C'est ce que j'ai vu! :p C'est un peu dommage je trouve. :/
Bon sinon je te laisse un petit texte que je viens de faire.
Un jour je suis sorti
En ta compagnie
Et je ne savais comment faire
Pour te faire taire
Nous sommes partis
Tu me pris par la main
Et en ce beau Lundi
Je prédis ton destin
J’allais me séparer de toi
Il fallait que tu suives ta voie
Tout était calculé
Tu y étais prédestiné
Ne t’en fais pas
Je ne t’oublierai pas
Cela te fait mal au coeur
Car je vois que tu pleures
J’ouvris la portière
Tu t’installas en t'y jetant
Tu ne pouvais revenir en arrière
Tu iras de l’avant
Tu me dis au revoir
Mais je ne te regardais guère
Tu ne pourrais plus me voir
Ce qui allait me satisfaire
Tu étais belle MA POUBELLE !
Tu me pardonneras la qualité du texte, à vrai dire moi-même j'ai pas d'avis. Je n'écris pas énormément de poèmes mais je trouve ça sympa. Je te souhaite bonne nuit! ...ou du moins ce qu'il en reste :p
Ô sublime et excise douceur,
quand enfin vient l'heure
qui traditionnellement
est dédiée à tes semblants,
je ne peux qu'à toi me fier
et de toute mon âme te dévorer.
Tu es le plus merveilleux des mets,
de ceux dont jamais l'on se remet.
Ton bronzage découvrant en mes papilles
un coeur fondant sur sa noisette divine,
mes sens, rapides tels des torpilles,
se déploient en une jubilation alvine.
Ce poème t'es tout dédié, Ô Bueno,
car, sans racisme aucun,
quelle que soit la couleur de ta peau,
je te dévorerai jusqu'à la faim.
Moi c'est traduction française de LOVELESS le poème que lit Genesis Dans FF7 crisis score surtout ce passage
Citation:
Acte III (Poème)
Mon ami voles-tu loin maintenant ?
Dans ce monde que nous détestons toi et moi ?
Tout ce que tu as attendu, c’est un lendemain sombre
Qu’importe d’où le vent souffle
Mon ami, ton désir
C’est d’apporter la Vie, le présent de la Déesse
Qu’importe si le lendemain est plein de surprises
Rien ne devancera mon retour
j'ai oublié la quasi totalité des poésies apprisent durant ma scolarité sauf une "le dormeur du val" je ne sais pas pk. c'est de rimbaud.
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Sordide sentiment qui assaille mon cœur,
Se jouant, malicieux, à meurtrir mon esprit,
Ce bastion fissuré, qui guette, qui épie,
Les souffles et les pas de cet envahisseur.
Sous le soleil ardent et sur le sol brûlé,
Le silence fragile et la paix fugitive,
Propices aux raffuts des fureurs progressives,
S'affrontent, maintenant, deux vaillantes armées,
Flottement d’étendards, volement de bannière,
Fatras de sueur et de sang, de fer et d'acier,
Ne quitte ce brasier que le sang enflammé,
De ces veines gonflaient d'une rage guerrière,
Soudain un cri de souffrance, éclate l’éther,
Le seigneur succombant concède sa défaite,
À ses gardes mutilés battant en retraite,
Ne reste que des corps sur la terre incendiaire.
Car la frayeur m'étreint, torture assidue,
Me fait chuter sans fin dans un aven étroit,
Je veux me débattre, m'agripper aux parois
Le ruissellement de l'eau exclut le salut,
Ce gouffre lancinant n'est que noir éternel.
Seul un sourire blanc, illumine la nuit.
Celui d'un monstre me broyant de perfidie,
Et plaquant l'acier froid de sa lame mortelle.
Dans une pièce de théâtre
Tu ne peux pas m’abattre
Interventions divines
Absence de cyprine
La vie est un jeu
Un prétendu sang bleu
Le rire comme échappatoire
L’engagement est un four crématoire
Aucune logique
Ils font tout
Une idée en panique
Le grand tabou
L’immobilisme est le crédo
Pour vivre sans fiasco
Sans se faire mépriser
Ne pas s’arrêter
Le jour parfait
Un beau méfait
Le son se diffuse
Les intellectuels s’amusent
La justice n’est pas aveugle
Elle est juste sourde
Une charge trop lourde
Sur un sol encore meuble
L’aiguille sous la peau
Des yeux remplis de couteaux
Viendra la saison des tempêtes
Un torrent de baïonnettes
Tu perds ton temps
Lire pour s’épanouir ?
Va plutôt jouir !
Je suis mort depuis bien longtemps
La chute approche
Tout va se terminer
Des conseils fantoches
Tout va s’arrêter
L’assurance d’une cigarette
La plaie d’une dette
Une solution… fuir
Pour périr
L’Humanité est une coquille vide
Qu’il faut remplir avec des mélanges
La morale est une poubelle vide
Qu’il faut remplir avec des archanges
Tu tombes dans le « rien »
Civière
Banquière
Geôlière
Cœur
Peur
Lumière
Cimetière
Poussière
Tu tombes dans le « rien »
Rien ne te sauvera
La mort est fasciste
Le corps est capitaliste
Tu n’échapperas pas au Horla
J'adore une fois de plus!
Lonely and forlon est vraiment très beau!
La seule difficulté que j'ai, s'est de donner un titre à mes poèmes!
Demain, je vous prépare un joli poème!
Je suis content de voir un topic comme ça. :)
Je posterais (et j'écrirai surtout :p) un poème quand j'aurais le temps. ;)
"I kick ass for the Lord !"
Au début je pensais que j'allais devenir fou, car j'étais le seul à poster des poèmes xD!
C'est ce que j'ai vu! :p C'est un peu dommage je trouve. :/
Bon sinon je te laisse un petit texte que je viens de faire.
Un jour je suis sorti
En ta compagnie
Et je ne savais comment faire
Pour te faire taire
Nous sommes partis
Tu me pris par la main
Et en ce beau Lundi
Je prédis ton destin
J’allais me séparer de toi
Il fallait que tu suives ta voie
Tout était calculé
Tu y étais prédestiné
Ne t’en fais pas
Je ne t’oublierai pas
Cela te fait mal au coeur
Car je vois que tu pleures
J’ouvris la portière
Tu t’installas en t'y jetant
Tu ne pouvais revenir en arrière
Tu iras de l’avant
Tu me dis au revoir
Mais je ne te regardais guère
Tu ne pourrais plus me voir
Ce qui allait me satisfaire
Tu étais belle MA POUBELLE !
Tu me pardonneras la qualité du texte, à vrai dire moi-même j'ai pas d'avis. Je n'écris pas énormément de poèmes mais je trouve ça sympa. Je te souhaite bonne nuit! ...ou du moins ce qu'il en reste :p
"I kick ass for the Lord !"
Tu étais belle Ma Poubelle! C'est juste énorme ce truc... xD
Un poème sans visée publicitaire (a) :
Ô sublime et excise douceur,
quand enfin vient l'heure
qui traditionnellement
est dédiée à tes semblants,
je ne peux qu'à toi me fier
et de toute mon âme te dévorer.
Tu es le plus merveilleux des mets,
de ceux dont jamais l'on se remet.
Ton bronzage découvrant en mes papilles
un coeur fondant sur sa noisette divine,
mes sens, rapides tels des torpilles,
se déploient en une jubilation alvine.
Ce poème t'es tout dédié, Ô Bueno,
car, sans racisme aucun,
quelle que soit la couleur de ta peau,
je te dévorerai jusqu'à la faim.
Moi c'est traduction française de LOVELESS le poème que lit Genesis Dans FF7 crisis score surtout ce passage
j'ai oublié la quasi totalité des poésies apprisent durant ma scolarité sauf une "le dormeur du val" je ne sais pas pk. c'est de rimbaud.
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
pour le dragon !
Un petit poème a moi :)
Contre la Peur
Sordide sentiment qui assaille mon cœur,
Se jouant, malicieux, à meurtrir mon esprit,
Ce bastion fissuré, qui guette, qui épie,
Les souffles et les pas de cet envahisseur.
Sous le soleil ardent et sur le sol brûlé,
Le silence fragile et la paix fugitive,
Propices aux raffuts des fureurs progressives,
S'affrontent, maintenant, deux vaillantes armées,
Flottement d’étendards, volement de bannière,
Fatras de sueur et de sang, de fer et d'acier,
Ne quitte ce brasier que le sang enflammé,
De ces veines gonflaient d'une rage guerrière,
Soudain un cri de souffrance, éclate l’éther,
Le seigneur succombant concède sa défaite,
À ses gardes mutilés battant en retraite,
Ne reste que des corps sur la terre incendiaire.
Car la frayeur m'étreint, torture assidue,
Me fait chuter sans fin dans un aven étroit,
Je veux me débattre, m'agripper aux parois
Le ruissellement de l'eau exclut le salut,
Ce gouffre lancinant n'est que noir éternel.
Seul un sourire blanc, illumine la nuit.
Celui d'un monstre me broyant de perfidie,
Et plaquant l'acier froid de sa lame mortelle.
♪ Boku Waaaa Doctaaaaa , Tony Tony Chopaaaaaa ♪
Dans une pièce de théâtre
Tu ne peux pas m’abattre
Interventions divines
Absence de cyprine
La vie est un jeu
Un prétendu sang bleu
Le rire comme échappatoire
L’engagement est un four crématoire
Aucune logique
Ils font tout
Une idée en panique
Le grand tabou
L’immobilisme est le crédo
Pour vivre sans fiasco
Sans se faire mépriser
Ne pas s’arrêter
Le jour parfait
Un beau méfait
Le son se diffuse
Les intellectuels s’amusent
La justice n’est pas aveugle
Elle est juste sourde
Une charge trop lourde
Sur un sol encore meuble
L’aiguille sous la peau
Des yeux remplis de couteaux
Viendra la saison des tempêtes
Un torrent de baïonnettes
Tu perds ton temps
Lire pour s’épanouir ?
Va plutôt jouir !
Je suis mort depuis bien longtemps
La chute approche
Tout va se terminer
Des conseils fantoches
Tout va s’arrêter
L’assurance d’une cigarette
La plaie d’une dette
Une solution… fuir
Pour périr
L’Humanité est une coquille vide
Qu’il faut remplir avec des mélanges
La morale est une poubelle vide
Qu’il faut remplir avec des archanges
Tu tombes dans le « rien »
Civière
Banquière
Geôlière
Cœur
Peur
Lumière
Cimetière
Poussière
Tu tombes dans le « rien »
Rien ne te sauvera
La mort est fasciste
Le corps est capitaliste
Tu n’échapperas pas au Horla
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