Chav, je suis d'accord c'est un sujet intéressant, mais c'est préférable d'en discuter plutôt que de pointer du doigt ceux qui aiment mettre des notes.
Ton exemple est un peu caricatural, de plus je ne sais pas si tu lis mes quelques petites critiques par ici mais je crois que je ne mets jamais de notes...
Je suis de tout coeur avec toi Chav, jvais lever mes bras pour te donner mon énergie, j'espère que la boule d'énergie que tu réussiras à former te permettra de vaincre !!!!!
Ant-man : à ma plus grande surprise, j'ai trouvé ça... Bien ^^ Je m'attendais vraiment à un truc tout merdique mais finalement, c'était plutôt amusant et très divertissant. Con con mais sympa, je recommande :p
J'ai justement vu tous les films Marvel de la seconde phase avant Civil War. En gros: j'ai beaucoup aimé Thor 2, Captain 2, été un peu déçu par Avengers 2, et j'ai adoré Ant Man qui m'a aussi vraiment surpris. J'aime bien d'ailleurs la façon dont ils revisitent le rôle de Hank, qui était l'ancien Ant Man dans le comic, qui était déjà un professeur, et qui est devenu le mentor du nouveau.
J'adore aussi son équipe de bras cassés, et l'autre comparse qui raconte ses plans de manière totalement confuse! ^^
Le truc avec Ant-man, c'est que plutôt que prendre un air sérieux en désamorçant régulièrement les situations avec de l'humour comme font souvent les films marvel, là, le comique du personnage, du costume etc est pleinement assumé. C'est très rafraichissant et je me suis plusieurs fois bien marré
Spoiler ▼▲
le combat sur le train jouet où le grand méchant se le prend, grosse mise en scène puis passage sur un plan à l'échelle humaine ou le train fait poc en tombant mollement. J'étais plié ^^
Le Pianiste et Répulsion de Polanski, à la fois beau et terrifiant pour le 1er, j'ai adoré, Adrien Brody est incroyable dans son rôle. Pour Répulsion, un film oppressant efficace avec une Catherine Deneuve jeune et très belle, le noir et blanc fait toujours son effet pour ce genre de film.
Et pour le dernier, Spring Breakers, visuellement superbe, décomplexé, provoc, voyeur, sexy, pertinent (bien que un peu répétitif), un beau cadeau rempli de mercure, Korine maîtrise pleinement sa caméra, j'ai presque autant aimé que Gummo.
Un film qui tente des idées de mise en scène assez folles, et prend des chemins intéressants, mais le problème c'est que ces chemins ne sont pas terminés, on pense que le bout du chemin va être complètement renversant, parce que le chemin en lui même est superbe, mais non, le chemin s'arrête quand on s'y attends pas, on en prend un autre, et on oubliera par la suite les précédents chemins pris, qui semblaient pourtant prometteurs.
Le spectateur est tenu en haleine à plein de moments, on s'attends à un climax ou à une folie irréelle à la fin de ces séquences de folie magnifiées par une musique douce et planante , mais le film réussit à chaque fois à faire tomber ces moments à plat et frustrer, parce que ces mêmes idées ne sont pas exploitées jusqu'au bout, puis, abandonnées.
quelques exemples, attention spoilers ▼▲
Scène du premier shooting photo, sur un immense fond blanc, la caméra bascule de la pièce au fond blanc et on ne voit presque plus le tableau, tout devient blanc, on se croirait dans la salle du temps de DBZ, puis ça s'arrête, y'avait surement quelque chose à creser..
La scène du défilé de mode, magnifique, renversante, un aller retour entre la pureté et le vice, se suffit surement à elle même, on commence à apercevoir l'autre coté du miroir, le démoniaque, sorte de monde parallèle, abandonné par la suite, tout comme ces mystérieux symboles de la triforce.
A un autre moment, enfin même deux, il est suggéré qu'il se passe quelque chose de "l'autre coté de la chambre", on a l'impression que quelqu'un derrière le papier peint essai de passer à travers celui ci. Dans une autre scène, on fait enfin le saut de l'autre coté, c'est magnifiquement mis en scène par le passage du coté du mur à un autre complètement obscur dont ne sortent que des bruits, puis plus rien, on en parle plus. On remballe.
Pour la scène de la piscine, là aussi on s'attends à ce qu'il se passe quelque chose de plus, mais non.
Enfin quand je dis "on", je parle de moi of course ;/
Pour ma part assez frustré parce que voilà je trouve que les idées auraient du être poussées plus loin. Succession d'embryons de scènes folles mises en scènes par les travelling les plus lents et les mieux parallèles de l'histoire. J'aurai tellement voulu qu'on atteigne VRAIMENT l'irréel, le rêve, l'incompréhensible comme dans des œuvres de satoshi kon ou lynch, mais on s'arrête avant, car le film est avant tout basé sur son point fort qu'est esthétique, mais pas forcément sur l'onirisme, qui je pense, aurait assurément pu en être un, de point fort. Quite a basculer dans l'incompréhensible, autant le faire jusqu'au bout. Ce n'est pas le cas.
Résultat des courses, le film ressemble à un assemblage de scènes indépendantes, sans liaisons scénaristiques entre elles et sans finalité (cf ce que je disais précédemment sous spoiler), ne parvenant pas à créer d'émotion puisque nihiliste et objet purement visuel, on est plus proche d'un méli mélo de publicités de mode ultra stylisées que d'un vrai film.
Refn est un virtuose de l'image en tout cas.
Concernant le propos du film sur la mode, il est quasiment inexistant et je n'en ai rien à dire de plus que ce qui a été / va être dit mais c'est de toute façon pas du tout là dessus que je l'attendais, on est plus dans la symbolique et la fin mettra tout le monde d'accord.
Autre point un peu chagrinant, mais je pinaille, c'est les 2 actrices secondaires (pas la rousse qui est très bien mais les 2 blondes) qui jouent les mannequins ennemis, pour un film qui mise sur son esthétique et sa force d’envoûtement par l'image, j'aurai préféré qu'elles soient plus charismatiques, que leurs regards suffisent à créer de la tension, ce n'est pas le cas, contrairement aux hommes, propres dans leur non-rôles, puisqu'ils ne sont là que pour justifier la concurrence entre les models.
Je vous conseille d'aller le voir néanmoins, c'est particulier, c'est pour moi pas abouti, trop frustrant, mais quand même, faut le voir.
A trois doigts du chef d'oeuvre, efforts à poursuivre ;D
Un film qui va faire parler, et diviser, assurément. Rare, donc précieux.
Bah justement, je lui ai jamais parlé plus que ça, donc ça m'étonne
Phil je parlais de chav.
Chav, je suis d'accord c'est un sujet intéressant, mais c'est préférable d'en discuter plutôt que de pointer du doigt ceux qui aiment mettre des notes.
Ton exemple est un peu caricatural, de plus je ne sais pas si tu lis mes quelques petites critiques par ici mais je crois que je ne mets jamais de notes...
Video Club hooperien
Ennnnn okok my bad
Je suis de tout coeur avec toi Chav, jvais lever mes bras pour te donner mon énergie, j'espère que la boule d'énergie que tu réussiras à former te permettra de vaincre !!!!!
J'ai justement vu tous les films Marvel de la seconde phase avant Civil War. En gros: j'ai beaucoup aimé Thor 2, Captain 2, été un peu déçu par Avengers 2, et j'ai adoré Ant Man qui m'a aussi vraiment surpris. J'aime bien d'ailleurs la façon dont ils revisitent le rôle de Hank, qui était l'ancien Ant Man dans le comic, qui était déjà un professeur, et qui est devenu le mentor du nouveau.
J'adore aussi son équipe de bras cassés, et l'autre comparse qui raconte ses plans de manière totalement confuse! ^^
Le truc avec Ant-man, c'est que plutôt que prendre un air sérieux en désamorçant régulièrement les situations avec de l'humour comme font souvent les films marvel, là, le comique du personnage, du costume etc est pleinement assumé. C'est très rafraichissant et je me suis plusieurs fois bien marré
Oui, pareil pour la scène en question!
Et puis, mine de rien, j'ai quand même trouvé son pouvoir très cool et original: ça aussi, ça change des autres super héros.
J'ai bien aimé aussi sa prestation dans Civil War, pour le peu qu'il intervient.
Il faisait de paire avec Peter Parker en terme d'humour.
Derniers films vues :
Le Pianiste et Répulsion de Polanski, à la fois beau et terrifiant pour le 1er, j'ai adoré, Adrien Brody est incroyable dans son rôle. Pour Répulsion, un film oppressant efficace avec une Catherine Deneuve jeune et très belle, le noir et blanc fait toujours son effet pour ce genre de film.
Et pour le dernier, Spring Breakers, visuellement superbe, décomplexé, provoc, voyeur, sexy, pertinent (bien que un peu répétitif), un beau cadeau rempli de mercure, Korine maîtrise pleinement sa caméra, j'ai presque autant aimé que Gummo.
the neon demon :
Un film qui tente des idées de mise en scène assez folles, et prend des chemins intéressants, mais le problème c'est que ces chemins ne sont pas terminés, on pense que le bout du chemin va être complètement renversant, parce que le chemin en lui même est superbe, mais non, le chemin s'arrête quand on s'y attends pas, on en prend un autre, et on oubliera par la suite les précédents chemins pris, qui semblaient pourtant prometteurs.
Le spectateur est tenu en haleine à plein de moments, on s'attends à un climax ou à une folie irréelle à la fin de ces séquences de folie magnifiées par une musique douce et planante , mais le film réussit à chaque fois à faire tomber ces moments à plat et frustrer, parce que ces mêmes idées ne sont pas exploitées jusqu'au bout, puis, abandonnées.
Pour ma part assez frustré parce que voilà je trouve que les idées auraient du être poussées plus loin. Succession d'embryons de scènes folles mises en scènes par les travelling les plus lents et les mieux parallèles de l'histoire. J'aurai tellement voulu qu'on atteigne VRAIMENT l'irréel, le rêve, l'incompréhensible comme dans des œuvres de satoshi kon ou lynch, mais on s'arrête avant, car le film est avant tout basé sur son point fort qu'est esthétique, mais pas forcément sur l'onirisme, qui je pense, aurait assurément pu en être un, de point fort. Quite a basculer dans l'incompréhensible, autant le faire jusqu'au bout. Ce n'est pas le cas.
Résultat des courses, le film ressemble à un assemblage de scènes indépendantes, sans liaisons scénaristiques entre elles et sans finalité (cf ce que je disais précédemment sous spoiler), ne parvenant pas à créer d'émotion puisque nihiliste et objet purement visuel, on est plus proche d'un méli mélo de publicités de mode ultra stylisées que d'un vrai film.
Refn est un virtuose de l'image en tout cas.
Concernant le propos du film sur la mode, il est quasiment inexistant et je n'en ai rien à dire de plus que ce qui a été / va être dit mais c'est de toute façon pas du tout là dessus que je l'attendais, on est plus dans la symbolique et la fin mettra tout le monde d'accord.
Autre point un peu chagrinant, mais je pinaille, c'est les 2 actrices secondaires (pas la rousse qui est très bien mais les 2 blondes) qui jouent les mannequins ennemis, pour un film qui mise sur son esthétique et sa force d’envoûtement par l'image, j'aurai préféré qu'elles soient plus charismatiques, que leurs regards suffisent à créer de la tension, ce n'est pas le cas, contrairement aux hommes, propres dans leur non-rôles, puisqu'ils ne sont là que pour justifier la concurrence entre les models.
Je vous conseille d'aller le voir néanmoins, c'est particulier, c'est pour moi pas abouti, trop frustrant, mais quand même, faut le voir.
A trois doigts du chef d'oeuvre, efforts à poursuivre ;D
Un film qui va faire parler, et diviser, assurément. Rare, donc précieux.
Ah et la BO est au top.
7/10, pour faire plaisir à chav.