais.
le seul truc un peu reussi c'est
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la presentation de la dualité batman/Superman avec ce Batman admiratif et envieux de Superman/Clark Kent qui a su preserver, meme fabriquer son humanité alors que lui l'a completement effacé.
t'as réussi à trouver ça dans le film? Sérieux mais à quel moment? je n'ai rien trouvé à ce film, effectivement le cgi est trop présent et vraiment parfois digne d'une série-télé moyenne et au service d'une action très plate. encore un film dc qui n’assume pas son idée de départ.
t'as réussi à trouver ça dans le film? Sérieux mais à quel moment?
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Dans 2 scene, la scene de la résurrection, ou Diana organise une rencontre sans Bruce en lui conseillant de ne pas venir parce que la reaction de Superman envers lui pourrait etre violente mais que bruce vient quand meme. Et je sais plus si c'est a la fin de cette scene ou dans une autre plus tard, ou t'as bruce wayne qui expose clairement cette idée que j'ai mentionné, que le monde merite et a plus besoin d'un superheros comme Superman que d'un heros comme lui.
J'ai vu dernièrement After Life de Hirokazu Kore-eda et Vol au-dessus d'un nid de coucou de Milos Forman.
After Life :
À notre mort, nous devons tous passer par un endroit assez mystérieux dans lequel nous attendrons une semaine avant de pouvoir gagner les cieux. Ces sortes de limbes bureaucratisés sont un passages obligés devant nous obliger à repenser à notre vie. En effet, une condition nécessaire pour accéder au paradis est de choisir un seul souvenir qui sera alors joué par l'équipe de "fonctionnaires de l'au-delà". Ce souvenir rejoué est d'une importance capitale car il sera notre seul souvenir pour l'éternité. Vous commencez donc à comprendre la difficulté et la cruauté de la chose.Une semaine pour repenser et choisir un souvenir bien précis, le détaillé un maximum à l'équipe qui fera son possible pour rejouer la scène qui sera projetée le dimanche où vous accéderez enfin au paradis.
Mes impressions sur ce film sont assez mitigées, j'ai été très vite ennuyé par le speech de départ et ne comprends toujours pas pourquoi il est obligatoire de ne choisir qu'un seul souvenir pour l'éternité. Ensuite, ces "limbes bureaucratiques" m'ont laissé de marbre et je n'ai pas senti le côté "after life" pendant une partie non négligeable du film. Il existe néanmoins une série de petits rebondissements qui émaillent le récit et qui nous en apprennent plus sur le fonctionnement de cet endroit, sur les gens qui y travaillent, etc. Ainsi, à plusieurs moments, le film touche au sublime. Mais pour ces petits moments de grâce, il faut accepter les scories laissées par le réalisateur.
Vol au-dessus d'un nid de coucou :
Je pense que ce film parlera plus aux gens ici, en particulier si je vous dis " c'est l'heure des médicaments... l'heure des médicaments" ^^
Le résumé : "Pour échapper à la prison, Randle McMurphy — Jack Nicholson — est prêt à se faire passer pour un malade mental. Interné dans un hôpital psychiatrique pour que l'équipe de "soignants" jugent de sa folie, il découvre, au-delà de leur folie, des êtres fragiles et attachants, soumis à l'autorité oppressive de l'infirmière Ratched. S'insurgeant alors contre les règles établies, il décide de révolutionner ce petit monde."
Je ne sais pas quoi dire mis à part que j'ai vraiment beaucoup aimé le film. Si vous ne l'avez pas encore vu, n'attendez plus.
J'ai juste un tout petit bémol avec le personnage de Randle. C'est trois fois rien, mais c'est son attitude que je ne comprends pas à plusieurs reprises.
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S'il n'est a priori pas fou, il est, et je pense que le mot est juste, dangereux et pas si sympathique que ça. En arrivant dans un endroit où il brise les règles, révolutionne tout au point d'être en partie responsable d'événements dramatiques, il montre son incapacité d'adaptation. Se faire passer pour fou, c'était déjà pas malin du tout à mon avis, mais se mettre en tête de défier l'autorité juste parce qu'on n'est pas d'accord avec le fonctionnement des règles de l'hôpital c'est complètement con. Il réalise d'ailleurs son erreur quand un des "surveillants" lui fait comprendre qu'il s'est piégé lui-même en venant dans cet endroit. Enfin, chose que je ne m'explique pas, il se barre à plusieurs reprises de l'hosto mais revient à chaque fois de son propre gré presque ; mention spéciale pour la dernière tentative qui s'avorte d'elle-même. Là, j'ai vraiment pas compris... Mais c'est du détail et ça ne m'a pas empêché d'apprécier le film ;-)
Je viens de voir Dans la Brume, de Daniel Roby, et c'était super. Une fois n'est pas coutume, il s'agit d'un film français "post-apocalyptique", très, très loin de la production cinématographique française habituelle ! Toute l'action se passe dans la ville de Paris soudainement submergée par une mystérieuse brume toxique, obligeant les survivants à se réfugier vers les toits ou les hauteurs de la capitale pour survivre. L'histoire se concentre autour d'un couple dont la fille est atteinte d'une maladie rare qui l'oblige à vivre dans une "bulle", isolée du monde extérieur. Toute l'intrigue du film va consister à essayer de survivre, mais surtout de trouver un moyen de sauver leur fille qu'ils ont dû laisser seule dans la bulle à l'intérieur de l'appartement déserté de l'immeuble, les parents ayant dû trouver refuge dans l'appartement du dernier étage habité par un autre couple de personnes très âgées.
La photographie est superbe par moment, montrant une ville de Paris comme on ne l'a jamais vue : uniquement les toits qui semblent baigner dans une sorte de mer de nuage, tandis que dans les runes, tout est mort, déserté, les habitants ont dû quitter au plus vite leurs véhicules et appartements, dans des rues jonchées de cadavres. Les personnages sont réellement attachants et humains, que ce soit les parents incarnés par Romain Duris et Olga Kurylenko (elle, je ne la connaissais), et aussi le couple de vieux (Michel Robin est épatant, très émouvant vers la fin).
Franchement, c'est un film que je vous conseille. Je l'ai trouvé saisissant, avec une superbe ambiance de huis-clos très bien posée (mais avec quand même de superbes plans sur les toits de la capitale, les jumelles braquées sur un Montmartre en proie à des émeutes violentes là où les survivants ont trouvé refuge, et aussi des scènes de désolation dans les rues abandonnées). Le film se montre même haletant dans la manière de gérer un peu le suspense, le sentiment d'angoisse due à l'origine mystérieuse de cette brume, sa montée progressive, le quasi-silence radio des autorités.
Si ça vous intéresse, dépêchez-vous d'aller le voir avant qu'il ne disparaisse des salles. Et puis c'est le genre de film très rare au cinéma français qu'il faut encourager, surtout si la qualité est là comme ici.
Evidemment je l'ai vu parce que ma médiathèque l'avait mis en avant suite au décès de ce grand monsieur. Bon, c'est la première fois que je le vois et j'en suis encore tout retourné depuis hier soir. C'est sublime, poétique, poignant, dramatique, révoltant donc magistral... J'ai vraiment beaucoup de mal à mettre des mots dessus tant c'est vraiment une expérience à vivre grâce à une animation excellente et une gestion des décors comme de la lumière absolument parfaite. Bref, Seita et Setsuko à jamais dans mon coeur. Enfin il y a quand même un mais :
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Le revirement de la tante que j'ai vraiment trouvé trop abrupt et mal amené, c'est dommage...
C'est moi ou c'est de la merde?
Je vais pas m'attarder sur le fait que ca deconstruit completement tout ce qui fait l'essence de la premiere trilogie (et de sa prequel), c'est juste en plus ennuyant, les personnages sont peu finalement tres peu et tres mal développé, franchement, on s'en fout d'un peu tout le monde. L'humour est moisi et mal dosé et arrive parfois a de mauvaise endroit
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putain mais massacrez moi ce general rouquin!
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Je supporte pas toute les bestioles moisie qu'on nous fourgue pour nous vendre des produits derivés.
Pendant un moment j'ai presque cru que
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la derniere scene du film sauverait un tout petit peu le film du naufrage, jusqu'a ce que je me rende compte qu'il s'agissait d'une arnaque, meme si ca valait pareil que le combat soit réel ou pas puisque Luke meure a la fin, sauf que du coup, ca donne raison encore une fois au general rouquin, Kylo ren est vraiment une merde.
J'ai meme pas envie de mettre une note, ca merite pas, Star Wars est mort, le titre de cet episode est mensonger, le dernier Jedi c'etait et ca restera Vador.
Je vais pas m'attarder sur le fait que ca deconstruit completement tout ce qui fait l'essence de la premiere trilogie (et de sa prequel)
C'est une grande qualité de ce nouveau film, c'est exactement ce qu'il fallait faire pour se différencier des deux précédentes trilogies et amener la saga vers de nouvelles directions, pour une fois qu'on ne nous sert pas la même soupe.
Sinon, des "bestioles pourries", il y en a depuis le tout premier Star Wars, et en particulier dans le VI. Le "général roquet", c'est fait exprès, c'est justement un chef fantoche, comme il y en a déjà eu dans les autres films Star Wars (y compris dans l'Episode IV).
Et j'ai trouvé les personnages très intéressants et humains.
Et pourtant ça parle déjà de remplacer l'actrice dans le prochain film (si suite il y a bien sûr) malgré l'oscar qu'elle a reçu et ses efforts d'avoir prit 5 kilos de muscles spécialement pour le rôle.
Apparemment le film n'a pas reçu les retombées commerciales que Warner souhaitait, du moins aux Etats-Unis car dans le reste du monde le film aurait plutôt bien marché à ce que j'ai compris.
Justice League
Pffff... qu'est ce que je vais dire sur ce film... bah c'est de la merde, je l'ai vu il y a de ca quelques jours et je l'ai deja globalement bien oublié.
J'ai du me le mater en plusieurs fois tellement la real me faisait mal aux yeux avec toute cette surcharge de cgi et de flash lumineux, film deconseillé aux épileptiques.
Quand au scenar, y a pas vraiment de fond
le seul truc un peu reussi c'est
4/10
t'as réussi à trouver ça dans le film? Sérieux mais à quel moment? je n'ai rien trouvé à ce film, effectivement le cgi est trop présent et vraiment parfois digne d'une série-télé moyenne et au service d'une action très plate. encore un film dc qui n’assume pas son idée de départ.
J'ai vu dernièrement After Life de Hirokazu Kore-eda et Vol au-dessus d'un nid de coucou de Milos Forman.
After Life :
À notre mort, nous devons tous passer par un endroit assez mystérieux dans lequel nous attendrons une semaine avant de pouvoir gagner les cieux. Ces sortes de limbes bureaucratisés sont un passages obligés devant nous obliger à repenser à notre vie. En effet, une condition nécessaire pour accéder au paradis est de choisir un seul souvenir qui sera alors joué par l'équipe de "fonctionnaires de l'au-delà". Ce souvenir rejoué est d'une importance capitale car il sera notre seul souvenir pour l'éternité. Vous commencez donc à comprendre la difficulté et la cruauté de la chose.Une semaine pour repenser et choisir un souvenir bien précis, le détaillé un maximum à l'équipe qui fera son possible pour rejouer la scène qui sera projetée le dimanche où vous accéderez enfin au paradis.
Mes impressions sur ce film sont assez mitigées, j'ai été très vite ennuyé par le speech de départ et ne comprends toujours pas pourquoi il est obligatoire de ne choisir qu'un seul souvenir pour l'éternité. Ensuite, ces "limbes bureaucratiques" m'ont laissé de marbre et je n'ai pas senti le côté "after life" pendant une partie non négligeable du film. Il existe néanmoins une série de petits rebondissements qui émaillent le récit et qui nous en apprennent plus sur le fonctionnement de cet endroit, sur les gens qui y travaillent, etc. Ainsi, à plusieurs moments, le film touche au sublime. Mais pour ces petits moments de grâce, il faut accepter les scories laissées par le réalisateur.
Vol au-dessus d'un nid de coucou :
Je pense que ce film parlera plus aux gens ici, en particulier si je vous dis " c'est l'heure des médicaments... l'heure des médicaments" ^^
Le résumé : "Pour échapper à la prison, Randle McMurphy — Jack Nicholson — est prêt à se faire passer pour un malade mental. Interné dans un hôpital psychiatrique pour que l'équipe de "soignants" jugent de sa folie, il découvre, au-delà de leur folie, des êtres fragiles et attachants, soumis à l'autorité oppressive de l'infirmière Ratched. S'insurgeant alors contre les règles établies, il décide de révolutionner ce petit monde."
Je ne sais pas quoi dire mis à part que j'ai vraiment beaucoup aimé le film. Si vous ne l'avez pas encore vu, n'attendez plus.
J'ai juste un tout petit bémol avec le personnage de Randle. C'est trois fois rien, mais c'est son attitude que je ne comprends pas à plusieurs reprises.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Je viens de voir Dans la Brume, de Daniel Roby, et c'était super. Une fois n'est pas coutume, il s'agit d'un film français "post-apocalyptique", très, très loin de la production cinématographique française habituelle ! Toute l'action se passe dans la ville de Paris soudainement submergée par une mystérieuse brume toxique, obligeant les survivants à se réfugier vers les toits ou les hauteurs de la capitale pour survivre. L'histoire se concentre autour d'un couple dont la fille est atteinte d'une maladie rare qui l'oblige à vivre dans une "bulle", isolée du monde extérieur. Toute l'intrigue du film va consister à essayer de survivre, mais surtout de trouver un moyen de sauver leur fille qu'ils ont dû laisser seule dans la bulle à l'intérieur de l'appartement déserté de l'immeuble, les parents ayant dû trouver refuge dans l'appartement du dernier étage habité par un autre couple de personnes très âgées.
La photographie est superbe par moment, montrant une ville de Paris comme on ne l'a jamais vue : uniquement les toits qui semblent baigner dans une sorte de mer de nuage, tandis que dans les runes, tout est mort, déserté, les habitants ont dû quitter au plus vite leurs véhicules et appartements, dans des rues jonchées de cadavres. Les personnages sont réellement attachants et humains, que ce soit les parents incarnés par Romain Duris et Olga Kurylenko (elle, je ne la connaissais), et aussi le couple de vieux (Michel Robin est épatant, très émouvant vers la fin).
Franchement, c'est un film que je vous conseille. Je l'ai trouvé saisissant, avec une superbe ambiance de huis-clos très bien posée (mais avec quand même de superbes plans sur les toits de la capitale, les jumelles braquées sur un Montmartre en proie à des émeutes violentes là où les survivants ont trouvé refuge, et aussi des scènes de désolation dans les rues abandonnées). Le film se montre même haletant dans la manière de gérer un peu le suspense, le sentiment d'angoisse due à l'origine mystérieuse de cette brume, sa montée progressive, le quasi-silence radio des autorités.
Si ça vous intéresse, dépêchez-vous d'aller le voir avant qu'il ne disparaisse des salles. Et puis c'est le genre de film très rare au cinéma français qu'il faut encourager, surtout si la qualité est là comme ici.
Le Tombeau des Lucioles de Isao Takahata
Evidemment je l'ai vu parce que ma médiathèque l'avait mis en avant suite au décès de ce grand monsieur. Bon, c'est la première fois que je le vois et j'en suis encore tout retourné depuis hier soir. C'est sublime, poétique, poignant, dramatique, révoltant donc magistral... J'ai vraiment beaucoup de mal à mettre des mots dessus tant c'est vraiment une expérience à vivre grâce à une animation excellente et une gestion des décors comme de la lumière absolument parfaite. Bref, Seita et Setsuko à jamais dans mon coeur. Enfin il y a quand même un mais :
Sinon, forcément :
Sell kids for food
Star Wars episode 8 : les derniers Jedi
C'est moi ou c'est de la merde?
Je vais pas m'attarder sur le fait que ca deconstruit completement tout ce qui fait l'essence de la premiere trilogie (et de sa prequel), c'est juste en plus ennuyant, les personnages sont peu finalement tres peu et tres mal développé, franchement, on s'en fout d'un peu tout le monde. L'humour est moisi et mal dosé et arrive parfois a de mauvaise endroit
Je supporte pas toute les bestioles moisie qu'on nous fourgue pour nous vendre des produits derivés.
Pendant un moment j'ai presque cru que
J'ai meme pas envie de mettre une note, ca merite pas, Star Wars est mort, le titre de cet episode est mensonger, le dernier Jedi c'etait et ca restera Vador.
Anakin plutôt pour le dernier Jedi.
Dark Vador c'est un Sith.
^^
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks
C'est toi. ^^
C'est une grande qualité de ce nouveau film, c'est exactement ce qu'il fallait faire pour se différencier des deux précédentes trilogies et amener la saga vers de nouvelles directions, pour une fois qu'on ne nous sert pas la même soupe.
Sinon, des "bestioles pourries", il y en a depuis le tout premier Star Wars, et en particulier dans le VI. Le "général roquet", c'est fait exprès, c'est justement un chef fantoche, comme il y en a déjà eu dans les autres films Star Wars (y compris dans l'Episode IV).
Et j'ai trouvé les personnages très intéressants et humains.