Pas besoin d'être blessé par ce sinistre imbécile, il s'en prend à tout le monde de la même façon, je ne suis même pas sur qu'il était conscient de ce qu'il écrivait, il posait juste sa m*rde et l'oubliait 2 secondes après.
Waaah y'a des gens sur Rouen aux pages précédentes, c'est assez rare pour être souligné, j'ai souvent l'impression d'être le seul internaute paumé du nord de la France... \o/
J'espère vraiment ne pas faire (trop!) peur à Doudoud sinon, mais moi le lycée a été de loin ma pire période. Le collège ça allait tranquille, je crois que j'étais trop dans la lune pour réaliser à quel point j'étais un cas social, mais au lycée, ça a commencé à peser. Déjà, tous mes """"""""amis"""""""" m'ont lâché purement et simplement, sans prévenir, dès le premier jour. J'ai naïvement essayé de rester proche d'eux jusqu'en Décembre avant de laisser tomber, je suis tombé de haut. J'imagine qu'ils me trouvaient trop "immature" pour eux maintenant, j'étais assez bizarre, je jouais avec mes affaires, j'inventais des histoires avec mes gommes et mes crayons... fin bref, ils ont du vouloir prendre un nouveau départ, s'agirait pas que je ternisse leur nouvelle réputation. C'est là que je suis tombé en dépression, vu que je n'avais absolument plus personne à qui parler, et que je n'arrivais pas à me faire le moindre ami. C'est aussi là que j'ai laissé tomber niveau scolaire, plus de motivation, plus envie de vivre, etc.
Je parle pour moi sinon hein, je sais pas si tu es du genre bizarre et dans ton monde, m'enfin... L'autre soucis au lycée, c'est que (selon moi, again), la marche est haute, on fait un énorme bond en avant vers la vie active, vers l'âge adulte, et ça peut faire peur. On attend beaucoup plus d'autonomie, et pas qu'au niveau du travail, faut se prendre en main, faire des choix... ça va assez vite, et je sais que moi j'étais loin d'être prêt à ça (et je le suis toujours pas à vrai dire). De même, et là encore je parle surtout pour ceux qui me ressemblent (si il y en a é_è), si effectivement les gens sont plus matures, et donc sont moins cons avec toi, on t'embête moins... l'aspect social prend beaucoup plus d'importance. On est plus enfant, on a plus cette "excuse", il est question de bien se tenir, il faut apprendre à vivre en société, et rentrer dans le moule. Si en primaire et au collège être différent c'est synonyme d'être enquiquiné par les petites brutes, au lycée c'est peut-être pire, si tu es trop différent, tu es laissé de côté purement et simplement. Personne même pour te taquiner et reconnaître que tu existes, tu es seul, tu n'as le droit qu'a des regards curieux et impersonnels.
Perso ça a été (et c'est toujours) une énorme pression sociale, on est vite etouffé par la masse, et si on ne désire pas ou si on ne parvient pas à s'intégrer, ça peut être très dur à vivre. Pour moi ce qui a clairement été le plus écrasant c'est l'amour, parce qu'au lycée tu as des couples dégoulinant qui envahissent les couloirs, dans la classe la plupart des élèves sont avec quelqu'un, tout le monde est amoureux, etc... Et ne pas vivre ça, ne pas connaître la moindre expérience de la sorte, devoir supporter les autres dans la même situation... c'était même pas vraiment de la jalousie, c'était une vraie détresse, je comprenais pas du tout ce qui faisait de moi un truc aussi repoussant, je comprenais pas pourquoi je recevais tous ces regards dégoûtés, c'est vraiment là que j'ai réalisé que j'étais à des kilomètres du "moule", que j'étais vraiment trop différent, et c'est ce qui m'a le plus plombé. Ca me suit encore aujourd'hui, et pas qu'un peu, c'est ancré dans mon subconscient, je ne peux toujours pas regarder la moindre scène amoureuse à la télé ou ailleurs, j'ai toujours énormément de mal à accepter le fait que je n'ai jamais été aimé (et que je ne le serais jamais, ça va de paire dans ma tête)... ça me réveille encore la nuit, dès qu'en rêve je suis avec quelqu'un, ou que ça vire érotique (bah oui, ça arrive), j'ai une voix qui me réveille, en me hurlant que c'est impossible, que je rêve forcément. Ca alors que j'ai pourtant eu une """copine""" récemment, mais vu qu'elle était mythomane et qu'elle se prenait d'affection pour absolument TOUS les garçons qu'elle cottoyait... disons que ça change pas grand-chose.
Enfin bref, je suis désolé de toujours faire de gros pavés dès que je réponds sur ce topic, et je suis aussi désolé si je te fais peur, Doudoud, mais moi aussi on m'a répété que ce serait mieux au lycée, et au final, ça a été tout l'inverse... Donc je te dirais de rester sur tes gardes (même si c'est con comme conseil, je sais hein xD) tout de même, et de faire ton possible pour te faire un maximum d'amis là-bas. Ah et oublie les homer lemat et autres... Ca je dois avouer que je suis plutôt fier de moi, je sais pas comment c'est venu (sans doute durant ma phase de grave dépression, où c'était le dernier de mes soucis), mais j'ai la capacité d'ignorer ou même de rire des crétins de son espèce. Ca me fait absolument rien, je sais reconnaître un con quand j'en vois un, et quand je sais que la personne ne sait pas de quoi elle parle, je vois pas pourquoi ça m'affecterait. x)
C'est la mentalité à avoir je pense, ne pas être abattu ou énervé par les remarques de la sorte, mais ne rien en avoir à faire. Y'aura toujours des gens pour dire des bêtises blessantes, parfois même uniquement pour blesser, c'est triste mais c'est comme ça. C'est peut-être une attitude un peu hautaine qu'il faut adopter, quand on y réfléchit. Se dire "je vaux mieux que ça, j'ai pas à leur accorder d'attention". :3
Moi franchement il m'a fait rire homer lemat, particulièrement pitoyable sur certains aspects (c'est triste de penser que son grand accomplissement sur ce forum c'était un topic de 200 pages, et que ça lui importait vraiment, doit pas avoir une vie très passionante), mais fun tout de même. C'est comme regarder une mouche se cogner bêtement dans les murs... un amusement sadique vous pouvez dire. xD
C'est bizarre parce que ce que tu as ressenti au lycée, moi je l'ai ressenti au collège. Tout est faux au collège, les amis, les compliments, tout ça c'est du bidon. Au lycée c'est une autre mentalité.
Quand je suis rentrée en 2nd pro, j'avais une "copine" avec qui je restait au collège, et elle m'a laissé tombé comme une merde. Elle s'est empressé d'aller faire copain copine avec les autres de la classe et moi je me suis retrouvée toute seule. Mais, contrairement au collège, je n'ai pas subit de commentaires désobligeants ou ce genre de choses. Au bout de quelques mois j'ai réussis (je ne sais pas comment) a me faire des copines. Je restait avec elles et au fur et a mesure j'ai vu que je délirais bien avec elles et que j'oubliais un peu mes problèmes. Je suis ensuite passée en terminale pro et c'était encore plus facile car j'étais dans la même classe. Je suis devenue copine avec beaucoup de gens de la classe et j'étais même celle qui sortait des blagues pour faire rire les autres. Je suis vraiment quelqu'un d'autre quand je suis seule et quand je suis avec des amis. Mais tout a une fin :/ Après avoir passé mon BEP, je ne savais absolument pas quoi faire. J'ai laissé passé un an à rien faire de mes journées avant de décider de reprendre tout a zéro. J'ai repris en 2nd générale et tout recommençait comme avant. J'avais tellement peur d'être laissée de coté vu que j'étais plus grande que les autres. J'ai du passé un tiers de l'année toute seule, à manger toute seule. Et au bout d'un moment, quelques filles de ma classe sont venus vers moi. Elles me disaient d'aller avec elles et tout ça. Ca m'a vraiment fait plaisir. J'ai eu un peu de mal au début et ensuite j'étais tout le temps avec elles. J'avais réussi à me faire des amies. Et cette fois c'était des vraies amies, pas comme au collège.Je délirait bien. J'ai été beaucoup soutenu par ma prof principal qui était très touchée par mon cas. Elle m'a beaucoup soutenu.
Pour l'année prochaine, j'ai décidé d'aller en filière scientifique, ce qui aurai été impensable il y a quelques années. Au fil de cette année de seconde, j'ai pris confiance en moi. Je me suis dit que je pouvais très bien réussir dans cette filière (malgré mon connard de prof de maths qui n’arrêtait pas de me démoraliser) alors j'ai foncé. Et j'ai été accepté sans aucun soucis. Bref c'était un 3615 :p
Ah purée, j'ai les yeux humides et plein d'eau, pour l'instant ça ne coule pas ....
Le pire c'est que je me dit qu'il y aura bien pire dans la vie. De toute façon, vous vous en êtes tous ressortis vivants, je ne vois pas pourquoi moi j'y resterai ; c'est le lot de tout le monde. Mais inutile de vous attarder sur moi, vous devez peut-être vous dire "elle a peur pour ça, mais elle fera pas long feu dans la vraie vie".
En ce qui concerne les situations amoureuses, je ne me fais pas trop d'illusions ; les garçons ne me parle jamais (pire, il me lance des regards l'air de dire : elle fout quoi ici, celle là ? ) et puis de toute façon je ne suis jamais tombée amoureuse, je connais même pas le sensation que ça donne, donc ....
En tout cas, merci à vous les amies et les amis, je ne le dirai jamais assez.
En fait le truc c'est que je me mettait vachement la pression toute seule. Il faut pas se poser de questions, voila tout ^^
Citation:
vous devez vous dire "elle a peur pour ça"
Non, je ne me dis pas ça du tout. Rassure toi :) Je sais que c'est un énorme pas en avant de rentrer au lycée. Je n'avais pas les épaules pour ça. Mais maintenant je pense les avoir. Ou du moins plus qu'avant.
Ca m'a vexé aussi ce qu'a dit ce mec. Mais franchement il puait le troll a 3km. Il pensait peut être même pas ce qu'il disait. Il faut l'ignorer :)
Il a enfin été ban d'ailleurs, enfin :p
Don't worry, Be happy
homer pensait ce qu'il disait, il était imbu de sa personne et était égocentrique. pas de ressentit pour les autres.
pour quelqu'un comme moi qui souffre de ce ressenti, c'était un idole.
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Tu m'as tuée :p
Tant mieux s'il a été ban, c'est purement et simplement quelqu'un de sadique qui ne pensent qu'à blesser et à faire du mal aux gens.
Pas besoin d'être blessé par ce sinistre imbécile, il s'en prend à tout le monde de la même façon, je ne suis même pas sur qu'il était conscient de ce qu'il écrivait, il posait juste sa m*rde et l'oubliait 2 secondes après.
Waaah y'a des gens sur Rouen aux pages précédentes, c'est assez rare pour être souligné, j'ai souvent l'impression d'être le seul internaute paumé du nord de la France... \o/
J'espère vraiment ne pas faire (trop!) peur à Doudoud sinon, mais moi le lycée a été de loin ma pire période. Le collège ça allait tranquille, je crois que j'étais trop dans la lune pour réaliser à quel point j'étais un cas social, mais au lycée, ça a commencé à peser. Déjà, tous mes """"""""amis"""""""" m'ont lâché purement et simplement, sans prévenir, dès le premier jour. J'ai naïvement essayé de rester proche d'eux jusqu'en Décembre avant de laisser tomber, je suis tombé de haut. J'imagine qu'ils me trouvaient trop "immature" pour eux maintenant, j'étais assez bizarre, je jouais avec mes affaires, j'inventais des histoires avec mes gommes et mes crayons... fin bref, ils ont du vouloir prendre un nouveau départ, s'agirait pas que je ternisse leur nouvelle réputation. C'est là que je suis tombé en dépression, vu que je n'avais absolument plus personne à qui parler, et que je n'arrivais pas à me faire le moindre ami. C'est aussi là que j'ai laissé tomber niveau scolaire, plus de motivation, plus envie de vivre, etc.
Je parle pour moi sinon hein, je sais pas si tu es du genre bizarre et dans ton monde, m'enfin... L'autre soucis au lycée, c'est que (selon moi, again), la marche est haute, on fait un énorme bond en avant vers la vie active, vers l'âge adulte, et ça peut faire peur. On attend beaucoup plus d'autonomie, et pas qu'au niveau du travail, faut se prendre en main, faire des choix... ça va assez vite, et je sais que moi j'étais loin d'être prêt à ça (et je le suis toujours pas à vrai dire). De même, et là encore je parle surtout pour ceux qui me ressemblent (si il y en a é_è), si effectivement les gens sont plus matures, et donc sont moins cons avec toi, on t'embête moins... l'aspect social prend beaucoup plus d'importance. On est plus enfant, on a plus cette "excuse", il est question de bien se tenir, il faut apprendre à vivre en société, et rentrer dans le moule. Si en primaire et au collège être différent c'est synonyme d'être enquiquiné par les petites brutes, au lycée c'est peut-être pire, si tu es trop différent, tu es laissé de côté purement et simplement. Personne même pour te taquiner et reconnaître que tu existes, tu es seul, tu n'as le droit qu'a des regards curieux et impersonnels.
Perso ça a été (et c'est toujours) une énorme pression sociale, on est vite etouffé par la masse, et si on ne désire pas ou si on ne parvient pas à s'intégrer, ça peut être très dur à vivre. Pour moi ce qui a clairement été le plus écrasant c'est l'amour, parce qu'au lycée tu as des couples dégoulinant qui envahissent les couloirs, dans la classe la plupart des élèves sont avec quelqu'un, tout le monde est amoureux, etc... Et ne pas vivre ça, ne pas connaître la moindre expérience de la sorte, devoir supporter les autres dans la même situation... c'était même pas vraiment de la jalousie, c'était une vraie détresse, je comprenais pas du tout ce qui faisait de moi un truc aussi repoussant, je comprenais pas pourquoi je recevais tous ces regards dégoûtés, c'est vraiment là que j'ai réalisé que j'étais à des kilomètres du "moule", que j'étais vraiment trop différent, et c'est ce qui m'a le plus plombé. Ca me suit encore aujourd'hui, et pas qu'un peu, c'est ancré dans mon subconscient, je ne peux toujours pas regarder la moindre scène amoureuse à la télé ou ailleurs, j'ai toujours énormément de mal à accepter le fait que je n'ai jamais été aimé (et que je ne le serais jamais, ça va de paire dans ma tête)... ça me réveille encore la nuit, dès qu'en rêve je suis avec quelqu'un, ou que ça vire érotique (bah oui, ça arrive), j'ai une voix qui me réveille, en me hurlant que c'est impossible, que je rêve forcément. Ca alors que j'ai pourtant eu une """copine""" récemment, mais vu qu'elle était mythomane et qu'elle se prenait d'affection pour absolument TOUS les garçons qu'elle cottoyait... disons que ça change pas grand-chose.
Enfin bref, je suis désolé de toujours faire de gros pavés dès que je réponds sur ce topic, et je suis aussi désolé si je te fais peur, Doudoud, mais moi aussi on m'a répété que ce serait mieux au lycée, et au final, ça a été tout l'inverse... Donc je te dirais de rester sur tes gardes (même si c'est con comme conseil, je sais hein xD) tout de même, et de faire ton possible pour te faire un maximum d'amis là-bas. Ah et oublie les homer lemat et autres... Ca je dois avouer que je suis plutôt fier de moi, je sais pas comment c'est venu (sans doute durant ma phase de grave dépression, où c'était le dernier de mes soucis), mais j'ai la capacité d'ignorer ou même de rire des crétins de son espèce. Ca me fait absolument rien, je sais reconnaître un con quand j'en vois un, et quand je sais que la personne ne sait pas de quoi elle parle, je vois pas pourquoi ça m'affecterait. x)
C'est la mentalité à avoir je pense, ne pas être abattu ou énervé par les remarques de la sorte, mais ne rien en avoir à faire. Y'aura toujours des gens pour dire des bêtises blessantes, parfois même uniquement pour blesser, c'est triste mais c'est comme ça. C'est peut-être une attitude un peu hautaine qu'il faut adopter, quand on y réfléchit. Se dire "je vaux mieux que ça, j'ai pas à leur accorder d'attention". :3
Moi franchement il m'a fait rire homer lemat, particulièrement pitoyable sur certains aspects (c'est triste de penser que son grand accomplissement sur ce forum c'était un topic de 200 pages, et que ça lui importait vraiment, doit pas avoir une vie très passionante), mais fun tout de même. C'est comme regarder une mouche se cogner bêtement dans les murs... un amusement sadique vous pouvez dire. xD
oups bug :/
C'est bizarre parce que ce que tu as ressenti au lycée, moi je l'ai ressenti au collège. Tout est faux au collège, les amis, les compliments, tout ça c'est du bidon. Au lycée c'est une autre mentalité.
Quand je suis rentrée en 2nd pro, j'avais une "copine" avec qui je restait au collège, et elle m'a laissé tombé comme une merde. Elle s'est empressé d'aller faire copain copine avec les autres de la classe et moi je me suis retrouvée toute seule. Mais, contrairement au collège, je n'ai pas subit de commentaires désobligeants ou ce genre de choses. Au bout de quelques mois j'ai réussis (je ne sais pas comment) a me faire des copines. Je restait avec elles et au fur et a mesure j'ai vu que je délirais bien avec elles et que j'oubliais un peu mes problèmes. Je suis ensuite passée en terminale pro et c'était encore plus facile car j'étais dans la même classe. Je suis devenue copine avec beaucoup de gens de la classe et j'étais même celle qui sortait des blagues pour faire rire les autres. Je suis vraiment quelqu'un d'autre quand je suis seule et quand je suis avec des amis. Mais tout a une fin :/ Après avoir passé mon BEP, je ne savais absolument pas quoi faire. J'ai laissé passé un an à rien faire de mes journées avant de décider de reprendre tout a zéro. J'ai repris en 2nd générale et tout recommençait comme avant. J'avais tellement peur d'être laissée de coté vu que j'étais plus grande que les autres. J'ai du passé un tiers de l'année toute seule, à manger toute seule. Et au bout d'un moment, quelques filles de ma classe sont venus vers moi. Elles me disaient d'aller avec elles et tout ça. Ca m'a vraiment fait plaisir. J'ai eu un peu de mal au début et ensuite j'étais tout le temps avec elles. J'avais réussi à me faire des amies. Et cette fois c'était des vraies amies, pas comme au collège.Je délirait bien. J'ai été beaucoup soutenu par ma prof principal qui était très touchée par mon cas. Elle m'a beaucoup soutenu.
Pour l'année prochaine, j'ai décidé d'aller en filière scientifique, ce qui aurai été impensable il y a quelques années. Au fil de cette année de seconde, j'ai pris confiance en moi. Je me suis dit que je pouvais très bien réussir dans cette filière (malgré mon connard de prof de maths qui n’arrêtait pas de me démoraliser) alors j'ai foncé. Et j'ai été accepté sans aucun soucis. Bref c'était un 3615 :p
Ah purée, j'ai les yeux humides et plein d'eau, pour l'instant ça ne coule pas ....
Le pire c'est que je me dit qu'il y aura bien pire dans la vie. De toute façon, vous vous en êtes tous ressortis vivants, je ne vois pas pourquoi moi j'y resterai ; c'est le lot de tout le monde. Mais inutile de vous attarder sur moi, vous devez peut-être vous dire "elle a peur pour ça, mais elle fera pas long feu dans la vraie vie".
En ce qui concerne les situations amoureuses, je ne me fais pas trop d'illusions ; les garçons ne me parle jamais (pire, il me lance des regards l'air de dire : elle fout quoi ici, celle là ? ) et puis de toute façon je ne suis jamais tombée amoureuse, je connais même pas le sensation que ça donne, donc ....
En tout cas, merci à vous les amies et les amis, je ne le dirai jamais assez.
En fait le truc c'est que je me mettait vachement la pression toute seule. Il faut pas se poser de questions, voila tout ^^