Lu Lady Killer, Tome 1: A couteaux tirés de Jones et Rich.
Dans les années 50, aux Etats-Unis, Josie Schuller a tout de la femme au foyer parfaite. Belle et attentionnée, elle mitonne des bons petits plats pour son mari aimant et ses deux petites filles espiègles. Mais Josie garde jalousement un petit secret. Avec un vrai goûtpourle massacre, elle est aussi une impitoyable tueuse à gages. Partageant son quotidien entre l'organisation de cocktail mondain et divers égorgements, elle arrive tant bien que mal à mener ces deux existences de front. Mais lorsque son commanditaire estime que la famille de Josie devient plus un frein qu'un facteur d'épanouissement, le rêve américain va vite tourner au cauchemar.
Lady Killer n'est pas la série la plus originale qui soit, c'est le moins qu'on puisse dire. Les péripéties du tome sont plutôt prévisibles et le tout offre une histoire vue et revue.
Cependant, la série ne manque pas de sel et d'intérêt. Les dialogues et les personnages sont plutôt savoureux, offrant une dose d'humour noir et de second degré qui passe très bien. L'héroine est sexy et plaisante. Le grand écart entre sa vie bien rangée et sa débauche de violence fonctionne bien et donne un tout délicieusement provocateur.
Quant aux dessins, ils sont superbes en jouant la carte du pulp, du vintage et du kitsh. Avec en plus des couleurs flashys, out cela contribue à donner au récit une certaine identité. Les couvertures sont énormissimes.
Au final, même si la bd est sans surprise, Lady Killer n'ennuie jamais, et certains passages sont même plutôt jubilatoires. Reste à savoir si la série transformera l'essai dans le deuxième tome.
Bon bah depuis le temps j'ai complètement fini Preacher et j'avoue être resté sur ma faim un peu,
Spoiler ▼▲
Jesse qui voit Cass et Tulip s'embrasser, il tombe des nues et hop c'est fini il va même pas les voir rien...bizarre, on dirait que le scénariste n'avait pas plus d'imagination pour trouver une fin à la hauteur du reste donc il a bâclé ça.
J'me doutais un peu à ce qu'ils n'arrivent pas au bout de leur quête (trouver Dieu) mais que même la relation Jesse/Tulip se casse la gueule ça m'a foutu les boules un peu (je suis trop sentimental surement), pareil sur le fait que Cass' soit un enculé ça m'a fait chier.
Ca reste excellent hein, l'arc de Jesus de Sade, celui avec la secte des emo-gothiques j'étais plié, Herr Starr m'a tué aussi là quand il essaye des perruques et des chapeaux j'en pouvais plus, l'histoire du saint des tueurs est poignante,...
Globalement c'est de l'excellent crû c'est juste dommage que ça se termine comme ça à mon sens.
Sinon j'ai lu les 2 1ers tomes des 2 comics sortis sur X-files, je suis pas fan du dessin c'est très léger je trouve, j'ai trouvé ça sympa je vais continuer à suivre parce que je suis fan d'X-files mais bon scénaristiquement c'est moyen il faut l'avouer.
Et j'ai commencé le Punisher du mec qui a dessiné Preacher et ça démarre sur les chapeaux de roues il blague pas Frank Castle, je viendrais donner mon avis quand j'aurais fini.
Mais Rusvî, c'est normal que tu soies sur ta faim! C'est pas fini!!
La ré-édition n'est pas encore achevée. Tu devrais avoir un tome de plus (je ne sais pas quand il est prévu par contre).
Dnas l'ancienne édition que j'ai, qui est en 9 tomes, le moment dont tu parles correspond à la fin du tome 7. Donc tu vois, t'as encore un peu de marge! Ne t'inquiètes pas, il y aura bien une réponse à toutes tes questions!
Je suis en train moi aussi de lire l'intégrale Punisher. Bordel, c'est bien fun. On reconnaît bien la patte. Finalemrnt Punisher, c'est un peu le saint des tueurs ;)
Mais Rusvî, c'est normal que tu soies sur ta faim! C'est pas fini!!
La ré-édition n'est pas encore achevée. Tu devrais avoir un tome de plus (je ne sais pas quand il est prévu par contre).
Dnas l'ancienne édition que j'ai, qui est en 9 tomes, le moment dont tu parles correspond à la fin du tome 7. Donc tu vois, t'as encore un peu de marge! Ne t'inquiètes pas, il y aura bien une réponse à toutes tes questions!
Aaaaaaaaah ouf ça me rassure ça me paraissait bizarre aussi que tous les persos soient laissés en plan comme ça, par contre j'ai beau chercher je ne trouve pas de date j'espère qu'ils vont se magner.
J'imagine qu'on aura l'histoire de Tulip je crois que c'est le seul perso dont on ne connait pas l'enfance encore.
Citation:
Je suis en train moi aussi de lire l'intégrale Punisher. Bordel, c'est bien fun. On reconnaît bien la patte. Finalemrnt Punisher, c'est un peu le saint des tueurs ;)
Ahah c'est trop ça, c'est la même chose qui les motive en tout cas, la perte de leur famille.
Lu Punisher Tome 1, Col. Marvel Icons de Ennis et Dillon.
Vétéran du Viet-Nam, Frank Castle a tout perdu le jour où sa famille a été abattu par la mafia. Depuis, il est devenu le Punisher, un justicier qui traque sans relâche les mafieux. Il est implacable, méthodique, froid, sur-entraîné et surtout il est sans pitié.
Un volume épais qui couvre la première moitié de la longue et magnifique run de Ennis et Dillon (les papas de Preacher) sur le justicier le plus politiquement incorrect du catalogue Marvel. Le Punisher est un boucher, un psychopathe dont le seul objectif est de traquer les mafieux pour les tuer. Et pas toujours de manière très propre d'ailleurs. Plus ça laisse de taches sur le parquet, plus ça terrorise les mafieux, et plus Castle est content. Dans l'hommage que rend Ennis, l'auteur joue aussi la carte du décalage et de l'humour noir. La série Preacher en est finalement très proche, et on peut retrouver des personnages hauts en couleurs et souvent délicieusement immondes. Je pense à Ma Gnucchi, au tueur Le Russe, aux justiciers copieurs, à l'inspecteur Soap qui est le pire looser qu'on puisse inventer et bien d'autres... Quelques guests viennent même s'inviter, comme Daredevil, Spiderman ou Wolverine, et le lecteur s'aperçoit très vitre que le Punisher ne jouit pas d'une très bonne réputation dans le milieu des justiciers. Et il lui rend bien! Car le Punisher est prêt à VRAIMENT tout pour arriver à ses fins, même si cela implique d'utiliser odieusement ses pairs. On se marre souvent durant la lecture de ce tome en poussant des petits cris jubilatoires du genre: "Oh non! Haha! C'est immonde!". Quelques histoires cependant offrent une vision plus sombre et plus sérieuse du Punisher, laissant voir l'homme écorché derrière le justicier. C'est notamment le cas de l'histoire Chacun pour soi où Castle fait une affaire personnelle de retrouver un ancien camarade du Viet-Nam qui a pété les plombs.
Il faut croire d'ailleurs que Ennis a pris goût dans ce côté plus sombre du Punisher, car c'est l'angle qu'il choisira d'aborder plus tard pour l'écriture de la collection Punisher Max. Une magnifique collection mais pour le coup radicalement différente. On ne se marre plus. C'est fou comme Ennis est génial.
En tout cas ça me fait envie, j'étais partie pour prendre les tomes de Daredevil en icons mais peut-être que le Punisher va passer en premier.
Vivement la première saison de Punisher aussi.
Les Daredevil de Miller, c'est du lourd aussi. Mais le dessin et la colorisation ont pris un coup de vieux.
En tout cas effectivement, cet album de Punisher vaut vraiment le coup. Je ne peux que trop le conseiller. Et comme je le disais, celle de la collection Max aussi (beaucoup plus dark). De ce que j'ai pu comprendre, l'acteur qui incarne Punisher dans la série Daredevil (qu'il faut toujours que je vois!) s'est inspiré du Punisher de Ennis.
Je viens de terminer le run de Grant Morrison sur Batman, un énorme bordel le machin, globalement j'ai adoré mai il y a des tomes et des artistes vraiment en-dessous.
A la lecture du cinquième bouquin j'en pouvais plus, idem pour le 6ème, ça change pas mal dans le septième qui amorce vraiment un virage dans l'univers Batman et le 8ème tome est juste dingue et fort en émotion mais maintenant je ne peux m'empêcher de trouver les défauts habituels des comics de super-héros, à savoir:
Citation:
Que les morts ne resteront pas morts bien entendu, donc les 2 morts importantes de la fin du run on sait déjà qu'on les reverra si ce n'est déjà fait.
Je pense que je les relierai un jour parce qu'il y a des éléments importants qui ne trouvent leur réponse qu'à la fin du cycle donc pour se souvenir d'une intrigue 4 tomes auparavant ça risque d'être compliqué.
Je vais donc continuer sur ma lancée avec les Batman et Robin.
Lu Walking Dead Tome 26: L'appel aux armes de Kirkman, Adlard et Gaudiano.
Rick prépare consciencieusement la guerre contre les chuchoteurs avec Alexandria, La colline, Le royaume et Les Sauveurs. Mais tout le monde doit agir avec prudence car ils ne connaissent rien de leur ennemi à part le fait qu'il soit extrêmement dangereux. Surtout que dans le même temps, Negan s'est fait la malle et compte bien traverser la frontière pour se mettre à l'abri. Negan va-t-il être le grain de sable dans l'engrenage, l'étincelle qui va mettre le feu aux poudres?
Un tome 26 qui relance totalement la hype Walking Dead après les derniers tomes plutôt mous du genou. Avec la préparation de la guerre, la manière malsaine de Rick de gérer la colère des gens et de la diriger sur les chuchoteurs, le tome donne le ton. Mais surtout avec le grand retour de Negan sur le devant de la scène, le lecteur tourne fébrilement les pages pour découvrir petit à petit les prémices de ce qui va s'apparenter à une guerre totale. Bien sûr, on peut toujours se dire "Encore?!", mais avec son talent de narrateur hors-pair, Kirkman arrive toujours à se renouveler et à développer toujours un peu plus son univers et ses personnages. La fin claque, bien entendu, et avec son savant art du teaser, Kirkman nous laisse sur notre faim avec une grosse envie de connaître la suite. Cela pourra en agacer quelques-uns, mais à force, on connaît l'animal :p. Non, Walking Dead n'est pas mort,et ce tome le prouvera à tous les sceptiques.
Aux confins de la galaxie, Marko et Alana font parti de deux peuples ennemis depuis toujours. Pourtant, le fruit de leur amour à donner naissance à Hazel. Mais le bonheur est de courte durée, la petite fille a été enlevée par des membres de la dernière révolution puis enfermée dans une prison orbitale de haute sécurité. Marko et Alana ne vont reculer devant rien pour la libérer. Pendant ce temps, le mercenaire Le Testament reprend tant bien que mal du poil de la bête. A moitié fou, il part dans une quête désespérée de vengeance qui pourrait bien impacté nos deux héros.
Saga est devenu d'emblée la nouvelle référence du Space opéra. Créée par le génial Brian K. Vaughan, papa également des très réussies séries Y, Le dernier Homme et Ex Machina, la série est devenue un gros succès aux Etats-Unis et en France. L'univers est riche et varié (on y retrouve des Princes Robots, des trains Dragons, des mercenaires arachnides, des chats détecteurs de mensonges, des vaisseaux végétaux, etc...), les personnages sont hyper attachants, l'histoire est bien foutue, les dialogues bien écrits et le dessin léché. Tout est rassemblé pour créer une excellente série qui fera date dans l'univers de la SF. Du vertige de l'espace infini à l'intimité des querelles d'un couple de jeunes parents, la série vous invite à découvrir un Space Opéra épique, ambitieux et touchant. C'est du lourd et bien entendu c'est un indispensable ;)
Lu Lady Killer, Tome 1: A couteaux tirés de Jones et Rich.
Dans les années 50, aux Etats-Unis, Josie Schuller a tout de la femme au foyer parfaite. Belle et attentionnée, elle mitonne des bons petits plats pour son mari aimant et ses deux petites filles espiègles. Mais Josie garde jalousement un petit secret. Avec un vrai goûtpourle massacre, elle est aussi une impitoyable tueuse à gages. Partageant son quotidien entre l'organisation de cocktail mondain et divers égorgements, elle arrive tant bien que mal à mener ces deux existences de front. Mais lorsque son commanditaire estime que la famille de Josie devient plus un frein qu'un facteur d'épanouissement, le rêve américain va vite tourner au cauchemar.
Lady Killer n'est pas la série la plus originale qui soit, c'est le moins qu'on puisse dire. Les péripéties du tome sont plutôt prévisibles et le tout offre une histoire vue et revue.
Cependant, la série ne manque pas de sel et d'intérêt. Les dialogues et les personnages sont plutôt savoureux, offrant une dose d'humour noir et de second degré qui passe très bien. L'héroine est sexy et plaisante. Le grand écart entre sa vie bien rangée et sa débauche de violence fonctionne bien et donne un tout délicieusement provocateur.
Quant aux dessins, ils sont superbes en jouant la carte du pulp, du vintage et du kitsh. Avec en plus des couleurs flashys, out cela contribue à donner au récit une certaine identité. Les couvertures sont énormissimes.
Au final, même si la bd est sans surprise, Lady Killer n'ennuie jamais, et certains passages sont même plutôt jubilatoires. Reste à savoir si la série transformera l'essai dans le deuxième tome.
Bon bah depuis le temps j'ai complètement fini Preacher et j'avoue être resté sur ma faim un peu,
Ca reste excellent hein, l'arc de Jesus de Sade, celui avec la secte des emo-gothiques j'étais plié, Herr Starr m'a tué aussi là quand il essaye des perruques et des chapeaux j'en pouvais plus, l'histoire du saint des tueurs est poignante,...
Globalement c'est de l'excellent crû c'est juste dommage que ça se termine comme ça à mon sens.
Sinon j'ai lu les 2 1ers tomes des 2 comics sortis sur X-files, je suis pas fan du dessin c'est très léger je trouve, j'ai trouvé ça sympa je vais continuer à suivre parce que je suis fan d'X-files mais bon scénaristiquement c'est moyen il faut l'avouer.
Et j'ai commencé le Punisher du mec qui a dessiné Preacher et ça démarre sur les chapeaux de roues il blague pas Frank Castle, je viendrais donner mon avis quand j'aurais fini.
Mais Rusvî, c'est normal que tu soies sur ta faim! C'est pas fini!!
La ré-édition n'est pas encore achevée. Tu devrais avoir un tome de plus (je ne sais pas quand il est prévu par contre).
Dnas l'ancienne édition que j'ai, qui est en 9 tomes, le moment dont tu parles correspond à la fin du tome 7. Donc tu vois, t'as encore un peu de marge! Ne t'inquiètes pas, il y aura bien une réponse à toutes tes questions!
Je suis en train moi aussi de lire l'intégrale Punisher. Bordel, c'est bien fun. On reconnaît bien la patte. Finalemrnt Punisher, c'est un peu le saint des tueurs ;)
Aaaaaaaaah ouf ça me rassure ça me paraissait bizarre aussi que tous les persos soient laissés en plan comme ça, par contre j'ai beau chercher je ne trouve pas de date j'espère qu'ils vont se magner.
J'imagine qu'on aura l'histoire de Tulip je crois que c'est le seul perso dont on ne connait pas l'enfance encore.
Ahah c'est trop ça, c'est la même chose qui les motive en tout cas, la perte de leur famille.
Lu Punisher Tome 1, Col. Marvel Icons de Ennis et Dillon.
Vétéran du Viet-Nam, Frank Castle a tout perdu le jour où sa famille a été abattu par la mafia. Depuis, il est devenu le Punisher, un justicier qui traque sans relâche les mafieux. Il est implacable, méthodique, froid, sur-entraîné et surtout il est sans pitié.
Un volume épais qui couvre la première moitié de la longue et magnifique run de Ennis et Dillon (les papas de Preacher) sur le justicier le plus politiquement incorrect du catalogue Marvel. Le Punisher est un boucher, un psychopathe dont le seul objectif est de traquer les mafieux pour les tuer. Et pas toujours de manière très propre d'ailleurs. Plus ça laisse de taches sur le parquet, plus ça terrorise les mafieux, et plus Castle est content. Dans l'hommage que rend Ennis, l'auteur joue aussi la carte du décalage et de l'humour noir. La série Preacher en est finalement très proche, et on peut retrouver des personnages hauts en couleurs et souvent délicieusement immondes. Je pense à Ma Gnucchi, au tueur Le Russe, aux justiciers copieurs, à l'inspecteur Soap qui est le pire looser qu'on puisse inventer et bien d'autres... Quelques guests viennent même s'inviter, comme Daredevil, Spiderman ou Wolverine, et le lecteur s'aperçoit très vitre que le Punisher ne jouit pas d'une très bonne réputation dans le milieu des justiciers. Et il lui rend bien! Car le Punisher est prêt à VRAIMENT tout pour arriver à ses fins, même si cela implique d'utiliser odieusement ses pairs. On se marre souvent durant la lecture de ce tome en poussant des petits cris jubilatoires du genre: "Oh non! Haha! C'est immonde!". Quelques histoires cependant offrent une vision plus sombre et plus sérieuse du Punisher, laissant voir l'homme écorché derrière le justicier. C'est notamment le cas de l'histoire Chacun pour soi où Castle fait une affaire personnelle de retrouver un ancien camarade du Viet-Nam qui a pété les plombs.
Il faut croire d'ailleurs que Ennis a pris goût dans ce côté plus sombre du Punisher, car c'est l'angle qu'il choisira d'aborder plus tard pour l'écriture de la collection Punisher Max. Une magnifique collection mais pour le coup radicalement différente. On ne se marre plus. C'est fou comme Ennis est génial.
Ah cette page est dans la série Daredevil.
En tout cas ça me fait envie, j'étais partie pour prendre les tomes de Daredevil en icons mais peut-être que le Punisher va passer en premier.
Vivement la première saison de Punisher aussi.
Les Daredevil de Miller, c'est du lourd aussi. Mais le dessin et la colorisation ont pris un coup de vieux.
En tout cas effectivement, cet album de Punisher vaut vraiment le coup. Je ne peux que trop le conseiller. Et comme je le disais, celle de la collection Max aussi (beaucoup plus dark). De ce que j'ai pu comprendre, l'acteur qui incarne Punisher dans la série Daredevil (qu'il faut toujours que je vois!) s'est inspiré du Punisher de Ennis.
Je viens de terminer le run de Grant Morrison sur Batman, un énorme bordel le machin, globalement j'ai adoré mai il y a des tomes et des artistes vraiment en-dessous.
A la lecture du cinquième bouquin j'en pouvais plus, idem pour le 6ème, ça change pas mal dans le septième qui amorce vraiment un virage dans l'univers Batman et le 8ème tome est juste dingue et fort en émotion mais maintenant je ne peux m'empêcher de trouver les défauts habituels des comics de super-héros, à savoir:
Je pense que je les relierai un jour parce qu'il y a des éléments importants qui ne trouvent leur réponse qu'à la fin du cycle donc pour se souvenir d'une intrigue 4 tomes auparavant ça risque d'être compliqué.
Je vais donc continuer sur ma lancée avec les Batman et Robin.
Lu Walking Dead Tome 26: L'appel aux armes de Kirkman, Adlard et Gaudiano.
Rick prépare consciencieusement la guerre contre les chuchoteurs avec Alexandria, La colline, Le royaume et Les Sauveurs. Mais tout le monde doit agir avec prudence car ils ne connaissent rien de leur ennemi à part le fait qu'il soit extrêmement dangereux. Surtout que dans le même temps, Negan s'est fait la malle et compte bien traverser la frontière pour se mettre à l'abri. Negan va-t-il être le grain de sable dans l'engrenage, l'étincelle qui va mettre le feu aux poudres?
Un tome 26 qui relance totalement la hype Walking Dead après les derniers tomes plutôt mous du genou. Avec la préparation de la guerre, la manière malsaine de Rick de gérer la colère des gens et de la diriger sur les chuchoteurs, le tome donne le ton. Mais surtout avec le grand retour de Negan sur le devant de la scène, le lecteur tourne fébrilement les pages pour découvrir petit à petit les prémices de ce qui va s'apparenter à une guerre totale. Bien sûr, on peut toujours se dire "Encore?!", mais avec son talent de narrateur hors-pair, Kirkman arrive toujours à se renouveler et à développer toujours un peu plus son univers et ses personnages. La fin claque, bien entendu, et avec son savant art du teaser, Kirkman nous laisse sur notre faim avec une grosse envie de connaître la suite. Cela pourra en agacer quelques-uns, mais à force, on connaît l'animal :p. Non, Walking Dead n'est pas mort,et ce tome le prouvera à tous les sceptiques.
Lu Saga Tome 6 de K.Vaughan et Staples.
Aux confins de la galaxie, Marko et Alana font parti de deux peuples ennemis depuis toujours. Pourtant, le fruit de leur amour à donner naissance à Hazel. Mais le bonheur est de courte durée, la petite fille a été enlevée par des membres de la dernière révolution puis enfermée dans une prison orbitale de haute sécurité. Marko et Alana ne vont reculer devant rien pour la libérer. Pendant ce temps, le mercenaire Le Testament reprend tant bien que mal du poil de la bête. A moitié fou, il part dans une quête désespérée de vengeance qui pourrait bien impacté nos deux héros.
Saga est devenu d'emblée la nouvelle référence du Space opéra. Créée par le génial Brian K. Vaughan, papa également des très réussies séries Y, Le dernier Homme et Ex Machina, la série est devenue un gros succès aux Etats-Unis et en France. L'univers est riche et varié (on y retrouve des Princes Robots, des trains Dragons, des mercenaires arachnides, des chats détecteurs de mensonges, des vaisseaux végétaux, etc...), les personnages sont hyper attachants, l'histoire est bien foutue, les dialogues bien écrits et le dessin léché. Tout est rassemblé pour créer une excellente série qui fera date dans l'univers de la SF. Du vertige de l'espace infini à l'intimité des querelles d'un couple de jeunes parents, la série vous invite à découvrir un Space Opéra épique, ambitieux et touchant. C'est du lourd et bien entendu c'est un indispensable ;)