Meilleurs micro et consoles de tous les temps

http://fr.youtube.com/watch?v=iRZf_MarNbE&mode=related&search=

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http://fr.youtube.com/watch?v=-poagc6c7qQ&mode=related&search=

http://fr.youtube.com/watch?v=cYrZ5Kt4MjA&mode=related&search=

http://fr.youtube.com/watch?v=DhNJ0ifIZJo&mode=related&search=

http://fr.youtube.com/watch?v=t5_ZiNXsA5c

et la meilleure pour la fin :

http://fr.youtube.com/watch?v=dT5ywUFGE9Y&mode=related&search=

Une machine culte qui marque à tout jamais l'histoire du jeux vidéo. Les anciens ne le répéteront jamais assez.
Un ordinateur familial qui offrait à ses heureux possesseurs un réel plaisir à jouer sur des titres précurseurs dans tous les domaines : de l'aventure aux jeux d'action, de réflexion et bien sur la programmation.

Faut dire qu'elle ne souffrait pas trop de la concurrence pour l'époque, car notre 8 bits était capable de réunir en quelques ko de beaux graphismes, fins et soignés, avec de jolies mélodies et une animation fluide et exemplaire.

Que dire sinon que notre console 100%japonaise rivalisait déja en terme de performance avec la mégadrive et la Qupernes en les surpassant parfois si on ajoutait un lecteur cd. Et pourtant, c'est la Nes et la Master System qui l'ont mises au tapis! Mais contrairement à ces deux consoeurs 8 bits, cette plateforme de jeux 2d n'a pas vieilli et démontrait que malgré sa petite taille, elle pouvait faire de grandes choses.

L'évolution technologique des ordinateurs grand public vers une architecture 32bits marque le début de l'ère de la microinformatique pour tous (donc non réservé uniquement aux professionnels) qui sera dominé par les deux geants américains que sont microsoft et intel.

Alors que l'Amiga ou l'Atari ST se nichaient traditionnellement dans la chambre du collégien pour être branché sur la TV le temps d'une petite partie de speedball entre copains. Sous windows 3.1 pour ceux qui préféraient un environnement graphique et multitâche ou bien sous msdos avec des lignes de commande, l'unité centrale, fière de son 386 faisait office d'ordinateur de salon ou de bureau pour devenir ainsi le seul meilleur ami du bidouilleur
malade avec ses possibilités d'évolution technologique en pieces détachées si on cassait sa tirelire (carte son, disque dur, carte video, ram).

Le gamer fou était également comblé car il pouvait rester des nuits entières à contempler de fabuleux jeux d'aventure (sierra, lucas arts), les premiers fps (wolfeinstein, doom) de renom avec une animation fluide, très peu de temps de chargement, des jeux de rôle (ultima, eye of beholder), de stratégie (civilization, dune), et de simulation ( comanche, wing commander 2, lhx ) sous la limite des 640ko disponible.

Pour l'anecdote, je me souviens avoir installé l'environnement windows95 en 15 disquettes sur mon disque de 40 mega géré par mon vieux pc386sx16 2Mram auquel j'avais relié un lecteur cdrom avec une interface scsi.

Cette console de la cinquième génération a su exploiter à merveille l'énorme capacité de stockage d'un cédé pour intégrer des cinématiques et les performances 3D de la carte graphique pour les décors. Le joueur ainsi évoluait dans des univers ultra réalistes, moins instinctifs qu'un ghost n goblins mais plus sensorielles.
En rentrant pleinement dans la peau du personnage principal, sony fabriquant de matériel électronique a su expérimenter son savoir faire dans le domaine du multimédia, et imposer son style comme séga et nintendo
Un public plus large de 7 à 77 ans d' occidentaux toujours intrigués par la richesse des DA manga et amusés de découvrir la culture asiatique sur leur machine préférée. Les développeurs européens se concentrant depuis toujours sur les micro ordinateurs, la playstation fort de son succès commercial sur les deux continents que sont l'occident et l'asie, a repris les meilleurs titres pc en les adaptant. Somme toute cela marquait la fin de la guerre commerciale entre les deux supports, pc et consoles evoluant désormais chacun dans leur domaine de prédilection.

A l'époque déjà il fallait un peu de fric pour posséder une télé couleur mais surtout une console et les nouveautés (c"était parfois 300 ou 400 F ) alors évidemment le fils a papa pouvait frimer devant ses copains et s'échanger des magazines ou cartouches. honnetement les JV ca intéressait qui a part le puceau encore à l'école. et qui avait encore le temps et la curiosité de s'y intéresser?

Ainsi la nes ou la super nes trainaient parfois dans la chambre du gosse gaté par le père noel et qui au lieu de rester avec ses copains en jouant au ballon se prostrait devant sa télé.

Avec la ps, le développement de l'informatique chez les particuliers mais aussi en entreprise, les salles obscures ont commencé à se vider mais, les jeux vidéos eux se sont de plus en plus banalisés pour se généraliser. A plus le club do, gros plan sur la souris, microkids le mercredi. Aujourdhui on reve de jeu de caisse, de football et de sport de combat comme à la télé.

Si on écarte les informaticiens prépubères, ou le fils de riche, le marché du multimédia touchait dorénavant toutes les catégories sociales de la population. Non parce que les ménages étaient plus fortunés mais grace des couts de production moindre et forcément les techniques (que ce soit la commercialisation ,la distribution et la fabrication ) ont évoluées.

Evidemment avec plus de moyens, avec de très gros budgets réservés à la conception, à la communication, pour développer les musiques, les anim 3D, le marketing, la console mais surtout les jeux rentraient dans la cours de récré et partout dans les lycées, les écoles, les salles de sport, la rue, au bureau etc...

en 10 ans, la play station est devenu une institution et la console (l'opium) du peuple alors que les précédentes n'étaient réservées qu'aux apprentis, qu'aux plus curieux, et dans la durée qu'aux teenagers passionnés d'ou les éternels vieux nostalgiques d'une époque révolue et qui prend fin aujourdhui

1) 7 a 77 ans c'est une expression pour dire qu'il n'y a pas de limite d'age, que ce produit s'adresse aussi bien aux jeunes et qu'aux adultes. c'est écrit dans les boites de jeux ca ne veut pas dire pour autant qu'on a plus l'age d'y jouer à 78 ans.

2) les 8 bits, les 16 bits que sont snes, megadrive étaient destinées à un public très jeune de collégiens voire de lycéens qui formaient une génération de passionnés des JV 2D. Génération mario fan du club do si je puis dire. les personnages en bitmap étaient grossiers, dessinés et sans caractere propre, juste parfois une cap ou une épée. Par la suite, les portables ont pris la releve, gameboy en tete que des momes se partageaient dans la cours d'école.

3) la N64 avec ses cartouches était plutôt destinée aux jeunes joueurs qui aimait mario kart. tandis que play station proposait des simulations de voiture ou de sport plus abouties et poussées techniquement, des aventures ou des jeux de role pour adulte, avec des cinématographiques parfois violentes et gores.

4) avec l'introduction de la 3D et du CD, les jeux ont gagné en réalisme et se sont perfectionnés. Inévitablement le public a muri, mais le contenu aussi qui est devenu plus adulte. A partir de ce constat, il n'y avait pas plus de limite d'age à acheter une ps qu'un pc. surtout avec le diversité et la qualité des titres que la console proposait.
en fait ce qui amene généralement les joueurs de la trentaine a se désinteresser des jeux, ce sont les responsabilités familiales.

Si nintendo fait la promotion de la wii en la présentant comme familial c'est surtout pour convaincre les parents de dépenser l'argent noel pour leur gosse de 5 ans. Rien a voir avec l'ado ou l'étudiant qui cassera sa tirelire pour frimer avec sa ps3

les joies du tactile et le plaisir du jeu que cela procure. Parfait pour les petits et les grands

S'il ne fallait citer qu'un seul jeu de plateforme ce serait super mario bros. Si on ne devait retenir qu'une de portable. Ca serait celle ci.Nintendo la marque de notre plombier préféré. Surtout que la version couleur et advance est capable de reprendre les meilleurs titres de la Supernes. Pourquoi s'en priver?

Coup de Coeur : Mame

Quel joueur n'a jamais rêvé d'une salle d'arcade à la maison ?
On ne compte plus le nombre de conversion des titre Capcom, Sega, Konami...

street fighter 2 sur supernes
dragon ninja sur amiga,
shadow warrior sur atari st,
golden axe sur megadrive,
pit fighter sur cpc (!) et j'en passe.
il faut bien avouer, que toutes les consoles confondues se sont inspirés des salles d'arcade.
et bien souvent l'original était bien meilleur que la conversion sur amiga, atari ou md.

Stars oubliées :

amiga (1986) :
l'amiga est une bonne machine tres polyvalente je ne peux pas dire le contraire mais c'est en rapport à mon classement. Il faut faire un choix et la version de turrican sur C64 est aussi une référence.
mais de beaux graphismes en couleur et de belles musiques, ca peut gacher la maniabilité ,la jouabilité donc diminuer l'intérêt. les programmeurs misaient trop en général sur l'aspect esthétique (de superbes mélodies etc , les paysages, les dégradés) mais généralement au détriment du gameplay et de l'intéret général. Parfois la difficulté était mal dosée, les animations etaient sommaires ou saccadaient, les temps de chargement trop longs et les commandes trop approximatives.

pour l'IA des ennemis, n'en parlons pas, elle était absente, dont c'était généralement assez répétifs. Heureusement qu'on avait les jeux de réflexion (lemmings, extase, logical, incredible machine, pipemania) pour se changer les idées et l'option deux joueurs sur worms, kickoff, ou speedball. sinon je pense qu'avant que les consoles 16 bits débarquent, entre 86 à 89, la pc engine surpassait l'amiga.

Souvent les développeurs attirés par l'appat du gain, se concentraient uniquement sur la mise en forme, les graphismes et les sons en oubliant la maniabilité. Ce qui explique pourquoi nous nous retrouvont avec autant de petits jeux sur disquette a l interet plus que limité. Pour information j'en avait 700 sur pc, faut dire qu'un moment les productions origin prenait plusieurs méga.

Tout cela parce-que avec l'évolution des techniques, on pouvait impressionner le gamin qui feuilletait gen4, amstar, tilt, micro news en ajoutant un magnifique 18/20 pour la réalisation graphique.
Je dis cela en connaissance de cause, combien de fois je bavais sur les copie d'écran sur cpc alor que ce n'était que la version atari voire arcade.

des exemples? prenez castle warrior de delphine software, pour les conversions, golden axe, out run, chase hq, eswat , altered best, vigilante sur amiga. Heureusement quelques titres sortent du lot (ceux de team 17, psygnosis et encore aujourdhui on ne ressent pas le besoin d'y replonger vraiment sauf pour une partie de worm et de rick et puisqu'on parle de notre chere delphine, comment oublier Another world dans lequel eric chahi a préféré se concentrer contrairement à d'autres sur l'animation, le gameplay plutot que proposer un nieme jeu d'action parfois plus beaux mais toujours moins jouable que les versions consoles. On comprend pourquoi ce jeu sera toujours une réference c'est pourquoi il vient d etre recommercialisé sur les consoles de nouvelle génération.

atari st (1986) : parce que les meilleurs jeux étaient sur amiga.

les 64ko du cpc (1984) : parce que de tres bons et de tres mauvais souvenirs, les trois quart de la logitheque étaient trop difficiles ou le scénario incompréhensible avec un temps de chargement interminable.

la nes (1984): sauter, sauter, manger, sauter, sauter, tirer, sauter, avancer, tirer...
j'y suis pour rien si la nes était orienté beaucoup sur les beat em up et les jeux de plateforme. C'était un peu la marque de fabrique. apres on aime ou on aime pas mais on peut trouver cela très répétif. faut dire que zelda avait révolutionné à l'époque avec la possibilité de sauvegarder une partie et la vue de haut.

mégadrive (1989): entrée fracassante avec sonic, thunder force 3, golden axe, shinobi pour se faire rattraper par nintendo au premier virage de fzero.

supernes (1991): sf2, super mario world, actraiser, castle vania. De loin la "meilleure console de jeux 2D" (pas 3D), la plus puissante aussi après la néogéo.
la super nes et son ainée sont d'excellentes consoles mais en fait je crois qu'elle continue toujours son petit bonhomme de chemin sur les portables game boy voire nintendo ds. alors j'ai fait un choix justifié n'en déplaisent à d'autres, ou bien je positionne la super nes en tete des charts comme la meilleure console de tous les temps mais aux détriments de la pc engine.
on me reprochera ensuite de faire du tort à la mégadrive, et pourquoi pas la saturn, la lynx, la game cube, la turbographx, jaguar, gx4000 etc et ensuite d'etre payé par nintendo
la néo géo (1990) a toujours été une des plus grandes références pour les jeux en 2D bien avant la saturn. Je me suis permis de le préciser et de la citer sans pour autant la faire rentrer dans mon palmares.

Dreamcast (1998) : parce-que Sega c'est plus fort que toi.

Saturn: c'était une erreur pour sega de proposer une console de 5eme génération axé sur l'arcade et les jeux en 2D aux détriments de la gestion et la programmation en 3D. Ce qui explique "en partie" son échec commercial.
la playstation est sortie la meme année (1995) et lui a volée la vedette avec un meilleur processeur 3D.

vidéopac de philips (1979): mon premier computer personnel.

to7 (1982) : le fameux stylet pour sélectionner un carré à l'écran.

On peut rêver d'un jeu ou d'une console parce-que ça représentait un peu l'inaccessible. C'était mon cas puisqu'avec mon petit amstrad, je ne rivalisais pas avec l'arcade, les consoles ou l'amiga. Mais le plus amusant c'est que plus tu tardais à investir, plus tu pouvais économiser et rentabiliser ton investissement et tu te retrouvais à noel avec une superbe machine. La d'un coup on te respectait et les plus dégoutés faisaient la queue devant chez toi. (je me souviens d'un type au college qui avait loué une néogéo, ca valait presqu'un 103 dans le hangar a velo ) en fait le vrai passionné pouvait se contenter de peu comme de se faire jeter par le libraire le samedi apres midi en lisant discretement des magazines au lieu de les acheter.)

pour la nostalgie elle a des limites, tout d'abord ceux qui avaient le plus de jeux ce n'étaient pas les plus passionnés mais ceux déja qui avaient le plus de fric ou les plus gatés. Donc le marché s'adressait a eux principalement.
Chez nintendo on a pas baissé le prix non, mais on a axé tout ca sur le marketing et la communication a destination des meres de famille (au super marché ou dans le catalogue la redoute) et des classes moyennes aisées.

Par ailleurs, je ne considere pas cela non plus comme les meilleurs moments de ma jeunesse de se prendre la tete sur le dernier boss de super mario, sur docteur robotnic, prendre des coups de pieds sur street of rage en restant cloitrer à la maison.
En fait souvent les jeux qui marquent le plus ce sont aussi ceux qui nous ont traumatisés étant gosse. Qui se souvient de la grand mère dans jet set willy.
"range ta chambre sinon priver de dessert"" fais tes devoirs sinon pas de chocolat" et puis les remarques des copains; celui là c'est un scritch à lunettes son meilleur ami cest sa nes et son ordinateur.
C'est a ce moment là que j'ai réalisé que la vie ce n'etait pas un arc en ciel de rainbow island ou bien qu'on devait sauter sur de petits nuages pour récolter des pieces, non en fait c'était plus facile de mourir en se précipitant dans le ravin.

avoir un micro ordinateur n'empechait pas de s'informer ailleurs en feuilletant des magazines pour découvrir les nouvelles technologies de chez nintendo et sega.
Au contraire je crois qu'il faut avoir un peu l'esprit d'un informaticien c'est a dire etre touche à tout, pour pouvoir juger une console selon ses spécificités techniques propres qu'elles soient exploités ou non. Enfin aujourdhui, avec l'émulation sur PC, on peut accéder a tout le catalogue de la super nes en un clic souris et cela gratuitement, alors qu'autrefois on devait casser un billet de 200 francs en mendiant à ses parents pour un seul jeu. Pour ce prix, on avait 30D7 1,44mega de jeux crackés. Bref avec le recul on peut aussi se permettre de juger plus objectivement qu'a l'age de 12 ans la tete plongée dans les mags.