Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Rudolf a écrit:
Pour n'importe qui qui respecte la vie des animaux, je maintiens qu'il n'y a aucune raison de ne pas consommer du lait, des oeufs ou de la laine car ça ne demande pas de tuer les animaux à la base si leurs conditions de vie sont respectées.
À ceci près que le vegan lambda, qui lui aura poussé la chansonnette jusqu'au bout [un végétarien consomme des œufs, ect...], aura naturellement tendance à rejeter toutes formes d'exploitation et d'asservissement animal (qui n'ont rien de comparable aux agissements de quelque bête à poils/plumes/tentacules/... qui soit), qu'elles ne conduisent ou non à l’abattoir.
Donc, non, je ne fais pas exprès, et toi?
Parce que, pour l'aspect d'hypocrisie, une énième fois:
J... a écrit:
Être « vegan à 100% » reste une tache impossible. [...] aucun vegan n’y a jamais prétendu.
...
J... a écrit:
[...] Et continue encore de le faire, à clairement plus brasser du vent qu'autre chose.
Rudolf a écrit:
Bon, j'arrête là, tu es trop malhonnête [...]
Voilà bien une perception et une intention que nous avons en commun.
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
question a écrit:
vous DEVRIEZ achetez de la viande qui "respecte" les animaux.
Rudolf a écrit:
j'ai à chaque fois pris la précaution de dissocier les cas d'élevage "bio" et d'élevage "industriel". Mais voilà, vous êtes obnubilés par l'élevage industriel alors que moi je ne parle pas de ça, tout ça pour me faire passer pour un monstre à vos yeux.
Je suis omnivore responsable dans le sens où je calcule et pèse tous mes besoins alimentaires en préférant, depuis peu, voir à la baisse pour les nutriments d’origines animales en les comblant d’un peu plus de végétaux à haut taux de protéines.
Je dis « responsable » car je ne dépasse jamais mes besoins et que, comme vous l’écrivez, je n’achète QUE des produits, entre autres, animaux, si possible, de ma région, certifiés de labels ou autres estampillages reflétant la bonne nutrition et condition de vie des animaux qu’ils étaient.
Cela reste de l’élevage, mais à notre stade « d’évolution », c’est le seul moyen d’avoir une nutrition carnée, mise à part la chasse, mais qui de nos jours urbanisés s’apparente plus à une destruction de l’écosystème sauvage encore sauvegardé....
Et donc, si ces frêles mesures sont respectées (ce que l’on ne sait jamais…) je tolère, encore aujourd’hui, ma responsabilité dans ce triste cycle de faire naître pour se nourrir, à l’achat de ma nourriture.
LE souci, qui « lui », me rebute, c’est la transition de l’animal en pâturage à la viande dans sa barquette.
A ce jour, il n’y n’a toujours qu’un numéro d’étiquetage qui renseigne sur l’abattoir ayant tué la bête. C’est bien… mais je ne connais rien de ces abattoirs… On peut trouver leurs coordonnées avec un peu de recherches… mais après… ?
Le fait est que, « ne rien connaître d’eux », devrait être une chose normale, que ce soit un métier commun ne me causant pas de tracas. Mais, si vous vous tenez au courant des actes « inhumains », pour le cas on peut bien l’appuyer, qui « dans le meilleur des mondes » auraient dû échapper aux vidéos de surveillances… comment savoir si TON numéro sur TA barquette contenant TA viande ne te porte pas « responsable silencieux » de la potentielle et atroce agonie de ce qu’était ton bout de steak ?
Un autre dégorgeoir qui en découle directement :
Il est, sauf dans de rares cas, impossible de savoir si l’animal dont on achète la viande (n’importe laquelle) a été abattu « conventionnellement » (généralement par étourdissement, qui « normalement… réussi » précédera la mise à mort] ou « saigné à vif » par rituel « casher » ou « halal ».
Même en contactant les abattoirs cachés sous les codes des étiquettes, les magazines et associations, s'étant fait passer pour des particuliers, attendent toujours leurs réponses…
Voilà… aussi « belle » que puisse être la condition de vie d’un animal d’élevage, l’éleveur n’intervient plus du tout à partir de son parcage à l’abattoir…
Il faut donc être capable d’assumer sa responsabilité sur les probables conditions de détention et sévices en abattoir ainsi que sur la mise à mort hypothétiquement horrible de l’être vivant dont on achète la viande…
Ce que je ne peux... plus, moi…
Je ne me réveille que depuis très récemment… et qu’est-ce que j’y fais, concrètement ?
Et bien je n’ai rien trouvé d’autre que de m’éloigner progressivement de ce mode de consommation au détriment de ma santé… A la seule raison de mon éthique qui semble différente de ceux trouvant normal de tuer dans la souffrance.
Dans une optique utopique, je pense que je me verrai plus charognard ; me nourrissant d’animaux bien traités, bien nourris, allez rêvons : sauvages, décédés de mort naturelle.
Mais nous sommes trop pour cela…
Alors dans l’attente engagée que certaines conditions changent…
Je partage ce qui, si on ne met pas le nez dedans, ne viendra jamais le crier dans votre assiette…
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Topic très intéressant ! :)
Perso, je respecte les personnes végétariens ou végan. J'aurai du mal à me passer de la viande, car je suis issu d'une famille d'agriculteurs ou la viande est le seul revenu.
Mais je suis quand même dégouté par ces gens, travaillant dans l'industrie, qui gavent les porcs, les vaches, ou même les oies, pour qu'ils finissent dans notre assiette, sans comprendre que ces animaux souffrent.
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Nous existons donc nous souffrons, alors si nous ne pouvons même pas compenser en torturant des organismes inférieure, alors notre vie perd tout son sens.
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Citation:
Nous existons donc nous souffrons, alors si nous ne pouvons même pas compenser en torturant des organismes inférieure, alors notre vie perd tout son sens.
Bienvenue... dans jungleland !
Le monde où tout le monde pense qu'à soit et où le respect n'existe pas !
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Hey J, first of all thanks mate for having my back, even though I didn't get all of what was brought about, it still feels good (for once). I've mostly been having demeaning feedbacks from this topic and since I'm sort of a sensitive boy I thus didn't bother answering bullies -#exposure- (plus I think they'll never leave if I only ask them so..)
(oh and just for fun ^^ this is just a vid of goats eating leaves, but it stil makes me jolly (since these ones won't be harmed anymore, you know...)https://www.youtube.com/watch?v=yq7v4S0Hh5w&t=271s)
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Pour les autres, je n'ai juste pas de mots. Je vous encourage à aller jeter un coup d'oeil aux ressources, si vous avez des coms constructifs à faire dessus pourquoi pas...
[Un petit mot en particulier pour ceux, comme Rudolf par exemple, qui réitèrent sans arrêt les mêmes commentaires, avec tjrs un vocabulaire plus insultant envers les animaux (et dans une moindre mesure envers moi, mes sentiments) j'aimerais dire ceci : je ne sais pas qui vous vous imaginez que je suis, un ado bien dans ses chaussures, ou avec un éternel sourire.. La vérité c'est que je suis faible et souvent triste, je me fais souvent heurté par les gens proches de moi.
Est-ce que j'ai besoin de verser des larmes pour que vous arrêtiez ?
Croyez-moi, j'ai compris votre position, c'est même plutôt clair. Moi j'aurais aimé que cet espace soit par défaut au minimum cordial envers les animaux. Eh, je sais que je suis un des seuls véganes sur ce forum, peut-être le seul. Ce que j'ai écrit, ce topic, c'est une part de mes pensées que j'ai voulu partager. J'adore écrire.
Je crois aussi que s'ouvrir aux autres c'est s'exposer à la brutalité de ceux qui restent fermés.
Rudolf c'est pas le seul. S'il vous plaît, arrêtez de poster sur ce topic. Je veux pas vous forcer à partir, je peux pas vous forcer à partir, je vous le demande gentiment. Vous faites mal.]
Re: Végétalisme, véganisme, le côté obscur de l'assiette.
Tient Olorin, vu que tu es de retour je déterre mon paragraphe du topic : j'aurais aimé avoir une réponse : (mais vu ton message précédent tu n'es pas obligé de répondre du coup) ;)
Archibald a écrit:
En fait j'ai pas mal bossé dans une ferme (avec vache je précise) qui allaient être tôt ou tard emmenées à abattoir. Je peux dire qu'elles étaient très bien traitées et qu'il n'y a jamais eu de problèmes de ce côté là.
Il faut dire que même si on n'aime pas les bêtes et qu'on a une mentalité de bénéfices et d'argent (et ce n'était pas vraiment la mentalité de l'entreprise ^^) ça serai stupide de faire autrement : si elles sont en mauvaises santé ça rapporte moins...
Bon, personnellement je les aimaient bien ces vaches : elles étaient tout à fait stupides mais très affectueuses ! Et pourtant je n'ai pas de remords. Dis comme ça ça peut paraître monstrueux mais j'ai juste l'impression de voir la vie : on élève des animaux, on les aime, on les mange.
Pareil pour les poules : dans beaucoup de villages on élève encore des poules dans les cours et les manger ne me dérange pas non plus : elles ont été très bien traitées, je dirais même mieux que certains êtres humains (même si ce n'est pas la question).
Après je comprends tous vos points de vues mais je n'arrive pas à les partager : entre manger un animal mort et une plante qui poussait, magnifique, transformée en bouillie dans une assiette, il n'y a pas de différences. C'est toujours détruire une vie pour survivre...
Je dirais que la vraie cruauté, pire qu'un abattoir ce sont les zoos. Parce que là il y a du monstrueux, je ne détaille même pas, vous savez de quoi je parle...
Il ne faut pas prendre mon paragraphe sur les microbes au sérieux, hein !
Donc, non, je ne fais pas exprès, et toi?
Parce que, pour l'aspect d'hypocrisie, une énième fois:
...
Je suis omnivore responsable dans le sens où je calcule et pèse tous mes besoins alimentaires en préférant, depuis peu, voir à la baisse pour les nutriments d’origines animales en les comblant d’un peu plus de végétaux à haut taux de protéines.
Je dis « responsable » car je ne dépasse jamais mes besoins et que, comme vous l’écrivez, je n’achète QUE des produits, entre autres, animaux, si possible, de ma région, certifiés de labels ou autres estampillages reflétant la bonne nutrition et condition de vie des animaux qu’ils étaient.
Cela reste de l’élevage, mais à notre stade « d’évolution », c’est le seul moyen d’avoir une nutrition carnée, mise à part la chasse, mais qui de nos jours urbanisés s’apparente plus à une destruction de l’écosystème sauvage encore sauvegardé....
Et donc, si ces frêles mesures sont respectées (ce que l’on ne sait jamais…) je tolère, encore aujourd’hui, ma responsabilité dans ce triste cycle de faire naître pour se nourrir, à l’achat de ma nourriture.
LE souci, qui « lui », me rebute, c’est la transition de l’animal en pâturage à la viande dans sa barquette.
A ce jour, il n’y n’a toujours qu’un numéro d’étiquetage qui renseigne sur l’abattoir ayant tué la bête. C’est bien… mais je ne connais rien de ces abattoirs… On peut trouver leurs coordonnées avec un peu de recherches… mais après… ?
Le fait est que, « ne rien connaître d’eux », devrait être une chose normale, que ce soit un métier commun ne me causant pas de tracas. Mais, si vous vous tenez au courant des actes « inhumains », pour le cas on peut bien l’appuyer, qui « dans le meilleur des mondes » auraient dû échapper aux vidéos de surveillances… comment savoir si TON numéro sur TA barquette contenant TA viande ne te porte pas « responsable silencieux » de la potentielle et atroce agonie de ce qu’était ton bout de steak ?
Un autre dégorgeoir qui en découle directement :
Il est, sauf dans de rares cas, impossible de savoir si l’animal dont on achète la viande (n’importe laquelle) a été abattu « conventionnellement » (généralement par étourdissement, qui « normalement… réussi » précédera la mise à mort] ou « saigné à vif » par rituel « casher » ou « halal ».
Même en contactant les abattoirs cachés sous les codes des étiquettes, les magazines et associations, s'étant fait passer pour des particuliers, attendent toujours leurs réponses…
Voilà… aussi « belle » que puisse être la condition de vie d’un animal d’élevage, l’éleveur n’intervient plus du tout à partir de son parcage à l’abattoir…
Il faut donc être capable d’assumer sa responsabilité sur les probables conditions de détention et sévices en abattoir ainsi que sur la mise à mort hypothétiquement horrible de l’être vivant dont on achète la viande…
Ce que je ne peux... plus, moi…
Je ne me réveille que depuis très récemment… et qu’est-ce que j’y fais, concrètement ?
Et bien je n’ai rien trouvé d’autre que de m’éloigner progressivement de ce mode de consommation au détriment de ma santé… A la seule raison de mon éthique qui semble différente de ceux trouvant normal de tuer dans la souffrance.
Dans une optique utopique, je pense que je me verrai plus charognard ; me nourrissant d’animaux bien traités, bien nourris, allez rêvons : sauvages, décédés de mort naturelle.
Mais nous sommes trop pour cela…
Alors dans l’attente engagée que certaines conditions changent…
Je partage ce qui, si on ne met pas le nez dedans, ne viendra jamais le crier dans votre assiette…
Topic très intéressant ! :)
Perso, je respecte les personnes végétariens ou végan. J'aurai du mal à me passer de la viande, car je suis issu d'une famille d'agriculteurs ou la viande est le seul revenu.
Mais je suis quand même dégouté par ces gens, travaillant dans l'industrie, qui gavent les porcs, les vaches, ou même les oies, pour qu'ils finissent dans notre assiette, sans comprendre que ces animaux souffrent.
Nous existons donc nous souffrons, alors si nous ne pouvons même pas compenser en torturant des organismes inférieure, alors notre vie perd tout son sens.
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
De masturbatione mortuorum in tumulis
Bienvenue... dans jungleland !
Le monde où tout le monde pense qu'à soit et où le respect n'existe pas !
AVEC UN SCALPEL DANS LE SCROTUM !
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
De masturbatione mortuorum in tumulis
Hey J, first of all thanks mate for having my back, even though I didn't get all of what was brought about, it still feels good (for once). I've mostly been having demeaning feedbacks from this topic and since I'm sort of a sensitive boy I thus didn't bother answering bullies -#exposure- (plus I think they'll never leave if I only ask them so..)
(oh and just for fun ^^ this is just a vid of goats eating leaves, but it stil makes me jolly (since these ones won't be harmed anymore, you know...)https://www.youtube.com/watch?v=yq7v4S0Hh5w&t=271s)
Pour les autres, je n'ai juste pas de mots. Je vous encourage à aller jeter un coup d'oeil aux ressources, si vous avez des coms constructifs à faire dessus pourquoi pas...
[Un petit mot en particulier pour ceux, comme Rudolf par exemple, qui réitèrent sans arrêt les mêmes commentaires, avec tjrs un vocabulaire plus insultant envers les animaux (et dans une moindre mesure envers moi, mes sentiments) j'aimerais dire ceci : je ne sais pas qui vous vous imaginez que je suis, un ado bien dans ses chaussures, ou avec un éternel sourire.. La vérité c'est que je suis faible et souvent triste, je me fais souvent heurté par les gens proches de moi.
Est-ce que j'ai besoin de verser des larmes pour que vous arrêtiez ?
Croyez-moi, j'ai compris votre position, c'est même plutôt clair. Moi j'aurais aimé que cet espace soit par défaut au minimum cordial envers les animaux. Eh, je sais que je suis un des seuls véganes sur ce forum, peut-être le seul. Ce que j'ai écrit, ce topic, c'est une part de mes pensées que j'ai voulu partager. J'adore écrire.
Je crois aussi que s'ouvrir aux autres c'est s'exposer à la brutalité de ceux qui restent fermés.
Rudolf c'est pas le seul. S'il vous plaît, arrêtez de poster sur ce topic. Je veux pas vous forcer à partir, je peux pas vous forcer à partir, je vous le demande gentiment. Vous faites mal.]
Tient Olorin, vu que tu es de retour je déterre mon paragraphe du topic : j'aurais aimé avoir une réponse : (mais vu ton message précédent tu n'es pas obligé de répondre du coup) ;)