Je suis plutôt d'accord pour dire que le socialisme et le communisme peuvent apparaitre comme un dérivé du christianisme (même si je ne suis pas d'accord avec ça, je le comprends parfaitement)! Cependant, il n'y a aucun lien entre l'institution chrétienne et le communisme et heureusement!
Hey ! Dit donc on se la coule douce dans la salle de philo ? :p
Je vous proposer d'exprimer ce que vous penser de l'équilibre dans la vie d'un Homme.
En effet, du moins à mon sens, la vie utopique du "maximum de bonheur", que tout le monde tente d'atteindre, repose sur un ensemble qui tient en équilibre. Cet équilibre peut s'ajuster, être compromis, voire se rompre.
Pour moi il y a 4 éléments dans cet équilibre :
le social, l'amour, le personnel, et la nature.
Quand je parle d'équilibre, ce n'est pas au sens physique du terme avec les lois de la gravité mais psychique avec les lois de notre conscience.
Quelqu'un peut donc se sentir très heureux s'il vit seul comme un Hermite au milieu d'une forêt, sans amour et sans amis Homo sapiens, et inversement quelqu'un sera très heureux s'il est en permanence entouré de ses semblables.
Je ne vais pas me la péter, surtout que d'autres ont l'air bien mieux que moi dans le sujet et que ma connaissance reste de la solide recherche du net, alors pas très fiable, même si j'en ai lus quelques uns, comme Nietzche (pardon pour les fautes) ou Sartre, de façon très superficiel, malheureusement. xD
Mais franchement, je dois avouer que je préfère les bouquins plus littéraires, mais avec une sérieuse prise de positions. Je deviens peut-être fou et je projette ce que je veux dans ce que je lis, mais parfois, je trouve plus intéressant de lire un histoire avec une philo derrière que juste un livre de philo qui est parfois très technique sur la dialectique. Sans leur reprocher la lourdeur, j'ai l'impression que je n'ai pas le "background", le référentiel, pour dire que l'idée que je me fais de ce que j'ai lus est la bonne. xD
Par contre, j'adore les romans comme Le Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde, avec une solide théorie hédoniste, mais un peu des dangers de ce que ça représente. Arthur Conan Doyle avec ses Sherlock Holmesme semble avoir une philosophie sur la manière de travailler, mais aussi la nature de l'esprit humaine à travers son personnage principal, Ayn Rand dans La Révolte d'Atlas(inspiration de Bioshock d'ailleurs), Goerge Orwell avec La Ferme des Animaux et évidemment 1984.
Je sais que c'est surtout pour les débats, mais j'ai surtout une question à poser à ceux qui s'y connaissent un peu plus que moi. Après, j'essaierai toujours de démontrer mon point vu, parce que je ne saurais pas trop par où commencer. Vous ne trouvez pas que la plupart des hauteur que je viens de citer expriment un certain... je sais pas si c'est le bon mot, nihilisme personnel, au sens de la théorie du marteau. Un espèce de test de leur personnage à l'encontre de la morale personnelle, le principe de s'oublier, de traiter ce qui peut nous paraître important comme des broutilles, de ce concentrer sur des faits épurés, de s'oublier soi-même, d'arrêter d'en tenir compte ?
PS : Anthropopithèque a proposer une question, je crois que sincèrement, ma question va finir par te rejoindre et ramener le débat là-dessus, alors c'est pourquoi je me permets de la poser.
Selon moi, c'est l'amour qui est au centre de la vie humaine. L'amour dans l'humanité, l'amour en Dieu, l'amour d'une personne, l'amour en soi même etc... Le personnel découle largement de l'amour. La nature ? Notre environnement, l'écosystème ? Le social ? C'est l'amour en autrui ^^.
une petite question posée à mes amis philosophe ^^ :
Une phrase nous dit : Lorsque nous mourons nous revoyons notre vie s'écouler.
Certain Moment nous faisons des rêves prémonitoires ( chose qui se passe et on se dit c'est bizarre j'ai déjà vue ça il vas se passez cela et là ce "cela" ce passe )
est ce que nous ne sommes pas déjà mort et revivons tout simplement notre vie.
VOUS AVEZ 5 HEURES X)
Selon moi, c'est l'amour qui est au centre de la vie humaine. L'amour dans l'humanité, l'amour en Dieu, l'amour d'une personne, l'amour en soi même etc... Le personnel découle largement de l'amour. La nature ? Notre environnement, l'écosystème ? Le social ? C'est l'amour en autrui ^^.
Je pense comme toi , l'amour est déclencheur de beaucoup de choses positives !
Je ne vais pas me la péter, surtout que d'autres ont l'air bien mieux que moi dans le sujet et que ma connaissance reste de la solide recherche du net, alors pas très fiable, même si j'en ai lus quelques uns, comme Nietzche (pardon pour les fautes) ou Sartre, de façon très superficiel, malheureusement. xD
Mais franchement, je dois avouer que je préfère les bouquins plus littéraires, mais avec une sérieuse prise de positions. Je deviens peut-être fou et je projette ce que je veux dans ce que je lis, mais parfois, je trouve plus intéressant de lire un histoire avec une philo derrière que juste un livre de philo qui est parfois très technique sur la dialectique. Sans leur reprocher la lourdeur, j'ai l'impression que je n'ai pas le "background", le référentiel, pour dire que l'idée que je me fais de ce que j'ai lus est la bonne. xD
C'est curieux, car Nietzsche et Sartre sont parmi les philosophes les plus littéraires. Lis Kant ou Hegel, tu m'en diras des nouvelles.
Sartre a écris bon nombre de roman et de pièces de théâtre (Huis clos, La Nausée...) quand à Nietzsche, si son style philosophique est déjà très littéraire à la base, il a aussi écrit un long poème en prose qui s'intitule Ainsi parlait Zarathoustra. Par contre il faut bien connaître sa philosophie en amont pour comprendre cette oeuvre.
Nilictis a écrit:
Vous ne trouvez pas que la plupart des hauteur que je viens de citer expriment un certain... je sais pas si c'est le bon mot, nihilisme personnel, au sens de la théorie du marteau. Un espèce de test de leur personnage à l'encontre de la morale personnelle, le principe de s'oublier, de traiter ce qui peut nous paraître important comme des broutilles, de ce concentrer sur des faits épurés, de s'oublier soi-même, d'arrêter d'en tenir compte ?
Comprend pas la question. En tout cas, Nietzsche est tout sauf nihiliste.
Oui, bon, y'a plusieurs versions du nihilisme, dépendant de l'auteur ou de qui l'utilise. Je dois avouer que j'ai lu principalement Ainsi parlait Zarathoustra (à mes souhait et désolé du massacre), et il y a trop longtemps. Il donne une définition du nihilisme comme "vouloir quelque chose qui n'est pas en accord avec la réalité, ne pas savoir aimer l'univers dans le présent", si je ne me trompe pas et que je le résume très (trop ?) grossièrement ? C'est exact ? Faut dire que pour ceux qui ont lu La Grèved'Ayn Rand, ça semble au coeur du questionnement de l'auteur pendant l'oeuvre.
J'entendais plutôt nihiliste au sens de la théorie du marteau, tester les trucs pour vérifier si ils fonctionnent, mais, surtout, une bonne dose d'oubli de soi-même, autant que possible, de nos aprioris, pour se concentrer juste sur ce qui se passe au moment ou ça se passe.
Je suis plutôt d'accord pour dire que le socialisme et le communisme peuvent apparaitre comme un dérivé du christianisme (même si je ne suis pas d'accord avec ça, je le comprends parfaitement)! Cependant, il n'y a aucun lien entre l'institution chrétienne et le communisme et heureusement!
Hey ! Dit donc on se la coule douce dans la salle de philo ? :p
Je vous proposer d'exprimer ce que vous penser de l'équilibre dans la vie d'un Homme.
En effet, du moins à mon sens, la vie utopique du "maximum de bonheur", que tout le monde tente d'atteindre, repose sur un ensemble qui tient en équilibre. Cet équilibre peut s'ajuster, être compromis, voire se rompre.
Pour moi il y a 4 éléments dans cet équilibre :
le social, l'amour, le personnel, et la nature.
Quand je parle d'équilibre, ce n'est pas au sens physique du terme avec les lois de la gravité mais psychique avec les lois de notre conscience.
Quelqu'un peut donc se sentir très heureux s'il vit seul comme un Hermite au milieu d'une forêt, sans amour et sans amis Homo sapiens, et inversement quelqu'un sera très heureux s'il est en permanence entouré de ses semblables.
Votre idée là dessus ?
Vive Diogène! ;p
Rien à voir mais en ce moment, je suis en train de terminer mes recherches pour écrire mon bouquin sur le dernier discours de Salvador Allende! ;p
Je ne vais pas me la péter, surtout que d'autres ont l'air bien mieux que moi dans le sujet et que ma connaissance reste de la solide recherche du net, alors pas très fiable, même si j'en ai lus quelques uns, comme Nietzche (pardon pour les fautes) ou Sartre, de façon très superficiel, malheureusement. xD
Mais franchement, je dois avouer que je préfère les bouquins plus littéraires, mais avec une sérieuse prise de positions. Je deviens peut-être fou et je projette ce que je veux dans ce que je lis, mais parfois, je trouve plus intéressant de lire un histoire avec une philo derrière que juste un livre de philo qui est parfois très technique sur la dialectique. Sans leur reprocher la lourdeur, j'ai l'impression que je n'ai pas le "background", le référentiel, pour dire que l'idée que je me fais de ce que j'ai lus est la bonne. xD
Par contre, j'adore les romans comme Le Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde, avec une solide théorie hédoniste, mais un peu des dangers de ce que ça représente. Arthur Conan Doyle avec ses Sherlock Holmesme semble avoir une philosophie sur la manière de travailler, mais aussi la nature de l'esprit humaine à travers son personnage principal, Ayn Rand dans La Révolte d'Atlas(inspiration de Bioshock d'ailleurs), Goerge Orwell avec La Ferme des Animaux et évidemment 1984.
Je sais que c'est surtout pour les débats, mais j'ai surtout une question à poser à ceux qui s'y connaissent un peu plus que moi. Après, j'essaierai toujours de démontrer mon point vu, parce que je ne saurais pas trop par où commencer. Vous ne trouvez pas que la plupart des hauteur que je viens de citer expriment un certain... je sais pas si c'est le bon mot, nihilisme personnel, au sens de la théorie du marteau. Un espèce de test de leur personnage à l'encontre de la morale personnelle, le principe de s'oublier, de traiter ce qui peut nous paraître important comme des broutilles, de ce concentrer sur des faits épurés, de s'oublier soi-même, d'arrêter d'en tenir compte ?
PS : Anthropopithèque a proposer une question, je crois que sincèrement, ma question va finir par te rejoindre et ramener le débat là-dessus, alors c'est pourquoi je me permets de la poser.
Selon moi, c'est l'amour qui est au centre de la vie humaine. L'amour dans l'humanité, l'amour en Dieu, l'amour d'une personne, l'amour en soi même etc... Le personnel découle largement de l'amour. La nature ? Notre environnement, l'écosystème ? Le social ? C'est l'amour en autrui ^^.
une petite question posée à mes amis philosophe ^^ :
Une phrase nous dit : Lorsque nous mourons nous revoyons notre vie s'écouler.
Certain Moment nous faisons des rêves prémonitoires ( chose qui se passe et on se dit c'est bizarre j'ai déjà vue ça il vas se passez cela et là ce "cela" ce passe )
est ce que nous ne sommes pas déjà mort et revivons tout simplement notre vie.
VOUS AVEZ 5 HEURES X)
Je penses donc je suis
Je suis donc je vis
Je pense comme toi , l'amour est déclencheur de beaucoup de choses positives !
Sartre a écris bon nombre de roman et de pièces de théâtre (Huis clos, La Nausée...) quand à Nietzsche, si son style philosophique est déjà très littéraire à la base, il a aussi écrit un long poème en prose qui s'intitule Ainsi parlait Zarathoustra. Par contre il faut bien connaître sa philosophie en amont pour comprendre cette oeuvre.
Génération Mega Drive
Oui, bon, y'a plusieurs versions du nihilisme, dépendant de l'auteur ou de qui l'utilise. Je dois avouer que j'ai lu principalement Ainsi parlait Zarathoustra (à mes souhait et désolé du massacre), et il y a trop longtemps. Il donne une définition du nihilisme comme "vouloir quelque chose qui n'est pas en accord avec la réalité, ne pas savoir aimer l'univers dans le présent", si je ne me trompe pas et que je le résume très (trop ?) grossièrement ? C'est exact ? Faut dire que pour ceux qui ont lu La Grèved'Ayn Rand, ça semble au coeur du questionnement de l'auteur pendant l'oeuvre.
J'entendais plutôt nihiliste au sens de la théorie du marteau, tester les trucs pour vérifier si ils fonctionnent, mais, surtout, une bonne dose d'oubli de soi-même, autant que possible, de nos aprioris, pour se concentrer juste sur ce qui se passe au moment ou ça se passe.