des jeux qui ont permis aux Japonais de rêver, ça c'est bien :')
Je ne connaissais que le premier Nintendo world cup sur game boy car je n'avais pas la NES quand j'étais gamin, et encore j'y ai peu joué. Mais j'ai souvenir des joueurs qui restent au sol, c'est ce que j'aimais le plus. Dommage donc pour moi qu'ils aient enlevé ça dans le 2ème. Par contre le coup de la météo ça a l'air génial ^^
D'accord avec ce que tu en dis, l'humour et le grand n'importe quoi ça fait plaisir, on sent que les développeurs se sont bien amusés sur cette série.
Oui, tout ce qui touche a cette série est très second degré et ça fonctionne mais en faire trop comme les 3 dont j'ai pas fait la présentation c'est pas bien, puis c'est surtout car le gameplay est très en retrait et fonctionne peu ou pas.
Alors que les 5 autres le gameplay fonctionne plus ou moins, la différence entre des jeux sympa et les mauvais, y a des limites et dans un jeu vidéo y a "vidéo" mais y a aussi "jeu".
Snow Bros: Nick and Tom (Snow Brothers) est un jeu vidéo de plates-formes/réflexion sorti en 1990 sur borne d'arcade, le jeu a été développé par Toaplan et édité par Capcom pour les consoles dont la NES, des versions Amiga et Atari ST ont été créées par Ocean France en 1991, mais n'ont pas été publiées, cependant la copie originale de la version Amiga a été retrouvée en 2006 et l'image disque a été distribuée sur internet.
Se présentant comme une succession de tableaux à écran fixe, le but est d’éliminer tous les ennemis de chaque niveau grâce aux Snow Brothers qui disposent de pouvoirs magiques liés au froid et à la neige, Nick et Tom tenteront de retrouver le vil King Scorch, responsable du kidnapping de leurs princesses.
Ce genre de jeu se déroulant sur un écran sont légion sur la NES dut au développement assez simple, il suffisait d'avoir un concept et de l'appliquer en terme ludique en jeu vidéo, ça nous a fait voir des jeux assez fonctionnels dont Tetris joué encore aujourd'hui ou d'autres qui sont restés a cette époque car plus ou moins vieilli avec le temps.
Ici on a affaire a un jeu P.F/Réflexion, plateforme, car ça se passe sur plusieurs niveaux de l’écran et réflexion car il faut un minimum planifier son trajet et s'en sortir sans trop de mal, pour parvenir a se débarrasser des ennemis on a une sorte de tir magique qui transforme les ennemis en boule de neige ou au bout de 2 tirs on peut les pousser, ce qui a pour effet de s'en débarrasser ou de projectile pour des ennemis qui se trouveront egalement sur la trajectoire, chaque 10 niveaux au nombre de 50 se trouve un boss qui se bat sur le même principe, soit on tire dessus, soit on leurs envoi les projectiles, et eux nous enverront les ennemis qui nous serviront de projectile a condition de faire les choses correctement.
Un jeu dont la construction est assez simple mais efficace, et non sans chalenge, mais pas bien compliqué non plus a partir du moment ou on a bien assimilé les règles ce qui ne devrait pas trop poser de problèmes, ce qui en fait un jeu sympa et jouable a 2.
Guerrilla War (Guevara au Japon) est un jeu d'arcade du style run and gun a défilement d’écran vertical développé et édité par SNK, sorti en mars 1988 sur borne d'arcade (sur le système Psycho Soldier) et porté sur NES en 1989.
Guerrilla War (Guevara) suit les aventures de deux jeunes révolutionnaires Américains (Cubains), combattant dans une île des Caraïbes afin de la libérer du joug d'un cruel dictateur, traversez les rivières et forêts, ramassez des améliorations d’armes, frayez-vous un chemin jusqu’à ce terrible oppresseur afin de le tuer et ainsi libérer les otages (le peuple).
Guerrilla War (Guevera) possède la distinction d'être le seul jeu vidéo lancé commercialement dépeignant les exploits de révolutionnaires marxistes basé sur les exploits de Che Guevara qui a contribué à abattre la dictature de Fulgencio Batista à Cuba en 1959, le nom original du jeu au Japon était Guevara, le 2eme joueur contrôlait Fidel Castro, cependant craignant des sentiments anti-communistes en occident, SNK fit une localisation des dialogues du jeu et des manuels d'instruction pour l'Amérique du Nord et l'Europe, la version Guevara commercialisée au Japon est très recherchée par les collectionneurs de jeux vidéo.
Le jeu est très comparable a Jackal de Konami, on progresse a notre rythme en tuant tout un tas de soldats et tanks
a l'aide du tir principal qui contrairement a Jackal tire dans 8 directions et peut s'améliorer et un tir secondaire qui sont des bombes mais qui ici contrairement a Jackal ne peuvent pas s'améliorer mais tirent dans 8 directions tout de même.
Comme les ennemis sont bien plus nombreux ici SNK n'avait d'autres choix que de publier soit un jeu trop difficile, soit mettre les continus infinis, ils ont fait ce second choix ce qui fait que on y perd souvent mais toujours sans conséquence si ce n'est la perte de tirs améliorés et on repop au même endroit comme dans Jackal, ou ça devient trop facile c'est que même au Game Over on ne recommence pas le niveau.
Selon moi tout de même une meilleure idée que de pendre un jeu imbuvable de difficulté, même si il pouvait être un peu plus punitif pour forcer d'avantage l'implication du joueur, ça reste un jeu tout a fait sympa au même titre que Jackal avec lequel je l'ai comparé plutôt.
Chip'n Dale: Rescue Rangers est un jeu vidéo de plateformes développé et édité par Capcom en 1989, ce jeu basé sur la série télévisée d'animation Tic et Tac les rangers du risque est sorti sous licence Nintendo et les personnages sont sous licence The Walt Disney Company, le jeu d'arcade est porté sur NES en 1990.
Vous incarnez ici les deux écureuils de la bande de héros dans différentes missions, comme le sauvetage d’un petit chaton parmi d'autres, l'un des rares titres du genre a bénéficier d'un mode 2 joueurs et simultané ou tant qu'un joueur est vivant l'autre repop dessus si il était tombé au préalable.
Sous son air mignonnet se cache un jeu assez court, une dizaine de niveaux qui ne sont pas tous obligatoire pour parvenir a la fin mais dont la difficulté plafonne lors des niveaux, les boss eux sont assez simple a appréhender car il suffit de reproduire le même schéma que sur le boss précédent, outre la difficulté de certains niveaux qui poussent a trouver le bon chemin a force de recommencer, on a 3 vies et 3 continus qui sautent assez vite, notre hit box parfois joue des tours et la frame d'invincibilité est très courte donc se faire toucher 2x de suite est courant.
C'est vraiment dommage que le jeu compte quelques désagréments car le gameplay est assez carrée, techniquement le jeu est a la hauteur et on s'y amuse malgré tout, ça reste un jeu sympa jouable en coop dont Capcom corrigera le tir sur le second opus.
Chip'n Dale: Rescue Rangers 2 est un jeu vidéo de plates-formes par Capcom sur Nintendo Entertainment System en 1993, il est tiré de la série télévisée d'animation Tic et Tac, les rangers du risque créée par Disney qui a eu egalement sa ressortie sous le nom "The Disney Afternoon Collection" sur PS4/One et PC tout comme le premier d'ailleurs.
Le soft offre un mode Solo et un mode coopératif a 2 joueurs comme le premier opus, chaque étape a été créée comme un jeu d’action en side-scrolling où Tic et Tac peuvent marcher, sauter et ramasser des objets comme des glands (régénérant la vie), des caisses ou des barils (servant d'arme) qu’ils peuvent ensuite lancer sur leurs ennemis, y a même une petite intrigue sympa qui nous immerge.
A première vue le jeu semble être comme le premier se basant sur ce qui a deja pu faire ses preuves, mais Capcom ne se contente pas que de ça, le premier défaut du premier opus était la difficulté des niveaux et le petit nombre de vie, ici les niveaux sont bien plus simples a appréhender et sont aussi plus long, la second gros souci c’était les boss qui se faisaient tous avec le même schéma, ici les boss sont différents et il faut apprendre leurs paterns pour s'en sortir, un moment ce savoir acquit les boss ne posent plus de probleme, puis Capcom a aussi penser a mettre toujours 3 continus mais cette fois avec une dizaine de vie chacun voir même la possibilité d'en gagner avec un mini jeu si jamais ça ne suffit pas pour en voir le bout, attention tout de même le jeu n'est pas facile.
Si en jouant au premier je voyais les qualités mais les défauts me sautaient aux yeux, ici quasi tout est corrigé que j'ai du mal a en trouver, peut être que contrairement au premier ou la difficulté c’était les niveaux demandant le "die and retry" pour apprendre ici les niveaux sont plutôt simples (pas trop non plus) mais c'est les boss qui vous poseront quelques soucis, le temps d'apprendre, donc un très bon jeu et belle surprise surtout par rapport au premier.
- En 13 jours j'ai fait la présentation de 24 jeux ce qui nous fait 1.85 jeux par jour, un assez bon ratio, je suis toujours motivé pour poursuivre et parmi ces jeux y en a 5 qui ressortent vraiment.
Si tout se déroule a ce rythme, dans 6 mois on sera entre 300 et 350 jeux, et si au même rythme les jeux ressortent on aura dans le top 75 jeux, mais ça en maintenant le même ratio bon jeu.
Je note tout de même que les jeux qui sont plutôt bons sont de la seconde partie de la vie de la console post 1987 date a laquelle la NES sort un peu partout dans le monde, sa sortie initiale étant en 1983.
- Je suis tombé sur un RPG "Little Ninja Brothers" le probleme c'est que pour ces jeux il faut s'investir longtemps, du coup j'ai décidé de mettre les RPG de coté histoire de progresser rapidement et peut être a la fin revenir dessus.
- Les jeux suivant devraient être "Monster in my pocket" et "Top Gun: Dual Fighters".
Monster in my Pocket est un jeu de Plateforme/Action développé par Konami, sorti sur Nintendo Entertainment System en 1991 aux USA et en Europe (le Japon plus tard ou pas du tout, a confirmer), jouable a 2 en coop, assez rare pour être signalé.
Basé sur la ligne de jouets du même nom, Monster in my Pocket suit les aventures d’un vampire miniature et du monstre de Franky (que je préfère personnellement au vampire) alors qu’ils se battent contre d’autres créatures folkloriques et mythologiques de la même taille dont le minotaure et autres bestioles.
Le jeu est composé de 6 niveaux dont un grand final, alors le jeu peu paraitre difficile, mais en réalité il n'est pas, surtout lors des 5 premiers niveaux qui servent surtout a apprendre les paterns des boss pour le dernier niveau qui comme beaucoup de jeux de l'époque pour gratter quelque temps mettent une suite de boss, ici on se les refait tous, plus un final pas commode ainsi qu'une surprise finale assez originale, du moins pour l'époque.
Les niveaux sauf le dernier ne sont pas difficiles a parcourir, on a 3 continus au cas ou ça tourne mal, une barre de vie de 5 unités qui peut se régénérer d'une unité une fois un bol de cœur trouvé et il y en a suffisamment pour parvenir en fin de niveau a l'aide de notre poing qui laisse une trainé, le véritable chalenge du jeu c'est le dernier niveau, pour mettre rapidement au clair ma préférence pour le monstre de Franky, c'est juste que le vampire possède une cape qui est animé et parfois je me fait toucher sans me faire toucher, avec Franky c'est carré, je me fais toucher quand le sprite ennemi rentre en collision avec le mien.
Je vais pas vous faire de longs épilogue, le jeu n'est pas inoubliable, mais ce qu'il propose il le fait bien, il n'est peut être pas assez fouillis et a peut être des niveaux courts, mais ils sont sympa a re/parcourir et le jeu est jouable a 2 en coop, donc un bon jeu en somme.
TopGun: Dual Fighters ou TopGun: Second mission est une simulation de pilotage d’avions de chasse basée sur l’univers du film développé et édité par Konami, sorti sur Nintendo Entertainment System en 1989, jouable a 2 joueurs.
Vous contrôlez le F-14 Tomcat, en vue de cockpit et devez détruire absolument tout sur votre passage excepté votre piste d’atterrissage, 2 autres modes sont également présents dont un Versus en écran scindé contre un autre joueur.
Techniquement pour 89 c'est assez efficace et les simulations ne sont pas légion, a l'époque il a su sans doute se faire une place, rejouer aujourd'hui c'est compliqué car appart la maniabilité de l'avion ça a méchamment vieilli, je m'explique, a peine on décolle on se prend un missile, et entre le décollage et ce moment on sait pas exactement au quel moment précis les commandes nous sont donné, ça part mal pour une simulation, comme si l'avion ennemi était en stationnaire et attendait qu'on décolle pour nous abattre.
Les missiles qui nous sont envoyés même une fois en collision sont petit, donc estimer la distance pour les abattre ou les éviter se complique, mais ils peuvent aussi arriver de partout en même temps et tout ce qu'on a comme avertissement sont des bips continuels de partout, essayer de se repérer est trop compliqué du au fait que tout ce qu'on voit a 360 degrés c'est la mer, aucun repère visuel donc, on ne sait jamais si on a fait un tour sur nous même si ce n'est l'axe vertical car le ciel c'est en haut la mer en bas...
Outre ces faits assez importants le jeu et d'une dureté a couper le souffle, Contra c'est des nains de jardins a coté, en fait c'est simple, mis a part la technique et le point de vue subjectif de la vision le jeu cumule des vieilleries et on s'y amuse jamais, on lute pour voir d’où peut arriver un danger et on se fait OS comme un mal propre, a la limite du jouable pour un joueur ne faisant pas partie de l'aviation nationale...
Dans ces conditions le jeu est pour un certain public, pour moi il est juste mauvais.
des jeux qui ont permis aux Japonais de rêver, ça c'est bien :')
Je ne connaissais que le premier Nintendo world cup sur game boy car je n'avais pas la NES quand j'étais gamin, et encore j'y ai peu joué. Mais j'ai souvenir des joueurs qui restent au sol, c'est ce que j'aimais le plus. Dommage donc pour moi qu'ils aient enlevé ça dans le 2ème. Par contre le coup de la météo ça a l'air génial ^^
D'accord avec ce que tu en dis, l'humour et le grand n'importe quoi ça fait plaisir, on sent que les développeurs se sont bien amusés sur cette série.
Oui, tout ce qui touche a cette série est très second degré et ça fonctionne mais en faire trop comme les 3 dont j'ai pas fait la présentation c'est pas bien, puis c'est surtout car le gameplay est très en retrait et fonctionne peu ou pas.
Alors que les 5 autres le gameplay fonctionne plus ou moins, la différence entre des jeux sympa et les mauvais, y a des limites et dans un jeu vidéo y a "vidéo" mais y a aussi "jeu".
Snow Bros: Nick and Tom (Snow Brothers) est un jeu vidéo de plates-formes/réflexion sorti en 1990 sur borne d'arcade, le jeu a été développé par Toaplan et édité par Capcom pour les consoles dont la NES, des versions Amiga et Atari ST ont été créées par Ocean France en 1991, mais n'ont pas été publiées, cependant la copie originale de la version Amiga a été retrouvée en 2006 et l'image disque a été distribuée sur internet.
Se présentant comme une succession de tableaux à écran fixe, le but est d’éliminer tous les ennemis de chaque niveau grâce aux Snow Brothers qui disposent de pouvoirs magiques liés au froid et à la neige, Nick et Tom tenteront de retrouver le vil King Scorch, responsable du kidnapping de leurs princesses.
Ce genre de jeu se déroulant sur un écran sont légion sur la NES dut au développement assez simple, il suffisait d'avoir un concept et de l'appliquer en terme ludique en jeu vidéo, ça nous a fait voir des jeux assez fonctionnels dont Tetris joué encore aujourd'hui ou d'autres qui sont restés a cette époque car plus ou moins vieilli avec le temps.
Ici on a affaire a un jeu P.F/Réflexion, plateforme, car ça se passe sur plusieurs niveaux de l’écran et réflexion car il faut un minimum planifier son trajet et s'en sortir sans trop de mal, pour parvenir a se débarrasser des ennemis on a une sorte de tir magique qui transforme les ennemis en boule de neige ou au bout de 2 tirs on peut les pousser, ce qui a pour effet de s'en débarrasser ou de projectile pour des ennemis qui se trouveront egalement sur la trajectoire, chaque 10 niveaux au nombre de 50 se trouve un boss qui se bat sur le même principe, soit on tire dessus, soit on leurs envoi les projectiles, et eux nous enverront les ennemis qui nous serviront de projectile a condition de faire les choses correctement.
Un jeu dont la construction est assez simple mais efficace, et non sans chalenge, mais pas bien compliqué non plus a partir du moment ou on a bien assimilé les règles ce qui ne devrait pas trop poser de problèmes, ce qui en fait un jeu sympa et jouable a 2.
Guerrilla War (Guevara au Japon) est un jeu d'arcade du style run and gun a défilement d’écran vertical développé et édité par SNK, sorti en mars 1988 sur borne d'arcade (sur le système Psycho Soldier) et porté sur NES en 1989.
Guerrilla War (Guevara) suit les aventures de deux jeunes révolutionnaires Américains (Cubains), combattant dans une île des Caraïbes afin de la libérer du joug d'un cruel dictateur, traversez les rivières et forêts, ramassez des améliorations d’armes, frayez-vous un chemin jusqu’à ce terrible oppresseur afin de le tuer et ainsi libérer les otages (le peuple).
Guerrilla War (Guevera) possède la distinction d'être le seul jeu vidéo lancé commercialement dépeignant les exploits de révolutionnaires marxistes basé sur les exploits de Che Guevara qui a contribué à abattre la dictature de Fulgencio Batista à Cuba en 1959, le nom original du jeu au Japon était Guevara, le 2eme joueur contrôlait Fidel Castro, cependant craignant des sentiments anti-communistes en occident, SNK fit une localisation des dialogues du jeu et des manuels d'instruction pour l'Amérique du Nord et l'Europe, la version Guevara commercialisée au Japon est très recherchée par les collectionneurs de jeux vidéo.
Le jeu est très comparable a Jackal de Konami, on progresse a notre rythme en tuant tout un tas de soldats et tanks
a l'aide du tir principal qui contrairement a Jackal tire dans 8 directions et peut s'améliorer et un tir secondaire qui sont des bombes mais qui ici contrairement a Jackal ne peuvent pas s'améliorer mais tirent dans 8 directions tout de même.
Comme les ennemis sont bien plus nombreux ici SNK n'avait d'autres choix que de publier soit un jeu trop difficile, soit mettre les continus infinis, ils ont fait ce second choix ce qui fait que on y perd souvent mais toujours sans conséquence si ce n'est la perte de tirs améliorés et on repop au même endroit comme dans Jackal, ou ça devient trop facile c'est que même au Game Over on ne recommence pas le niveau.
Selon moi tout de même une meilleure idée que de pendre un jeu imbuvable de difficulté, même si il pouvait être un peu plus punitif pour forcer d'avantage l'implication du joueur, ça reste un jeu tout a fait sympa au même titre que Jackal avec lequel je l'ai comparé plutôt.
Chip'n Dale: Rescue Rangers est un jeu vidéo de plateformes développé et édité par Capcom en 1989, ce jeu basé sur la série télévisée d'animation Tic et Tac les rangers du risque est sorti sous licence Nintendo et les personnages sont sous licence The Walt Disney Company, le jeu d'arcade est porté sur NES en 1990.
Vous incarnez ici les deux écureuils de la bande de héros dans différentes missions, comme le sauvetage d’un petit chaton parmi d'autres, l'un des rares titres du genre a bénéficier d'un mode 2 joueurs et simultané ou tant qu'un joueur est vivant l'autre repop dessus si il était tombé au préalable.
Sous son air mignonnet se cache un jeu assez court, une dizaine de niveaux qui ne sont pas tous obligatoire pour parvenir a la fin mais dont la difficulté plafonne lors des niveaux, les boss eux sont assez simple a appréhender car il suffit de reproduire le même schéma que sur le boss précédent, outre la difficulté de certains niveaux qui poussent a trouver le bon chemin a force de recommencer, on a 3 vies et 3 continus qui sautent assez vite, notre hit box parfois joue des tours et la frame d'invincibilité est très courte donc se faire toucher 2x de suite est courant.
C'est vraiment dommage que le jeu compte quelques désagréments car le gameplay est assez carrée, techniquement le jeu est a la hauteur et on s'y amuse malgré tout, ça reste un jeu sympa jouable en coop dont Capcom corrigera le tir sur le second opus.
Un jeu très sympa, Tic & Tac, pas prise de tête. :-)
Chip'n Dale: Rescue Rangers 2 est un jeu vidéo de plates-formes par Capcom sur Nintendo Entertainment System en 1993, il est tiré de la série télévisée d'animation Tic et Tac, les rangers du risque créée par Disney qui a eu egalement sa ressortie sous le nom "The Disney Afternoon Collection" sur PS4/One et PC tout comme le premier d'ailleurs.
Le soft offre un mode Solo et un mode coopératif a 2 joueurs comme le premier opus, chaque étape a été créée comme un jeu d’action en side-scrolling où Tic et Tac peuvent marcher, sauter et ramasser des objets comme des glands (régénérant la vie), des caisses ou des barils (servant d'arme) qu’ils peuvent ensuite lancer sur leurs ennemis, y a même une petite intrigue sympa qui nous immerge.
A première vue le jeu semble être comme le premier se basant sur ce qui a deja pu faire ses preuves, mais Capcom ne se contente pas que de ça, le premier défaut du premier opus était la difficulté des niveaux et le petit nombre de vie, ici les niveaux sont bien plus simples a appréhender et sont aussi plus long, la second gros souci c’était les boss qui se faisaient tous avec le même schéma, ici les boss sont différents et il faut apprendre leurs paterns pour s'en sortir, un moment ce savoir acquit les boss ne posent plus de probleme, puis Capcom a aussi penser a mettre toujours 3 continus mais cette fois avec une dizaine de vie chacun voir même la possibilité d'en gagner avec un mini jeu si jamais ça ne suffit pas pour en voir le bout, attention tout de même le jeu n'est pas facile.
Si en jouant au premier je voyais les qualités mais les défauts me sautaient aux yeux, ici quasi tout est corrigé que j'ai du mal a en trouver, peut être que contrairement au premier ou la difficulté c’était les niveaux demandant le "die and retry" pour apprendre ici les niveaux sont plutôt simples (pas trop non plus) mais c'est les boss qui vous poseront quelques soucis, le temps d'apprendre, donc un très bon jeu et belle surprise surtout par rapport au premier.
Petit bilan:
- En 13 jours j'ai fait la présentation de 24 jeux ce qui nous fait 1.85 jeux par jour, un assez bon ratio, je suis toujours motivé pour poursuivre et parmi ces jeux y en a 5 qui ressortent vraiment.
Si tout se déroule a ce rythme, dans 6 mois on sera entre 300 et 350 jeux, et si au même rythme les jeux ressortent on aura dans le top 75 jeux, mais ça en maintenant le même ratio bon jeu.
Je note tout de même que les jeux qui sont plutôt bons sont de la seconde partie de la vie de la console post 1987 date a laquelle la NES sort un peu partout dans le monde, sa sortie initiale étant en 1983.
- Je suis tombé sur un RPG "Little Ninja Brothers" le probleme c'est que pour ces jeux il faut s'investir longtemps, du coup j'ai décidé de mettre les RPG de coté histoire de progresser rapidement et peut être a la fin revenir dessus.
- Les jeux suivant devraient être "Monster in my pocket" et "Top Gun: Dual Fighters".
Monster in my Pocket est un jeu de Plateforme/Action développé par Konami, sorti sur Nintendo Entertainment System en 1991 aux USA et en Europe (le Japon plus tard ou pas du tout, a confirmer), jouable a 2 en coop, assez rare pour être signalé.
Basé sur la ligne de jouets du même nom, Monster in my Pocket suit les aventures d’un vampire miniature et du monstre de Franky (que je préfère personnellement au vampire) alors qu’ils se battent contre d’autres créatures folkloriques et mythologiques de la même taille dont le minotaure et autres bestioles.
Le jeu est composé de 6 niveaux dont un grand final, alors le jeu peu paraitre difficile, mais en réalité il n'est pas, surtout lors des 5 premiers niveaux qui servent surtout a apprendre les paterns des boss pour le dernier niveau qui comme beaucoup de jeux de l'époque pour gratter quelque temps mettent une suite de boss, ici on se les refait tous, plus un final pas commode ainsi qu'une surprise finale assez originale, du moins pour l'époque.
Les niveaux sauf le dernier ne sont pas difficiles a parcourir, on a 3 continus au cas ou ça tourne mal, une barre de vie de 5 unités qui peut se régénérer d'une unité une fois un bol de cœur trouvé et il y en a suffisamment pour parvenir en fin de niveau a l'aide de notre poing qui laisse une trainé, le véritable chalenge du jeu c'est le dernier niveau, pour mettre rapidement au clair ma préférence pour le monstre de Franky, c'est juste que le vampire possède une cape qui est animé et parfois je me fait toucher sans me faire toucher, avec Franky c'est carré, je me fais toucher quand le sprite ennemi rentre en collision avec le mien.
Je vais pas vous faire de longs épilogue, le jeu n'est pas inoubliable, mais ce qu'il propose il le fait bien, il n'est peut être pas assez fouillis et a peut être des niveaux courts, mais ils sont sympa a re/parcourir et le jeu est jouable a 2 en coop, donc un bon jeu en somme.
TopGun: Dual Fighters ou TopGun: Second mission est une simulation de pilotage d’avions de chasse basée sur l’univers du film développé et édité par Konami, sorti sur Nintendo Entertainment System en 1989, jouable a 2 joueurs.
Vous contrôlez le F-14 Tomcat, en vue de cockpit et devez détruire absolument tout sur votre passage excepté votre piste d’atterrissage, 2 autres modes sont également présents dont un Versus en écran scindé contre un autre joueur.
Techniquement pour 89 c'est assez efficace et les simulations ne sont pas légion, a l'époque il a su sans doute se faire une place, rejouer aujourd'hui c'est compliqué car appart la maniabilité de l'avion ça a méchamment vieilli, je m'explique, a peine on décolle on se prend un missile, et entre le décollage et ce moment on sait pas exactement au quel moment précis les commandes nous sont donné, ça part mal pour une simulation, comme si l'avion ennemi était en stationnaire et attendait qu'on décolle pour nous abattre.
Les missiles qui nous sont envoyés même une fois en collision sont petit, donc estimer la distance pour les abattre ou les éviter se complique, mais ils peuvent aussi arriver de partout en même temps et tout ce qu'on a comme avertissement sont des bips continuels de partout, essayer de se repérer est trop compliqué du au fait que tout ce qu'on voit a 360 degrés c'est la mer, aucun repère visuel donc, on ne sait jamais si on a fait un tour sur nous même si ce n'est l'axe vertical car le ciel c'est en haut la mer en bas...
Outre ces faits assez importants le jeu et d'une dureté a couper le souffle, Contra c'est des nains de jardins a coté, en fait c'est simple, mis a part la technique et le point de vue subjectif de la vision le jeu cumule des vieilleries et on s'y amuse jamais, on lute pour voir d’où peut arriver un danger et on se fait OS comme un mal propre, a la limite du jouable pour un joueur ne faisant pas partie de l'aviation nationale...
Dans ces conditions le jeu est pour un certain public, pour moi il est juste mauvais.