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Poésie

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Re: Poésie

Dans la mort je trouve le communisme
La peur pour âme
La justice me condamne
La folie du nazisme
Parfois je rêve d'un monde régit par les dictateurs
Mourir avec une larme
Agonisant par la force d'une lame
Une vie sans frayeur
Que veux-tu ?
J'ai survécu
J'ai vécu
Que vois-tu ?
On me bouffe de l'intérieur
Une sorte de peur
J'aime ton sang
Un vagabond errant
La logique libérale
Ô grand capital
Sans toi je ne serai rien
Sans toi il n'y a pas de demain
Une flamme noir
Une vie de désespoir
J'aime cette haine
Une vie pseudo-mondaine
Plus de fierté
Sur le champ de bataille
Un corps potelé
La crainte d'une profonde entaille
Incinéré
Enterré
Poussière
Misère
Exécuté
Fusillé
Bière
Somnifère
La circulation s'éteint
Le prisme du dédain
La jouissance d'un européen
Plus d'air, plus d'eau, plus rien
Rien n'est structuré
Comme ce bout de papier
De la merde avec de la chantilly
Comme Mitterrand à Vichy
Les horreurs d'un monde
Les revendications unitaires
L'émergence des prolétaires
Le bruit de la souffrance gronde
Tu n'as pas à me suivre
Sauvegarde ta liberté
Un objectif à poursuivre
Protège cette denrée
La médiocrité comme excellence
Un être sans abstinence
Une véritable décadence
Je suis la performance
Je n'ai plus rien a prouver
J'ai survécu
Je n'ai plus besoin de rêver
J'ai vécu
Aucun regret
Juste des blessures
Des terribles brûlures
Aucun regret
Je suis l'égal de Mussolini
Parle moi de suicide
Je te réponds : Culte de la personnalité
Parle moi de génocide
Je te réponds : Culte de la personnalité
Parle moi de la Shoah
Je te réponds : Culte de la personnalité
Parle moi de Hiroshima
Je te réponds : Culte de la personnalité
Parle moi de Fidel Castro
Je te réponds : Culte de la personnalité
Parle moi des bobos
Je te réponds : Culte de la personnalité
Je suis supérieure à toutes ces tragédies
On ne peut pas le nier
Vivre sans vérité
Un pêcheur sans péché
Pas le peine de se renier
Si je suis ici
Sur tous les continents, toutes les mers
Si je vis ma vie
Sur toutes les frontières, toutes les terres
Je le dis sans ambiguïté
Un peuple attend son messie
J'écris de la poésie
Pour mon culte de la personnalité

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Re: Poésie

Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Il y a des gens qui se suicideraient
Il y a des gens qui se lamenteraient
Il y a des gens qui souffriraient
Il y a des gens qui baiseraient
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Ils veulent vivre jusqu'au bout
Ce n'est pas possible
La vie est souvent risible
Plutôt avoir la corde au cou
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Ils sentent la faux rouillée
Un corps à supprimer
Des peurs veulent se libérer
Des actes sans fierté
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Ça serait l'anarchie
Un monde régit par l'inconscience
Qui amène à l'impuissance
Ça serait le paradis
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Il y a des gens qui pleureraient
Il y a des gens qui philosopheraient
Il y a des gens qui en profiteraient
Il y a des gens qui réfléchiraient
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Peut être voir ta famille
Parler de pacotilles
Peut être prier ton dieu
Seulement pour se dire adieu!
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Regarder l'horloge
Le temps défile
Tu n'auras aucun éloge
Pauvre débile
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Le néant dans une prison de peau
Comme un poisson dans le poison
Une pièce sans rideau
Comme un politicien sans trahison
Si demain était ton dernier jour
Que ferais-tu ?
Je sais que je rigolerai
Je jouirai sans entraves
Car ce n'est rien de grave
Je sais que je partirai
Si demain était mon dernier jour
Nos amis les vautours
Une émeraude remplie d'amertume
Un corps chaud sur le bitume
Un moment délicieux
Je serai heureux

The Best In The World

Edité par stra1ght 3dg3 le 13/09/2012 - 11:58

Hoop'News

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Re: Poésie

Pas d'explication
Juste une superstition
Un parfum d'excitation
Une nouvelle résolution
Quand je t'ai vu vomir
Cette envie débridée
Cette situation de plaisir
Je suis également déchirée
Pas le temps de réfléchir
Le temps pour l'action
Aucune détermination
Ce beau jeune homme arrête d'agonir
Il ne bronche pas, il se laisse faire
Aussi chaud qu'en enfer
Zones érogènes
Pouvoir exogéne
Je m'agrippe à ton corps
Encore, encore
Plus vite, plus vite
Pas de positions hypocrites
Fornications
Ébullition
Domination
Éjaculation
Fornications
Un emploi partiel
Un besoin essentiel
Mes additions
Mes addictions
Tout est précaire
Tout est finit en un éclair
Je n'ai rien senti
Aucun ressenti
Il retourne vomir
Un moment pour périr
Je vis pour souffrir
En attendant ce désir
Une trace blanche
Un instant pour fantasmer
Une nouvelle espérance
Une vie à bousiller
De l'alcool et de la musique
Du sang, des larmes et de la sueur
Je crois que je suis en pleurs
Pour nos aïeux, de simple hérétiques
J'attendrai des années avant de comprendre
Je n'ai plus envie de vivre
Une vie de givre
Je ne veux plus rien entendre
Un discours moraliste
Un mode de vie épicuriste
Des vieux cons réactionnaires
Des jeunes cons révolutionnaires

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Re: Poésie

Quand la passion naît entre deux êtres
Un visage s'échappera par la fenêtre
Un peu partout la haine se conjugue avec le verbe, aimer
Des blessures que personne ne pourra jamais effacer
L'hégémonie du pitoyable
L'incarnation de l'opium humain
Les cris d'un homme lamentable
Le cœur rempli de dédain
Tes actions sentent le souffre
Si lointaine de moi
Un immense gouffre
Je ne me demanderai plus, pourquoi ?
Spleen de Paris, Fleurs du mal, Calligrammes
Tu prétends les apprendre
Tu ne pourras pas les comprendre
La souffrance est mon arme
Essayer de vivre comme avant
Essayer de survivre avec cet ouragan
Tu te forces à tourner la page
Le ciel s'assombrit et forme un orage
Je te vois encore nue
Tous les stratagèmes pour garder ses vertus
Peu à peu les années passeront
L'Histoire me donnera raison
Pour certains la vie est de l'ambroisie
Pour d'autres la mort est la solution
Je suis devenu l'objet de ta réification
La vie est le cadet de mes soucis
Si un jour tu tombes sur ses mots nauséeux
Sache que tu es rentrée dans ma matrice
Le magnifique poison
La terrible castration
Sache que mon âme a commis l'ultime sacrifice
Les mensonges sont toujours orgueilleux
Quand les souvenirs disparaîtront
Quand les sentiments agoniseront
Je ne t'oublierai pas
Malgré cette vendetta
Je te vois regarder ton nouvel amant
La vie est un enchaînement d'erreur
Je te vois regretter amèrement
La vie est un enchaînement d'horreur
J'ai perdu ce que je suis
Le temps est long
Une variété de toutes les saisons
La perfection s'épanouit
Quand mon corps sera rempli de couleurs
Quand tu cessera de vivre
Le réel dans une boite
Comme un ivoire forgé au Japon
Une vie qu'on exploite
Le Néant pour abstraction
Quand je cesserai de mourir
La sensation d'avoir un cœur
Sur ta tombe
Des larmes d'un vieil homme
Tous les peuples mènent à Rome
Un nouveau monde
J'attendrai ce moment
J'attendrai cet instant
Un merveilleux tyran
Vêtu de noir et de blanc

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Re: Poésie

Non certes elle n'est pas bâtie
Sur du sable sa dynastie
Peu à peu il se pervertit
Sur des gens asservis
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Il peut dormir ce souverain
Sur deux oreilles serein
Il peut mourir demain
Le peuple comme dessein
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Je tu il elle nous vous ils
Tout le monde est puéril
Tout le monde est débile
La connerie comme exil
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Il est possible au demeurant
Qu'on déloge le Shah d'Iran
Comme un ivoire de Chine
Un régime à la guillotine
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Que sur un air de Tango
On pisse sur le mausolée de Franco
Les restes fantomatiques
De la défunte République
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Que la couronne d'Angleterre
Ce soir roule par terre
Les corbeaux du cimetière
La philosophie du billet vert
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Je lutte contre notre passé
Que Marianne ne soit pas renversée
La haine ne l'emportera pas
Résister contre cette paranoïa
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Un homme à la barbe grisonnante
Les tissus de mensonge
Une foi ardente
De dangereux songes
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Est-ce vain ?
De vouloir combattre
Les prédictions des psychiatres ?
Et l'univers mondain ?
Il y a peu de chances qu'on détrône
Le roi des cons
La solidarité de l'aumône
Pour réveiller cette abomination
Seul le mensonge te libérera
Alors ne crois pas en moi
Le spectacle commence
Une merveilleuse romance
Alors détruis le roi
Seul le mensonge te libéreras

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Re: Poésie

Je me sens dans le coin
A côté de ta bouche
Tu souffres d'un besoin
Une guérilla d'escarmouche
À l'intérieur pas la moindre trace
Sous l'eau se propage l'incendie
Le souvenir d'une pétasse
Une douce anorexie
Prends ta dernière inspiration
Avant de te noyer
Une parfaite déflagration
Avant de se sauver
Je suis le seul à l'intérieur de ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je suis le seul à l'intérieur ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je reste dans ce tombeau
Maintes et maintes fois que je suis ici à nouveau
Bien au-delà de l'amertume
Quelque chose au-dessous
La fin de tes coutumes
La haine comme verrou
Cette perfide fragilité
Preuve de ta virginité
L'erreur comme frigidité
Morbide volupté
Un regard triste
Pitoyable gauchiste
Le couteau entre les dents
Entends-tu mon ricanement ?
Je suis le seul à l'intérieur de ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je suis le seul à l'intérieur ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je reste dans ce tombeau
Maintes et maintes fois que je suis ici à nouveau
Il y a tellement plus à faire
Que vivre avec toi
Pouvoir autoritaire
Un cri d'effroi
Je suis le juif que tu as gazé
Le commandant sans armée
Le wagon qui va vers Dachau
L'être humain sans cerveau
Après la dissolution, le traumatisme
Dangereux paupérisme
Puissant nihilisme
Après la solution, le terrorisme
Je suis le seul à l'intérieur de ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je suis le seul à l'intérieur ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je reste dans ce tombeau
Maintes et maintes fois que je suis ici à nouveau
Les fantômes sont amputés
Mon souffle sur ta nuque pétrifiée
Je ne veux rien
Un avenir pour demain
Belle salope
Souffrance de l'Europe
La couleur des profondeurs
Mourir avant l'heure
Je ne crains pas la guillotine
Simple épine. As-tu peur de ce liquide rouge et blanc ?
Un orgasme captivant
Je suis le seul à l'intérieur de ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je suis le seul à l'intérieur ton corps
Et je suis le seul (à l'intérieur de tes veines)
Je reste dans ce tombeau
Maintes et maintes fois que je suis ici à nouveau

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Edité par stra1ght 3dg3 le 01/08/2012 - 00:51

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Re: Poésie

Une nuit douce
Le noir comme compagnon
Une espèce d'addiction
Sens-tu cette secousse ?
La joie de se retrouver
Avant des milliers de baisers
Ton être pour l'éternité
Sens-tu le sol se dérober ?
Tu me laisses d'embrasser
Tu veux me parler ?
Tu baragouines des mots
Le parfum d'un morbide cigarillo
Tu m'offfres la corde
Un aller simple à la morgue
Le silence comme frère d'arme
Sens-tu la souffrance de mes larmes ?
Je suis quelqu'un d'extraordinaire
Un être peu ordinaire
Pourtant tu me laisses seul
Sens-tu le linceul ?
Le destin nous sépare
Je reprends seul la voie
Pour finir comme le guide sur la croix
Je suis sur que tu t'égares
Une nuit douce
Le noir comme solution
Une espèce de guérisson
Sens-tu cette secousse ?
Tu étais l'étendard de mon espoir
Je sombre dans le désespoir
Fils indigne de la souffrance
L'étoile de la digne errance
Tu me rends la liberté
Je suis la vérité
Le reflet de la perfection
Maudite réincarnation
Je vois mon changement
J'ai changé
Doctrine endiguement
La lutte d'un damné
L'ombre s'empare de moi
La puissance de la poésie s'abat sur toi
Les gens ont peur de mourir
Peur de souffrir, puis de périr
Je rigole de folie dans le Néant
Du sperme abondant
Une ère frigide
La vie comme spermicide
Le sang coule sur mes lèvres
Le sens coule dans mon cerveau
Une sorte d'embargo
Marche et crève
Je vois de l'extérieur mon changement
Sens-tu le changement ?
La vie ne vaut rien
Sauf la joie de mourir demain
L'homme honnête devient le narcissique profond
Une douloureuse pénétration
Les gens normaux ne connaissent pas mes malheurs
Laissez les subir leurs pitoyables peurs
J'ai changé
Changer ?
J'ai changé
Changer ?
Personne ne se sent vivant
Je le sais
Des plaisirs d'amants
Je le sais
Je n'ai rien changé
Changer ?
Je n'ai rien changé
Changer ?

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Re: Poésie

Je vends mon eldorado
Puisque que je jouis trop vite
Et que je n’ai pas d’antidouleur
Je vends mon dernier cigarillo
Puisque ma vie épique
Ne fait que mon malheur

Je vends mes larmes
Et mon sociodrame
Ma haine et mes serviteurs
Je sauve la rancœur
Vend ma virginité associable

Je vends la Chine
Avant que le profit
Ne vienne à me manquer
Je vends mon échine
Pour que vos corps puissent tomber
Mourir à mes pieds

Je vends la peau de l’homme
Après l’avoir tué
Je sauve ma monstruosité
Pour lire les cent vingt journées de Sodome

Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde souffrirait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde crame
A la fin

Je vends ta pitoyable chance
Pour exploiter la communauté
On a bien mérité
De toucher une avance
Pour détruire ton espérance
Celle de la communauté

Je passe à l’action
Pour devenir une perfection
Et vous mettre tous en prison

Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde souffrirait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde crame
A la fin

Je vends tout ce que j’ai
Pour acheter tout ce qui te manque
J’achète ce que je hais
Pour vendre toutes les banques

Je vends ce que je vaux
Pour créer l’éternel fléau
Tant pis, je donnerai tout
Pour t’enfoncer tous les clous

Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde souffrirait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde crame
A la fin

Un hôtel rue de la paix
Un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde crame

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Re: Poésie

Pour les grands de cette ombre
Juste un homme atypique
Tout est épique
Des édifices sombres

Le clapotis des vagues
Bataille de tous les jours
Les esprits divuaguent
Le sperme de l'amour

Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde
Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde

Les mains en croix
L'âme dans le croissant
Les sentiments du candélabre
Un manque de foi
Un surplus de dédain
Le plus macabre

Ouvre les yeux
Ouvre le libre-arbitre
Ouvre les cuisses
Plus rien ne t'émeut
Pas de titre
Une éternelle éclipse

Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde
Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde

Le juif errant
Celui qui est loué
Un être ressucitant
Celui qui peut aliéné

Regarde le miroir
Un vieux grimoire
Aucun espoir
Pas d'au-revoir

Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde
Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde

La corde au coup
Les funestes tabous
Victime du verrou
Le terrible courroux

La porte se ferme
Le jeu vient de commencer
La détresse germe
Le jeu doit se terminer

Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde
Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde

Tu faiblis
Il surgit
Tu veux créer
Tu laisses tomber
Tu péris
Il réagit
Il vient te sauver
Il veut te protéger

Les religions sans ennemis
Les murs sans militaires
Les crises sans guerres
Les religieux sans amis

Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde
Il regarde pour t'aider
Il regarde le monde

Le syndicat des syndicats
La propriété
L'unique
Le peuple d'en bas
La masse du patronat
Des milliers de piques
Une seule citoyenneté
Je suis celui là

Croire dans la foi
Boire son errance
Manger sa protubérance
Un peuple sans roi

La poésie comme combat
L'être humain n'est plus seul
La lumière des aieules
La lutte de la guérilla

Reprenez le pouvoir
Grâce à moi
Grâce aux diverses toi
Prenez le pouvoir

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Re: Poésie

bravo pour tout c'est poème chapeau tu et un homme qui va faire une grande continuation devant toi bravo :)

Edité par 123456789 le 13/09/2012 - 12:05