J'ai vu toute sa filmo. Il a pas encore un très long palmarès en tant que réal' mais c'est assez intéressant ce qu'il fait, je trouve.
Parait que la série DEVS est pas mal non plus.
C'est à la fois une critique acerbe, une mise en image de la lutte des classes ainsi qu'une histoire d'amour obsessionnel, c'est beau, c'est juste, c'est fou, c'est presque parfait... et puis... il y a les 10 dernières minutes.
Et ces 10 dernières minutes viennent se fracasser contre tout le reste du film et renient tout ce qui a été montré jusque là, annihilant la critique sociale, enterrant l'histoire d'amour sous une idée grotesque et totalement invraisemblable, nous donnant l'impression que la réalisatrice n'a pas assumé son propos et a décidé au dernier moment de nous la faire à l'envers, levant fièrement le majeur vers nous.
J'ai trouvé aussi que c'était assez grossièrement fait.
Personnellement, d'une part, j'ai eu l'impression qu'elle a voulu absolument que son film soit un thriller et a "bricolé" cette fin pour que ça rentre dans cette case. Et d'autre part, peut-être nous surprendre en nous prenant à revers du style :
Spoiler ▼▲
"Ah-ah! Vous pensiez que je voulais juste taper sur les méchants riches, mais regardez, mon propos n'est pas manichéen, Oliver ne vaut pas mieux dans son genre". Sauf que, ça n'était pas la peine d'aller jusqu'à cette extrémité de la préméditation de tout et jusqu’au meurtre, le film n'est déjà pas manichéen et il montre déjà clairement qu'Oliver n'est pas un ange innocent tombé du ciel.
Au final, je dirais qu'on assiste potentiellement à une sorte de dissonance et mouais, avait-elle peur d'être étiquetée gauchiste ? :v
En plus de trouver cette fin assez peu subtile ( euphémisme ) et pas du tout originale, j'ai eu beaucoup de mal à croire à ce dénouement, en fait.
La réalisatrice étant issue d'un milieu apparemment bourgeois très aisé
Okidoki, je ne savais pas ( je suis allée vérifier et apparemment son père est dans les bijoux ).
J'imagine que ça reste potentiellement plus difficile de taper sur son milieu d'origine ou si on le fait, sans essayer de contrebraquer pour compenser une critique acerbe qu'on a pu formuler par ailleurs.
Mais, elle aurait pu. Dommage :v
Ca m'a fait rire... C'est Jack Black c'est bon enfant comme le clip qu'ils ont tourné vite fait :
Sell kids for food
Parait que la série DEVS est pas mal non plus.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
J'avoue trouver cette version plutôt cool aha
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
J'ai vu SALTBURN.
Nico a écrit :
Personnellement, d'une part, j'ai eu l'impression qu'elle a voulu absolument que son film soit un thriller et a "bricolé" cette fin pour que ça rentre dans cette case. Et d'autre part, peut-être nous surprendre en nous prenant à revers du style :
En plus de trouver cette fin assez peu subtile ( euphémisme ) et pas du tout originale, j'ai eu beaucoup de mal à croire à ce dénouement, en fait.
Ce gâchis °L°
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
La réalisatrice étant issue d'un milieu apparemment bourgeois très aisé, j'imagine qu'il était difficile pour elle d'assumer taper sur ledit milieu ^^
Clairement, on n'y croit pas un seul instant. Y a rien qui va dans cette fin.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Ca veut rien dire normalement ;)
Combien de déshérités votent pour le bloc bourgeois (si on prend l'inverse :p) ??
S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu.
J'imagine que ça reste potentiellement plus difficile de taper sur son milieu d'origine ou si on le fait, sans essayer de contrebraquer pour compenser une critique acerbe qu'on a pu formuler par ailleurs.
Mais, elle aurait pu. Dommage :v
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Je trouve pas, mais en même temps, comme tu le sais, je suis un transfuge de classe mais pas dans le bon sens mdrrrr xD
S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Voilà loul ^^
S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu.