Kick Master est un jeu d'action plateformes a défilement horizental ou vertical à thèmes d'arts martiaux et fantastique, développé par KID et édité par Taito, sorti uniquement en Amérique du Nord en 1991 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
Dans le Royaume imaginaire de Lowrel le sorcier Belzed a fait assassiner le Roi et la Reine et kidnapper la Princesse Silphee, deux frères, le chevalier Macren et Thonolan, le jeune Maître en Arts martiaux (Kickmaster) partent à son secours, Macren est blessé mortellement au début de la quête et c'est donc au seul Thonolan de vaincre Belzed et ses sbires.
Le jeu a été comparé à Castlevania, il est à défilement horizontal et composé des 8 niveaux avec une composante RPG avec un inventaire dans lequel vous rangez vos sorts (aux différents effets dont le soin partiel qui coute 60mp ou 90mp complet) trouvés ici et la dans le jeu, mais aussi une progression en niveau avec de l'expérience acquise, donc on peut éviter les mobs mais il faut avoir en tête que chaque niveau gagné équivaut a 1000hp et 100mp (nos stats de départ) ce qui n'est pas du tout négligeable vu la difficulté du dernier niveau, on a un mot de passe et des continus infinis, cependant il faut savoir que le jeu présente quelque problèmes de hits box et de collision, qui parfois nous aident car on fige le boss sur place et d'autres fois on passe un mauvais 1/4 d'heure.
Vous cassez du monstre à grand coup de pieds (la seule attaque possible, normal vu le titre…), le jeu est assez beau (à noter les cut scène belles pour la NES), quand vous tuez un monstre trois items partent en l’air des bonus en général mais parfois aussi des malus, donc il faut regarder ce qu'on prend, vous pourrez en récupérer plusieurs avec un peu d’entrainement, me concernant je prenais toujours les fioles car c’est le seul moyen de regen nos MP afin de se soigner contre le boss du niveau plus ou moins difficile.
Hors ses petits problèmes de hits box et collisions le jeu se révèle original et agréable a parcourir avec sa composante RPG, technique par moment car il est mieux d'arriver full MP la barre de vie presque vide devant le boss que l'inverse (check point juste avant le boss et 3 vies pour en venir a bout si on arrive avec 0mp on reprend avec 0mp), c'est a vous de jongler selon votre façon de jouer, bon jeu.
Kiwi Kraze (The New Zealand Story) est un jeu vidéo de plateformes réflexion développé et édité par Taito, sorti en 1988 sur borne d'arcade et la plupart des systèmes de l'époque dont Nintendo Entertainment System, les versions sur ordinateurs personnels (éditées en Europe par Ocean Software) sont sorties en 1989, jouable a 1 joueur et s'est vendu par paquets.
Le joueur contrôle un kiwi dénommé Tiki dont l'objectif est de secourir ses amis kidnappés par un léopard de mer, a la fin de chaque niveau l'un de ces personnages est délivré, tout comme dans Bubble Bobble le joueur peut collecter des lettres qui forment le mot "EXTEND" en vue d'obtenir un bonus, a la différence de Bubble Bobble les niveaux de The NewZealand Story ne sont pas statiques (sur un écran) mais dynamiques comme dans Super Mario Bros (écran qui défile horizontalement et verticalement).
L'arme de base est un projectile en forme de flèche qui peut être échangé contre des bombes, des lasers ou des boules de feu, chaque arme a sa spécificité et son utilité varie en fonction de l'environnement du joueur, le jeu se distingue par la possibilité de conduire plusieurs aéronefs (des ballons de baudruche, un OVNI, etc) que le joueur doit trouver ou subtiliser aux ennemis, le jeu se caractérise également par ses nombreuses zones secrètes, ses raccourcis cachés qui m'avaient pas l'air si utile (me trompe je?).
Malgré la renommé du jeu le feeling n'est pas passé, le tout m'a l'air rigide avec un level design pas mal tirés par les cheveux, de plus les warps n'ont pas vraiment de logique et parfois on passe a travers les murs d'autres fois non, ce qui fait que je trouve le jeu moyen malgré pas mal de tentative d'aller le plus loin possible et les warp ne m'ont pas paru si utiles finalement.
The Krion Conquest (Magical Kids Doropie) est un jeu vidéo d'action/plateformes a scrolling horizental développé et édité par Vic Tokai sur Nintendo Entertainment System sorti au Japon en 1990 puis en Amérique du Nord l'année suivante, jouable a 1 joueur.
Le jeu a été initialement conçu comme une adaptation de l'anime Le Magicien d'Oz, mais la licence a été rejetée et le titre est sorti comme une histoire originale, la version nord-américaine a une histoire simplifiée, en 1999, la Terre est attaqué par les robots de l'Empire Akudama (Krion) dirigé par la Sorcière Méchanique Gokuraku kishintei seule la sorcière Doropie (Francesca) peut la vaincre, le jeu est considéré comme un clone de la série Megaman, il est composé de 5 niveaux, Doropie possède 6 sorts magiques dès le départ, elle peut récupérer des citrouilles pour regagner de l'énergie, des personnages cachées, dont le ninja Kagemaru, sont jouables.
Comme dit plutôt, il prend des airs de Megaman mais en ayant pas tout a fait compris l’attrait de Megman qui demandait une certaine gestion et une certaine liberté d'approche du moins dans un premier temps, ici on a tout des le départ, pire il n'y a que "Broom" de vraiment efficace et dans tous les cas de figure (un balai de sorcière qui permet de franchir certains vides entre 2 plateforme mais sert aussi de projectile), et puis le jeu est d'une difficulté abyssale, Megaman passe pour un nain de jardin a coté.
Ce qui fait qu'au final on se retrouve coincé des le départ sans aucune liberté d'approche, encore moins a gérer quoi que ça soit, c'est juste difficile, a prendre ou a laisser, du coup c'est presque moyen et je laisse ça a ceux qui trouvent Megaman facile.
Little Nemo: The Dream Master est un jeu vidéo de plateformes a défilement horizontal développé et édité par Capcom sur Nintendo Entertainment System en septembre 1990, le jeu est basé sur le film d'animation Little Nemo: Adventures in Slumberland lui-même inspiré de la bande dessinée Little Nemo in Slumberland et son personnage principal Nemo, jouable a 1 joueur.
Dans ce jeu de plateformes le joueur dirige le petit garçon Nemo au sein de ses différents rêves faisant connaissance avec Camille la fille du roi Morphée du pays des Rêves qui lui demande de lui venir en aide afin de retrouver son père, prisonnier du roi du pays des Cauchemars, ceci consiste en des niveaux que Nemo doit traverser notamment en apprivoisant certains animaux avec des bonbons afin de pouvoir les chevaucher et ainsi se servir de leurs spécificités pour atteindre différents endroits ou se défendre contre les différents ennemis rencontrés, par exemple en apprivoisant une taupe, il pourra creuser dans le sol, ou voler grâce à une abeille.
Le jeu n'est pas mauvais en soit, malgré certains animaux doté d'un contrôle étrange (le singe) mais a la fin de chaque niveau se trouve une porte qu'il faut ouvrir en débloquant un nombre variable de serrures et la c'est le drame comme pour le Livre de la Jungle qui s'en est sans doutes inspiré, les clés permettant de les ouvrir sont disséminées à différents endroits du niveau, une fois toutes les clés trouvées et la porte ouverte, le niveau se termine, dans le cas contraire il faut revenir rien nous permettant de savoir en avance combien y en a...
Je déteste ce genre de progression et je me suis évidement retrouvé frustré mais le jeu en lui même n'est pas mauvais, techniquement sympathique, il a l'air tout de même l'air assez générique et avec quelques problèmes de gameplay je le trouve moyen au final.
Low G Man (The Low Gravity Man) est un jeu vidéo d'action plateformes en 2D à défilement horizontal à thème futuriste développé par la société japonaise KID et édité par Taxan en 1990 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
En 2284 les humains ont colonisé l'espace et produisent à grande échelle des robots pour les aider, des extraterrestres ont pris le contrôle d'une planète de production de robots et les ont reprogrammée afin qu'ils détruisent l'humanité, vous incarnez Kal un homme pas tout à fait ordinaire équipé d'un contrôleur de gravité lui permettant des sauts extraordinaires et le seul qui puisse les arrêter a travers 5 niveaux sous divisés eux-mêmes en plusieurs sous-niveaux, Low G Man peut utiliser des véhicules au cours de sa mission.
Le jeu s’apparente a un run and gun mais c'est pas tout a fait le cas, ici on doit d'abord figer les ennemis en leurs tirant dessus avec le pistolet (qui tire toujours tout droit, mais peut avoir des améliorations tir double puis triple) ensuite une fois figé on doit leurs monter dessus et frapper en contre bas (ou vers le haut dépendant de leurs position par rapport a vous) pour les achever et progresser dans le niveau, parfois certains véhicules dotés d'une mitrailleuse nous sont accessible mais ou il faut au préalable se débarrasser de celui qui était aux commandes avant, ce qui peut être assez risqué mais utile contre les boss de fin de niveau qui sont coriaces.
Le jeu n'est pas dénué d’intérêts mais son approche assez générique et une difficulté plutôt élevé ne m'ont pas tellement enchanté, et puis y a tellement de morts injustes, des boss qui parfois ne veulent pas crever, de vrais tanks, pour moi l'expérience fut moyenne.
Mighty Final Fight est un jeu vidéo de type beat them all a défilement horizontal et en profondeur développé et édité par Capcom, sorti en 1993 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur, intégré dans la compilation Capcom Classics Mini-Mix sur GBA.
Vous choisissez parmi trois personnages (Cody, Guy et Haggar) jouables au style de combat différent pour partir à la rescousse d’une fille kidnappée par le gang de malfrats Mad Gear, traversez 6 niveaux plus 2 niveaux bonus et ramassez des armes pour venir à bout des boss qui concluent chaque stage, cette mouture propose une version super déformée des personnages a la Double Dragon.
Le jeu peut paraitre étrange a prime abord, mais il est au contraire très bon techniquement, fun et dynamique a jouer, on a le choix de prendre Cody qui est plutôt le personnage moyen partout, Guy plutôt rapide mais faible en puissance et Haggar lent mais puissant, alors par rapport aux situation chacun tire son épingle du jeu, c'est pas comme si y en avait un de meilleur que l'autre dans toutes les situations. Les enchainements se font d'une manière très fluide cependant contre les boss et notamment "Sodom" de Street Fighter Alpha il faut faire très attention car il est un peu pété avec ses 2 sabres (la meilleure façon semble être 2 boutons en même temps qui correspond a l'attaque spéciale qui retire un peu d'énergie a chaque fois), pour le reste si vous vous débrouillez bien ça passe, il faut aussi prendre en compte qu'en bas de votre écran vous avez des barres d'expérience et que quand vous tuez les ennemis votre personnage devient légèrement meilleur que précédemment même si il n'est pas vraiment possible de les éviter.
Je ne sais pas quoi ajouter de plus, si vous ne connaissez pas vous devrez tester ce jeu qui fait sans doutes parti des meilleurs BTA de la console même si sorti tardivement et sans doute passé inaperçu a l'époque, pour moi c'est un très bon jeu a faire sur NES.
Mission impossible est un jeu vidéo de type action avec une vue de dessus, tiré de la série télévisée du même nom, il est développé et édité par Konami en 1990 en Amérique du Nord et en 1991 en Europe sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
Votre tâche va consister à neutraliser les dirigeants d’un etat secret spécialisé dans la construction de bombes ultra-puissantes, pour réussir cette opération vous disposerez d’un arsenal intéressant d’armes et de gadgets, dans le plus pur style des James Bond.
Les premiers pas dans le jeu sont assez laborieux car on doit assimiler les codes du jeu qui aborde un point de vue assez original et ou l'erreur a peu de place, après tout vous êtes un agent secret doté d'une mission impossible..., vous contrôlez 2 personnages, l'un doté d'un fusil et en arme secondaire une mine, le second se bat au corps a corps et a des bombes en arme secondaire, il s'agit donc de parler a tout un tas de personnages qui nous donneront des informations concernant la mission a accomplir.
Ce qu'il faut savoir c'est que le jeu s'apparente au n labyrinthe ou il y a tout un tas de procédure a suivre afin de mener a bien la mission, mais que la moindre erreur peut nous être fatal, on marche au milieu de la rue, la voiture nous écrase..., dans la rue par moment on se fait agresser par certains types, frapper un innocent correspond a une exfiltration..., parler a la mauvaise personne il appel les gardes par poignée, on a une barre de vie mais se prendre une bombe correspond a la mort immédiate, traverser une planche d’égout étroite a la hit box foireuse nous fait tomber dans les égouts correspondant au Game Over, on ne vous fait pas de cadeaux.
Le jeu est un labyrinthe très exigeant ce qui le rend très difficile, la moindre erreur se paye cache, alors le jeu réussi bien cette approche furtive dirons nous, mais le fun est a peine présent pour ne pas dire absent, crise de nerf garanti, pour moi ce jeu est moyen.
Bon voila, j'ai présenté 51 jeux en 1 mois (y a eu mieux? ^^) dont 13 qui sont dans mon top, 1/4 grosso modo.
La je m'attaque aux Ninja Gaiden, ça prendra un peu de temps vu la difficulté, quand je disais le faire dans un mois il y a un mois, j'ai piffé un peu mais je ne pouvais pas être plus exacte, bref a bientôt car je pense continuer a faire ce que je fais.
Au moins 1 qui a compris ce que ça représente, pour les Ninja Gaiden moi non plus je ne sais pas, un peu la frousse de passer un mauvais quart d'heure et d'en dire du mal ^^
Citation:
Ce topic mériterait davantage de "pub" en haut de page du forum.
Kick Master est un jeu d'action plateformes a défilement horizental ou vertical à thèmes d'arts martiaux et fantastique, développé par KID et édité par Taito, sorti uniquement en Amérique du Nord en 1991 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
Dans le Royaume imaginaire de Lowrel le sorcier Belzed a fait assassiner le Roi et la Reine et kidnapper la Princesse Silphee, deux frères, le chevalier Macren et Thonolan, le jeune Maître en Arts martiaux (Kickmaster) partent à son secours, Macren est blessé mortellement au début de la quête et c'est donc au seul Thonolan de vaincre Belzed et ses sbires.
Le jeu a été comparé à Castlevania, il est à défilement horizontal et composé des 8 niveaux avec une composante RPG avec un inventaire dans lequel vous rangez vos sorts (aux différents effets dont le soin partiel qui coute 60mp ou 90mp complet) trouvés ici et la dans le jeu, mais aussi une progression en niveau avec de l'expérience acquise, donc on peut éviter les mobs mais il faut avoir en tête que chaque niveau gagné équivaut a 1000hp et 100mp (nos stats de départ) ce qui n'est pas du tout négligeable vu la difficulté du dernier niveau, on a un mot de passe et des continus infinis, cependant il faut savoir que le jeu présente quelque problèmes de hits box et de collision, qui parfois nous aident car on fige le boss sur place et d'autres fois on passe un mauvais 1/4 d'heure.
Vous cassez du monstre à grand coup de pieds (la seule attaque possible, normal vu le titre…), le jeu est assez beau (à noter les cut scène belles pour la NES), quand vous tuez un monstre trois items partent en l’air des bonus en général mais parfois aussi des malus, donc il faut regarder ce qu'on prend, vous pourrez en récupérer plusieurs avec un peu d’entrainement, me concernant je prenais toujours les fioles car c’est le seul moyen de regen nos MP afin de se soigner contre le boss du niveau plus ou moins difficile.
Hors ses petits problèmes de hits box et collisions le jeu se révèle original et agréable a parcourir avec sa composante RPG, technique par moment car il est mieux d'arriver full MP la barre de vie presque vide devant le boss que l'inverse (check point juste avant le boss et 3 vies pour en venir a bout si on arrive avec 0mp on reprend avec 0mp), c'est a vous de jongler selon votre façon de jouer, bon jeu.
Kiwi Kraze (The New Zealand Story) est un jeu vidéo de plateformes réflexion développé et édité par Taito, sorti en 1988 sur borne d'arcade et la plupart des systèmes de l'époque dont Nintendo Entertainment System, les versions sur ordinateurs personnels (éditées en Europe par Ocean Software) sont sorties en 1989, jouable a 1 joueur et s'est vendu par paquets.
Le joueur contrôle un kiwi dénommé Tiki dont l'objectif est de secourir ses amis kidnappés par un léopard de mer, a la fin de chaque niveau l'un de ces personnages est délivré, tout comme dans Bubble Bobble le joueur peut collecter des lettres qui forment le mot "EXTEND" en vue d'obtenir un bonus, a la différence de Bubble Bobble les niveaux de The NewZealand Story ne sont pas statiques (sur un écran) mais dynamiques comme dans Super Mario Bros (écran qui défile horizontalement et verticalement).
L'arme de base est un projectile en forme de flèche qui peut être échangé contre des bombes, des lasers ou des boules de feu, chaque arme a sa spécificité et son utilité varie en fonction de l'environnement du joueur, le jeu se distingue par la possibilité de conduire plusieurs aéronefs (des ballons de baudruche, un OVNI, etc) que le joueur doit trouver ou subtiliser aux ennemis, le jeu se caractérise également par ses nombreuses zones secrètes, ses raccourcis cachés qui m'avaient pas l'air si utile (me trompe je?).
Malgré la renommé du jeu le feeling n'est pas passé, le tout m'a l'air rigide avec un level design pas mal tirés par les cheveux, de plus les warps n'ont pas vraiment de logique et parfois on passe a travers les murs d'autres fois non, ce qui fait que je trouve le jeu moyen malgré pas mal de tentative d'aller le plus loin possible et les warp ne m'ont pas paru si utiles finalement.
The Krion Conquest (Magical Kids Doropie) est un jeu vidéo d'action/plateformes a scrolling horizental développé et édité par Vic Tokai sur Nintendo Entertainment System sorti au Japon en 1990 puis en Amérique du Nord l'année suivante, jouable a 1 joueur.
Le jeu a été initialement conçu comme une adaptation de l'anime Le Magicien d'Oz, mais la licence a été rejetée et le titre est sorti comme une histoire originale, la version nord-américaine a une histoire simplifiée, en 1999, la Terre est attaqué par les robots de l'Empire Akudama (Krion) dirigé par la Sorcière Méchanique Gokuraku kishintei seule la sorcière Doropie (Francesca) peut la vaincre, le jeu est considéré comme un clone de la série Megaman, il est composé de 5 niveaux, Doropie possède 6 sorts magiques dès le départ, elle peut récupérer des citrouilles pour regagner de l'énergie, des personnages cachées, dont le ninja Kagemaru, sont jouables.
Comme dit plutôt, il prend des airs de Megaman mais en ayant pas tout a fait compris l’attrait de Megman qui demandait une certaine gestion et une certaine liberté d'approche du moins dans un premier temps, ici on a tout des le départ, pire il n'y a que "Broom" de vraiment efficace et dans tous les cas de figure (un balai de sorcière qui permet de franchir certains vides entre 2 plateforme mais sert aussi de projectile), et puis le jeu est d'une difficulté abyssale, Megaman passe pour un nain de jardin a coté.
Ce qui fait qu'au final on se retrouve coincé des le départ sans aucune liberté d'approche, encore moins a gérer quoi que ça soit, c'est juste difficile, a prendre ou a laisser, du coup c'est presque moyen et je laisse ça a ceux qui trouvent Megaman facile.
Little Nemo: The Dream Master est un jeu vidéo de plateformes a défilement horizontal développé et édité par Capcom sur Nintendo Entertainment System en septembre 1990, le jeu est basé sur le film d'animation Little Nemo: Adventures in Slumberland lui-même inspiré de la bande dessinée Little Nemo in Slumberland et son personnage principal Nemo, jouable a 1 joueur.
Dans ce jeu de plateformes le joueur dirige le petit garçon Nemo au sein de ses différents rêves faisant connaissance avec Camille la fille du roi Morphée du pays des Rêves qui lui demande de lui venir en aide afin de retrouver son père, prisonnier du roi du pays des Cauchemars, ceci consiste en des niveaux que Nemo doit traverser notamment en apprivoisant certains animaux avec des bonbons afin de pouvoir les chevaucher et ainsi se servir de leurs spécificités pour atteindre différents endroits ou se défendre contre les différents ennemis rencontrés, par exemple en apprivoisant une taupe, il pourra creuser dans le sol, ou voler grâce à une abeille.
Le jeu n'est pas mauvais en soit, malgré certains animaux doté d'un contrôle étrange (le singe) mais a la fin de chaque niveau se trouve une porte qu'il faut ouvrir en débloquant un nombre variable de serrures et la c'est le drame comme pour le Livre de la Jungle qui s'en est sans doutes inspiré, les clés permettant de les ouvrir sont disséminées à différents endroits du niveau, une fois toutes les clés trouvées et la porte ouverte, le niveau se termine, dans le cas contraire il faut revenir rien nous permettant de savoir en avance combien y en a...
Je déteste ce genre de progression et je me suis évidement retrouvé frustré mais le jeu en lui même n'est pas mauvais, techniquement sympathique, il a l'air tout de même l'air assez générique et avec quelques problèmes de gameplay je le trouve moyen au final.
Low G Man (The Low Gravity Man) est un jeu vidéo d'action plateformes en 2D à défilement horizontal à thème futuriste développé par la société japonaise KID et édité par Taxan en 1990 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
En 2284 les humains ont colonisé l'espace et produisent à grande échelle des robots pour les aider, des extraterrestres ont pris le contrôle d'une planète de production de robots et les ont reprogrammée afin qu'ils détruisent l'humanité, vous incarnez Kal un homme pas tout à fait ordinaire équipé d'un contrôleur de gravité lui permettant des sauts extraordinaires et le seul qui puisse les arrêter a travers 5 niveaux sous divisés eux-mêmes en plusieurs sous-niveaux, Low G Man peut utiliser des véhicules au cours de sa mission.
Le jeu s’apparente a un run and gun mais c'est pas tout a fait le cas, ici on doit d'abord figer les ennemis en leurs tirant dessus avec le pistolet (qui tire toujours tout droit, mais peut avoir des améliorations tir double puis triple) ensuite une fois figé on doit leurs monter dessus et frapper en contre bas (ou vers le haut dépendant de leurs position par rapport a vous) pour les achever et progresser dans le niveau, parfois certains véhicules dotés d'une mitrailleuse nous sont accessible mais ou il faut au préalable se débarrasser de celui qui était aux commandes avant, ce qui peut être assez risqué mais utile contre les boss de fin de niveau qui sont coriaces.
Le jeu n'est pas dénué d’intérêts mais son approche assez générique et une difficulté plutôt élevé ne m'ont pas tellement enchanté, et puis y a tellement de morts injustes, des boss qui parfois ne veulent pas crever, de vrais tanks, pour moi l'expérience fut moyenne.
Mighty Final Fight est un jeu vidéo de type beat them all a défilement horizontal et en profondeur développé et édité par Capcom, sorti en 1993 sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur, intégré dans la compilation Capcom Classics Mini-Mix sur GBA.
Vous choisissez parmi trois personnages (Cody, Guy et Haggar) jouables au style de combat différent pour partir à la rescousse d’une fille kidnappée par le gang de malfrats Mad Gear, traversez 6 niveaux plus 2 niveaux bonus et ramassez des armes pour venir à bout des boss qui concluent chaque stage, cette mouture propose une version super déformée des personnages a la Double Dragon.
Le jeu peut paraitre étrange a prime abord, mais il est au contraire très bon techniquement, fun et dynamique a jouer, on a le choix de prendre Cody qui est plutôt le personnage moyen partout, Guy plutôt rapide mais faible en puissance et Haggar lent mais puissant, alors par rapport aux situation chacun tire son épingle du jeu, c'est pas comme si y en avait un de meilleur que l'autre dans toutes les situations. Les enchainements se font d'une manière très fluide cependant contre les boss et notamment "Sodom" de Street Fighter Alpha il faut faire très attention car il est un peu pété avec ses 2 sabres (la meilleure façon semble être 2 boutons en même temps qui correspond a l'attaque spéciale qui retire un peu d'énergie a chaque fois), pour le reste si vous vous débrouillez bien ça passe, il faut aussi prendre en compte qu'en bas de votre écran vous avez des barres d'expérience et que quand vous tuez les ennemis votre personnage devient légèrement meilleur que précédemment même si il n'est pas vraiment possible de les éviter.
Je ne sais pas quoi ajouter de plus, si vous ne connaissez pas vous devrez tester ce jeu qui fait sans doutes parti des meilleurs BTA de la console même si sorti tardivement et sans doute passé inaperçu a l'époque, pour moi c'est un très bon jeu a faire sur NES.
Mission impossible est un jeu vidéo de type action avec une vue de dessus, tiré de la série télévisée du même nom, il est développé et édité par Konami en 1990 en Amérique du Nord et en 1991 en Europe sur Nintendo Entertainment System, jouable a 1 joueur.
Votre tâche va consister à neutraliser les dirigeants d’un etat secret spécialisé dans la construction de bombes ultra-puissantes, pour réussir cette opération vous disposerez d’un arsenal intéressant d’armes et de gadgets, dans le plus pur style des James Bond.
Les premiers pas dans le jeu sont assez laborieux car on doit assimiler les codes du jeu qui aborde un point de vue assez original et ou l'erreur a peu de place, après tout vous êtes un agent secret doté d'une mission impossible..., vous contrôlez 2 personnages, l'un doté d'un fusil et en arme secondaire une mine, le second se bat au corps a corps et a des bombes en arme secondaire, il s'agit donc de parler a tout un tas de personnages qui nous donneront des informations concernant la mission a accomplir.
Ce qu'il faut savoir c'est que le jeu s'apparente au n labyrinthe ou il y a tout un tas de procédure a suivre afin de mener a bien la mission, mais que la moindre erreur peut nous être fatal, on marche au milieu de la rue, la voiture nous écrase..., dans la rue par moment on se fait agresser par certains types, frapper un innocent correspond a une exfiltration..., parler a la mauvaise personne il appel les gardes par poignée, on a une barre de vie mais se prendre une bombe correspond a la mort immédiate, traverser une planche d’égout étroite a la hit box foireuse nous fait tomber dans les égouts correspondant au Game Over, on ne vous fait pas de cadeaux.
Le jeu est un labyrinthe très exigeant ce qui le rend très difficile, la moindre erreur se paye cache, alors le jeu réussi bien cette approche furtive dirons nous, mais le fun est a peine présent pour ne pas dire absent, crise de nerf garanti, pour moi ce jeu est moyen.
Bon voila, j'ai présenté 51 jeux en 1 mois (y a eu mieux? ^^) dont 13 qui sont dans mon top, 1/4 grosso modo.
La je m'attaque aux Ninja Gaiden, ça prendra un peu de temps vu la difficulté, quand je disais le faire dans un mois il y a un mois, j'ai piffé un peu mais je ne pouvais pas être plus exacte, bref a bientôt car je pense continuer a faire ce que je fais.
Bravo, en tout cas, ça fait plaisir à lire, et ce d'autant plus qu'il s'agit principalement de jeux NES que je ne connais pas du tout.
Curieux de voir ton avis sur les trois Ninja Gaiden.
Ce topic mériterait davantage de "pub" en haut de page du forum.
Au moins 1 qui a compris ce que ça représente, pour les Ninja Gaiden moi non plus je ne sais pas, un peu la frousse de passer un mauvais quart d'heure et d'en dire du mal ^^
Mes topics n'ont généralement pas cette chance ^^