Lorsque nos soirées-réceptions touchent à leurs fins, il arrive toujours un moment où l’on se regarde, GreenSnake et moi, en se disant intérieurement : « Bon ben, au lieu de culpabiliser à mort devant tous ces cadavres de Heineken sur la table, dédramatisons la chose en étant créatifs. »
Ce soir-là, me rappelle, on avait invité des nanas à se joindre à nous. Alors on avait prévu de la musique adéquate pour les moments stratégiques.
Pour rigoler, on se disait que l’un de nous deux, si ça se trouve, tomberait sur une folle qui voudrait se faire trousser sur les rails du Paris-Strasbourg. Ouais, parce que cette fois-là on nous avait prêté une maison de campagne située en Alsace, pas très loin d’une voie ferrée.
Mais le truc, en fait, c’est bête à dire, on était tellement dans notre délire percussions sur verre qu’on a oublié de faire entrer les filles. Elles ont dû rester dehors à poireauter un moment en se demandant pourquoi on ne leur ouvrait pas la porte, puis furax elles ont dû repartir. Enfin j’imagine que ça s’est passé ainsi. Ni GreenSnake ni moi ne nous souvenons avoir entendu sonner.
Goldman, j'aimais bien le groupe Taï Phong auquel il avait pris part au tout début.
Camarade Citoyen, c'est en hissant fièrement les couleurs que je te réponds.
Avec notre symphoman de la chanson.
Écoute, doki, écoute.
La moindre note, le moindre mot est de sa main.
Et la France entière n'en a rien à foutre.
Rien.
Elle préfère de lui les tubes alimentaires qu'il a enregistrés pour pouvoir se payer de grands orchestres, de grands musiciens à même de réaliser son rêve de traiter la chanson comme un poème symphonique.
Ni Dieu, ni Maître ?
Le voilà le père spirituel de Ni Dieu Ni Maître.
Le voilà "le patron", comme l'appelaient les ouvriers quand ils le voyaient dans le rue. Bien se laver le cul, c'est donc ça le désordre ?
C'est bien ça le désordre.
Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir.
Paroles-musique-orchestration et direction d'orchestre : Léo Ferré
Quel homme quand même !
Sell kids for food
Bleu-blanc-rouge, doki ?
À ta guise.
Des couleurs qui ne veulent malheureusement plus rien dire aujourd'hui.
Tiens voilà une chanson dont je me lasse pas:
Goldman, j'aimais bien le groupe Taï Phong auquel il avait pris part au tout début.
Avec notre symphoman de la chanson.
Écoute, doki, écoute.
La moindre note, le moindre mot est de sa main.
Et la France entière n'en a rien à foutre.
Rien.
Elle préfère de lui les tubes alimentaires qu'il a enregistrés pour pouvoir se payer de grands orchestres, de grands musiciens à même de réaliser son rêve de traiter la chanson comme un poème symphonique.
Paroles-musique-orchestration : William Sheller
Dieu que c'est beau ♪ ..Merci pour les partages camarades ! ✌
Confidence pour confidence ♪
..c'est moi que j'aime à travers vous ♪
La marche du vertueux ...Tchüss !
Ça va, Shrek ?
Toujours dans le trolling discount ?
C'est cool.
Continue sur ta lancée.
Ni DIEU, Ni MAÎTRE ♪
Pour les gens pressés, la chanson commence à 1:12 ✌
La marche du vertueux ...Tchüss !
Ni Dieu, ni Maître ?
Le voilà le père spirituel de Ni Dieu Ni Maître.
Le voilà "le patron", comme l'appelaient les ouvriers quand ils le voyaient dans le rue.
Bien se laver le cul, c'est donc ça le désordre ?
C'est bien ça le désordre.
Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir.
Paroles-musique-orchestration et direction d'orchestre : Léo Ferré