Alors, tout d'abord, avant de vous répondre, je voudrais simplement vous remercier pour vos messages, c'est vrai, on voit des personnes aimables et gentilles derrière vos pseudos, merci beaucoup !
Citation:
Exuses moi mais quand tu dis que tu changes de comportement, qu'entends-tu par là précisement.
Bah, mes parents me le disent, je sais pas si c'est parce que je change physiquement, donc je change de moralité en même temps, mais je devient parfois agressive sans le vouloir et l'on me le reproche. Je suis aussi de plus en plus souvent stressée donc c'est peut-être cela qui me rend aussi un peu agressive, je ne sais pas. Mais, je l'admets, des fois, dans ma tête, ça tourne pas rond ...
Citation:
Cela s'apparente plus à un manque cruel de confiance en toi
Oui, là aussi c'est pareil, on me le répète souvent, j'essaye parfois de m'affirmer avec moi-même, mais bon, ce n'est pas de la tarte.
Citation:
Je note que "lui" est la source de tes problème, partiellement ou totalement.
Je dirai 4/5 de mes problèmes viennent de sa part.
Tout ce que vous avez dit gogite dans ma tête actuellement, ça "mijote", maintenant que j'y pense, je me questionne (mais faudrait que j'arrête de réfléchir, je le sais, il faut foncer dans le tas, sans se poser de questions, ça aussi, je le sais.) car vous n'avez pas tort bien au contraire. Merci à tous pour vote aide, vraiment, ça m'a fait plaisir !
mais faudrait que j'arrête de réfléchir, je le sais, il faut foncer dans le tas, sans se poser de questions, ça aussi, je le sais
Surtout pas, au contraire, une action non raisonné amène évidemment des résultats imprévisible et donc potentiellement néfaste, autant pour toi que pour ton entourage.
Il faut toujours prendre en considération les conséquence que nos choix peuvent avoir.
En tout cas, ne t'attarde pas sur ce que disent les gens qui ne te connaissent pas, ça a aucun sens... En quoi leur jugement pourrait avoir le moindre fondement? Les gens comme ça sont idiots, t'as aucune raison d'y faire attention, franchement. Perso ça m'a toujours laissé de marbre ce genre de crétins, c'est quand ces reproches viennent de quelqu'un de proche que ça fait du mal, autrement tu t'en fous quoi.
Oui, je sais, malheureusement pour moi c'est pas simple, je suis beaucoup trop sensible.
Des fois je me dis que je suis trop vulnérable pour vivre dans ce monde.
novarek a écrit:
J'ai du mal a cerner si ton soucis viens exclusivement de quelques connards te portant un jugement ou si il y a autre chose, Pour toi qu'elle est la source exacte du problème ?
Est-ce que cela vient exclusivement de personne tiers?
Ou est-ce qu'il y a un "manque" ou un "surplus" émotionnel chez toi en ce moment qui pourrez être un facteur de frustration?
Un bête exemple, le besoin "d'aimer", j'ai connue un ami qui durant une période avait beaucoup de mal à trouver une relation amoureuse, c'était quelqu'un de nature très affective qui avait un cruel besoin d'offrir son amour, du coup ne trouvant personne, cela fut une sévère source de frustration pour lui et donc de déprime.
Non mais c'est clair que le problème vient de moi et de mon incapacité à encaisser les coups. Et bien sûr, les gens mal intentionnés en profitent gaiement.
Je ne supporte pas d'être jugée, en fait, c'est comme si je voulais que tout le monde m'apprécie, chose totalement impossible évidemment.
J'aimerais vraiment arrêter de prendre les choses trop à coeur.
namekien38 a écrit:
Là, c'est mieux. :(
Bientôt, 1000 messages, tu es presque. Encore, un ptit effort, c'est pas la mer à boire. :(
Plus qu'un post et ma vie va changer à tout jamais, tous mes problèmes vont disapraître comme par magie :(
Spoiler ▼▲
;)
Doudou: merci beaucoup pour ton message, ça compte beaucoup pour moi. C'est sûr il y a des jours avec et des jours sans, mais c'est le lot de tout le monde...
novarek a écrit:
Le besoin que nous avons que les autres est conscience de nous, pour nous sentir vivant, pour existé à travers les yeux de nos semblable.
Car au final, tant que les autres n'ont pas conscience de nous, existons-nous vraiment ?
Je ne suis pas une flèche en philosophie, mais je vois ce que tu veux dire.
Même si je pense que je n'apporterai pas grand-chose à ce débat x)
Poulpie: tu n'as vraiment pas eu une vie facile, je compatis à 100% :/
J'espère vraiment que ça va s'arranger pour toi, on est là si tu as besoin.
Citation:
Ce sentiment d'injustice envers la démocratisation de la culture geek, certains doivent connaitre?
Oui, je vois tout à fait de quoi tu parles... Quelle hypocrisie, avant les gens se foutaient de ta gueule, et maintenant tout change parce que c'est à la mode, ben tiens.
doudou a écrit:
Et puis, je ne suis pas une personne rebelle ou qui ne se laisse pas faire, au contraire. Par exemple, si l'on m'insulte, je ne saurai pas réagir, même si la personne en face est haute comme 3 pommes, je ne saurai pas quoi lui dire en réponse, je ne sais pas si je dois l'ignorer, ou si je l'insulte à mon tour ou bien je lui donne un coup ...
Je suis dans le même cas... ou alors je réponds de manière très agressive et c'est l'escalade.
Ca me rend triste de te lire en tous cas Doudou, faut pas hésiter à en parler ici, le moins qu'on puisse faire c'est te lire...
novarek a écrit:
Surtout pas, au contraire, une action non raisonné amène évidemment des résultats imprévisible et donc potentiellement néfaste, autant pour toi que pour ton entourage.
Il faut toujours prendre en considération les conséquence que nos choix peuvent avoir.
Je suis assez d'accord là-dessus (et je ne le fais pas assez).
Je viens de tomber sur ce topic qui m'a particulièrement touché, sans que ce soit un endroit pour venir se plaindre c'est plus le symbole d'une communauté qui sait se serrer les coudes, et j'apprécie ça.
Je ne saurais pas vraiment quoi dire pour réconforter qui que ce soit ici, mais dans vos messages je retrouve beaucoup de "je suis peut-être fragile pour ce monde", "je ne sais pas ce que je fous là": il n'y a pas de personne trop faible ou de personne qui n'appartienne pas au monde qui est le notre, et votre place y est aussi, et il y a plus fragile que vous, soyez en sûrs!
Duckie, je compatis totalement, je connais ce mal-être que tu as, ce manque de confiance... La vérité c'est que ce n'est pas simple de s'en défaire, c'est un long travail, sur sa confiance principalement, la confiance qui te fait dire "j'ai ma place ici". Avant de te critiquer sur tes possibles accès de colère (peut-être eux-mêmes accentués par ton état actuel), se poser et s'accepter avec ses défauts est déjà un premier pas pour aller mieux (plus facile à dire qu'à faire c'est clair), puis après faire des efforts sur les choses qui sont plus gênantes pourquoi pas, mais rejeter ce que tu es en bloc comme ça me semble pas quelque chose de bon pour le moral.
Personnellement, je me suis souvent dit que je n'avais pas d'amis, et c'est vrai d'ailleurs (ça l'est toujours plus ou moins): cette sensation de n'appartenir à rien ne m'est pas étrangère (et je la comprends d'autant plus que le chômage n'est pas quelque chose de simple à vivre et ne fait qu'en rajouter à ce sentiment). Je voyais des personnes que je connaissais bien au collège se transformer au lycée pour entrer dans le moule, pour être amis avec le plus grand nombre et être populaires, chose qui m'a toujours insupportée. Je me suis fait une carapace, me rentrant dans la tête que je n'avais besoin de personne pour être heureux, et j'ai passé cette période, je me suis mis à la guitare pour évacuer, et la confiance est remontée peu à peu, sans que j'aie été vraiment heureux non plus. Aujourd'hui, je me rends compte que c'est impossible pour moi de me passer des autres: j'ai lu ici quelque chose de très intéressant sur le rapport aux autres, la conscience qu'ont les autres de nous-mêmes: elle est capitale cette conscience pour se définir soi: qu'est-ce qui fait qu'un chat est un chat si ce n'est ces congenères qui lui sont semblables? Se retrouver seul, et avoir le sentiment de ne compter pour personne c'est déjà une atteinte à sa confiance en soi, à son identité.
Pour Doudoud, pour rester sur cette question d'appartenance, vouloir en finir est une bien horrible chose et je te souhaite de ne jamais avoir le courage de le faire. Il y a un "lui" qui revient dans ton message et qui semble avoir un sacré rôle à jouer dans ton mal être: je ne saurais pas vraiment te dire que faire dans ces cas là, je ne m'avance pas parce que moi même j'ai pas une attitude exemplaire dans ma propre vie à ce niveau là. Là encore, tes changements d'état, je pense que tu devrais pas en faire une maladie, parce que déjà quand on est dans l'état dans lequel t'es, on a toutes les raisons d'être sur les nerfs: le stress va de paire avec les accès de colère (personnellement je sors d'une première année de médecine accompagnée de pas mal de bordel dans mon entourage, donc tout le monde en prend un peu pour son grade autour de moi, ça me plait pas mais ça va se tasser quoi...). Pose toi les vrais problèmes, avec ce "lui", et ne te focalise pas sur les conséquences qu'ils peuvent avoir sur ton comportement: ce n'est pas toi qui est fautive ici, tu es victime d'un état de grosse déprime et c'est de ça dont tu dois te préoccuper.
Voilà, je ne saurais pas quoi dire de plus si ce n'est de vous aérer un maximum l'esprit, de sortir un peu de chez vous, cet endroit qui est souvent le siège de toutes les idées noires, de voir d'autres gens si vous y arrivez car rien ne vous en empêche, la réponse que vous suscitez sur le forum montre que vous êtes plus que dignes d'intérêt, de vous défouler sur quelque chose (je ne sais pas où j'en serais sans guitare aujourd'hui, un exutoire peut vous sauver la vie parfois), de faire quelque chose de constructif... De fuir tout ce qui vous fait mal, parce que personne ne mérite de souffrir comme vous. Vous en faites pas en tout cas, ici il y a des personnes qui vous écoutent, et qui vous apprécient, aucune raison que ce ne soit pas le cas IRL (on est des vrais gens aussi, on apprécie vos qualités donc les autres y arriveront aussi): vous laissez pas atteindre par la merde qu'on peut vous lancer, vous valez mieux que quelques cons qui ont décidé de taper sur quelqu'un qui est déjà plus bas que terre.
Voilà, je ne saurais pas quoi dire de plus si ce n'est de vous aérer un maximum l'esprit, de sortir un peu de chez vous, cet endroit qui est souvent le siège de toutes les idées noires
Je pense que l'une des clef pour maitrisé des idée noire, c'est de complètement rationaliser ses émotion, d'analysé la chose non pas d'un point de vue affectif, mais d'un point de vue logique, je dirais même "déshumanisé" la psyché.
Au final, le cerveau humain n'est qu'une "machine" et les émotions un processus chimique de notre cerveau.
Et le tout, régit par la règle universel de "l'action - réaction".
Une émotion nait d'un acte (action), acte qui peux être externe, causé par un individu tiers.
Ou également un acte interne, crée par nous même et conséquence direct de nos acte physique, le regret après avoir mal agi par exemple.
Ces actions amène alors à la réaction, la naissance de l'émotion, émotion qui prendra ça forme suivant la nature de l'acte.
Bref, l'émotion peux s'expliquer de la même façon que 1+1=2
Comprendre cela et une voie possible pour maitriser ses propre émotion, car on ne peux contrôler se qu'on ne comprend pas.
Par ces règle, sur la longue tu t'aperçois aussi alors qu'il devient aisé de comprendre les émotions de notre entourage, de les décrypter, de les prévoir, de les anticiper et même de les contrôler.
Ca fait gros manipulateur quand je dis ça, je sais, mais la manipulation n'est qu'un outil, ce n'est pas l'outil qui est à blâmer mais celui qui l'utilise à des fin malveillante.
Car la manipulation peux être aussi utilisé de façon bienveillante.
Un bête exemple, quand des policiers tente de négocier avec un preneur d'otage, quand des membres de la croix rouge tente de persuadé des sans-abris de passé la nuit dans un centre d'accueil, quand des secouristes tente de persuadé une personne désespérer de ne pas se jeter du 5eme étage, etc ...
Je pense que l'une des clef pour maitrisé des idée noire, c'est de complètement rationaliser ses émotion, d'analysé la chose non pas d'un point de vue affectif, mais d'un point de vue logique, je dirais même "déshumanisé" la psyché.
Au final, le cerveau humain n'est qu'une "machine" et les émotions un processus chimique de notre cerveau.
Et le tout, régit par la règle universel de "l'action - réaction".
[...]
Comprendre cela et une voie possible pour maitriser ses propre émotion, car on ne peux contrôler se qu'on ne comprend pas.
Exactement. Je dirai que la maîtrise totale de ses émotions est pas possible parce que certaines sont trop fortes et auront de toute façon un effet. Mais le fait de les comprendre permet déjà de mieux se maîtriser et de mieux agir.
De cette manière on peut relativiser. Personnellement je suis asthmatique, et lorsque j'ai une grosse gène, mon rythme cardiaque augmente, j'ai une bouffée de chaleur et je n'arrive plus à respirer correctement. Je SAIS que c'est ma maladie qui fait ça et je SAIS que je peux surmonter ça (grâce à des médocs évidemment), DONC je ne cède pas à la panique. Alors que j'ai des exemples autour de moi de gens qui flippent pour une gastro...
Ce qui est vrai pour une maladie, c'est à dire de connaître les effets de telle ou telle chose sur soit, est vrai pour les sentiments. Quand je suis en colère ou énervé je sais que mon jugement manque de discernement. A partir de là je m'adapte en conséquence. C'est juste une question de travail sur soit et de recul.
Je pense que vos manques de confiance en soit peuvent largement être surmonter. Vous n'êtes pas plus "fragiles" que les autres. Par contre en laissant trop libre court à votre côté affectif sans analyse et sans recul et en laissant les autres vous marcher dessus, effectivement vous paraissez plus fragiles. Mais ça c'est facile à inverser.
Citation:
Ça fait gros manipulateur quand je dis ça, je sais, mais la manipulation n'est qu'un outil, ce n'est pas l'outil qui est à blâmer mais celui qui l'utilise à des fin malveillante.
Faisons un peu de communication de base. Chaque chose, y compris les individus renvoie une image aux humains. Il faut essayer au maximum de contrôler cette image. C'est de la manipulation pure. Mais c'est bien. Une personne encore fragile peu passer pour le plus gros badass motherf*cking asshole de sa génération grâce à ça. A vous de voir la façon dont vous voulez que les autres vous voient. Vous avez le choix. Et en plus ça marche.
Alors, tout d'abord, avant de vous répondre, je voudrais simplement vous remercier pour vos messages, c'est vrai, on voit des personnes aimables et gentilles derrière vos pseudos, merci beaucoup !
Bah, mes parents me le disent, je sais pas si c'est parce que je change physiquement, donc je change de moralité en même temps, mais je devient parfois agressive sans le vouloir et l'on me le reproche. Je suis aussi de plus en plus souvent stressée donc c'est peut-être cela qui me rend aussi un peu agressive, je ne sais pas. Mais, je l'admets, des fois, dans ma tête, ça tourne pas rond ...
Oui, là aussi c'est pareil, on me le répète souvent, j'essaye parfois de m'affirmer avec moi-même, mais bon, ce n'est pas de la tarte.
Je dirai 4/5 de mes problèmes viennent de sa part.
Tout ce que vous avez dit gogite dans ma tête actuellement, ça "mijote", maintenant que j'y pense, je me questionne (mais faudrait que j'arrête de réfléchir, je le sais, il faut foncer dans le tas, sans se poser de questions, ça aussi, je le sais.) car vous n'avez pas tort bien au contraire. Merci à tous pour vote aide, vraiment, ça m'a fait plaisir !
Surtout pas, au contraire, une action non raisonné amène évidemment des résultats imprévisible et donc potentiellement néfaste, autant pour toi que pour ton entourage.
Il faut toujours prendre en considération les conséquence que nos choix peuvent avoir.
Oui, je sais, malheureusement pour moi c'est pas simple, je suis beaucoup trop sensible.
Des fois je me dis que je suis trop vulnérable pour vivre dans ce monde.
Non mais c'est clair que le problème vient de moi et de mon incapacité à encaisser les coups. Et bien sûr, les gens mal intentionnés en profitent gaiement.
Je ne supporte pas d'être jugée, en fait, c'est comme si je voulais que tout le monde m'apprécie, chose totalement impossible évidemment.
J'aimerais vraiment arrêter de prendre les choses trop à coeur.
Plus qu'un post et ma vie va changer à tout jamais, tous mes problèmes vont disapraître comme par magie :(
Doudou: merci beaucoup pour ton message, ça compte beaucoup pour moi. C'est sûr il y a des jours avec et des jours sans, mais c'est le lot de tout le monde...
Je ne suis pas une flèche en philosophie, mais je vois ce que tu veux dire.
Même si je pense que je n'apporterai pas grand-chose à ce débat x)
Poulpie: tu n'as vraiment pas eu une vie facile, je compatis à 100% :/
J'espère vraiment que ça va s'arranger pour toi, on est là si tu as besoin.
Oui, je vois tout à fait de quoi tu parles... Quelle hypocrisie, avant les gens se foutaient de ta gueule, et maintenant tout change parce que c'est à la mode, ben tiens.
Je suis dans le même cas... ou alors je réponds de manière très agressive et c'est l'escalade.
Ca me rend triste de te lire en tous cas Doudou, faut pas hésiter à en parler ici, le moins qu'on puisse faire c'est te lire...
Je suis assez d'accord là-dessus (et je ne le fais pas assez).
He ca va pas mieux depuis et avec tout les conseil ? ^^
Je viens de tomber sur ce topic qui m'a particulièrement touché, sans que ce soit un endroit pour venir se plaindre c'est plus le symbole d'une communauté qui sait se serrer les coudes, et j'apprécie ça.
Je ne saurais pas vraiment quoi dire pour réconforter qui que ce soit ici, mais dans vos messages je retrouve beaucoup de "je suis peut-être fragile pour ce monde", "je ne sais pas ce que je fous là": il n'y a pas de personne trop faible ou de personne qui n'appartienne pas au monde qui est le notre, et votre place y est aussi, et il y a plus fragile que vous, soyez en sûrs!
Duckie, je compatis totalement, je connais ce mal-être que tu as, ce manque de confiance... La vérité c'est que ce n'est pas simple de s'en défaire, c'est un long travail, sur sa confiance principalement, la confiance qui te fait dire "j'ai ma place ici". Avant de te critiquer sur tes possibles accès de colère (peut-être eux-mêmes accentués par ton état actuel), se poser et s'accepter avec ses défauts est déjà un premier pas pour aller mieux (plus facile à dire qu'à faire c'est clair), puis après faire des efforts sur les choses qui sont plus gênantes pourquoi pas, mais rejeter ce que tu es en bloc comme ça me semble pas quelque chose de bon pour le moral.
Personnellement, je me suis souvent dit que je n'avais pas d'amis, et c'est vrai d'ailleurs (ça l'est toujours plus ou moins): cette sensation de n'appartenir à rien ne m'est pas étrangère (et je la comprends d'autant plus que le chômage n'est pas quelque chose de simple à vivre et ne fait qu'en rajouter à ce sentiment). Je voyais des personnes que je connaissais bien au collège se transformer au lycée pour entrer dans le moule, pour être amis avec le plus grand nombre et être populaires, chose qui m'a toujours insupportée. Je me suis fait une carapace, me rentrant dans la tête que je n'avais besoin de personne pour être heureux, et j'ai passé cette période, je me suis mis à la guitare pour évacuer, et la confiance est remontée peu à peu, sans que j'aie été vraiment heureux non plus. Aujourd'hui, je me rends compte que c'est impossible pour moi de me passer des autres: j'ai lu ici quelque chose de très intéressant sur le rapport aux autres, la conscience qu'ont les autres de nous-mêmes: elle est capitale cette conscience pour se définir soi: qu'est-ce qui fait qu'un chat est un chat si ce n'est ces congenères qui lui sont semblables? Se retrouver seul, et avoir le sentiment de ne compter pour personne c'est déjà une atteinte à sa confiance en soi, à son identité.
Pour Doudoud, pour rester sur cette question d'appartenance, vouloir en finir est une bien horrible chose et je te souhaite de ne jamais avoir le courage de le faire. Il y a un "lui" qui revient dans ton message et qui semble avoir un sacré rôle à jouer dans ton mal être: je ne saurais pas vraiment te dire que faire dans ces cas là, je ne m'avance pas parce que moi même j'ai pas une attitude exemplaire dans ma propre vie à ce niveau là. Là encore, tes changements d'état, je pense que tu devrais pas en faire une maladie, parce que déjà quand on est dans l'état dans lequel t'es, on a toutes les raisons d'être sur les nerfs: le stress va de paire avec les accès de colère (personnellement je sors d'une première année de médecine accompagnée de pas mal de bordel dans mon entourage, donc tout le monde en prend un peu pour son grade autour de moi, ça me plait pas mais ça va se tasser quoi...). Pose toi les vrais problèmes, avec ce "lui", et ne te focalise pas sur les conséquences qu'ils peuvent avoir sur ton comportement: ce n'est pas toi qui est fautive ici, tu es victime d'un état de grosse déprime et c'est de ça dont tu dois te préoccuper.
Voilà, je ne saurais pas quoi dire de plus si ce n'est de vous aérer un maximum l'esprit, de sortir un peu de chez vous, cet endroit qui est souvent le siège de toutes les idées noires, de voir d'autres gens si vous y arrivez car rien ne vous en empêche, la réponse que vous suscitez sur le forum montre que vous êtes plus que dignes d'intérêt, de vous défouler sur quelque chose (je ne sais pas où j'en serais sans guitare aujourd'hui, un exutoire peut vous sauver la vie parfois), de faire quelque chose de constructif... De fuir tout ce qui vous fait mal, parce que personne ne mérite de souffrir comme vous. Vous en faites pas en tout cas, ici il y a des personnes qui vous écoutent, et qui vous apprécient, aucune raison que ce ne soit pas le cas IRL (on est des vrais gens aussi, on apprécie vos qualités donc les autres y arriveront aussi): vous laissez pas atteindre par la merde qu'on peut vous lancer, vous valez mieux que quelques cons qui ont décidé de taper sur quelqu'un qui est déjà plus bas que terre.
ID Steam: UnchainedEVH
Je pense que l'une des clef pour maitrisé des idée noire, c'est de complètement rationaliser ses émotion, d'analysé la chose non pas d'un point de vue affectif, mais d'un point de vue logique, je dirais même "déshumanisé" la psyché.
Au final, le cerveau humain n'est qu'une "machine" et les émotions un processus chimique de notre cerveau.
Et le tout, régit par la règle universel de "l'action - réaction".
Une émotion nait d'un acte (action), acte qui peux être externe, causé par un individu tiers.
Ou également un acte interne, crée par nous même et conséquence direct de nos acte physique, le regret après avoir mal agi par exemple.
Ces actions amène alors à la réaction, la naissance de l'émotion, émotion qui prendra ça forme suivant la nature de l'acte.
Bref, l'émotion peux s'expliquer de la même façon que 1+1=2
Comprendre cela et une voie possible pour maitriser ses propre émotion, car on ne peux contrôler se qu'on ne comprend pas.
Par ces règle, sur la longue tu t'aperçois aussi alors qu'il devient aisé de comprendre les émotions de notre entourage, de les décrypter, de les prévoir, de les anticiper et même de les contrôler.
Ca fait gros manipulateur quand je dis ça, je sais, mais la manipulation n'est qu'un outil, ce n'est pas l'outil qui est à blâmer mais celui qui l'utilise à des fin malveillante.
Car la manipulation peux être aussi utilisé de façon bienveillante.
Un bête exemple, quand des policiers tente de négocier avec un preneur d'otage, quand des membres de la croix rouge tente de persuadé des sans-abris de passé la nuit dans un centre d'accueil, quand des secouristes tente de persuadé une personne désespérer de ne pas se jeter du 5eme étage, etc ...
Les gars, j'ai un soucis... J'ai la flemme de tout lire !
...
...
...
En tout cas, si j'ai un conseille à vous donner, c'est faites des conventions. Personnellement ça fut juste un des meilleurs moment de ma vie !
Je vous jure, j'ai pris du bon temps, alors qu'avant, je ne savais même pas comment faire !
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Novarek a dit
Exactement. Je dirai que la maîtrise totale de ses émotions est pas possible parce que certaines sont trop fortes et auront de toute façon un effet. Mais le fait de les comprendre permet déjà de mieux se maîtriser et de mieux agir.
De cette manière on peut relativiser. Personnellement je suis asthmatique, et lorsque j'ai une grosse gène, mon rythme cardiaque augmente, j'ai une bouffée de chaleur et je n'arrive plus à respirer correctement. Je SAIS que c'est ma maladie qui fait ça et je SAIS que je peux surmonter ça (grâce à des médocs évidemment), DONC je ne cède pas à la panique. Alors que j'ai des exemples autour de moi de gens qui flippent pour une gastro...
Ce qui est vrai pour une maladie, c'est à dire de connaître les effets de telle ou telle chose sur soit, est vrai pour les sentiments. Quand je suis en colère ou énervé je sais que mon jugement manque de discernement. A partir de là je m'adapte en conséquence. C'est juste une question de travail sur soit et de recul.
Je pense que vos manques de confiance en soit peuvent largement être surmonter. Vous n'êtes pas plus "fragiles" que les autres. Par contre en laissant trop libre court à votre côté affectif sans analyse et sans recul et en laissant les autres vous marcher dessus, effectivement vous paraissez plus fragiles. Mais ça c'est facile à inverser.
Faisons un peu de communication de base. Chaque chose, y compris les individus renvoie une image aux humains. Il faut essayer au maximum de contrôler cette image. C'est de la manipulation pure. Mais c'est bien. Une personne encore fragile peu passer pour le plus gros badass motherf*cking asshole de sa génération grâce à ça. A vous de voir la façon dont vous voulez que les autres vous voient. Vous avez le choix. Et en plus ça marche.
ID Wii U : BoOKahuZAC
Représentant du Parti Pessimiste. =|
Simple question Doudoud, quel âge as-tu ?
Comment ça, je suis simple ?
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?