Le bonheur ne peut exister sans le malheur, chaque moment de bonheur est propre à chacun.
Si tu vois vois de la merde pendant 10 ans, le jour où tu vois une fleur elle est plus que magnifique.
Le bonheur est l'atteinte d'une paix intérieure. C'est l'accomplissement d'un désir. La seule vue d'une fleur donne autant de bonheur que de malheur. Tout dépend de la manière dont le regard y sera posé. Mais au final, je crois qu'il n'y a pas de réponse concise à cette question, il est fonction de chacun. Pour répondre à ta question, il me semble qu'être libre favorise grandement le bonheur.
Certes. Pensée que je trouve obsolète dans un système capitaliste où le plaisir est synonyme de consommation et dont la résultante n'est, à mon sens comme à celui des post-marxistes, sûrement pas le bonheur.
j'aime bien ta façon de voir les choses , car le danger d’être libre ; je choisirais plutôt une autre expression car en fait on est souvent enfermé dans nos conditionnement , que ce soit la famille , la société , la culture ...
nous pousse a nous perdre dans cette société capitaliste et judeo chrétienne , de par l'aspect des vices en tout genre qu'engendre cette société et la surconsomation qui va avec et de l'autre coté par la culpabilité du modèle judeo chrétient qui font peser lourd sur nos eapules toutes nos fautes , on a du mal a se pardonner . Tout ceçi nous rend enchaîné et nous éloigne de la liberté et donc du bonheur , car c'est une fois libéré de tout , lorsque l'on redevient innocent , détaché de tout , lorsque l'on fait des choses simple que l'on retrouve la force de l'univers, c'est a dire au final , n’être que comme une plante qui fait des fleurs naturellement , pour nous c'est la même chose avec toutes les qualité humaines (solidarité , partage , pardon , amour , humilité ...) qui doivent s'ouvrir naturellement sans forcer , et une fois qu'on ne fait qu'un avec les Soi véritable , le bonheur est a porté de main
je ne sais pas si je me suis bien fait entendre , ça a l'air compliqué mais en fait c'est super simple !
C'est simple, mais dit d'une manière très opaque. :D ;)
Par contre je ne crois pas à la judéo-chrétienté. Le christianisme étant une révolution vis à vis du judaïsme et le judaïsme post-chrétien une négation de celui-ci, je trouve l'association des deux douteuse et porteuse d'une alliance à laquelle je me refuse de participer, en tant que catholique.
Je crois encore moins à une telle influence de la chrétienté dans la société de consommation, qui comme l'ont dit Marx et ses successeurs, base l'extension de son influence sur la destruction des valeurs morales et religieuses, entre autres.
Je crois encore moins à une telle influence de la chrétienté dans la société de consommation, qui comme l'ont dit Marx et ses successeurs, base l'extension de son influence sur la destruction des valeurs morales et religieuses, entre autres.
Selon Max Weber, l'éthique protestante a contribué à l'essort du capitalisme!
Et il a bien raison. J'ai fait un abus de langage, je parlais du catholicisme et non du christianisme qui lui inclue le protestantisme, retour au texte dans lequel certains voient une libération là où je pense qu'il existe des possibilités plus grandes de dérives dont le capitalisme anglo-saxon et l'émergence du créationnisme sont les preuves.
Je crois encore moins à une telle influence de la chrétienté dans la société de consommation, qui comme l'ont dit Marx et ses successeurs, base l'extension de son influence sur la destruction des valeurs morales et religieuses, entre autres.
Selon Max Weber, l'éthique protestante a contribué à l'essort du capitalisme!
Le christianisme c'est quand même la dissolution de l'individualité, la lutte contre l'égoïsme, l'auto-culpabilité perpétuelle (pêché originel), le culte de la pitié, vivre pour les autres, le sacrifice, aider les pauvres, la préférence du faible contre le fort, la compassion pour les pauvres comme valeur absolue, et puis la haine de l'argent et la richesse. (C'est le christianisme qui le premier a interdit le profit) Stirner et Nietzsche ont très bien expliqué que le socialisme et le communisme étaient des dérivés du christianisme. Ceci dit, le libéralisme (pas vraiment le capitalisme) étant une théorie morale du droit dit "naturel", on peut tisser quelques liens avec la morale chrétienne, concernant éventuellement le libre arbitre et le droit d'autrui (tu ne tueras point, tu ne voleras point...) mais cela reste assez ténu à mes yeux.
Le bonheur ne peut exister sans le malheur, chaque moment de bonheur est propre à chacun.
Si tu vois vois de la merde pendant 10 ans, le jour où tu vois une fleur elle est plus que magnifique.
Le bonheur est l'atteinte d'une paix intérieure. C'est l'accomplissement d'un désir. La seule vue d'une fleur donne autant de bonheur que de malheur. Tout dépend de la manière dont le regard y sera posé. Mais au final, je crois qu'il n'y a pas de réponse concise à cette question, il est fonction de chacun. Pour répondre à ta question, il me semble qu'être libre favorise grandement le bonheur.
Le bonheur, l'accomplissement d'un désir? Je connais nombre de théoriciens de l'aliénation qui sursauteraient en lisant ça. :p
Je ne fais que donner mon point de vue, le situant dans la pensée cyrénaïque, rien de plus.
Certes. Pensée que je trouve obsolète dans un système capitaliste où le plaisir est synonyme de consommation et dont la résultante n'est, à mon sens comme à celui des post-marxistes, sûrement pas le bonheur.
j'aime bien ta façon de voir les choses , car le danger d’être libre ; je choisirais plutôt une autre expression car en fait on est souvent enfermé dans nos conditionnement , que ce soit la famille , la société , la culture ...
nous pousse a nous perdre dans cette société capitaliste et judeo chrétienne , de par l'aspect des vices en tout genre qu'engendre cette société et la surconsomation qui va avec et de l'autre coté par la culpabilité du modèle judeo chrétient qui font peser lourd sur nos eapules toutes nos fautes , on a du mal a se pardonner . Tout ceçi nous rend enchaîné et nous éloigne de la liberté et donc du bonheur , car c'est une fois libéré de tout , lorsque l'on redevient innocent , détaché de tout , lorsque l'on fait des choses simple que l'on retrouve la force de l'univers, c'est a dire au final , n’être que comme une plante qui fait des fleurs naturellement , pour nous c'est la même chose avec toutes les qualité humaines (solidarité , partage , pardon , amour , humilité ...) qui doivent s'ouvrir naturellement sans forcer , et une fois qu'on ne fait qu'un avec les Soi véritable , le bonheur est a porté de main
je ne sais pas si je me suis bien fait entendre , ça a l'air compliqué mais en fait c'est super simple !
C'est simple, mais dit d'une manière très opaque. :D ;)
Par contre je ne crois pas à la judéo-chrétienté. Le christianisme étant une révolution vis à vis du judaïsme et le judaïsme post-chrétien une négation de celui-ci, je trouve l'association des deux douteuse et porteuse d'une alliance à laquelle je me refuse de participer, en tant que catholique.
Je crois encore moins à une telle influence de la chrétienté dans la société de consommation, qui comme l'ont dit Marx et ses successeurs, base l'extension de son influence sur la destruction des valeurs morales et religieuses, entre autres.
Selon Max Weber, l'éthique protestante a contribué à l'essort du capitalisme!
Et il a bien raison. J'ai fait un abus de langage, je parlais du catholicisme et non du christianisme qui lui inclue le protestantisme, retour au texte dans lequel certains voient une libération là où je pense qu'il existe des possibilités plus grandes de dérives dont le capitalisme anglo-saxon et l'émergence du créationnisme sont les preuves.
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