carnegieCARLIN
Pas de site web.
Curriculum vitae : Heum... C’est bien gênant.
Ma Muse à fée verte s'est barrée avec mon voisin de palier, un homme charmant - docker allemand de son état - à en croire la commère de Windsord qui me sert de logeuse. Résultat : Manque cruellement d'inspiration en fin de soirée pour blablater sur la vie, l'amour, les vaches. Le spleen dans les narines, l'ataraxie dans les chaussettes, j'arrache ma plus belle plume à bille et griffone d'une écriture automatique une solution miraculeuse et envisageable (et plausible !) : penser à acheter un filet à papillon à cette tête de Beatles de Terry - qui vient d'ouvrir son magasin au dessus des gratte-ciels - pour qu'en fin de soirée, mes p'tites jambes puissent vagabonder au quatres coins des rues de France avec dans l'idée et l'ésprit déterminé (et filet upgradé !) de capturer avec grande fourberie une autre gonzesse qui vole. " Hey ! Lisen ! Hey ! Watch ou... "
Sait-on jamais près d'une église aux formes romanes, d'une Sainte gothique, c'est peut-être des bons coins pour ces choses là. Les curés de tout bâbord sont bien des magiciens, des Gandalf des temps modernes, ils ont la panoplie et les grigris : la soutane éminemment spirituelle, le crucifix qui rebute n'imporporte quel "children of the night", un gros livre de sorts mystiques et bien d'autres joyeuseutés dans leur besace.
En tout cas, je vais probablement intriguer les dévots et les bigots avec mes élucubrations fantasques ; dans le meilleur des mondes, ça fera une attraction de plus dans ces endroits de prêche chantant dans l'obscurité, de Saint-Jacques-de-Compostelle, en passant par Lourdes, pour finir à la Basilique Saint-Michel - enfin bref ! -, je vous tiendrai au courant de ma recherche fantaisiste qui n'a décidément, ni queue, ni tête.
Amicalement, carnegieCARLIN : 27 ans, caucasien, châtain des oreilles, vibrisses (moustaches) de tailles variables, blazer, chemise blanche, mocassins à clochettes mais pas de Rolex au poignet... Ô rage ! Ô désespoire ! Ô vieillesse ennemie ! Difficile de se défère des colifichets clinquants... N'empêche, il me reste mon polochon Goomba et les jeux vidéo pour me consoler de cette triste infortune. ;p
Post-scriptum. Inspiré d’événements et d’un personnage semi-historique réel. Cette œuvre de fiction a été conçue, développée et produite par un idiot multiculturel de confusions et croyances diverses "je-m‘en-foutisme"...
Post-Post-scriptum. Je me suis un peu (beaucoup !) inspiré des Hooper de Mister Daft, l’artiste officiel. Sans rancune. ;)