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Resident Evil Revelations (7/7)

Live du 25.01.2018 sur Resident Evil Revelations

51 Commentaires

Portrait de maximecool92

Lol j'ai jamais reussi a battre le boss de fin en facile alors les autre level j'arriver plutot bien xD


Portrait de derwich

Clairement, ce RER (oui, il porte bien son nom, mis à part les grèves, il va plutôt vite en besogne...) est une bonne trouvaille et évite de très loin d'être la catastrophe escomptée. On passe un vrai bon moment vidéo-ludique, très étonnant vu que le jeu partait avec un boulet immense aux pieds, porter un RE de console portable non canonique, tant pour le gameplay que les graphismes, sur console de salon. C'est une réussite. Sans rire, même les problèmes liés aux gunfights ultra mous et sans "ressenti" de la "force" des armes, semble être presque résolu avec le débloquanatanage d'autres types d'armes qui défouraillent plus que le gun de base. L’écueil principal de ce titre qui subsiste, est le dévoiement du genre du survival horror en un genre plus typé action. C'est naze mais c'est en plein dans la logique actuelle de la casualisation tristement aseptisée de notre époque et de l'accroissement stupide de la facilité. On va dire qu'il faut s'adapter à ces agents mutagènes des genres du jeu vidéo, brisés et fourvoyés en une logique mercantile et puérile du grand public, sans au final respecter cet art (mais remercions quand même les artisans du numérique qui osent résister, Fumito Ueda en tête. Évidemment que tous les développeurs ne réagissent pas de la sorte, fort heureusement d'ailleurs). Ici, on récolte des munitions ou autres herbacées hallucinogènes à foison et avec une facilité déconcertante (parfois par blocs de 75 balles pour la mitraillette, merci seigneur !) et un nombre pharaonique d'améliorations qui sont quasi toutes abusées sur le papier, mais qui, in game, ne changent presque rien. Voilà qui en plus de n'avoir pas de gros sens, ronge le jeu, son immersion et sa finalité jusqu'à la moelle. Heureusement que le scanner ne gêne en fait, après coup, pas outre mesure dans la progression. Par contre, quid du viseur laser choisi au début en bleu par le Hoopy et qui aurait aidé pour mieux viser ?
Mais qu'est la finalité d'un RE à part proposer une pseudo épopée déambulante dans un monde semi-ouvert (assez bien foutu) nanardesquo-épique dans un monde post-apo ?
Ce RER propose donc parfaitement ce mélange des genres tant caractéristique et y ajoute une dose de speed survitaminé. Et c'est tout bonnement ahurissant qu'un tel jeu ai été proposé sur console portable à la base ! Encore plus car sa réputation n'est même pas si grande que ça. Certaines séquences, notamment celles les plus impressionnantes, pour la clôture du jeu
Spoiler
explosent tout, c'est à ce demander comment un tel jeu pouvait tourner sur sa console d'origine.
Le rythme est effréné et le scénario se tiendrait presque ! Bon, les mobs ne sont pas forcément réussis au niveau de leur design global et de leur répétitivité, mais la diversité assez impressionnante de phases variées
Spoiler
donne un regain de vitalité admirable qui permet au joueur de ne pas faire une overdose des phases. De manière classique mais déplorable pour un RE (symbole qu'on ne revient pas aux sources comme qui rigole), une bonne déception est liée aux énigmes, très peu présentes et ultra simplistes. Un autre détail assez intéressant est relatif à l'aspect nostalgique des jeux. On se rend bien compte ici que lorsque le dèvs essayent de réaliser des environnements sortants des sentiers battus des autres RE, les joueurs doivent d'une certaine manière réapprendre les RE. À l'inverse, quand il est proposé une phase style manoir classique, comme le dit le Hoopy, ça devient implicitement réellement plus "intéressant". Ironie du sort, ces phases sont en effet bien mieux. Mais il fait aussi preuve d'esprit critique en déclarant qu'une telle insertion doit être écrite dans le cahier des (à ?!) charges de Capcom ! C'est exactement ça en plus ! La nostalgie, outre biaiser les expériences passées, semble uniformiser les joueurs à un idéal présent. En même temps c'est aisément compréhensible, ils forgent les souvenirs et le plaisir de jouer ! Par contre, c'est vrai que, déjà l'idée du bateau est assez intéressante pour l'horreur (qui n'a pas lieu !), mais en plus, il est ouf de réaliser que le jeu, en s'en détachant, prend l’ampleur d'un jeu de salon et nous propose d'autres environnements, même les phases de 2 minutes ridicules avec les persos WTF semblent faire sens.
De plus, le scénario, qui à l'accoutumé est caricatural, ridicule et restreint au possible est ici un poil plus poussé avec presque de vraies intrigues (de série Z, de jeu vidéo et pire, d'un RE, on entend bien) qui sont moins linéaires que de tuer des méchants zombies pas beaux crées par une vilaine organisation qu'il faut détruire. On sent que les enjeux on été un peu dopés (révélations oblige !), qui donne une envie de reviens-y pour le RER 2, même s'il est de notoriété moindre comparé à ce dernier. Les musiques sont également énormes (un des points les plus réussis du jeu) et les personnages délicieusement nanardesques. Quels dialogues et doublages à fous-rires style années 80', Raymond en prime avec la VF qui dégoise ! Le pire c'est que ce bon vieux perso Promptesque a la VF d'anthologie du gars qui double ce brave Jesse Pinkman de Breaking Bad et les autres persos ont aussi des doubleurs pas ridicules (genre la VF de Jessica, c'est la même que celle de Kidman dans The Evil Within et son fameux, "vous savez quoi ? Il y a une autre option, et c'est d'aller vous faire mettre !" Loul ! Voilà qui en dit long, tout est lié !), mais les dialogues sur le papier... Jeanne, au secours ! Ils pourraient être un immonde défaut déconnectant toute la matière du jeu, mais en fait, tout comme dans une multitude de films des annés 80' de ce type, c'est au contraire ce qui la lie. Mieux, on sent enfin que Capcom en jouent et s'amusent à proposer ces non-sens. La fin avec Columbo (Hooper en grande forme, ses blagues faisant comme d'hab, toujours mouche et qui nous propose encore une fois des lives savoureux ! La hâte de découvrir avec lui le RER 2 est grande !) et l'explication façon biopic qui nous précise qu'il va écrire un livre policier est donc un immensissime troll de leur part et qui prouve que tout le monde s'est fait gruger en prenant ce jeu au pied de la bonne grosse lettre, ce qui pourrait éventuellement renvoyer directement à... Columbo himself, Hooper ne l'a pas relevé, mais il a inconsciemment déniché le pot aux roses de la ressemblance à cet enquêteur bourru, proprement archétypal et d'une beaufitude à toute épreuve, en rigolant.
Finalement, Capcom nous montre avec ce jeu particulièrement honorable, que la véritable révélation n'était pas inhérente au jeu, mais venait de la capacité du studio à rationaliser son autodérision et à nous proposer ce feu d'artifice lucide et grinçant d'une absurdité plus dévorante que les monstres dont elle fait part.


Portrait de Antonius

L'histoire en deux phrases ?
Florent Pagny est finalement arrêté par Columbo pour avoir omis de faire inscrire le l sur la coque du Queen Dildo. Tout ceci suite au travail d'investigation de Parker Lewis qui n'a pas perdu encore une fois, sauf la face face à la drôle de face de Raymond, qui dans une dernière volte-face a récupéré son tube de coloration capillaire rouge.


Portrait de flex-o

Pauvre Raymond!
On loupe meme sa sequence de fin

Spoiler
, decidement rien ne lui est epargné.

Et sinon tu sais Hooper, tu t'utilise jamais le Magnum a partir du moment ou il est dispo, faut pas t'etonner au bout d'un moment de te retrouver avec des balles que magnum que t'arrives plus a prendre.

Sans vouloir t'offenser, je te trouve tjr aussi mauvais gestionnaire des equipements dans les RE.
L'economie pour l'economie n'a aucune utilité.


Portrait de Claw

Alors pour le résumé du scénario en 2 phrases (ou à peine +) :
C'est Jill et Parker Lewis qui vont sur le Queen Zenobia (bateau 1) pour sauver Chris qu'ils croient prisonnier. Malheureusement, ce n'est pas Chris, c'est un mannequin.
Pendant ce temps, Chris a appris que Jill est parti sur le Queen Zenobia pour le sauver, donc il veut aller la sauver à son tour : il y va avec Jessica. Ils subissent plein d'épreuves mais à la fin du chapitre, on voit un plan sur la carte du bateau avec le nom du bateau : Le Queen Semiramis (bateau 2).
Donc ils partent pour le vrai bateau, ils se retrouvent, tuent le Kraken, et finalement se rendent ensemble sur le Queen Dido (bateau 3) et tuent le Tyrant.
Voilà!

Merci pour cette épopée, une de tes meilleures, j'ai tellement ri que j'en avais les larmes aux yeux.
Sur ce, je vais aller me lancer dans l'épopée du numéro 2.
Et comme t'es sur ta lancée, je pense que tu feras Resident Evil 5 bientôt. Mais n'oublies pas que quand tu avais fais le 4, tu nous avais promis que tu ferais la campagne d'Ada Wong. ;-)

Après, si tu veux faire un autre survival horror de la précédente génération, le meilleur des meilleurs à mon sens : Dead Space 2. (mais pas le 3 hein ?!...)

Sinon, impatient que tu fasses le Beyond good & evil parce qu'avec tous les animaux qui vont faire la grosse truffe, le gros groin, et la petite queue en tire-bouchon!
Et Demon's Souls... :-)


Portrait de LittleHardy

Le système d'esquive est plus simple qu'il n'y paraît, il suffit de donner un coup de joystick vers le haut, pas besoin d'appuyer sur X en même temps (qui ne sert que pour l'esquive + retournement). Je pense que c'est pour ça que tu la ratait souvent (je faisais ça aussi au début). Et tu peux TOUT esquiver, les boss comme les projectiles. Tu peux même le faire pendant que tu vise.
A "haut niveau" on découvre même des petites techniques comme le fait qu'une esquive annule l'animation d'un rechargement, très pratique.

Sinon, a un moment tu avais du mal à déplacer le réticule de visée. Il t'étais arrivé la même chose sur The Evil Within 2. Je pense que ton joystick doit avoir un soucis, parce que c'est pas normal.


Portrait de Azukan

"Ha mais y'avait deux bateaux ?"
Punaise, il m'a tué.


Portrait de Oursinfou

Une série de lives sur ce sympathique RER que j'ai bien apprécié en rediff. J'ai fait les 2 RER et mon ressenti est positif.

Ce 1er RER m'a plu car il propose un contenu old school avec un rythme plus posé qui tranche bien par rapport à RE5 et 6. ça ne l'empèche pas pour autant de proposer un bon lot de cinématiques dynamiques, quelques phases variées, une bonne durée de vie et un boss de fin stressant avec une bonne OST.

Globalement c'est complet, ça fonctionne, tout pourrait etre mieux mais l'essentiel est la et c'est le principal.

Pour ma part ses + gros défauts sont:

-Le manque de feeling des gunfights. ce n'est pas du au fait que ce soit un jeu 3DS à la base. Si je prends en exemple RE2 sur ps1 ,qui fait partie de mon top 3 RE avec le rebirth et le 4, on pouvait faire des headshots jouissifs et couper les zombies en deux au shotgun. Dans ce RER pas de démembrement, et pour moi ça manque.

-Le chara-design des persos masculins, je pense que il n'y a pas besoin de développer. Par contre les 2 filles avec leur chute de reins hypnotisantes, je suis faible alors je dis oui.

- l'IA des ennemis et du partenaire complètement aux fraises. une cata.

Je voudrais juste ajouter que j'aime bien RE6. Il a son lot de défauts mais il a pour lui le bestiaire le + varié, le gameplay le + complet et la plus grosse durée de vie de la série.

le coté "pan pan boum boum" est clairement trop présent, mais il y a des séquences qui ont de la patate notamment les boss ( celui de chris à la fin est sublime) et les cinématiques sont bien rythmées.

Le scénario et les dialogues sont nanards mais c'est le propre de la série. je ne vais pas lui reprocher si je l'accepte pour les autres.

RE 6 est pour moi comme un buffet a volonté. on en ressort gavé avec du bon et du moins bon voir du raté. Mais j'en ai eu pour mon argent et j'y ai pris du plaisir.

Il souffre un peu du meme syndrome que RE0 en son temps. c'était l'apogée d'un système et il était temps pour la série d'évoluer. on a eu RE4 après 0 et RE7 après le 6 qui ont complètement bouleversé la série.

En tout cas content que Hooper enchaine avec RER2, je vais me mater les rediffs de ce pas!


Portrait de Kazuya

Loul Hooper, c'est pas étonnant que tu préfère revelations a RE6 vu que RE6 est le plus mauvais RE.

Ce revelations est le meilleur RE récent mais bon en même temps c'est pas difficile. Perso je n’accroche pas au coté nanardesque, le scénario ne m'intéresse pas et je m'amuse surtout en commando. Je me demande si le commando de RER2 m'aurait plus d'ailleurs mais ce jeu ne me donne pas du tout envie vu qu'il faut jouer 2 persos et j'ai horreur de ça.

C'était bien marrant ces lives avec tes imitations de colombo et raymond avec son apparence qui n'a aucun sens.

Sinon la révélation que j'aurais aimé connaitre c'est pourquoi on se tape une allié ia qui ne sert a rien pendant tout le jeu? Ca reste un mystère pour moi vu qu'il n'y a pas de co-op.


Portrait de JasonBurne

J'en ai parlé à ma femme et elle m'a dit que c'était un bon live


Portrait de LeKrakoukas

Entre "Raymoooond !!!",Columbo et les portes claquées à la gueule , très bonne épopée !


Portrait de EQO

Putain j'ai ri à Columbo


Portrait de RedWaffle

Je suis le fameux Vimaar, c'est à moi que répond le Hooper à 1:55. Après plusieurs années où je le suis, j'avoue que je suis super content d'avoir eu un échange officiel avec notre gros ours. Il ne m'a même pas dit " Bannissez-moi ça " en plus.
Que d'émotions.

Blague à part, merci Hooper pour les redif live, c'est cool. Je vais me plonger dedans. Adieu vie sociale !


Portrait de KyloR

N'empêche (et ça c'est valable pour n'importe quel jeu), je ne peux m'empêcher de me mettre dans les bottes de ces pauvres développeurs de jeux vidéos, qui ont probablement une vie assez peu enviable...

Je ne remets évidemment pas en cause le fait de donner son avis, mais ces mecs (et filles, ne soyons pas sexistes en ces temps troublés) doivent passer 2 à 3 ans de leur vie, voire bien plus dans certains cas, à bosser douze heures par jour à créer leur bébé, à peaufiner les détails, polir leur oeuvre pour qu'ils en soient fiers (car oui, on a aussi tendance à oublier que la plupart des développeurs sont également des gamers), même s'il existe toujours des branleurs et des je m'en-foutistes, pour qu'au final, ton boulot se fasse détruire par n'importe quel streamer lambda qui, dans un avis "emballé, c'est pesé" de cinq minutes post-générique, viendra dire que c'est de la merde. Et je ne parle même pas de leurs propres forums et comptes Twitter, en plus de se faire maltraiter et presser comme un citron par sa hiérarchie...

Imaginez que vous passiez dix années à écrire un livre : votre chef-d'oeuvre, le pinacle de votre carrière artistique ; et là, vous le faites lire à n'importe quel quidam au coin de la rue, qui le lit attentivement avant de venir vous vomir dans les oreilles que c'est le pire navet qu'il aie jamais feuilleté. Si vous pouvez accepter la critique, il y a quand même de quoi être sacrément frustré, ou surpris, ou les deux, voire de quoi se pendre. Au risque de paraître morbide, mais sans vouloir froisser personne dans cette tentative d'humour noir nocturne : je ne sais pas si le taux de suicide dans cette profession est élevé, mais il y a fort à parier que les employés de France Télécom seront déposséder de leur titre en la matière dans les années à venir.
En cette époque connecté, je trouve que les développeurs ont finalement assez peu d'occasions de se réjouir. Mais j'imagine qu'il en va de même pour tout artiste en soi...

En tous les cas : bonne vidéo sur un jeu sympa que j'avais pu finir à l'époque sur PS3, et possédant d'ailleurs pour moi l'une des meilleurs OST dans un Resident Evil.


Portrait de Maldhôr

Les créateurs proposent des œuvres au public qui les reçoit comme bon lui semble. Les artistes professionnels savent qu'ils sont jugés par les consommateurs et toutes les œuvres ne sont malheureusement pas des chefs-d'œuvre. C'est peut-être violent mais la vie est ainsi faite et les Youtubeurs qui lynchent les jeux sont aussi critiqués s'ils font de la merde.


Portrait de Hellipsir

Citation:
ces mecs (et filles, ne soyons pas sexistes en ces temps troublés)
Je dirais plutôt, en ces temps pour lesquels il était temps de remettre un peu les pendules à l'heure ^^.

Ce que tu dis a du sens mais c'est le risque pour tout créateur quand il expose son oeuvre à un public et cela a toujours été vrai. Il y a des siècles, les auteurs artistes de tout bord étaient même passibles de prison ou de quelques autres désagréments punitifs si leurs créations déplaisaient, par exemple, au Prince du moment...
Lorsque tu présentes un film, un livre ou un jeu, peu importe, il ne t'appartient plus, d'une certaine façon, car tu le jettes en pâture aux gens, ils vont en faire ce qu'ils en voudront, en dire ce qu'ils en voudront, l'interpréter comme ils le voudront, c'est la règle du jeu, sinon tu crées un truc dans ton coin et tu le gardes pour toi.
Mais c'est aussi valable pour un/e chef cuisinier ou pâtissier, leurs plats vont être jugés, je dirais même plus on est tous jugés d'une manière ou d'une autre dans notre travail ( pour ceux qui ont la chance d'en avoir un bien évidemment - mais est-ce vraiment une chance, quand on voit certains jobs de merde payés au lance-pierre? Mais, je m'égare ^^').
Bien sûr, de nos jours, tout est amplifié avec les réseaux sociaux et compagnie mais bon, si les avis négatifs venus de n'importe quel quidam peuvent s'exprimer plus facilement du fait de ces nouveaux moyens d'expression, il ne faut pas oublier que les avis positifs aussi ( le malheur est que le cerveau a plutôt tendance à retenir ce qui est négatif ), et si tu as bossé sur un jeu faut juste savoir faire la part des choses, sinon t'abstenir et te replier vers une voie professionnelle peut-être moins exposée à la critique de masse ( pour les plus émotifs et sensibles ).
Franchement, je crois que les gens qui bossent sur un jeu sont plus impactés par des conditions de travail qui peuvent être à certains moments du développement assez dures, que par les avis de quelques trouduc' du net qui n'y connaissent pas forcément grand chose et se permettent beaucoup parfois.
Et soit dit en passant, je pense qu'il y a bien plus rude qu'être dèv' de jv comme agriculteur/trice, aide-soignant/e dans un EHPAD ou infirmièr/ère aux urgences ( liste non exhaustive ).

De toute façon, il faut se faire une raison, plus rien ne pourra nous sauver des réseaux sociaux et cie maintenant, à part une catastrophe planétaire style invasion de Typhoons, propagation du WAU ou la plus classique épidémie de zombies. Laquelle a votre préférence? ^^


Portrait de KyloR

Certes. mais je me permettais seulement une petite aparté, histoire de nuancer tout ce bordel que représente la critique artistique de manière global. Je me doute bien, en effet, que les développeurs de jeu ne s'attendent pas à être toujours brossés dans le sens du poil, et qu'ils savent ce qu'ils risquent.

Cependant, et tu me reprocheras certainement d'enfoncer une porte ouverte, oui, les critiques positives existent, mais comme dirait le Fossoyeur de Films dans une de ces chroniques : "bouffe ton sens de la mesure". Aucun putain de juste milieu dans un sens comme dans l'autre, c'est l'overhype des extrêmes de façon constante.
C'est pour ça, entre autres, que je milite toujours pour le bannissement de la notation des jeux, films, livres, etc. Il suffit de lire des articles ou de voir des vidéos sur la note Rotten Tomatoes du dernier Star Wars par exemple, pour s'en rendre compte. Car oui, une bonne fois pour toute : L'ART NE SE NOTE PAS !!

Mais j'imagine que je dois être un espèce d'idéaliste pour mener un tel combat, j'en ai conscience.


Portrait de DEATH ADDER RETURN

Nous sommes dans un monde où TOUT est sujet à une évaluation. Depuis l'école où nous sommes tous allés jusqu'au pire des derniers réseaux sociaux... Il faut une évaluation afin de te mettre dans une catégorie ainsi qu'une étiquette. C'est pas réjouissant mais c'est ainsi. Généralement les gens regardent surtout ce qui est négatif dans une critique afin d'anticiper une déception sur ce qui les intéresse. Le problème aujourd'hui c'est l'ultra communication avec l'ultra diffusion technologique. Le stress de la perfection les gars, on ne veut que le meilleur. La critique artistique, l'art se notent car elles représentent une valeur qui vaut de l'argent.
En tout cas je comprends ton idéalisme que je partage mais qui est malheureusement naïf et irréaliste dans notre monde car on n'a jamais autant tout noté et tout diffusé depuis que chacun peut le faire depuis les réseaux sociaux...


Portrait de Hellipsir

Citation:
je milite toujours pour le bannissement de la notation des jeux, films, livres, etc.
Je ne peux que dire que je te rejoins totalement là-dessus, j'ai aussi du mal avec les notes dans ce contexte.


Portrait de Apolline

Citation:
il ne faut pas oublier que les avis positifs aussi

Bruno mars meilleur album et titre de l'année! Vous êtes contents? :v