Une fois que tu as compris le système de combat de Fallout 3, le jeu devient relativement facile. Le plus dur reste toujours l'entame puisqu'il faut prendre en main le gampeplay et prendre le temps de se faire un équipement. Mais quand tu as grimpé quelques niveaux, que tu t'es un peu équipé, ça devient dur de crever. Rapidement, tu accumules une bonne centaine de soins et comme tu peux te soigner à partir du SVAV, ça revient à mettre en pause et te soigner donc c'est un peu du cheatage (j'évite de le faire perso).
Après, la trame principale n'est pas palpitante mais l'exploration de la map est un pur délice. Seul petit bémol, c'est le centre de Washington qui est faussement ouvert puisque chaque zone ne se rejoint que par les stations de métro qui sont toutes identiques.
@Duckie, honte à toi,faut vraiment pas avoir fait le jeu pour dire ça !
Voyons Dudu, je trollais, tu n'as pas vu mon smiley corbak? :v
Toujours est-il que ce genre de jeu ne m'intéresse pas du tout, donc je ne compte pas y jouer, non.
Hei a écrit:
Rien que dans les rpg occidentaux Fallout le dégage d'un revers de la main tellement tout est 100 % plus poussé que dans Mass Effect et c'est pas méchant mais juste la vérité, je l'explique un peu lors du dernier débat, en quoi justement Fallout et notamment en mode hardcore, à une approche très différente et ultra poussé vis a vis des autre RPG, chaque partie de ton corps à des pv et de plus il faut te nourrir boire dormir, dormir dans un lieux tranquille sans que l'on puisse te prendre par surprise, boire, oui mais de l'eau pas contaminé sinon tu élève ta radiation, manger c'est la même chose avec des aliment non irradier.
tes objet ont une durée, et une efficacité qui varie en fonction d'elle, tu dois avoir des compétences spécifiques pour pouvoir les utiliser au mieux (arme de CAC, a feu, ou à laser) pour réparé tes armes et vêtements, (porter ou à revendre) afin de ramasser des capsule (qui elle même est déterminé par le troc et le facteur intelligence à augmenté puisque l'une est la sous catégorie de l'autre). Bref Fallout si vous l'avez pas fait courrai le télécharger ou l'acheter (et fallout new vegas pour 10 euro tu le trouve aujourd'hui). Donc votre inculture n'a plus d'excuse :p
Omg, c'est presque comme Minecraft! =O
Spoiler ▼▲
A ceux qui ne me connaîtraient pas encore: je trolle encore, même si il faut avouer qu'il y a quelques points communs :P
Pour recycler le sujet : A partir de quel moment on passe d'un jeu avec quelques fonctionnalités RPG à un véritable RPG à part entière ?
Far Cry 3, Darksiders 2, même Saints Row 3, qui adopte un système de niveaux et de compétences déblocables...
Qu'est-ce qu'il manque à ces jeux pour qu'on parle d'un RPG ? Est-ce la fin des catégories de jeux ?
Je dirais:
-Un level up avec l'augmentation de la vie, la force, l'endurance, la défense...
-Une véritable histoire qui nous pousse a continué le jeu, l'histoire doit vraiment être un des point fort du jeu. Mauvais scénario= mauvais RPG.
-L'équipement qui modifie l'attaque, la défense qui a des propriétés spéciale (sa compte aussi pour les armes).
-L’acquisition de nouvelle technique de combat au fur et à mesure que l'on grimpe de niveau.
-Une World Map!!!!!!!!!!!! Avec un environnement ouvert.
Un jeu comme Far Cry, la constante est l'action (parce que c'est très scripté, très dynamique) avec une variable RPG (inventaire, level-up,...) alors que dans le cas d'un Fallout, la notion de RPG est la constante.
Là c'est un petit peu la théorie qui est citée. Mais vous avez des exemples précis ?
Tinetine > Qu'est-ce qui change entre une quête de Fallout et une quête de Far Cry par exemple ? L'action est aussi importante dans Fallout, mais qu'est-ce qui change ? La notion de prudence ? De stratégie ? D'économie ?
Proto > Je crois que Deus Ex n'exigeait pas tous ces points pour être un RPG par exemple. C'est là que la question m'intéresse car on se noie dans la relativité de ces critères.
A partir de quel moment on passe d'un jeu avec quelques fonctionnalités RPG à un véritable RPG à part entière ?
Tommy : j'ai déjà donné mon avis en partie sur la question précédemment, je le remet en spoiler.
Spoiler ▼▲
Un RPG (role playing game) veut dire littéralement "le jeu de jouer un rôle". C'est se mettre dans un rôle, dans un univers donné où tu es confronté à des choix qui sont définis précisément par ton rôle (selon si tu es un gentil paladin, un sorcier maléfique, un diplomate... tu auras des compétences particulières qui te donneront différentes possibilités de résoudre des quêtes et influeront sur l'histoire). On te dit plus ou moins précisément ce que tu dois faire, à toi de voir comment tu vas le faire.
Le fait d'avoir à faire des choix et de pouvoir choisir est donc à mon sens l'essence d'un RPG (choix du personnage, son évolution, son équipement, ses alliés, sa personnalité...).
Sur la forme, l'univers de prédilection des RPG est l'heroic-fantasy (dongeons&dragons...) mais on on peut très bien avoir un RPG dans un univers science-fiction, ou même dans une enquête policière... Le système de combat n'est pas non plus déterminant (tour par tour, temps réel...) tant que le combat n'est pas déterminé par les qualités du joueur mais celles du personnage qu'il incarne.
Dans tout les jeux RPG, il y a des restrictions quant aux choix possibles (ne serait-ce que pour la cohérence de l'univers du jeu). Pour ma part j'ai une vision très restrictive des jeux RPG. De fait, pouvoir choisir son personnage (son rôle) me parait fondamental. Ainsi, au risque de choquer, j'ai du mal a considérer par exemple un FF7 (tout comme la plupart des JRPG) comme vraiment des RPG (et ce n'est pas pour autant que ces jeux sont moins bons). Ils ne correspondent pas en tout cas a ce que j'attends d'une expérience de RPG.
Mais je vais tenter de répondre à ta question plus précisément : un RPG se définit à mon sens selon ton rapport au jeu par l’intermédiaire du personnage que tu incarnes. Par exemple, dans un jeu de plateforme ou baston, atteindre ton objectif dans le jeu dépend de tes capacités en tant que joueur, le personnage que tu joues ne fait que retransmettre dans le jeu ces capacités. Or dans un RPG ce sont les capacités de ton personnage elles même qui te permettent d'atteindre ton objectif (ce n'est pas ta dextérité qui va te faire réussir une attaque mais celle de ton perso). Autrement dit, ce n'est plus toi représenté par un autre dans le jeu qui joue, mais toi en tant que tu es autre dans le jeu.
C'est là selon moi l'essence même du jeu de rôle. Apres plus le jeu te permet d'incarner différents rôles (choix de persos) et plus il t'offre la possibilité d'exprimer les choix de ton perso selon ses caractéristiques (choix de son équipement, dans son évolution, d'aller où il veut, de façon de résoudre les quêtes, choix dans la progression de l'histoire...), bref plus on te donne le sentiment de liberté de choisir et plus le cote roleplay sera marqué.
Je trouve que c'est déjà une définition nettement trop stricte et subjective (J'ai bien noté que tu la présentes déjà ainsi.) même si je la trouve intéressante. Sans compter que beaucoup de RPG dignes de ce nom font intervenir des notions de challenge, de dextérité, de précision, comme d'autres jeux. Puis si on compte les facultés du joueur sur un plan stratégique, ça réduit peut-être encore le champ de ta définition (Puisqu'un RPG devrait baser la progression sur les seuls acquis du personnage incarné.).
Le gros souci, au delà des détails, c'est que ta vision désigne des jeux où le farming serait la seule façon de progresser, de se démarquer. Puisqu'on doit se débrouiller sans dextérité ou toute autre qualité venant du joueur, il n'y aurait plus que les facultés et items acquis par de longues heures de jeu qui compteraient.
Au final, je tiens juste à signaler que ma question se base sur une vision bien plus ouverte du RPG, englobant toutes sortes de A-RPG, FPS/RPG. Sans quoi je peux remballer mes questions à propos de jeux comme Saints Row 3 ou Far Cry 3 qui empruntent pas mal aux RPG sans en être.
Une fois que tu as compris le système de combat de Fallout 3, le jeu devient relativement facile. Le plus dur reste toujours l'entame puisqu'il faut prendre en main le gampeplay et prendre le temps de se faire un équipement. Mais quand tu as grimpé quelques niveaux, que tu t'es un peu équipé, ça devient dur de crever. Rapidement, tu accumules une bonne centaine de soins et comme tu peux te soigner à partir du SVAV, ça revient à mettre en pause et te soigner donc c'est un peu du cheatage (j'évite de le faire perso).
Après, la trame principale n'est pas palpitante mais l'exploration de la map est un pur délice. Seul petit bémol, c'est le centre de Washington qui est faussement ouvert puisque chaque zone ne se rejoint que par les stations de métro qui sont toutes identiques.
Voyons Dudu, je trollais, tu n'as pas vu mon smiley corbak? :v
Toujours est-il que ce genre de jeu ne m'intéresse pas du tout, donc je ne compte pas y jouer, non.
Omg, c'est presque comme Minecraft! =O
Je te connais un peu, mais j'ai quand même eu un doute :p.
Duckie > Ne change plus jamais de signature.
Pour recycler le sujet : A partir de quel moment on passe d'un jeu avec quelques fonctionnalités RPG à un véritable RPG à part entière ?
Far Cry 3, Darksiders 2, même Saints Row 3, qui adopte un système de niveaux et de compétences déblocables...
Qu'est-ce qu'il manque à ces jeux pour qu'on parle d'un RPG ? Est-ce la fin des catégories de jeux ?
Je dirais:
-Un level up avec l'augmentation de la vie, la force, l'endurance, la défense...
-Une véritable histoire qui nous pousse a continué le jeu, l'histoire doit vraiment être un des point fort du jeu. Mauvais scénario= mauvais RPG.
-L'équipement qui modifie l'attaque, la défense qui a des propriétés spéciale (sa compte aussi pour les armes).
-L’acquisition de nouvelle technique de combat au fur et à mesure que l'on grimpe de niveau.
-Une World Map!!!!!!!!!!!! Avec un environnement ouvert.
Il y a peut être d'autre truc a rajouter :).
Un jeu comme Far Cry, la constante est l'action (parce que c'est très scripté, très dynamique) avec une variable RPG (inventaire, level-up,...) alors que dans le cas d'un Fallout, la notion de RPG est la constante.
Là c'est un petit peu la théorie qui est citée. Mais vous avez des exemples précis ?
Tinetine > Qu'est-ce qui change entre une quête de Fallout et une quête de Far Cry par exemple ? L'action est aussi importante dans Fallout, mais qu'est-ce qui change ? La notion de prudence ? De stratégie ? D'économie ?
Proto > Je crois que Deus Ex n'exigeait pas tous ces points pour être un RPG par exemple. C'est là que la question m'intéresse car on se noie dans la relativité de ces critères.
Tommy : j'ai déjà donné mon avis en partie sur la question précédemment, je le remet en spoiler.
Mais je vais tenter de répondre à ta question plus précisément : un RPG se définit à mon sens selon ton rapport au jeu par l’intermédiaire du personnage que tu incarnes. Par exemple, dans un jeu de plateforme ou baston, atteindre ton objectif dans le jeu dépend de tes capacités en tant que joueur, le personnage que tu joues ne fait que retransmettre dans le jeu ces capacités. Or dans un RPG ce sont les capacités de ton personnage elles même qui te permettent d'atteindre ton objectif (ce n'est pas ta dextérité qui va te faire réussir une attaque mais celle de ton perso).
Autrement dit, ce n'est plus toi représenté par un autre dans le jeu qui joue, mais toi en tant que tu es autre dans le jeu.
C'est là selon moi l'essence même du jeu de rôle. Apres plus le jeu te permet d'incarner différents rôles (choix de persos) et plus il t'offre la possibilité d'exprimer les choix de ton perso selon ses caractéristiques (choix de son équipement, dans son évolution, d'aller où il veut, de façon de résoudre les quêtes, choix dans la progression de l'histoire...), bref plus on te donne le sentiment de liberté de choisir et plus le cote roleplay sera marqué.
Je trouve que c'est déjà une définition nettement trop stricte et subjective (J'ai bien noté que tu la présentes déjà ainsi.) même si je la trouve intéressante. Sans compter que beaucoup de RPG dignes de ce nom font intervenir des notions de challenge, de dextérité, de précision, comme d'autres jeux. Puis si on compte les facultés du joueur sur un plan stratégique, ça réduit peut-être encore le champ de ta définition (Puisqu'un RPG devrait baser la progression sur les seuls acquis du personnage incarné.).
Le gros souci, au delà des détails, c'est que ta vision désigne des jeux où le farming serait la seule façon de progresser, de se démarquer. Puisqu'on doit se débrouiller sans dextérité ou toute autre qualité venant du joueur, il n'y aurait plus que les facultés et items acquis par de longues heures de jeu qui compteraient.
Au final, je tiens juste à signaler que ma question se base sur une vision bien plus ouverte du RPG, englobant toutes sortes de A-RPG, FPS/RPG. Sans quoi je peux remballer mes questions à propos de jeux comme Saints Row 3 ou Far Cry 3 qui empruntent pas mal aux RPG sans en être.
De toutes façon à part les Baldur's gate, tout le reste c'est du faux RPG.
Non sérieusement, ce sujet est vaste dans le sens où j'ai le sentiment que le RPG c'est différent pour chaque personne.