Re: ULVER, les loups norvégiens de l'avant-garde [Album en 2017 + BO de film décembre]
Enorme track, si le reste de l'album s'annonce aussi bien que cette track (et j'ai aucun doute là-dessus) on va avoir le droit à un énorme album de synth-pop synthwave c'est le mot que je cherchais :p.
Même quand Ulver eux-mêmes ont décrit leur album comme étant de la "pop" j'ai eu aucun doute sur leur capacité à faire un gros album, suffit d'écouter Nowhere/catastrophe de l'époque pour se rendre compte qu'ils sont bons dans absolument n'importe quel domaine :D
EDIT: Si ça intéresse qui que ce soit j'ai fait de mon mieux pour transcrire les paroles, voici ce que j'en ai tiré (les lignes où j'suis pas sûr en italique)
Spoiler ▼▲
[Verse 1]
The festival of torchings joins the lights of the moon
Shining in the lake, they're sleeping with the stars
As good Christians illuminate the ???????
Human candles burning under Roman skies
[Chorus]
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
[Verse 2]Paul dies, Peter dies, ???????
Damnation to beasts almost too hard to believe
[Chorus]
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
[Verse 3]
The princess of Wales, the sexual drive
Stopped there under the river, in the capital of Romans
The most haunted body of the modern age
Flowers crown their head, ancient goddess of the moon
[Chorus]
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
Ooh, mirror lights up the night
(18th to 19th of July)
C'est assez intéressant, j'ai hâte de faire la page Genius de cette chanson :p du coup c'est sur la Princesse Diana et le Grand incendie de Rome.
Re: ULVER, les loups norvégiens de l'avant-garde [Album en 2017 + BO de film décembre]
Bon et bien j'ai pu écouter l'album une fois dans son intégralité et quelques morceaux séparément. Globalement j'ai vraiment bien aimé, on est pas du tout dans la continuité de leur musique "éthérée", ambient.
Ils avaient dit que ça serait leur album "pop" alors je m'attendais à des titres très catchy dans l'ensemble, j'étais assez surpris parce que dès le deuxième morceau c'est beaucoup plus expérimental. Mais on retrouve des titres assez catchy après (Transverberation, 1969)
L'album est plus proche d'un Perdition City que du reste de leur discographie je trouve, il y a des allures de trip-hop à ps mal de moments je trouve, comme quoi on avait pas tort quand on disait que ça faisait penser à Perdition City. La fin de Rolling Stone,c'est un gros délire, on dirait que ça part sur des samples de free jazz dignes de John Coltrane.
Par contre j'aimerais bien savoir de qui parle chacun des titres.
Enorme track, si le reste de l'album s'annonce aussi bien que cette track (et j'ai aucun doute là-dessus) on va avoir le droit à un énorme album de
synth-popsynthwave c'est le mot que je cherchais :p.Même quand Ulver eux-mêmes ont décrit leur album comme étant de la "pop" j'ai eu aucun doute sur leur capacité à faire un gros album, suffit d'écouter Nowhere/catastrophe de l'époque pour se rendre compte qu'ils sont bons dans absolument n'importe quel domaine :D
EDIT: Si ça intéresse qui que ce soit j'ai fait de mon mieux pour transcrire les paroles, voici ce que j'en ai tiré (les lignes où j'suis pas sûr en italique)
C'est assez intéressant, j'ai hâte de faire la page Genius de cette chanson :p du coup c'est sur la Princesse Diana et le Grand incendie de Rome.
Bon et bien j'ai pu écouter l'album une fois dans son intégralité et quelques morceaux séparément. Globalement j'ai vraiment bien aimé, on est pas du tout dans la continuité de leur musique "éthérée", ambient.
Ils avaient dit que ça serait leur album "pop" alors je m'attendais à des titres très catchy dans l'ensemble, j'étais assez surpris parce que dès le deuxième morceau c'est beaucoup plus expérimental. Mais on retrouve des titres assez catchy après (Transverberation, 1969)
L'album est plus proche d'un Perdition City que du reste de leur discographie je trouve, il y a des allures de trip-hop à ps mal de moments je trouve, comme quoi on avait pas tort quand on disait que ça faisait penser à Perdition City. La fin de Rolling Stone,c'est un gros délire, on dirait que ça part sur des samples de free jazz dignes de John Coltrane.
Par contre j'aimerais bien savoir de qui parle chacun des titres.
nouvelle track ! et nouvel EP bientôt