L'album est un recueil de 5 histoires courtes écrites et dessinées dans le milieu des années 80.
Pas le temps de trop s'attarder sur un quelconque développement de l'intrigue ou des personnages de par la durée de ces histoires (une quarantaine de pages chacune environ). Ce qui est intéressant ici, c'est l'ambiance posée par la paire d'auteurs. Un hommage vibrant au polar noir hard-boiled. Des personnages qui n'ont plus rien à perdre et qui n'attendent plus grand chose à part la mort. Une ambiance noire empreinte d'un soupçon d'érotisme. Plutôt moderne (surtout quand on pense que ça a été écrit il y a 30 ans) et cinématographique, c'est sombre, bien rythmé et violent. Chaque histoire se finit par une sorte de duel, à la Enio Morricone. Certes les histoires sont simples et vont pas chercher midi à quatorze heure, mais on se laisse prendre à la lecture (la première histoire est cela dit très -trop?- spéciale). Il y a peu de dialogues mais le dessin de Taniguchi colle parfaitement à ce genre, de par sa classe et sa mise en scène. L'air triste qu'il donne à ses personnages trouve tout son sens ici. Ce manga, qui est édité en grand format et qui contient quelques belles pages en couleurs, s'adresse cependant avant tout aux amateurs du genre et/ou de Taniguchi.
J'ai récemment vu la saison 1 de Ajin: semi humain, disponible sur Netflix, et c'est vraiment du tout bon, malgré que ça s’arrête un peu vite rapidement, compte tenu du nombre d'épisodes (13 au total).
'trement les gens, vous connaissez les precure, non parce que pour certaines, ce sont des séries du bien !
spoiler boku no hero academia :
BNHA 88 ▼▲
non, je me suis bien trompé, je pensais pas non plus que le Big Bad Guy aurait bougé son cul de lui-même pour poutrer du héros à coup de cataclysmes.
Je pensais qu'il avait déjà préparés son coup, infiltrer les héros en profondeur (pas juste un traître). Au pire, je pensais qu'il aurait effectivement agit à distance, mais pas qu'il vient physiquement posés ses couilles sur la table.
Ah c'est la série avec plus de 600 épisodes qu'est très peu connu en France est qui reste la meilleur série Original que la TOEI ais fait depuis toujours ?! Oui je connais !! :D
Dans le Japon des années 50, en pleine reconstruction après la seconde guerre mondiale, 6 jeunes adultes ayant passés quelques années en maison de redressement tentent de trouver un but à leur existence et de se frayer une place dans la société nippone en pleine mutation. Les coups durs sont nombreux, mais leurs liens solides vont leur permettre de surmonter courageusement les déboires.
Certes, cette série a un côté un peu pathos, mais les qualités du titre effacent aisément les défauts. Même si l'oeuvre défend un aspect un peu naïf de l'amitié et est parfois empreinte de manichéisme, elle aborde des sujets de société durs et n'épargnent pas les protagonistes. C'est loin d'être tout rose. La pègre, la prostitution, les répercussions de la bombe atomique sont autant de sujets abordés parmi tant d'autres dans le présent volume. Au vu des nombreux coups du sort qui tombent sur le coin du râble de la bande de copains, on comprend aisément pourquoi les liens de l'amitié sont autant mis en avant. Sans ça impossible de s'en sortir. Car c'est avant tout un hymne à la vie que cherche à développer George Abe dans son manga. Les dessins de Kakizaki ne sont pas en reste, et s'ils sont loin d'égaler ses dernières productions (Hideout ou encore Green Blood), ils restent superbes. C'est un manga qui file quand même des petites bouffées d'émotions, d'autant que plus on avance dans le récit, plus on s'attache aux personnages et on est sensible à leurs sorts.
Si vous connaissez pas vous devriez essayer Gosu, c'est du très bon.
Lu Tokyo Killers de Taniguchi et Sekikawa.
L'album est un recueil de 5 histoires courtes écrites et dessinées dans le milieu des années 80.
Pas le temps de trop s'attarder sur un quelconque développement de l'intrigue ou des personnages de par la durée de ces histoires (une quarantaine de pages chacune environ). Ce qui est intéressant ici, c'est l'ambiance posée par la paire d'auteurs. Un hommage vibrant au polar noir hard-boiled. Des personnages qui n'ont plus rien à perdre et qui n'attendent plus grand chose à part la mort. Une ambiance noire empreinte d'un soupçon d'érotisme. Plutôt moderne (surtout quand on pense que ça a été écrit il y a 30 ans) et cinématographique, c'est sombre, bien rythmé et violent. Chaque histoire se finit par une sorte de duel, à la Enio Morricone. Certes les histoires sont simples et vont pas chercher midi à quatorze heure, mais on se laisse prendre à la lecture (la première histoire est cela dit très -trop?- spéciale). Il y a peu de dialogues mais le dessin de Taniguchi colle parfaitement à ce genre, de par sa classe et sa mise en scène. L'air triste qu'il donne à ses personnages trouve tout son sens ici. Ce manga, qui est édité en grand format et qui contient quelques belles pages en couleurs, s'adresse cependant avant tout aux amateurs du genre et/ou de Taniguchi.
BNHA, cinquième meilleur lancement de l'histoire en France. Ça fait plaisir.
J'ai récemment vu la saison 1 de Ajin: semi humain, disponible sur Netflix, et c'est vraiment du tout bon, malgré que ça s’arrête un peu vite rapidement, compte tenu du nombre d'épisodes (13 au total).
J'attends la saison 2 avec encore plus d'audace.
Wow ça c'était du chapitre de fou pour Boku no Hero Academia 88!
moi aussi, je l'ai trouvé sympa !
autrement gosu, c'est pas... incroyable, franchement...
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Bon bah finalement t'avais raison question ! Allez, du coup, maintenant c'est sûr :
'trement les gens, vous connaissez les precure, non parce que pour certaines, ce sont des séries du bien !
spoiler boku no hero academia :
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Ah c'est la série avec plus de 600 épisodes qu'est très peu connu en France est qui reste la meilleur série Original que la TOEI ais fait depuis toujours ?! Oui je connais !! :D
Even if victory is dying, a battle is never lost before.
MAL Profil
Session Fêtes de Bayonne 2016
Lu Rainbow Tome 3 de Abe et Kakizaki.
Dans le Japon des années 50, en pleine reconstruction après la seconde guerre mondiale, 6 jeunes adultes ayant passés quelques années en maison de redressement tentent de trouver un but à leur existence et de se frayer une place dans la société nippone en pleine mutation. Les coups durs sont nombreux, mais leurs liens solides vont leur permettre de surmonter courageusement les déboires.
Certes, cette série a un côté un peu pathos, mais les qualités du titre effacent aisément les défauts. Même si l'oeuvre défend un aspect un peu naïf de l'amitié et est parfois empreinte de manichéisme, elle aborde des sujets de société durs et n'épargnent pas les protagonistes. C'est loin d'être tout rose. La pègre, la prostitution, les répercussions de la bombe atomique sont autant de sujets abordés parmi tant d'autres dans le présent volume. Au vu des nombreux coups du sort qui tombent sur le coin du râble de la bande de copains, on comprend aisément pourquoi les liens de l'amitié sont autant mis en avant. Sans ça impossible de s'en sortir. Car c'est avant tout un hymne à la vie que cherche à développer George Abe dans son manga. Les dessins de Kakizaki ne sont pas en reste, et s'ils sont loin d'égaler ses dernières productions (Hideout ou encore Green Blood), ils restent superbes. C'est un manga qui file quand même des petites bouffées d'émotions, d'autant que plus on avance dans le récit, plus on s'attache aux personnages et on est sensible à leurs sorts.