Et voilà, Rain World c'est fini et je peux dire que ce jeu aura réussi à trouver refuge dans mon coeur :D
Il s'agit sans conteste d'une des propositions les plus singulières que j'ai pu voir dans un jeu vidéo, une expérience viscérale, organique et émotionnellement forte.
Je disais que le jeu me faisait penser à un cinematic platformer dirigé par Ueda et je crois que c'est ce qui définit peut-être le mieux le ressenti que peut procurer ce jeu.
C'est minimaliste, parfois frustrant, mais foisonnant de détails, de poésie et de vie.
Rain World sait parfaitement nous faire ressentir ce sentiment de perdition, d'écrasement face à notre environnement. Nous ne sommes pas le héros de ce monde, juste le personnage principal de notre vie et notre insignifiance nous est rappelée constamment.
Oui, Rain World est difficile. Injuste, également. Mais il ne l'est pas par cruauté ou sadisme. Il l'est parce que c'est ainsi que son univers fonctionne.
La découverte de cet univers et de l'écosystème qui y règne, son exploration et sa compréhension, forment le pilier principal du jeu. Vous devez observer, déduire, tester, échouer, recommencer afin de progresser et, finalement, d'avancer.
Il faut parfois s'armer d'une patience inébranlable afin de surmonter certains obstacles. De la patience et du sang-froid, car la RNG peut se révéler être sans pitié pour notre petit slugcat.
Il s'agit certainement d'un des jeux qui arrive le mieux à nous donner l'impression de survivre dans un environnement hostile et sauvage.
Malgré son esthétique en pixel art (magnifique), l'immersion est immédiate et totale, soutenue par un impressionnant travail sur le son et une bande son à la fois mélancolique, douce-amer, menaçante et étrangement réconfortante.
C'est plutôt rare ça dans le JV, où la majorité nous fait bien comprendre à quel point nous/les personnages que l'on dirige sommes/sont importants. Lui semble avoir pris à coeur de faire l'inverse dans un sens, c'est intéressant.
Même si ça ne doit pas être le premier à me faire ressentir ça, je suis très curieux de connaître cette sensation du monde qui ne semble pas du tout avoir besoin de nous pour exister avec ce titre (en plus il est sur Switch héhé).
Citation:
Oui, j'ai pris le DLC, finalement :P
Ahhhhh ! Et il vaut le coup ?
Je ne crois pas que tu en aies parlé mais comment fonctionne la sauvegarde ? Genre on recommence depuis le tout début si on meurt ou pas ?
Si la frustration fait -en quelque sorte- partie du jeu, je suis curieux de connaître le rapport qu'il entretien avec cette mécanique.
Je ne l'ai pas encore touché, mais j'aime bien le principe : on incarne différents slugcats avec des capacités bien spécifiques (un peut tuer les ennemis d'un seul jet de lance, un autre peu crafter des bombes et les utiliser pour faire une sorte de double saut, etc) et chacune des campagnes se déroule à une période différente, ce qui modifie tout le level design.
Apparemment, ça change assez radicalement l'expérience à chaque fois, donc c'est cool ^^
Citation:
Je ne crois pas que tu en aies parlé mais comment fonctionne la sauvegarde ? Genre on recommence depuis le tout début si on meurt ou pas ?
On ne recommence pas depuis le début puisque le jeu est quand même assez long (j'ai mis une vingtaine d'heures), mais, dans l'absolu, c'est un système de point de sauvegarde assez classique.
En gros, tu as des abris disséminés un peu partout et, à chaque fois que tu vas t'y reposer, tu vas terminer un cycle (c'est le temps que tu as avant qu'il ne se mette à pleuvoir) et sauvegarder.
Petite précision quand même : contrairement à la majorité des jeux modernes, il n'y a pas de sauvegarde automatique dans le jeu, même lors de certains moments clés, donc, si tu meures, tu retournes à la dernière fois où tu as utilisé un abri.
Autre petite subtilité : pour utiliser un abri, il faut que tu aies suffisamment mangé (techniquement, tu peux te reposer le ventre vide, mais tu risques de mourir de faim et ta progression n'est pas sauvegardée).
Tu peux donc te retrouver dans la situation où tu as parcouru tout un niveau, ton cycle est presque terminé, tu es perdu, tu erres un peu au pif, tu tombes sur un abri - joie et bonheur ! - mais... tu ne trouves pas à bouffer, donc tu ne peux pas sauvegarder et tu paniques parce que tu te dis que, bordel de bordel, tu vas crever et perdre 45 minutes d'exploration :D
Mon conseil : dès que vous trouvez de la nourriture, mangez au moins ce qu'il faut pour avoir le minimum pour sauvegarder ^^
Mais, pour tout dire, la plus grosse punition du jeu, c'est lorsque tu te trompes de chemin.
La map du jeu est très ouverte et la progression n'est pas linéaire (on peut, par exemple, se retrouver très tôt dans la dernière zone du jeu, la première zone y étant directement reliée). En plus, chaque zone possède plusieurs entrées / sorties. Donc autant dire qu'on peut vraiment faire le jeu un peu dans l'ordre qu'on veut ^^
Sauf que, quand même, il y a deux ou trois petites choses à faire qui sont obligatoires pour pouvoir finir le jeu.
Et donc, tu peux parfaitement partir dans une direction pendant plusieurs heures et te rendre compte que tu dois finalement rebrousser chemin... avec tes petites papattes, hein, parce que, si tu veux te téléporter d'abri en abri, eh ben... tu peux pas !
Bon, j'exagère un peu. Techniquement, tu as moyen de te téléporter.
Pour ça, c'est "très simple" :
il faut terminer une karma chain. En gros, à chaque fois tu te reposes dans un abri, tu montes ton karma, représenté par un symbole. Et chaque niveau de karma possède une karma chain qui se remplit ou se vide suivant certaines conditions à chaque fois que tu utilises un abri. Ces conditions sont bien évidemment totalement inconnues du joueur ou de la joueuse, sinon ça serait pas marrant ^^
Bref, lorsque tu arrives à compléter une de ces chaînes, tu gagnes le droit de te téléporter une seule et unique fois.
Au total, tu peux débloquer 6 téléportations, pas une de plus, puisque, bien sûr, chaque karma chain ne peut être complétée qu'une seule fois.
J'ai dit aussi que, à chaque mort, tu perds du karma ? Non, je l'ai pas dit, donc, voilà, je le dis !
Hop, facile de se TP :P
Et donc, pour revenir à ce que je disais : rebrousser chemin après plusieurs heures de progression, c'est clairement ce qu'il y a de plus décourageant parce qu'il faut s'attendre à y passer à nouveau des heures. Des heures à juste se dire "mais, bon Dieu, si seulement j'avais été à gauche plutôt qu'à droite à cet embranchement, j'en serai pas là !"
Pour info : oui, ça sent le vécu ^^
Mon deuxième conseil : explorez bien chaque zone avant de la quitter, histoire d'être certain de pas rater un chemin ou une karma door
Bon, ça a pas l'air comme ça, mais c'est quand même super Rain World, hein :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
Resident evil 2 remake( enfin mafia 2 en fait mais je l'avais deja fait) vraiment très bon c'est pas mon jeu préférés mais il est vraiment très plaisant a joué, et vraiment beau en plus de tourner a plus de 30 ips sur PS4 fat, slim la physique est très limitée par contre mais bon ça peut s'expliquer par le fait que les zombies reste au sol. C'est le premier résident evil que j'ai fait, le 3 a été plus sévèrement reçu, mais je le ferai quand même vu son prix (pareil pour Re2) ya pas a se plaindre
Cimer pour les explications. Comme je m'en doutais sauvegarder n'est pas si simple.
Citation:
et te rendre compte que tu dois finalement rebrousser chemin... avec tes petites papattes
J'imagine aussi que le "temps" sur le chemin n'est pas le seul problème mais qu'il reste une myriade de dangers à éviter de nouveau.
Après peut-être que mourir volontairement pour, en quelque sorte, se TP au dernier point de sauvegarde est une option si on est sur le mauvais chemin.
J'imagine aussi que le "temps" sur le chemin n'est pas le seul problème mais qu'il reste une myriade de dangers à éviter de nouveau.
Oui parce qu'il est très peu probable que tu aies tué toutes les bestioles à l'aller (je crois que je n'en ai pas tué une seule sur toute ma run), mais, en plus, le level design peut s'avérer être traître : un saut un peu compliqué dans un sens peut s'avérer être un calvaire, voire carrément impossible, demandant alors de trouver un autre chemin.
Citation:
Après peut-être que mourir volontairement pour, en quelque sorte, se TP au dernier point de sauvegarde est une option si on est sur le mauvais chemin.
Oui, mais la mort fait perdre du karma et, pour naviguer entre les zones, il faut ouvrir des portes qui demandent un certain niveau de karma. Donc tu n'es pas à l'abri de ne plus pouvoir retourner dans la zone précédente et de te retrouver à devoir farmer, ce qui est loin d'être simple.
Bon, c'est l'éclate, quoi :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
La première chose qui saute au yeux est que le jeu est magnifique, on a affaire à du pixel art très bien réalisé dans un univers cohérent.
Concernant le gameplay c'est d'une richesse et d'une variété assez exceptionnelle. Pour la partie combat classique il y a un coté Secret of Mana (attaque au CaC et à distance), pour les combat contre boss on sent un coté Dark Souls (rien que ça). Il y a également des longues phases de puzzles très intéressantes qui ne sont pas sans rappeler les donjons dans les Zeldas.
Bref le jeu s'est inspirait des grands.
Le tout est très scénarisé, sans spoil (on l'apprend dés le début) le jeu se déroule dans un MEUPORG futuriste où on y incarne un avatar. Le scénario est bien touffu, ce qui emmène à ce que je considère comme un défaut du jeu, à savoir qu'il y a ENORMEMENT de dialogues. Je suis patient mais là il y en avait vraiment trop, j'en ai passé plus d'un.
Coté durée de vie j'ai mis entre 50 et 60 heures à en voir le bout, en sachant que je n'ai pas fait toutes les quêtes annexes. Le jeu est hyper long.
Il ne reste que la bande son, les musique sont biens sans plus, pareil pour les bruitages.
Je pense avoir fait le tour.
Verdict: Le jeu est excellent et je le recommande vivement pour les fans de Zelda, de Secret of Mana et des Souls.
Une petite expérience de plateforme avec une DA en pixel-art absolument magnifique. Un véritable bonbon gratuit et disponible sur Steam ou itch.io
L'expérience se termine en une petite heure, peut-être 2/3 pour le 100%, le gameplay est super propre et efficace, on se prend une claque visuel du début à la fin. En plus il me semble que c'est un français derrière et la producteur est québécois (le mec derrière la chaine youtube MrSuicideSheep, je kiffais pendant mon adolescence, ça faisait longtemps que je n'y étais pas allé).
Franchement c'est à faire, je pense que tous les PC peuvent faire tourner le jeu et en plus avec Steam toutes les manettes sont reconnues (99% d'avis positif sur un millier sur Steam, ça veut out dire)
Alors ce n’est pas encore fini, et ça s’annonce long et dur, mais sur Rain World actuellement. Je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit par Nico Nico, mais je ne peux que conseiller à tel point le jeu est bon et la proposition unique. C’est en revanche d’une violence inouïe: c’est dur, les zones sont immenses, il est possible d’emprunter un mauvais itinéraire ce qui coûte du temps et pas mal d’énergie pour rebrousser chemin, il faut avoir assez de nourriture pour hiberner et donc pouvoir sauvegarder, présence d’un « timer météorologique », mécaniques de jeu expliquées de façon sommaire via pictogrammes, faune et flore impitoyable et aléatoire, j’en passe et des meilleures.
Ce jeu est assez étrange car il se rapproche d’un metroidvania dans sa dimension exploration, mais s’en différencie nettement par son système de récompense: n’attendez pas de devoir récupérer des compétences pour ensuite explorer des zones et secrets précédemment inaccessibles car l’itinéraire est entièrement libre, et la récompense se limite à avoir la satisfaction d’avoir survécu à la traversée des différents biomes. Rien à redire sur le level design de ces derniers d’ailleurs, c’est franchement excellent. Bref, il n’est ici question que de survivre et d’avancer, avec la sensation permanente de compter pour tripette face à une mère nature aussi fascinante qu’impitoyable.
Pour ceux qui connaissent le jeu: je viens de terminer entièrement la zone Shaded Citadel depuis l’accès du littoral. Sans doute l’une des expériences les plus éprouvantes que j’ai pu vivre dans un jeu vidéo, avec timing très serré sur la fin faute de nourriture. La zone était franchement excellente, mais bien coton :/
"VOICI UN INDICE LES PALMIERS . ET 8 SONT LES MOTS CLE!" Un pnj nébuleux
Code ami Switch online: SW-3823-7405-9601
PSN: Trezn244
Étron rien que ça, faut savoir doser dans la vie
Et voilà, Rain World c'est fini et je peux dire que ce jeu aura réussi à trouver refuge dans mon coeur :D
Il s'agit sans conteste d'une des propositions les plus singulières que j'ai pu voir dans un jeu vidéo, une expérience viscérale, organique et émotionnellement forte.
Je disais que le jeu me faisait penser à un cinematic platformer dirigé par Ueda et je crois que c'est ce qui définit peut-être le mieux le ressenti que peut procurer ce jeu.
C'est minimaliste, parfois frustrant, mais foisonnant de détails, de poésie et de vie.
Rain World sait parfaitement nous faire ressentir ce sentiment de perdition, d'écrasement face à notre environnement. Nous ne sommes pas le héros de ce monde, juste le personnage principal de notre vie et notre insignifiance nous est rappelée constamment.
Oui, Rain World est difficile. Injuste, également. Mais il ne l'est pas par cruauté ou sadisme. Il l'est parce que c'est ainsi que son univers fonctionne.
La découverte de cet univers et de l'écosystème qui y règne, son exploration et sa compréhension, forment le pilier principal du jeu. Vous devez observer, déduire, tester, échouer, recommencer afin de progresser et, finalement, d'avancer.
Il faut parfois s'armer d'une patience inébranlable afin de surmonter certains obstacles. De la patience et du sang-froid, car la RNG peut se révéler être sans pitié pour notre petit slugcat.
Il s'agit certainement d'un des jeux qui arrive le mieux à nous donner l'impression de survivre dans un environnement hostile et sauvage.
Malgré son esthétique en pixel art (magnifique), l'immersion est immédiate et totale, soutenue par un impressionnant travail sur le son et une bande son à la fois mélancolique, douce-amer, menaçante et étrangement réconfortante.
Rain World est un jeu unique, une oeuvre insaisissable qui ne ressemble à aucune autre et semble s'affranchir de l'influence des autres.
Pour toutes ces raisons et plus encore, Rain World est un jeu précieux.
(Oui, j'ai pris le DLC, finalement :P)
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Même si ça ne doit pas être le premier à me faire ressentir ça, je suis très curieux de connaître cette sensation du monde qui ne semble pas du tout avoir besoin de nous pour exister avec ce titre (en plus il est sur Switch héhé).
Je ne crois pas que tu en aies parlé mais comment fonctionne la sauvegarde ? Genre on recommence depuis le tout début si on meurt ou pas ?
Si la frustration fait -en quelque sorte- partie du jeu, je suis curieux de connaître le rapport qu'il entretien avec cette mécanique.
Je ne l'ai pas encore touché, mais j'aime bien le principe : on incarne différents slugcats avec des capacités bien spécifiques (un peut tuer les ennemis d'un seul jet de lance, un autre peu crafter des bombes et les utiliser pour faire une sorte de double saut, etc) et chacune des campagnes se déroule à une période différente, ce qui modifie tout le level design.
Apparemment, ça change assez radicalement l'expérience à chaque fois, donc c'est cool ^^
On ne recommence pas depuis le début puisque le jeu est quand même assez long (j'ai mis une vingtaine d'heures), mais, dans l'absolu, c'est un système de point de sauvegarde assez classique.
En gros, tu as des abris disséminés un peu partout et, à chaque fois que tu vas t'y reposer, tu vas terminer un cycle (c'est le temps que tu as avant qu'il ne se mette à pleuvoir) et sauvegarder.
Petite précision quand même : contrairement à la majorité des jeux modernes, il n'y a pas de sauvegarde automatique dans le jeu, même lors de certains moments clés, donc, si tu meures, tu retournes à la dernière fois où tu as utilisé un abri.
Autre petite subtilité : pour utiliser un abri, il faut que tu aies suffisamment mangé (techniquement, tu peux te reposer le ventre vide, mais tu risques de mourir de faim et ta progression n'est pas sauvegardée).
Tu peux donc te retrouver dans la situation où tu as parcouru tout un niveau, ton cycle est presque terminé, tu es perdu, tu erres un peu au pif, tu tombes sur un abri - joie et bonheur ! - mais... tu ne trouves pas à bouffer, donc tu ne peux pas sauvegarder et tu paniques parce que tu te dis que, bordel de bordel, tu vas crever et perdre 45 minutes d'exploration :D
Mon conseil : dès que vous trouvez de la nourriture, mangez au moins ce qu'il faut pour avoir le minimum pour sauvegarder ^^
Mais, pour tout dire, la plus grosse punition du jeu, c'est lorsque tu te trompes de chemin.
La map du jeu est très ouverte et la progression n'est pas linéaire (on peut, par exemple, se retrouver très tôt dans la dernière zone du jeu, la première zone y étant directement reliée). En plus, chaque zone possède plusieurs entrées / sorties. Donc autant dire qu'on peut vraiment faire le jeu un peu dans l'ordre qu'on veut ^^
Sauf que, quand même, il y a deux ou trois petites choses à faire qui sont obligatoires pour pouvoir finir le jeu.
Et donc, tu peux parfaitement partir dans une direction pendant plusieurs heures et te rendre compte que tu dois finalement rebrousser chemin... avec tes petites papattes, hein, parce que, si tu veux te téléporter d'abri en abri, eh ben... tu peux pas !
Bon, j'exagère un peu. Techniquement, tu as moyen de te téléporter.
Pour ça, c'est "très simple" :
il faut terminer une karma chain. En gros, à chaque fois tu te reposes dans un abri, tu montes ton karma, représenté par un symbole. Et chaque niveau de karma possède une karma chain qui se remplit ou se vide suivant certaines conditions à chaque fois que tu utilises un abri. Ces conditions sont bien évidemment totalement inconnues du joueur ou de la joueuse, sinon ça serait pas marrant ^^
Bref, lorsque tu arrives à compléter une de ces chaînes, tu gagnes le droit de te téléporter une seule et unique fois.
Au total, tu peux débloquer 6 téléportations, pas une de plus, puisque, bien sûr, chaque karma chain ne peut être complétée qu'une seule fois.
J'ai dit aussi que, à chaque mort, tu perds du karma ? Non, je l'ai pas dit, donc, voilà, je le dis !
Hop, facile de se TP :P
Et donc, pour revenir à ce que je disais : rebrousser chemin après plusieurs heures de progression, c'est clairement ce qu'il y a de plus décourageant parce qu'il faut s'attendre à y passer à nouveau des heures. Des heures à juste se dire "mais, bon Dieu, si seulement j'avais été à gauche plutôt qu'à droite à cet embranchement, j'en serai pas là !"
Pour info : oui, ça sent le vécu ^^
Mon deuxième conseil : explorez bien chaque zone avant de la quitter, histoire d'être certain de pas rater un chemin ou une karma door
Bon, ça a pas l'air comme ça, mais c'est quand même super Rain World, hein :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Resident evil 2 remake( enfin mafia 2 en fait mais je l'avais deja fait) vraiment très bon c'est pas mon jeu préférés mais il est vraiment très plaisant a joué, et vraiment beau en plus de tourner a plus de 30 ips sur PS4 fat, slim la physique est très limitée par contre mais bon ça peut s'expliquer par le fait que les zombies reste au sol. C'est le premier résident evil que j'ai fait, le 3 a été plus sévèrement reçu, mais je le ferai quand même vu son prix (pareil pour Re2) ya pas a se plaindre
Wololo
Cimer pour les explications. Comme je m'en doutais sauvegarder n'est pas si simple.
Après peut-être que mourir volontairement pour, en quelque sorte, se TP au dernier point de sauvegarde est une option si on est sur le mauvais chemin.
Bref ouais ça m'intéresse tout ça ^^
Oui parce qu'il est très peu probable que tu aies tué toutes les bestioles à l'aller (je crois que je n'en ai pas tué une seule sur toute ma run), mais, en plus, le level design peut s'avérer être traître : un saut un peu compliqué dans un sens peut s'avérer être un calvaire, voire carrément impossible, demandant alors de trouver un autre chemin.
Oui, mais la mort fait perdre du karma et, pour naviguer entre les zones, il faut ouvrir des portes qui demandent un certain niveau de karma. Donc tu n'es pas à l'abri de ne plus pouvoir retourner dans la zone précédente et de te retrouver à devoir farmer, ce qui est loin d'être simple.
Bon, c'est l'éclate, quoi :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
J'ai finis Crosscode dernièrement.
La première chose qui saute au yeux est que le jeu est magnifique, on a affaire à du pixel art très bien réalisé dans un univers cohérent.
Concernant le gameplay c'est d'une richesse et d'une variété assez exceptionnelle. Pour la partie combat classique il y a un coté Secret of Mana (attaque au CaC et à distance), pour les combat contre boss on sent un coté Dark Souls (rien que ça). Il y a également des longues phases de puzzles très intéressantes qui ne sont pas sans rappeler les donjons dans les Zeldas.
Bref le jeu s'est inspirait des grands.
Le tout est très scénarisé, sans spoil (on l'apprend dés le début) le jeu se déroule dans un MEUPORG futuriste où on y incarne un avatar. Le scénario est bien touffu, ce qui emmène à ce que je considère comme un défaut du jeu, à savoir qu'il y a ENORMEMENT de dialogues. Je suis patient mais là il y en avait vraiment trop, j'en ai passé plus d'un.
Coté durée de vie j'ai mis entre 50 et 60 heures à en voir le bout, en sachant que je n'ai pas fait toutes les quêtes annexes. Le jeu est hyper long.
Il ne reste que la bande son, les musique sont biens sans plus, pareil pour les bruitages.
Je pense avoir fait le tour.
Verdict: Le jeu est excellent et je le recommande vivement pour les fans de Zelda, de Secret of Mana et des Souls.
Release Jeu Arnihs
Windows: https://github.com/LeVirus/Nietsneflow/releases/tag/Wind
Linux: https://github.com/LeVirus/Nietsneflow/releases/tag/First
Sheepy: A Short Adventure
Une petite expérience de plateforme avec une DA en pixel-art absolument magnifique. Un véritable bonbon gratuit et disponible sur Steam ou itch.io
L'expérience se termine en une petite heure, peut-être 2/3 pour le 100%, le gameplay est super propre et efficace, on se prend une claque visuel du début à la fin. En plus il me semble que c'est un français derrière et la producteur est québécois (le mec derrière la chaine youtube MrSuicideSheep, je kiffais pendant mon adolescence, ça faisait longtemps que je n'y étais pas allé).
Franchement c'est à faire, je pense que tous les PC peuvent faire tourner le jeu et en plus avec Steam toutes les manettes sont reconnues (99% d'avis positif sur un millier sur Steam, ça veut out dire)
<3
Alors ce n’est pas encore fini, et ça s’annonce long et dur, mais sur Rain World actuellement. Je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit par Nico Nico, mais je ne peux que conseiller à tel point le jeu est bon et la proposition unique. C’est en revanche d’une violence inouïe: c’est dur, les zones sont immenses, il est possible d’emprunter un mauvais itinéraire ce qui coûte du temps et pas mal d’énergie pour rebrousser chemin, il faut avoir assez de nourriture pour hiberner et donc pouvoir sauvegarder, présence d’un « timer météorologique », mécaniques de jeu expliquées de façon sommaire via pictogrammes, faune et flore impitoyable et aléatoire, j’en passe et des meilleures.
Ce jeu est assez étrange car il se rapproche d’un metroidvania dans sa dimension exploration, mais s’en différencie nettement par son système de récompense: n’attendez pas de devoir récupérer des compétences pour ensuite explorer des zones et secrets précédemment inaccessibles car l’itinéraire est entièrement libre, et la récompense se limite à avoir la satisfaction d’avoir survécu à la traversée des différents biomes. Rien à redire sur le level design de ces derniers d’ailleurs, c’est franchement excellent. Bref, il n’est ici question que de survivre et d’avancer, avec la sensation permanente de compter pour tripette face à une mère nature aussi fascinante qu’impitoyable.
Pour ceux qui connaissent le jeu: je viens de terminer entièrement la zone Shaded Citadel depuis l’accès du littoral. Sans doute l’une des expériences les plus éprouvantes que j’ai pu vivre dans un jeu vidéo, avec timing très serré sur la fin faute de nourriture. La zone était franchement excellente, mais bien coton :/
"VOICI UN INDICE LES PALMIERS . ET 8 SONT LES MOTS CLE!" Un pnj nébuleux
Code ami Switch online: SW-3823-7405-9601
PSN: Trezn244