Bon ça a plus trop de rapport avec la motivation, mais bon on fait avec :p
Ca dépend de ce que tu appelles 'pouvoir venant de plus haut'
Si c'est ton inconscient, je te réfère à d'autres plus compétents que moi sur ce sujet
Si tu parles du Hooper, je comprends, j'aimerai pas être à la place du Martialou :V
PS : je répondrai plus tard Yess, c'est trop compliqué pour mon petit cerveau tout ça :p
EDIT : En fait non! Je réponds maintenant.
J'ai bien lu, mais je crois que ce n'était pas réellement la réponse à la question que je pose. Je vais la simplifier pour la clarifier:
Que penses-tu du rejet de la religion au sein de la psychanalyse : le religieux n'est-il pas considéré comme un enfant qui n'arrive à se détacher de ses parents?
Que penses-tu du rejet de la religion au sein de la psychanalyse : le religieux n'est-il pas considéré comme un enfant qui n'arrive à se détacher de ses parents?
Tu es sûr de ne pas "t'y connaître" en psychanalyse ^^ ?
Il s'agit là d'une bien belle réflexion Ulash ! Je plussoie. Peut-être plus dans la forme que dans le fond, mais je plussoie quand même ;) !
Oui, autant on peut rattacher le religieux à l'obsession (et donc à une névrose, et donc à quelque souci ou désordre d'attachement d'avec le parental, notamment le passage du maternel au paternel et la tentative avortée, car de type "formation réactionnelle" de sacralisation des imagos, etc.) autant, tel qu'évoqué entre parenthèse, il s'agit bien du lien aux parents...
Cependant, Ulash, il s'agit là d'une approche très simple (voire simpliste) de la réalité des phénomènes et des dimensions en présence.
Pour te répondre avec subtilité, mais aussi logique et cartésianisme :
Il n'y aurait pas de Religieux, il n'y aurait pas de Parental !
Mais pour aller davantage dans le détail (et pourtant la phrase précédente se suffit à elle-même, pour désigner la subtilité de la chose), si l'on considère que le religieux (conduites, croyances, etc.) ne correspond qu'à un échec du processus de détachement (séparation-individuation notamment) d'avec les parents, cela signifierait qu'il n'y a, proprement, de Religiosité que chez les Antiques, c'est à dire de nature polythéiste (en fait polythéisme et monothéisme sont, en quelque sorte, les deux faces d'une même pièce, bien qu'une seule face suffise à organiser une structure viable, par un jeu de présence-absence ou voilé-dévoilé qui fait/est le propre du fonctionnement psychique...et en l'occurence, de sa structure dite névrotique ou psychotique, en fonction précisément de comment s'est structurée cette dualité inhérente à toute chose...).
Je ne sais pas si tu saisis le propos, mais aborder le religieux ainsi renvoie notamment à la façon dont Nietzsche a pu en parler (avec son fameux "Surhomme" ou son "Dieu est mort", etc., etc.). Cette dernière idée n'est pas essentielle dans mon propos, c'est juste pour recadrer et préciser mon point de vue. (d'ailleurs, il est intéressant de se dire que les philosophes, qui ont notamment passé leur vie à penser le divin, sa présence, substance, absence, inexistence, transcendance, immanence, etc., etc. jusqu'à se dire que bon, "mettons de côté la question de Dieu", etc. se retrouve à avoir leur propre Dieu, celui dont on parle lorsque l'on dit "le Dieu des philosophes", comme s'il s'agissait soit de la seule "version" du Divin acceptable, soit d'un Dieu à part, distinct de celui du commun des mortels... Mais Dieu tout de même !)
A mon sens, la question du détachement des parents est une métaphore, un processus symbolique. C'est de l'ordre du discours. Bien entendu, grandir, maturer, devenir Adulte implique ces processus d'autonomisation, de séparation, etc. Mais, je le crois, pour une toujours plus grande intégration du parental en nous-même. On parle d'ailleurs de "permanence de l'objet maternel" (chez l'enfant lorsqu'il est capable de supporter la séparation d'avec sa mère, etc.). Il est vrai que l'on ne parle pas de "permanence de l'objet paternel" (hahaha), mais au fond, le processus est lui aussi essentiel (peut-être que ce sont les juifs qui ont initié un tel processus, mais chhhuuut, c'est secret défense, l'analyse et l'interprétation de l'histoire des hébreux faites par d'autres que des hébreux, surtout un musulman...hahaha (je plaisante...à moitié !), surtout lorsque ce musulman défend l'idée qu'il existe, du point de vue de la dialectique du monothéisme, deux réalités possibles : une ou Israël en tant que Nation (lié consubstantiellement à une Terre) existe, et une autre réalité ou Israël est symbolique (sans Terre, mais en chacun de nous) ! D'ailleurs, en vérité, l'Islam dit cela (à mon sens, et tel que je comprends le texte coranique), et Jésus est précisément (toujours de mon point de vue) la transition, le passage nécessaire (et inévitable) entre cet état initial (Israël comme terre et terre comme symbole) et l'état final (Israël comme symbole et symbole comme terre)... Bref, je digresse...
Donc, c'est paradoxalement la névrose qui donne l'impression que celui qui est dans le religieux (et je ne parle pas forcément de pratique religieuse, je parle de Religion au sense du "Re-legare" (relier, alliance à, etc.) reste attacher à ses parents ! Par exemple, pour moi, c'est le névrosé qui souffre d'une "intellectualite aiguë" (loul) qui va raisonner (tel un grand raisonnateur :V) et considérer la Religion comme dépassée, du passé, un attrape-nigaud, une chimère, un opium, etc. Oui, oui, bien sûr, tout cela a une réalité (certes, la religion a bien cette dimension d'opium du peuple..., etc.).
Je me suis souvent rendu compte que ce sont les obsessionnels intellectuels ou les paranos qui dénigraient le religieux, etc. Et pour cause ! L'obsessionnel va simplement opérer un déplacement de ses idéalisations sur un autre objet que la religion (dont, en général, il ne comprend absolument rien) : cela traduit souvent une fixation régressive et un deuil mal achevé de l'amour à la mère... (sachant qu'à ce niveau, l'obsessionnel religieux va quant à lui, créer une sorte de condensation ph/fallacieuse entre maternel et paternel...surmoi tyrannique, etc.)...et va donc idolâtrer le "scientifique", les raisonnements cartésiens, la logique, les démonstrations par force d'arguments opératoires, empiriques, et tout le tsoin tsoin...et d'un autre côté le parano, évidemment, puisqu'il se méfie par essence de tout ce qui est emprunt de pouvoir (pour revenir sur les coms précédents ^^), de tout ce qui est supérieur, puissant, divin...car lui seul peut l'incarner !(et c'est donc là le paradoxe psychotisant de la paranoïa : je ne crois et me méfie de tous les dieux ou de toute forme de divin, car il n'y a de...divin...que moi).
Nos parents, sont, je le crois, nos premiers Dieux.
Maintenant, comment retrouver le Divin et l'essence des choses, malgré la condition humaine, malgré les défauts de nos parents et les nôtres (transmis, ou pas, etc.)...voilà la véritable épreuve. Mais cette dernière ne peut se faire sans la présence de nos parents. Réels ou imaginaires. Mais lorsque l'on parvient à faire le chemin tout en essayant de garder au maximum le lien d'avec nos parents biologiques, et de transcender les choses par leur intermédiaire, je crois qu'on a de la chance : il s'agit là d'une gageure. L'épreuve d'une vie...
(dans la plupart des cas, dans les cas heureux, je dirais, celui ou celle qui se "détache" sans perdre son attache à ses parents, va lui-même devenir...parent ! On appelle cela "la dette de vie", mais ça va au-delà, je crois)
Pour te répondre Yess plus en profondeur quand au fait si je suis juif ou musulman, je dirais aucun des deux. Je ne crois ni en l'un ni en l'autre. Les deux seuls personnes auquel je crois sont Bouddha et Jésus Christ. Le reste n'est pas ma tasse de thé on va dire, même si on peut dire que chaque Prophète apporte une vision complémentaire et est essentielle pour avoir une vue d'ensemble sur comment devenir un être parfait. Je ne crois pas en l'Islam et au Judaïsme et encore moins a la Psychanalyse, je me sens bien comme bouddhiste et chrétien. Comment croire le prophète Mohammed quand il dit qu'il est le dernier prophète qui arrivera sur terre et que c'est la religion ultime ? Non c'est faux d'autres très très grandes personnes sont arrivées après lui et d'autres bien meilleurs arriveront encore, voila ce en quoi je crois.
J'ai un peu l'impression que vous parlez de femmes quand je ne suis pas là :p
Citation:
Selon moi c'est une femme intelligente, gentille et douce. Une femme qui écoute son homme meme si celui ci est dans le faux. Une femme qui soutient son homme quelque soit la situation voila ce qu'est une bonne épouse.
Idem pour l'homme, mais comme les hommes sont égoïstes .
Citation:
Les femmes ne sont pas complexe, elles sont juste naturelles. Si vous comprenez la nature vous comprenez les femmes.
C'est beau ce que tu dis :)
Citation:
Non faut une femme qui n'ai pas peur de dire la vérité et en qui on peut avoir pleinement confiance.
Et pour les hommes pareil, si il n'a pas de confiance dans un couple, ce n'est pas un couple.
Citation:
Mais es ce qu'un homme doit faire la même chose pour sa femme dans ta vision? :o
Ma réponse au dessus ;)
Je ne suis pas folle.
Ma réalité est juste différente de la votre.
Bon, on dirait que mon problème s'est réglé sur Facebook depuis que j'ai suivi leur procédure de "nettoyage" car depuis aujourd'hui midi je peux à nouveau envoyer des messages.
C'est quand même bizarre, ce qui s'est passé, ça ne m'est jamais arrivé auparavant là-bas.
J'en ai parlé il y a quelques pages: un contact m'a envoyé un message avec un lecteur vidéo affichant son avatar comme image. J'ai cliqué dessus, et ça envoyé le même message à tous mes contacts, mais cette fois avec mon avatar comme image du lecteur vidéo suspect. Mon contact avait été lui aussi victime du même problème.
Ainsi, la publication qui s'était affichée sur mon mur a été supprimée par le site, et hier mon compte a été en accès restreint dans le but de le "nettoyer", donc je ne pouvais plus envoyer de messages hier.
Bon ça a plus trop de rapport avec la motivation, mais bon on fait avec :p
Ca dépend de ce que tu appelles 'pouvoir venant de plus haut'
Si c'est ton inconscient, je te réfère à d'autres plus compétents que moi sur ce sujet
Si tu parles du Hooper, je comprends, j'aimerai pas être à la place du Martialou :V
PS : je répondrai plus tard Yess, c'est trop compliqué pour mon petit cerveau tout ça :p
EDIT : En fait non! Je réponds maintenant.
J'ai bien lu, mais je crois que ce n'était pas réellement la réponse à la question que je pose. Je vais la simplifier pour la clarifier:
Que penses-tu du rejet de la religion au sein de la psychanalyse : le religieux n'est-il pas considéré comme un enfant qui n'arrive à se détacher de ses parents?
Tu es sûr de ne pas "t'y connaître" en psychanalyse ^^ ?
Il s'agit là d'une bien belle réflexion Ulash ! Je plussoie. Peut-être plus dans la forme que dans le fond, mais je plussoie quand même ;) !
Oui, autant on peut rattacher le religieux à l'obsession (et donc à une névrose, et donc à quelque souci ou désordre d'attachement d'avec le parental, notamment le passage du maternel au paternel et la tentative avortée, car de type "formation réactionnelle" de sacralisation des imagos, etc.) autant, tel qu'évoqué entre parenthèse, il s'agit bien du lien aux parents...
Cependant, Ulash, il s'agit là d'une approche très simple (voire simpliste) de la réalité des phénomènes et des dimensions en présence.
Pour te répondre avec subtilité, mais aussi logique et cartésianisme :
Il n'y aurait pas de Religieux, il n'y aurait pas de Parental !
Mais pour aller davantage dans le détail (et pourtant la phrase précédente se suffit à elle-même, pour désigner la subtilité de la chose), si l'on considère que le religieux (conduites, croyances, etc.) ne correspond qu'à un échec du processus de détachement (séparation-individuation notamment) d'avec les parents, cela signifierait qu'il n'y a, proprement, de Religiosité que chez les Antiques, c'est à dire de nature polythéiste (en fait polythéisme et monothéisme sont, en quelque sorte, les deux faces d'une même pièce, bien qu'une seule face suffise à organiser une structure viable, par un jeu de présence-absence ou voilé-dévoilé qui fait/est le propre du fonctionnement psychique...et en l'occurence, de sa structure dite névrotique ou psychotique, en fonction précisément de comment s'est structurée cette dualité inhérente à toute chose...).
Je ne sais pas si tu saisis le propos, mais aborder le religieux ainsi renvoie notamment à la façon dont Nietzsche a pu en parler (avec son fameux "Surhomme" ou son "Dieu est mort", etc., etc.). Cette dernière idée n'est pas essentielle dans mon propos, c'est juste pour recadrer et préciser mon point de vue. (d'ailleurs, il est intéressant de se dire que les philosophes, qui ont notamment passé leur vie à penser le divin, sa présence, substance, absence, inexistence, transcendance, immanence, etc., etc. jusqu'à se dire que bon, "mettons de côté la question de Dieu", etc. se retrouve à avoir leur propre Dieu, celui dont on parle lorsque l'on dit "le Dieu des philosophes", comme s'il s'agissait soit de la seule "version" du Divin acceptable, soit d'un Dieu à part, distinct de celui du commun des mortels... Mais Dieu tout de même !)
A mon sens, la question du détachement des parents est une métaphore, un processus symbolique. C'est de l'ordre du discours. Bien entendu, grandir, maturer, devenir Adulte implique ces processus d'autonomisation, de séparation, etc. Mais, je le crois, pour une toujours plus grande intégration du parental en nous-même. On parle d'ailleurs de "permanence de l'objet maternel" (chez l'enfant lorsqu'il est capable de supporter la séparation d'avec sa mère, etc.). Il est vrai que l'on ne parle pas de "permanence de l'objet paternel" (hahaha), mais au fond, le processus est lui aussi essentiel (peut-être que ce sont les juifs qui ont initié un tel processus, mais chhhuuut, c'est secret défense, l'analyse et l'interprétation de l'histoire des hébreux faites par d'autres que des hébreux, surtout un musulman...hahaha (je plaisante...à moitié !), surtout lorsque ce musulman défend l'idée qu'il existe, du point de vue de la dialectique du monothéisme, deux réalités possibles : une ou Israël en tant que Nation (lié consubstantiellement à une Terre) existe, et une autre réalité ou Israël est symbolique (sans Terre, mais en chacun de nous) ! D'ailleurs, en vérité, l'Islam dit cela (à mon sens, et tel que je comprends le texte coranique), et Jésus est précisément (toujours de mon point de vue) la transition, le passage nécessaire (et inévitable) entre cet état initial (Israël comme terre et terre comme symbole) et l'état final (Israël comme symbole et symbole comme terre)... Bref, je digresse...
Donc, c'est paradoxalement la névrose qui donne l'impression que celui qui est dans le religieux (et je ne parle pas forcément de pratique religieuse, je parle de Religion au sense du "Re-legare" (relier, alliance à, etc.) reste attacher à ses parents ! Par exemple, pour moi, c'est le névrosé qui souffre d'une "intellectualite aiguë" (loul) qui va raisonner (tel un grand raisonnateur :V) et considérer la Religion comme dépassée, du passé, un attrape-nigaud, une chimère, un opium, etc. Oui, oui, bien sûr, tout cela a une réalité (certes, la religion a bien cette dimension d'opium du peuple..., etc.).
Je me suis souvent rendu compte que ce sont les obsessionnels intellectuels ou les paranos qui dénigraient le religieux, etc. Et pour cause ! L'obsessionnel va simplement opérer un déplacement de ses idéalisations sur un autre objet que la religion (dont, en général, il ne comprend absolument rien) : cela traduit souvent une fixation régressive et un deuil mal achevé de l'amour à la mère... (sachant qu'à ce niveau, l'obsessionnel religieux va quant à lui, créer une sorte de condensation ph/fallacieuse entre maternel et paternel...surmoi tyrannique, etc.)...et va donc idolâtrer le "scientifique", les raisonnements cartésiens, la logique, les démonstrations par force d'arguments opératoires, empiriques, et tout le tsoin tsoin...et d'un autre côté le parano, évidemment, puisqu'il se méfie par essence de tout ce qui est emprunt de pouvoir (pour revenir sur les coms précédents ^^), de tout ce qui est supérieur, puissant, divin...car lui seul peut l'incarner !(et c'est donc là le paradoxe psychotisant de la paranoïa : je ne crois et me méfie de tous les dieux ou de toute forme de divin, car il n'y a de...divin...que moi).
Nos parents, sont, je le crois, nos premiers Dieux.
Maintenant, comment retrouver le Divin et l'essence des choses, malgré la condition humaine, malgré les défauts de nos parents et les nôtres (transmis, ou pas, etc.)...voilà la véritable épreuve. Mais cette dernière ne peut se faire sans la présence de nos parents. Réels ou imaginaires. Mais lorsque l'on parvient à faire le chemin tout en essayant de garder au maximum le lien d'avec nos parents biologiques, et de transcender les choses par leur intermédiaire, je crois qu'on a de la chance : il s'agit là d'une gageure. L'épreuve d'une vie...
(dans la plupart des cas, dans les cas heureux, je dirais, celui ou celle qui se "détache" sans perdre son attache à ses parents, va lui-même devenir...parent ! On appelle cela "la dette de vie", mais ça va au-delà, je crois)
Pour te répondre Yess plus en profondeur quand au fait si je suis juif ou musulman, je dirais aucun des deux. Je ne crois ni en l'un ni en l'autre. Les deux seuls personnes auquel je crois sont Bouddha et Jésus Christ. Le reste n'est pas ma tasse de thé on va dire, même si on peut dire que chaque Prophète apporte une vision complémentaire et est essentielle pour avoir une vue d'ensemble sur comment devenir un être parfait. Je ne crois pas en l'Islam et au Judaïsme et encore moins a la Psychanalyse, je me sens bien comme bouddhiste et chrétien. Comment croire le prophète Mohammed quand il dit qu'il est le dernier prophète qui arrivera sur terre et que c'est la religion ultime ? Non c'est faux d'autres très très grandes personnes sont arrivées après lui et d'autres bien meilleurs arriveront encore, voila ce en quoi je crois.
J'ai un peu l'impression que vous parlez de femmes quand je ne suis pas là :p
Je ne suis pas folle.
Ma réalité est juste différente de la votre.
Apres faut trouver la bonne, une seule suffit si c'est la bonne. Moi la j'en ai trouvé une pour pas cher niveau tarifs... XD Naaan je rigole !!! ^^
C'est pas mal Dark Souls 2...et Dragon Quest XI aussi :P
Eh ben dites donc, ce topic est rempli de philosophes en fait! Il faudrait le rebaptiser "comptoir philo" ou quelque chose de ce genre.
Au fait, Genesis, est-ce que tu as échappé à ton amende? Je voulais savoir si mon calcul de l'autre jour était bon ou pas. ^^
Exactement xD ! Et dire que Yess se sentait seul à une époque sur le topic dédié [Philo] xD
Bon, on dirait que mon problème s'est réglé sur Facebook depuis que j'ai suivi leur procédure de "nettoyage" car depuis aujourd'hui midi je peux à nouveau envoyer des messages.
C'est quand même bizarre, ce qui s'est passé, ça ne m'est jamais arrivé auparavant là-bas.
hein ? j'ai pas eu de problème moi. Et pourtant j'ai envoyé 2 MP ce matin et mon ami m'a répondu sans problème.
Pas un truc pour mieux t'embêter (je reste poli^^) ça xD ?
J'en ai parlé il y a quelques pages: un contact m'a envoyé un message avec un lecteur vidéo affichant son avatar comme image. J'ai cliqué dessus, et ça envoyé le même message à tous mes contacts, mais cette fois avec mon avatar comme image du lecteur vidéo suspect. Mon contact avait été lui aussi victime du même problème.
Ainsi, la publication qui s'était affichée sur mon mur a été supprimée par le site, et hier mon compte a été en accès restreint dans le but de le "nettoyer", donc je ne pouvais plus envoyer de messages hier.