Loaded
I've loaded up this gun
There's a killer in me
Hoping
Hope that you're the one
But you always run away
When I'm around
I don't mind
The day I'll track you down
And terrify!
@ GreenSnake : Dans un sens, on pourrait se dire, du moment que l’homme a toujours le contrôle sur la machine, ça va encore. Mais non. Tout dépend la façon dont tu envisages ce contrôle – et je ne fais vraiment là aucune allusion à la blagounette de Hooper, charmante.
À l’image des caisses-automatiques à synthèse vocale dans les supermarchés, qui permettent à l’entreprise de gagner encore plus en faisant faire, non seulement aux machines, mais aux clients, le job à la place du personnel, imagine dans 50 ans un concert de Nirvana avec des hologrammes interprétant de nouvelles chansons dans un style pur jus. Et les gens iraient voir les concerts, achèteraient les albums. C’est là que tu te dis : « Comme Kraftwerk avait vu juste dans leur approche ! »
Tiens, écoute la vidéo qui suit. Aujourd’hui, la turbine est d’ores et déjà capable d’accoucher en quelques secondes le travail « à la manière de » qu’a réalisé ce talentueux jeune gars en beaucoup, beaucoup plus de temps. Eh oui, le talent devient une valeur de plus en plus relative. Bientôt elle ne pèsera plus sur la balance. Pas étonnant. L’abondance, dans nos pays occidentaux, déclenche forcément une dévaluation car, dans une situation d’abondance, objets et personnes ont tendance à devenir interchangeables. Il suffit simplement de laisser le temps aux gens de se faire à l’idée. Perso, arrivé en caisse, si je ne vois aucun hôte, aucune hôtesse, je replace tous les produits que j’ai pris et j’me barre ; non seulement par soutien pour le personnel, mais il est hors de question que l’industrie de l’agroalimentaire, qui marge à prix d’or, en ce moment, la merde qu’elle nous vend (inflation post-Covid oblige), me fasse faire en plus le job à l’œil, bercé par une chaleureuse voix de synthèse. Me faire sodo ? Et sans vaseline ? No way ! On est combien à agir ainsi ? De moins en moins. Les gens s’y sont faits.
I'm a Barbie girl à la manière de Bach, par Josep Castanyer Alonso
À l’image des caisses-automatiques à synthèse vocale dans les supermarchés, qui permettent à l’entreprise de gagner encore plus en faisant faire, non seulement aux machines, mais aux clients, le job à la place du personnel
Quel plaisir de voir que je ne suis pas le seul à m'insurger contre ça ! Ca détruit des emplois et en plus ça te demande de faire un job qui n'est pas le tien et qui est normalement compris dans le prix de ce que tu payes. Donc maintenant non seulement tu te manges l'inflation mais tu sers de main d'oeuvre à l'entreprise...
It was a wicked and wild wind
Blew down the doors to let me in
Shattered windows and the sound of drums
People couldn't believe what I'd become
Revolutionaries wait
For my head on a silver plate
Just a puppet on a lonely string
Oh, who would ever want to be king?
Sacré Louis XVI, jamais le dernier à se faire dégager la nuque...
Quel plaisir de voir que je ne suis pas le seul à m'insurger contre ça !
Toi aussi, Snake ? Alors je suis moins fou que je ne croyais. Ou bien nous le sommes tous les deux. Fous à lier ou à louer, mais pas à vendre ! Tu te rappelles ? « Pour exister, faut savoir se vendre. » Ben voilà. Carrefour, Auchan et Cie nous rappellent qu’il faut savoir se donner. Tout entier. Sans un mot. En rang. Les yeux rivés sur le Smartphone. Carte Fidélité et CB sans contact. Comment alors ne pas entendre la voix des anciens camarades ? Comment ne pas éprouver la déchirure de la Fraternité perdue, à quoi l’on s’est vu contraint de renoncer, puisque nous vivons de plus en plus dans une fausse camaraderie numérique ; jusqu’à la synthèse vocale de la caisse automatique, nous parlons à des fantômes. Notre cerveau, au final, est très proche de celui des zanimos, entièrement abandonnés aux caprices de leurs sensations, de leur instinct, incapables de concevoir même l’abstraction. À moins que le bison ou la cochenille croie en un Dieu, et que ce Dieu ait respectivement soit une tête de bison, soit une tête de cochenille ? Et là, Orwell et Brigitte en chœur : « Jamais de la vie ! Ils voient plus loin qu’eux-mêmes, les zanimos. » Ah oui ? Et le veau d’or, alors ? C’est le veau qui l’a imaginé peut-être ! Ah j’te jure ! Bref, après ce parallèle forcé, qu’il conviendrait sans doute de nuancer, musique :
La folie des ordinateurs !
Sans transition :
Loaded
I've loaded up this gun
There's a killer in me
Hoping
Hope that you're the one
But you always run away
When I'm around
I don't mind
The day I'll track you down
And terrify!
Je crois que ça va mal se terminer...
Sell kids for food
@ GreenSnake : Dans un sens, on pourrait se dire, du moment que l’homme a toujours le contrôle sur la machine, ça va encore. Mais non. Tout dépend la façon dont tu envisages ce contrôle – et je ne fais vraiment là aucune allusion à la blagounette de Hooper, charmante.
À l’image des caisses-automatiques à synthèse vocale dans les supermarchés, qui permettent à l’entreprise de gagner encore plus en faisant faire, non seulement aux machines, mais aux clients, le job à la place du personnel, imagine dans 50 ans un concert de Nirvana avec des hologrammes interprétant de nouvelles chansons dans un style pur jus. Et les gens iraient voir les concerts, achèteraient les albums. C’est là que tu te dis : « Comme Kraftwerk avait vu juste dans leur approche ! »
Tiens, écoute la vidéo qui suit. Aujourd’hui, la turbine est d’ores et déjà capable d’accoucher en quelques secondes le travail « à la manière de » qu’a réalisé ce talentueux jeune gars en beaucoup, beaucoup plus de temps. Eh oui, le talent devient une valeur de plus en plus relative. Bientôt elle ne pèsera plus sur la balance. Pas étonnant. L’abondance, dans nos pays occidentaux, déclenche forcément une dévaluation car, dans une situation d’abondance, objets et personnes ont tendance à devenir interchangeables. Il suffit simplement de laisser le temps aux gens de se faire à l’idée. Perso, arrivé en caisse, si je ne vois aucun hôte, aucune hôtesse, je replace tous les produits que j’ai pris et j’me barre ; non seulement par soutien pour le personnel, mais il est hors de question que l’industrie de l’agroalimentaire, qui marge à prix d’or, en ce moment, la merde qu’elle nous vend (inflation post-Covid oblige), me fasse faire en plus le job à l’œil, bercé par une chaleureuse voix de synthèse. Me faire sodo ? Et sans vaseline ? No way ! On est combien à agir ainsi ? De moins en moins. Les gens s’y sont faits.
Quel plaisir de voir que je ne suis pas le seul à m'insurger contre ça ! Ca détruit des emplois et en plus ça te demande de faire un job qui n'est pas le tien et qui est normalement compris dans le prix de ce que tu payes. Donc maintenant non seulement tu te manges l'inflation mais tu sers de main d'oeuvre à l'entreprise...
It was a wicked and wild wind
Blew down the doors to let me in
Shattered windows and the sound of drums
People couldn't believe what I'd become
Revolutionaries wait
For my head on a silver plate
Just a puppet on a lonely string
Oh, who would ever want to be king?
Sacré Louis XVI, jamais le dernier à se faire dégager la nuque...
Sell kids for food
lol j'ai découvert sa une ia qui fait chanté johnny halillday sur pokémon, et le rendu est bien lol
Qui veut marcher avec moi ?
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Come on baby, now don't you be cold
Just remember that love is gold
Ooh ooh ooh
And we'd never forget tonight
Je crois que ça parle de cul...
Sell kids for food
EDIT :
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)