Je ne suis pas sûr de comprendre, vous pouvez répéter la question? ;)
La nature de l'être humain? Sa nature est celle de l'Homo Sapiens, quoi qu'on peut souvent se demander s'il est vraiment plus "sapiens" que les autres. Ahah!
Mais l'Homo Sapiens n'est rien s'il n'est pas en société. La nature de l'être humain est donc profondément ancrée dans son univers social. L'individu n'est rien sans les autres individus. Les autres individus ne sont rien sans l'ensemble des individus. Qui disait cela? L'être humain est un animal social.
Si un jour la vie est cruelle avec moi je serai heureux de pouvoir bénéficier d'un système de santé par exemple. Parce qu'effectivement si on part de ta matrice intrinsèque prophétique et néolibérale : pour faire des économies à la mord moi le nœud, on peut le virer, c'est clair et net. Et là en plus on parle d'un minima, on sait tous qu'il y a de toute façon l'hôpital ...et la clinique, qui existent.
Je ne suis pas sûr de comprendre, vous pouvez répéter la question? ;)
Est-ce que nos sentiments sont prédestinées? Est-ce que d'avance tel sera plus intelligent que tel autre? Est-ce que les sentiments qu'on peut ressentir sont en nous a la naissance ou la société les crées-t-ils? Ce qui amène a pensé est-ce que le destin existe? Donc est-ce que dieu au sens du prédistinateur du destin de chacun éxiste? Mais on ne parlera pas de la dernière question les esprits se sont trop échauffées.
Personnellement j'ai écrit il y a quelque temps déjà, un petit recueil de pensée. Une centaine de page façon Leonardo da Vinci de toute mes réflexions. Y compris a propos de cette question de nature et plus précisément des sentiments crées par la société, datant de plusieurs millénaires ou non.
Mes écrits étant très long je serais très synthétique:
-La fierté et l'honneur, sont pour moi des sentiment du règne animal, chez les lions et compagnie pas l'Homme. Cependant je pense que l'attrait du pouvoir est un sentiment qui est dans la nature des Hommes. Cet attrait a fini par conduire au société matérialiste, capitaliste, ultra-financière, appelez comme vous voulez, que l'on connais aujourd'hui. Et ce sont ces sociétés, dès l'apparition de la monnaie, des biens d'échanges, qui ont formé le sentiment de fierté.
-La fierté de la richesse, de son pouvoir, de sa reconnaissance social, la fierté de sa petite personne. La fierté du peut de choses que l'on sais. Une seule personne "sais": citation de Platon "je ne sais qu'une seule chose c'est que je ne sais rien". IL avais compris. Nous sommes des mortels rappelez vous, la mort nous ne connaîtrons jamais ce qui s'y passe. Ce sentiment de fierté est je pense inventé par des hommes, avec un fort attrait au pouvoir, pour manipuler les autres, les rendre faibles, et violent. La fierté est aussi la pour défendre son honneur.
-L'honneur, apparu avec la religion (honoré son père, sa femme(la défendre=combat, réaction de colère inutile...), honoré le créateur...), est la pour rendre les Hommes violent. Leur faire croire que les sociétés sont rempli de mal, et que seul l'Etat peut géré tout ça. Exemple: (encore plus valable pour les français, je suis italien j'ai un regard éxtérieur avec du recul) dans le bus, un homme a le regard perdu, qui s'en faire exprès est figé sur une femme. Le mari de cette femme commence a s'énerver, "ouais qu'es'ce que tu regarde ma femme la, c'est la mienne (remarquer une nouvelle fois l'asservissement de la femme), etc...". Lhomme au regard perdu ne peut pas s'expliquer, car l'autre gueule, et n'entend aucune explication, et meme si, il n'en croirai pas un mot. Pourquoi cette réaction? Pourquoi s'énerver ainsi pour un regard?. deuxième exemple: le coup classique du oetit con "ouesh me regarde pas mal la ta un probleme la?" Mais putain de bordel de merde on vit dans un monde d'éxité, c'est quoi cette volonté de défendre son honneur, sa fierté mal placé? Ces sentiment crée pour être manipuler. Je crois vivre dans un autre monde. Personne ne me comprend quand je dis ce genre de choses. J'ai écrit mais ce n'est qu'un rêve fou d'être publiée... Lhonneur de la maison d'édition ne doit pas être bafouer par un jeune qui a pensé...
Ces deux thèmes dépendent énormément de la société dans laquelle tu vis. Dans la société confucianiste (en Chine, surtout), la piété filiale (l'un des piliers de Confucius) est quelque chose qui doit être observé et respecté absolument. Cela a pour conséquence de mettre la fierté et l'honneur au premier plan de la vie sociale. Tu te DOIS de laisser la place à une personne âgée dans l'autobus, car cette personne est plus vieille que toi.
Ces codes, ces éthiques, sont le résultat, je crois, de la vie en société.
Cependant, la fierté et l'honneur sont des instincts que nous tenons du règne animal; des choses difficilement contrôlables. Nous avons simplement mis un mot dessus, pour faire plus joli et plus "civilisé".
Je ne pense pas que l'honneur soit apparu avec la religion. En fait, je pense plutôt que la religion telle qu'on la connait aujourd'hui, s'est servi justement de l'honneur en tant que faiblesse humaine pour mieux répandre sa merde.
Pour ce qui est de l'asservissement de la femme, encore une fois, c'est une question culturelle et sociale. Ici, par exemple, les cas de machisme sont beaucoup, beaucoup plus rares. C'est quelques fois même plutôt l'inverse qui se produit.
Platon n'est pas plus brillant que les autres. Il a été chanceux, tout au plus, d'être l'un parmi tant d'autres à survivre au temps. Attention au dogmatisme...
Pour ce qui est du destin, c'est du bullshit total. Du pur charlatanisme! Il est impossible de prédire l'avenir, parce que ses variables sont bien trop grandes et diversifiées. Si je décidais, là, maintenant, de sauter en bas d'un pont, qu'est-ce qui arriverait avec ce destin? Et si je ne le faisais pas finalement? Et si je le faisais une heure plus tard? Deux heures plus tard?
Les seules choses dont nous soyons sûrs, c'est que chacun vit dans des conditions sociales prédéterminées. Le miséreux nait dans un monde misérable. Le riche nait dans un monde de richesses. À partir du moment où il en prend conscience, c'est lui et lui seul qui agit à l'intérieur de ces dernières. Il est maître de son destin, cependant sans oublier les aléas de madame la chance. Bien évidemment, pour une personne, moins chanceuse, qui nait dans un monde misérable, il sera beaucoup plus difficile d'agir socialement que pour une personne, plus chanceuse, qui nait dans un monde de richesses. La personne misérable n'arrivera probablement jamais à s'en sortir à cause de ça. Mais il ne s'agit pas d'un "destin", puisque le misérable pourra "ne pas s'en sortir" de multiples façons, si tu vois ce que je veux dire.
À conditions égales à la naissance et pendant l'enfance, deux individus, dans une même société, pourront faire ce qu'ils voudront et arriver à des résultats totalement différents l'un comme l'autre. C'est la part de chance.
Il y a une chanson de Rush qui parle de ça et que j'adore:
Bref, tout revient à la Société, à l'Animal et à la Chance.
Si vous voulez une critique un peu constructive du projet libéral dont Gio est le fervent défenseur, lisez "l'empire du moindre mal" de Jean-Claude Michéa.
Et quitte à troller un peu :p (attaques personnelles tout ça), je dirais qu'on a un peu dans ce débat la fameuse rencontre entre les trois sphères idéologiques qui gravitent dans le net comme la mouche autour du coche : la gauchosphère, la réacosphère et la libérosphère, donc.
"Comprendre l'Empire" d'Alain Soral. Il est globalement sur ma ligne.
Déjà avant de se soumettre à se dire que c'est le moins mauvais des systèmes (phrase qui annonce déjà la couleur), faut déjà comprendre comment ce système fonctionne.
Après c'est sûr que si c'est un bon livre pour gagner en instinct et devenir à minima un mouton noir, ce que le prophète argenté Néo-libérale n'est encore prêt à faire, il ne suffit pas en lui-même.
Mais je le recommande parce que le plus important en premier lieu c'est de débrider sa pensée et ses certitudes, de comprendre ses propres biais et contradictions dans le système qu'on défend généralement par le défaut car on nous le vend comme quelque de positif démocratique, pays qui n'est pas en guerre, bref pas de quoi s'affoler, sauf que cette baisse de vigilance, se détournement de la politique a incidence. C'est d'ailleurs une stratégie extrêmement intelligente qu'un système bienveillant d'apparence. Le méchant c'est le méchant, il se grille rapidement, si jamais il était bien le méchant d'ailleurs... Qu'un système qui se veut des qualités positives, là c'est terrible car c'est beaucoup plus dur de sortir de ses certitudes et du côté sécurisant de ce baratin global ayant de multiples formes.
Voilà je pense que ne serait-ce que pour développer son prisme de vision des choses, ce livre est un incontournable.
Déjà avant de se soumettre à se dire que c'est le moins mauvais des systèmes (phrase qui annonce déjà la couleur), faut déjà comprendre comment ce système fonctionne.
Et quitte à ne pas aller bien loin, autant lire au moins la quatrième de couverture...
En plus Soral a souvent cité lui-même Michéa dans sa critique du libéralisme...l'outrance, les doubles-discours, l'esprit de provocation et les gros sabots intellectuels en plus.
Juste pour dire que la Chance n'existe pas, comme le hasard, prenez une configuration à 100% identique de départ lors du départ de la machine à boule d'une loterie, le tout en gardant les paramètres durant toute l'action identiques, le résultat sera le même.
Ce sont juste des paramétres qui changent tellement rapidement (ici à cause de la pression de l'air, du placement d'origine des boules etc..)et qui évoluent qui vont donner un résultat différent.
Selon moi le hasard existe et les hommes négligent d'ailleurs souvent socialement ce facteur, pensant être maître de leur destin, de leur croyances et attributions. Or c'est beaucoup moins logique et maîtrisé qu'on ne peut le penser.
Je ne suis pas sûr de comprendre, vous pouvez répéter la question? ;)
La nature de l'être humain? Sa nature est celle de l'Homo Sapiens, quoi qu'on peut souvent se demander s'il est vraiment plus "sapiens" que les autres. Ahah!
Mais l'Homo Sapiens n'est rien s'il n'est pas en société. La nature de l'être humain est donc profondément ancrée dans son univers social. L'individu n'est rien sans les autres individus. Les autres individus ne sont rien sans l'ensemble des individus. Qui disait cela? L'être humain est un animal social.
Tant mieux^^
Si un jour la vie est cruelle avec moi je serai heureux de pouvoir bénéficier d'un système de santé par exemple. Parce qu'effectivement si on part de ta matrice intrinsèque prophétique et néolibérale : pour faire des économies à la mord moi le nœud, on peut le virer, c'est clair et net. Et là en plus on parle d'un minima, on sait tous qu'il y a de toute façon l'hôpital ...et la clinique, qui existent.
Mon Analyse Philosophique de Majora's Mask.
Est-ce que nos sentiments sont prédestinées? Est-ce que d'avance tel sera plus intelligent que tel autre? Est-ce que les sentiments qu'on peut ressentir sont en nous a la naissance ou la société les crées-t-ils? Ce qui amène a pensé est-ce que le destin existe? Donc est-ce que dieu au sens du prédistinateur du destin de chacun éxiste? Mais on ne parlera pas de la dernière question les esprits se sont trop échauffées.
Personnellement j'ai écrit il y a quelque temps déjà, un petit recueil de pensée. Une centaine de page façon Leonardo da Vinci de toute mes réflexions. Y compris a propos de cette question de nature et plus précisément des sentiments crées par la société, datant de plusieurs millénaires ou non.
Mes écrits étant très long je serais très synthétique:
-La fierté et l'honneur, sont pour moi des sentiment du règne animal, chez les lions et compagnie pas l'Homme. Cependant je pense que l'attrait du pouvoir est un sentiment qui est dans la nature des Hommes. Cet attrait a fini par conduire au société matérialiste, capitaliste, ultra-financière, appelez comme vous voulez, que l'on connais aujourd'hui. Et ce sont ces sociétés, dès l'apparition de la monnaie, des biens d'échanges, qui ont formé le sentiment de fierté.
-La fierté de la richesse, de son pouvoir, de sa reconnaissance social, la fierté de sa petite personne. La fierté du peut de choses que l'on sais. Une seule personne "sais": citation de Platon "je ne sais qu'une seule chose c'est que je ne sais rien". IL avais compris. Nous sommes des mortels rappelez vous, la mort nous ne connaîtrons jamais ce qui s'y passe. Ce sentiment de fierté est je pense inventé par des hommes, avec un fort attrait au pouvoir, pour manipuler les autres, les rendre faibles, et violent. La fierté est aussi la pour défendre son honneur.
-L'honneur, apparu avec la religion (honoré son père, sa femme(la défendre=combat, réaction de colère inutile...), honoré le créateur...), est la pour rendre les Hommes violent. Leur faire croire que les sociétés sont rempli de mal, et que seul l'Etat peut géré tout ça. Exemple: (encore plus valable pour les français, je suis italien j'ai un regard éxtérieur avec du recul) dans le bus, un homme a le regard perdu, qui s'en faire exprès est figé sur une femme. Le mari de cette femme commence a s'énerver, "ouais qu'es'ce que tu regarde ma femme la, c'est la mienne (remarquer une nouvelle fois l'asservissement de la femme), etc...". Lhomme au regard perdu ne peut pas s'expliquer, car l'autre gueule, et n'entend aucune explication, et meme si, il n'en croirai pas un mot. Pourquoi cette réaction? Pourquoi s'énerver ainsi pour un regard?. deuxième exemple: le coup classique du oetit con "ouesh me regarde pas mal la ta un probleme la?" Mais putain de bordel de merde on vit dans un monde d'éxité, c'est quoi cette volonté de défendre son honneur, sa fierté mal placé? Ces sentiment crée pour être manipuler. Je crois vivre dans un autre monde. Personne ne me comprend quand je dis ce genre de choses. J'ai écrit mais ce n'est qu'un rêve fou d'être publiée... Lhonneur de la maison d'édition ne doit pas être bafouer par un jeune qui a pensé...
Ces deux thèmes dépendent énormément de la société dans laquelle tu vis. Dans la société confucianiste (en Chine, surtout), la piété filiale (l'un des piliers de Confucius) est quelque chose qui doit être observé et respecté absolument. Cela a pour conséquence de mettre la fierté et l'honneur au premier plan de la vie sociale. Tu te DOIS de laisser la place à une personne âgée dans l'autobus, car cette personne est plus vieille que toi.
Ces codes, ces éthiques, sont le résultat, je crois, de la vie en société.
Cependant, la fierté et l'honneur sont des instincts que nous tenons du règne animal; des choses difficilement contrôlables. Nous avons simplement mis un mot dessus, pour faire plus joli et plus "civilisé".
Je ne pense pas que l'honneur soit apparu avec la religion. En fait, je pense plutôt que la religion telle qu'on la connait aujourd'hui, s'est servi justement de l'honneur en tant que faiblesse humaine pour mieux répandre sa merde.
Pour ce qui est de l'asservissement de la femme, encore une fois, c'est une question culturelle et sociale. Ici, par exemple, les cas de machisme sont beaucoup, beaucoup plus rares. C'est quelques fois même plutôt l'inverse qui se produit.
Platon n'est pas plus brillant que les autres. Il a été chanceux, tout au plus, d'être l'un parmi tant d'autres à survivre au temps. Attention au dogmatisme...
Pour ce qui est du destin, c'est du bullshit total. Du pur charlatanisme! Il est impossible de prédire l'avenir, parce que ses variables sont bien trop grandes et diversifiées. Si je décidais, là, maintenant, de sauter en bas d'un pont, qu'est-ce qui arriverait avec ce destin? Et si je ne le faisais pas finalement? Et si je le faisais une heure plus tard? Deux heures plus tard?
Les seules choses dont nous soyons sûrs, c'est que chacun vit dans des conditions sociales prédéterminées. Le miséreux nait dans un monde misérable. Le riche nait dans un monde de richesses. À partir du moment où il en prend conscience, c'est lui et lui seul qui agit à l'intérieur de ces dernières. Il est maître de son destin, cependant sans oublier les aléas de madame la chance. Bien évidemment, pour une personne, moins chanceuse, qui nait dans un monde misérable, il sera beaucoup plus difficile d'agir socialement que pour une personne, plus chanceuse, qui nait dans un monde de richesses. La personne misérable n'arrivera probablement jamais à s'en sortir à cause de ça. Mais il ne s'agit pas d'un "destin", puisque le misérable pourra "ne pas s'en sortir" de multiples façons, si tu vois ce que je veux dire.
À conditions égales à la naissance et pendant l'enfance, deux individus, dans une même société, pourront faire ce qu'ils voudront et arriver à des résultats totalement différents l'un comme l'autre. C'est la part de chance.
Il y a une chanson de Rush qui parle de ça et que j'adore:
Bref, tout revient à la Société, à l'Animal et à la Chance.
Si vous voulez une critique un peu constructive du projet libéral dont Gio est le fervent défenseur, lisez "l'empire du moindre mal" de Jean-Claude Michéa.
Et quitte à troller un peu :p (attaques personnelles tout ça), je dirais qu'on a un peu dans ce débat la fameuse rencontre entre les trois sphères idéologiques qui gravitent dans le net comme la mouche autour du coche : la gauchosphère, la réacosphère et la libérosphère, donc.
Je vous recommande plutôt :
"Comprendre l'Empire" d'Alain Soral. Il est globalement sur ma ligne.
Déjà avant de se soumettre à se dire que c'est le moins mauvais des systèmes (phrase qui annonce déjà la couleur), faut déjà comprendre comment ce système fonctionne.
Après c'est sûr que si c'est un bon livre pour gagner en instinct et devenir à minima un mouton noir, ce que le prophète argenté Néo-libérale n'est encore prêt à faire, il ne suffit pas en lui-même.
Mais je le recommande parce que le plus important en premier lieu c'est de débrider sa pensée et ses certitudes, de comprendre ses propres biais et contradictions dans le système qu'on défend généralement par le défaut car on nous le vend comme quelque de positif démocratique, pays qui n'est pas en guerre, bref pas de quoi s'affoler, sauf que cette baisse de vigilance, se détournement de la politique a incidence. C'est d'ailleurs une stratégie extrêmement intelligente qu'un système bienveillant d'apparence. Le méchant c'est le méchant, il se grille rapidement, si jamais il était bien le méchant d'ailleurs... Qu'un système qui se veut des qualités positives, là c'est terrible car c'est beaucoup plus dur de sortir de ses certitudes et du côté sécurisant de ce baratin global ayant de multiples formes.
Voilà je pense que ne serait-ce que pour développer son prisme de vision des choses, ce livre est un incontournable.
Mon Analyse Philosophique de Majora's Mask.
Et quitte à ne pas aller bien loin, autant lire au moins la quatrième de couverture...
En plus Soral a souvent cité lui-même Michéa dans sa critique du libéralisme...l'outrance, les doubles-discours, l'esprit de provocation et les gros sabots intellectuels en plus.
Juste pour dire que la Chance n'existe pas, comme le hasard, prenez une configuration à 100% identique de départ lors du départ de la machine à boule d'une loterie, le tout en gardant les paramètres durant toute l'action identiques, le résultat sera le même.
Ce sont juste des paramétres qui changent tellement rapidement (ici à cause de la pression de l'air, du placement d'origine des boules etc..)et qui évoluent qui vont donner un résultat différent.
On peut même manipuler la chance dans les TAS ^^. La chance c'est pour les perdants ;p
Selon moi le hasard existe et les hommes négligent d'ailleurs souvent socialement ce facteur, pensant être maître de leur destin, de leur croyances et attributions. Or c'est beaucoup moins logique et maîtrisé qu'on ne peut le penser.
Mon Analyse Philosophique de Majora's Mask.