Bon je viens de finir Dynamite headdy sur Megadrive. Du très bon plateformeur très varié avec des phases de shoot. Le plus impressionnant reste quand même la magnifique DA du jeu qui a vraiment un aspect loufoque. Dans le même style je connais les parodies ou j j squawker qui sont aussi pas mal dans ce genre d'univers. C'est vraiment très rafraîchissant.
Le gameplay est aussi très sympathique, basé sur le fait de changer de tête pour changer de pouvoir ça donne une très bonne variété dans le jeu.
Si j'avais décidé d'y joué c'est un peu grâce à gio qui m'a fait découvrir treasure, ce que je l'en remercierais jamais assez (pour le moment de chez eux je me suis fait dynamite headdy, light crusader et mischief maker. J'ai aussi un peu tâte de gunstat Heroes qui est aussi bon, aucune déceptions, même light crusader qui est le moins apprécié je l'ai préféré à landstalker qui souffre vraiment de cette maniabilité à la mort moi le noeud je comprend pas qu'on l'encense là dessus).
Édit : j'ai aussi fini comix zone dont je parle dans le topic Retro, d'ailleurs je sais jamais dans quel topic mettre quand je finis un jeu rétro car dans le topic dédié au rétro j'ai l'impression que ça a moins de visibilité)
MadWorld, un des seuls jeux que je n'ai jamais fini (un boss m'avait saoulé).
Muramasa était assez cool, notamment ses décors oui.
Pour ma part j'ai fini quelques jeux récemment, mais ça ira vite, très peu de développement pour une fois...
Beyond Two Souls sur PS3 : 16/20
J'ai pourtant beaucoup de chose à dire sur ce jeu... Il y a du bien, il y a du moins bien. J'ai préféré Heavy Rain, mais j'ai passé un bon moment sur ce jeu. Quelques chapitres sont quand-même moins bons (certains même inutiles), notamment la mission "guerilla".
Mischief Makers sur N64 : 16/20
Vraiment sympa, je ne savait pas quoi en penser lors des premiers niveaux. L'ensemble s'est révélé très fun, avec des boss très cools et surtout une sacré ambiance et un sacré univers pour un jeu de plateforme.
Onimusha : Warlords sur PS2 : 16/20
Univers très sympa. Malgré le côté Beat'Em All je ne m'attendais absolument pas à ce que ça ressemble à du Resident Evil dans ses mécanismes. Très bon moment.
Super Mario World sur SNES : 12...?
Aïe aïe aïe je vais me faire des ennemis... Objectivement le jeu mérite une bien meilleure note, que ce soit les graphismes, les niveaux en eux-mêmes, la durée de vie, les zones cachées... Mais j'avoue avoir un peu subi ce jeu, et oui, désolé...
Ristar sur Megadrive : 14/20
Bon petit jeu de la Megadrive malgré une durée de vie très courte. Les niveaux sont variés, le gameplay change un peu de ce qu'on voit habituellement dans les jeux de plateformes, les graphismes très beaux et colorés, c'était cool !
Halo sur Xbox : 16/20
Un jeu dont je comprends totalement le carton de l'époque, même en le découvrant aujourd'hui... Gameplay irréprochable en vue FPS, personnage charismatiques, doublages de qualité, il y a de très bonnes choses. En revanche on pourra reprocher un manque de variété dans les niveaux (10 missions, dont certaines sont justes les mêmes mais dans l'autre sens... honnêtement j'ai trouvé ça complètement abusé...). Ces derniers sont d'ailleurs bien trop longs !!!!! Gros point noir également sur la dernière séquence de jeu qui gâche tout le reste... Vraiment dommage, on était vraiment pas loin du perfect...
Alice au Pays de Merveilles sur Wii : 13/20
C'était sympathique dirons-nous mais assez répétitif quand-même avec des combats très bofs...
Enemy Zero sur Saturn : 13/20
Franchement, malgré la note, c'était cool. Ca a vieilli sur beaucoup de points, notamment le gameplay rigide, mais grosse ambiance à la Alien (grosse inspiration d'ailleurs...).
@La Chouette : Assez d'accord avec toi sur Muramasa. Le jeu a une ambiance incroyable et une direction artistique sublime tout en s'avérant au final assez répétitif.
J'avais envie de le faire depuis un moment, je l'avais acheté pour pas cher sur steam.
Et mes impressions après l'avoir fini se révèlent très positives.
Le jeu est très inventif avec un petit côté Conker's Bad Fur Day à ne jamais vouloir rester sagement en place et balancer des idées en continu. Comme le passage à la deuxième personne lors d'un combat de boss, ou le passage hilarant à dipneustopolis en hommage aux films de kaiju, ou encore le boss "critique" qui balance vraiment des critiques.
L'univers est génial et se renouvelle à chaque exploration d'esprits et avec ses personnages hauts en couleurs avec chacun leur petite personnalité qui les rends attachants.
Et mention spéciale à l'excellent doublage Français avec plein de comédiens de doublage connus et talentueux : Donald Reignoux, Martial le Minoux, Caroline Pascal, Patrick Borg (Son Goku ! ) et bien d'autres. (Par contre le mixage est pourri, même en le changeant dans les options, comme si il n'était pas pris en compte lors de certaines séquences, comme les cinématiques)
Le ton du jeu est d'ailleurs faussement enfantin et traite parfois de thèmes assez sérieux (le harcèlement scolaire par exemple et globalement les traumatismes du passé) et certains personnages cachent une part plus sombre ou tragique.
Le gameplay s'accorde très bien avec tout le reste du jeu, On sent clairement un jeu fait avec passion ou chaque section de l'équipe de développement va dans la même direction que l'autre pour donner un tout homogène, ce qui me faire dire, une fois de plus, qu'un jeu est plus que la somme de ses parties.
Les petits broutilles à reprocher ne sont pas grand chose en comparaison des nombreux points forts mais on peut citer : le gameplay manquant de précision, les cinématiques un peu cra-cra dû à l'âge du jeu.
Un dernier niveau franchement désagréable (escort mission pénible avec PNJ idiot qui fonce dans les ennemis et qui n'arrête pas de hurler + phase de plate-forme où on se prend de plein fouet le manque de précision soulevé + boss à la Hitbox bien foireuse...)
Des soucis techniques avec la version PC : cinématiques étirés en 16/9 et idem pour les menus (un patch non-officiel trouvé sur internet règle ça) et des bugs bloquants si on n'active pas la V-Sync dans les options (!)
Après tout ça, j'ajoute Psychonauts 2 à la liste des jeux que j'attends avec impatience.
Bon... Je vais être franc directement, je n'ai pas terminé le jeu car j'ai abandonné au boss final. Si je voulais le battre ça demandait trop de levelling et je n'ai pas eu le courage^^
Ce JRPG a quand même pris son coup de vieux notamment en termes de rythme car il faut être patient que cela soit dans la narration, l'exploration comme les combats (mélangeant tour par tour classique et léger aspect tactique). Pourtant il y a un univers accrocheur, une double-histoire qui se met vraiment bien en place.
Bref le prototype de jeu toujours sympa à faire mais jamais transcendant sur aucun de ses points.
Vraiment un bon mario. Au départ je le trouvais vraiment trop facile mais finalement avec les mondes spéciaux là on a un vrai challenge, c'était très bon.
Point spécial pour ce magnifique rendu 3D. LE level design est très bien pensé pour l'usage sur la 3DS. Mais comme d'hab avec nintendo, y'a les jeux nintendo qui utilisent bien les fonctions de leurs appareils, et le reste ^^
JE me suis aussi fait RE 3 sur PS4.
Franchement je m'attendais à pire. J'étais au courant qu'il manquait des passages du coup là dessus j'étais pas surpris, même si je trouve dégueu qu'ils fassent du pied en montrant la tour de l'horloge avant de finalement faire passer le reste à l'hopital.
Par contre j'ai été vraiment agréablement surpris, c'est sur les points positifs de ce jeu. Le nemesis est très bien rendu, surtout comparé à Mr X où j'avais peur qu'il soit décevant vue les retour sur ce jeu. Toute la première moitié est aussi très sympathique avec les rues de Raccoon city c'est toujours un plaisir d'y faire un tour (c'est ce qui m'avait vraiment plu dans RE 3 sur ps1 que j'avais préféré aux autres RE).
Après dans l'ensemble je dirais qu'il est sympathique, pas autant qu'il aurait pu l'être. Mais je lui préfère largement le jeu sur ps1.
J'ai terminé World of Final Fantasy développé par Square Enix et TOSE sur PS4.
Dans World of Final Fantasy, on dirige deux jeunes ados du nom de Lann et Reynn épaulés par Tama, un myrage refourgué par une certaine Enna Kros. Les myrages sont des monstres équivalents aux pokémons et seront au centre de l'aventure de nos 2 jumeaux.
Pour faire vite, cette étrange Enna Kros s'incruste dans le bar tenu par Lann et Reynn pour leur apprendre qu'ils sont des myramanciens : Des êtres très puissants capables de capturer des myrages et de s'en servir au combat pour protéger Grymoire, le monde d'où ils viennent. Seulement voilà, ni l'un ni l'autre n'est conscient de cette réalité puisqu'ils sont bizarrement devenus amnésiques.
C'est ainsi que nos jeunes compères décident de quitter les Neuf-Fresnaies et de traverser le portail vers Grymoire afin d'en savoir plus sur leurs passés, éventuellement recouvrer la mémoire et peut-être même retrouver leurs parents.
Evidemment la tâche ne sera pas aisée, car le monde de Grymoire est sur le point d'être envahie par les armées de Bahamut...
World of Final Fantasy est un J-RPG tout ce qu'il y a de plus classique avec toutefois 2 originalités propres : Son système de pyramide et comme son nom l'indique, la présence de personnages emblématiques de Final Fantasy.
Le périple sera très très linéaire de bout en bout, on dévie rarement de la progression suivante : village/donjon/village/donjon.... etc...
Les villages sont très très petits et inintéressants : On y trouve quelques PNJs avec lesquelles échanger une ligne de dialogue ou récupérer une quête annexe. Ne cherchez pas à entrer dans les maisons, dans l'auberge ou dans le shop car ce n'est jamais possible : Le seul marchand du jeu est et restera au hub central du jeu : Les Neuf-Fresnaies. L'arrivée à un village signifie souvent un nouveau chapitre, une nouvelle rencontre, une cut-scene et au suivant. Même si il y a quelques coffres cachés ici et là, l'exploration n'est pas de mise dans World of Final Fantasy.
Si les villages représentent souvent juste une avancée dans l'histoire, les donjons ne sont uniquement prétextes à la chasse aux poké... euhh myrages. Car à part ça, c'est le vide en termes de level-design. Si certains apportent une légère nouvelle mécanique par rapport au précédent, d'autres sont de véritables lignes droites (littéralement) uniquement bousculés par les combats aléatoires.
Ajoutez à cela un univers sans identité propre : A savoir que l'on traversera des bons vieux lieux communs comme la forêt, le monde de la glace, les volcans, le désert, la mer... Tout ça d'une manière complètement décousue et dans une non-cohérence assumée.
Donc oui, le coeur du jeu est le système de pyramide en combat, qui va de paire avec la chasse aux myrages :
Si Lann et Reynn peuvent changer de forme et passer en chibi, c'est pour proposer 2 formations différentes pour leurs pyramides respectives. Du coup, ils existent en Grand et en Petit, tout comme les myrages qui sont soit Petit, Moyen ou Grand. Le but sera donc de constituer des pyramides à l'aide d'un petit myrage, sur la tête d'un myrage moyen, lui-même sur la tête de Reynn version "gigantus" (appellation d'humains taille normale dans le monde de Grymoire).
Pas question ici d'équipements, d'armures, d'épées, de boucliers etc etc... Non, toutes les caractéristiques se modifient en fonction des myrages choisis pour la pyramide. Donc, par exemple, si vous savez que vous allez traverser un monde de feu, formez votre pyramide avec des myrages d'eau... Simple, basique.
Et concernant les myrages, il y a de quoi faire car non seulement ils sont nombreux, mais en plus ils peuvent évoluer ! Ils ont chacun un sphérier de compétences à débloquer en montant de niveau (il faut avoir le myrage avec soi) et il ne faut surtout pas hésiter à changer ses formations après chaques donjons. D'où un menu-ing assez important tout au long du titre.
Si vous capturez tous les myrages d'une zone (seul intérêt des donjons) et si vous faites les bons choix pour vos pyramides, le jeu sera une promenade de santé jusqu'à la fin.
Le système de combat ressemble à celui de Child of Light ou Grandia : Le curseur de vos personnages et des adversaires avance sur une ligne de temps, sa vitesse dépendant des caractéristiques de chacun, votre tour arrive lorsque ce curseur arrive au bout. Là vous aurez accès à l'attaque, les objets, les compétences correspondant aux myrages dans votre pyramide et bien évidemment à la capture.
Avant de pouvoir capturer un myrage, il faut d'abord le faire tomber de sa pyramide si il en fait partie. Puis, les conditions de capture vous seront indiqués grâce à la compétence Acuité (indispensable). Quelques exemples : Il faudra peut-être simplement l'affaiblir, ou lui infliger des dégâts de feu, altérer son état, lui donner un coup critique... etc... etc... Vous ne pourrez probablement pas attraper certains myrages à la première rencontre, nécéssitant peut-être une compétence, un objet que vous ne possédez pas sur le coup ou même un niveau bien supérieur de vos personnages.
En plus de ces myrages petit, moyen ou grand, vous pourrez aussi capturer des "Ex". Les Ex sont des myrages plus difficiles à obtenir mais plus puissants qu'il faudra invoquer car impossible à positionner à la base d'une pyramide. Ils seront jouables contrairement aux "sauveurs" qui, eux, n'interviendront que le temps d'une attaque dévastatrice.
Mais qui sont ces "sauveurs" ? Et bien j'y viens : Ce sont les personnages que l'on connaît venant de différents opus de Final Fantasy.
Au fil des chapitres, ils interviendront pour aider les jumeaux dans leur quête ou simplement pour le clin d'oeil avant de pouvoir être appelés en combats. Autant être honnête, la plu-value d'intégrer ces figures mythiques n'apporte finalement pas plus de profondeur scénaristique, mais un simple fan-service. Ce qui est dommage pour un jeu qui s'appelle "World of Final Fantasy".
On se baladera aussi dans des lieux connus en écoutant des thèmes remixés de la saga de Square. Alors oui, parfois il y a des mélanges d'univers plutôt cocasses comme le château de Figaro (FFVI) se déplaçant dans le désert grâce aux réacteurs mako (FFVII), mais ça ne va jamais plus loin que ça et d'ailleurs je spoil le meilleur exemple. Il faut aussi savoir que tout ce petit monde est en chibi, donc même si les attaques des sauveurs sont assez impressionnantes visuellement, elles perdent quand même en classe à cause de ça. Mais là, c'est le parti pris du jeu, chacun jugera selon ses goûts.
On reconnaîtra aussi bien évidemment le bestiaire, les chocobos seront évidemment présents, les pampas, les morbols... etc...
Le problème majeur que je trouve à ce J-RPG, c'est son manque de personnalité et surtout le manque d'invitation au voyage : Quelque part c'est logique, à vouloir saupoudrer du FFIII ici et du FFX là, on obtient une mixture bancale et amenée là, comme un cheveu sur la soupe. L'idée de départ semble foireuse et se démontre dans une progression ultra hâchée, où l'on fait ses déplacements à partir d'une liste, quoi de plus impersonnel ?
En parlant de liste, "la jeune fille au nom oublié" (je sais pas si elle vient d'un FF) vous en soumettra une, avec pléthore de quêtes annexes. L'occasion de retrouver nos anciens héros pour de petites saynètes suivis d'un combat. On retiendra l'effort de proposer un mini scénario et une mise en scène pour chacune de ces quêtes, mais la triste vérité, c'est qu'on s'en fout généralement.
Le pire dans tout ça, c'est que quand vous avez terminé tous les donjons du jeu et donc le voyage : Certaines quêtes principales viendront s'intercaler dans cette même liste ! Oui il y a une "excuse" scénaristique à ce comble, mais peu convaincante.
World of Final Fantasy s'avère être un J-RPG sympathique, car tout de même agréable à jouer. On sent le savoir-faire de Square Enix derrière via les nombreuses cut-scenes. A ce propos, l'humour est omniprésent et le calembour fuse à la moindre occasion, il faut s'accrocher. Lann comprend constamment tout ce qu'on lui dit de travers, et sa soeur Reynn le remet toujours en place. La localisation française se permet même de placer des références ici et là : Ne soyez pas choqués d'y voir la célèbre phrase d'une Nabilla, ouep... Le titre se veut très enfantin dans ses cinématiques, ses dialogues. Très "mignons" dans son enrobage coloré, sa D.A. minimaliste et ses persos en chibi. N'y voyez pas d'exploit technique, World of Final Fantasy n'a pas plus d'ambition que d'être très propre mais souffre quand même d'un léger aliasing.
Quant au scénario, Square Enix nous pond là un background plutôt riche et même confusant à base de prophéties diverses. Malgré un lot d'informations utiles mais surtout inutiles, on a, comme les personnages, l'envie d'en savoir plus sur eux-mêmes mais aussi sur l'intentions des vilains et qui ils sont.
Ce n'est pas forcément un jeu que je conseille, même aux fans de Final Fantasy. Car même s'il n'est pas mauvais, il faut être conscient qu'il est surtout un jeu de chasse aux monstres sans aucune dimension épique et non ouvert sur l'exploration, les zones étant trop "fermés" pour ça.
Mais si vous n'êtes pas trop exigeant et qu'un RPG mignon et pas difficile vous tente, pourquoi pas ?
Le mode histoire uniquement. Le mode défis j'ai testé un peu mais ça ne m'a pas scotché. J'ai globalement bien aimé ce mélange de God game et de jeu de réflexion. La progression est vraiment bien faîte pour avoir les pouvoirs et possibilités au fur et à mesure. Y a un côté assez joussif de modeler une terre selon nos envies et les besoins de notre peuple fonctionnant plutôt bien. Les seuls bémols sont le pathfinding des membres de la tribu et la caméra pas toujours optimale, surtout quand il faut virer de l'eau pour construire un village. Si techniquement le jeu n'est pas fou en ce qui concerne la qualité des textures comme les animations, il est bien plus intéressant dans la gestion des différentes matières avec lesquelles on doit interagir.
Bref, j'ai passé de bons moments dessus notamment les passages où l'on doit lutter contre les éléments (ainsi que la montre) pour créer les villages puis les protéger.
C'était moyen, franchement moins bon que le premier je trouve.
Le jeu se perd un peu dans des trucs qui n'ont pas grand chose à faire ici.
Je vois Luigi's Mansion comme une sorte de parodie de survival horror, particulièrement du premier Resident Evil (manoir, lieux à débloquer, ambiance horrifique, backtracking etc...), donc mettre du scoring, bof.
Pareil pour le découpage en missions, ça casse le rythme et l’exploration.
Idem pour la multiplicité des manoirs, un seul bien designé ça me semble bien plus intéressant dans le genre que 5 petits. Surtout si c'est pour nous mettre un manoir de glace (!) et du "désert", c'est déjà souvent cliché de faire ça dans des jeu aux ambiances plus classiques, mais là en plus l'ambiance devrait se démarquer en "fausse-horreur", donc ça n'a rien à faire ici.
Et le professeur "Kass Burnes" qui nous interromps toutes les deux minutes pour nous dire un truc inutile, "mais TA GUEULE", qu'est-ce que ce personnage est pénible... En plus ça casse le sentiment de solitude.
Reste que le gameplay est chouette, même si comme dans le premier c'est parfois difficile de voir si on oriente bien l'aspirateur ou la lampe.
Les animations sont toujours impressionnantes et l'humour de manière générale fonctionne bien.
Terminator : Resistance
Un bonbon sympathique si on aime les deux premiers films Terminator.
Pour un jeu tiré de licence de film ça s'en sort plutôt bien.
Les développeurs ont parfaitement su retranscrire l'ambiance (dans le futur post-apo) et c'est le plus gros point fort du jeu, on s'y croirait avec les couleurs très bien choisies, les designs respectueux et les musiques sorties des films (des frissons par moment !) qui sont bien utilisées.
D'ailleurs le fan-service est bien dosé, ça n'en fait pas des caisses, mais ça sait joué du clin d'oeil quand il faut :p . Le seul truc qui me chagrine à ce niveau c'est l'absence du
Spoiler ▼▲
T-1000
c'est un peu dommage, moi je l'adore.
Le jeu est franchement respectueux de la licence, on sent que c'est fait par des gens qui voulait rendre honneur et pas lâcher simplement un produit, en plus le scénario ne me semble pas rentrer en contradiction avec les deux premiers films (les suites on s'en fout hein :p )
La narration est (relativement) soigné, les personnages sont assez étonnements travaillé, ça ne vole pas hyper haut non plus, mais ils n'ont pas fait ça à l'arrache, ça fait plaisir. Il y a d'ailleurs des relations à entretenir, qui donne un côté The Walking Dead de Telltale.
Pour le gameplay je suis plus mitigé, c'est classique et plutôt efficace, mais ça fait une espèce de pot-pourri d'emprunt à droite à gauche, notamment dans l'immersive sim : niveaux, xp, points de compétences, arbres de talents, infiltration, piratage, crochetage (identique au jeux Bethesda !)
Les armes manquent clairement de pêche au niveau des sensations, c'est quand même con pour un FPS.
Pareil pour les niveaux, certains sont un peu ouverts et on explore, ils sont très chouettes et d'autres sont une ligne droite de bourrinage, eux sont à chier.
Le jeu n'as pas énormément de moyen, il n'a ni l'ambition d'un AAA ni sa technique (et ne prétend pas le contraire !)
Et si on n'est pas sensible à la licence Terminator, il reste seulement un FPS moyen. Vu que j'aime beaucoup les deux films de James Cameron, ça m'a fait plaisir de le faire.
Streets of Kamurocho
Sorti à l'occasion d'un récent anniversaire de Sega (je ne sais plus le combien et je m'en tape), c'est un Streets of Rage se déroulant dans l'univers de Yakuza, et c'est gratuit.
Mais ce n'est pas parce que c'est gratuit qu'il faut tout pardonner, j'ai pas perdu d'argent mais du temps (bon pas beaucoup non plus vu la durée de vie :p)
C'est un bête re-skin de Streets of Rage 2, l'apparence des persos jouables change, pareil pour celle des ennemis, des objets ramassables et quelques noms sur les bâtiments.
En dehors de ça c'est pareil, le gameplay est identique à Streets of Rage 2, les bruitages sont exactement les mêmes, les paterns ennemis idem...
Mais le pire c'est que c'est une version tronqué de Streets 2, il n'y a que le premier stage...
Donc si on aime Yakuza c'est rigolo quelques minutes pour les clins d'oeils, sinon ça ne vaut pas le coup d'y jouer, autant jouer au vrai Streets 2.
Je suis un peu méchant pour un truc gratuit, mais c'était quand même décevant que voulez vous...
Vraiment étrange, cette popularité du tout premier Luigi's Mansion, alors qu'il est largement en-dessous du 2 (pas fait le 3) : on sent trop le "jeu apéritif pour attendre le prochain Mario". Le level-design du 2 enfonce celui du premier, sans parler des mécanismes et de l'interactivité plus poussés, ou encore l'animation des Boos qui sont bien plus vivants dans le 2. La rejouabilité du 2 est excellente pour le score. Et à la même époque que le 1 sur Gamecube, il y avait Grabbed by the Ghoulies de Rare : un jeu beaucoup plus abouti et fourni dans son contenu que le jeu Nintendo, mais qui n'a pas eu droit à tant d'éloges a posteriori. Mais bon, il y a des mystères, comme ça. ^^
Autrement, je ne me suis jamais vraiment senti "seul" dans le 1, pas plus que le 2. Puis au moins, le professeur K. Tastroff est nettement plus drôle dans le 2.
Le 1 reste quand même un jeu très sympa.
Par contre, je n'ai pas compris les reproches sur le fait de mettre un manoir de glace et un manoir de sable : au contraire, ce sont des thèmes tout à fait raccord avec l'horreur, il y a un certain nombre de livres ou films fantastiques qui ont ce genre de décor qui change un peu du gothique européen habituel. Ce sont des décors qui peuvent très bien aller avec le fantastique et l'horreur.
Sinon, hier soir, j'ai terminé Pour la Grenouille Sonne le Glas (ou bien Kaeru no Tame ni Kane wa Naru, mais ce titre japonais à rallonge ne parlera pas à grand monde pour s'en souvenir, et je n'aime pas trop le titre anglais officiel), sur Game Boy (dans sa version japonaise d'origine, je n'ai pas utilisé de patch de traduction).
Bon je viens de finir Dynamite headdy sur Megadrive. Du très bon plateformeur très varié avec des phases de shoot. Le plus impressionnant reste quand même la magnifique DA du jeu qui a vraiment un aspect loufoque. Dans le même style je connais les parodies ou j j squawker qui sont aussi pas mal dans ce genre d'univers. C'est vraiment très rafraîchissant.
Le gameplay est aussi très sympathique, basé sur le fait de changer de tête pour changer de pouvoir ça donne une très bonne variété dans le jeu.
Si j'avais décidé d'y joué c'est un peu grâce à gio qui m'a fait découvrir treasure, ce que je l'en remercierais jamais assez (pour le moment de chez eux je me suis fait dynamite headdy, light crusader et mischief maker. J'ai aussi un peu tâte de gunstat Heroes qui est aussi bon, aucune déceptions, même light crusader qui est le moins apprécié je l'ai préféré à landstalker qui souffre vraiment de cette maniabilité à la mort moi le noeud je comprend pas qu'on l'encense là dessus).
Édit : j'ai aussi fini comix zone dont je parle dans le topic Retro, d'ailleurs je sais jamais dans quel topic mettre quand je finis un jeu rétro car dans le topic dédié au rétro j'ai l'impression que ça a moins de visibilité)
MadWorld, un des seuls jeux que je n'ai jamais fini (un boss m'avait saoulé).
Muramasa était assez cool, notamment ses décors oui.
Pour ma part j'ai fini quelques jeux récemment, mais ça ira vite, très peu de développement pour une fois...
J'ai pourtant beaucoup de chose à dire sur ce jeu... Il y a du bien, il y a du moins bien. J'ai préféré Heavy Rain, mais j'ai passé un bon moment sur ce jeu. Quelques chapitres sont quand-même moins bons (certains même inutiles), notamment la mission "guerilla".
Vraiment sympa, je ne savait pas quoi en penser lors des premiers niveaux. L'ensemble s'est révélé très fun, avec des boss très cools et surtout une sacré ambiance et un sacré univers pour un jeu de plateforme.
Univers très sympa. Malgré le côté Beat'Em All je ne m'attendais absolument pas à ce que ça ressemble à du Resident Evil dans ses mécanismes. Très bon moment.
Aïe aïe aïe je vais me faire des ennemis... Objectivement le jeu mérite une bien meilleure note, que ce soit les graphismes, les niveaux en eux-mêmes, la durée de vie, les zones cachées... Mais j'avoue avoir un peu subi ce jeu, et oui, désolé...
Bon petit jeu de la Megadrive malgré une durée de vie très courte. Les niveaux sont variés, le gameplay change un peu de ce qu'on voit habituellement dans les jeux de plateformes, les graphismes très beaux et colorés, c'était cool !
Un jeu dont je comprends totalement le carton de l'époque, même en le découvrant aujourd'hui... Gameplay irréprochable en vue FPS, personnage charismatiques, doublages de qualité, il y a de très bonnes choses. En revanche on pourra reprocher un manque de variété dans les niveaux (10 missions, dont certaines sont justes les mêmes mais dans l'autre sens... honnêtement j'ai trouvé ça complètement abusé...). Ces derniers sont d'ailleurs bien trop longs !!!!! Gros point noir également sur la dernière séquence de jeu qui gâche tout le reste... Vraiment dommage, on était vraiment pas loin du perfect...
C'était sympathique dirons-nous mais assez répétitif quand-même avec des combats très bofs...
Franchement, malgré la note, c'était cool. Ca a vieilli sur beaucoup de points, notamment le gameplay rigide, mais grosse ambiance à la Alien (grosse inspiration d'ailleurs...).
Si je ne suis pas de retour dans 5 minutes... Attendez plus longtemps !
Twitch : https://www.twitch.tv/zemouchman
Discord : https://discord.gg/Wyt4wsqrum
@La Chouette : Assez d'accord avec toi sur Muramasa. Le jeu a une ambiance incroyable et une direction artistique sublime tout en s'avérant au final assez répétitif.
Sell kids for food
Psychonauts
J'avais envie de le faire depuis un moment, je l'avais acheté pour pas cher sur steam.
Et mes impressions après l'avoir fini se révèlent très positives.
Le jeu est très inventif avec un petit côté Conker's Bad Fur Day à ne jamais vouloir rester sagement en place et balancer des idées en continu. Comme le passage à la deuxième personne lors d'un combat de boss, ou le passage hilarant à dipneustopolis en hommage aux films de kaiju, ou encore le boss "critique" qui balance vraiment des critiques.
L'univers est génial et se renouvelle à chaque exploration d'esprits et avec ses personnages hauts en couleurs avec chacun leur petite personnalité qui les rends attachants.
Et mention spéciale à l'excellent doublage Français avec plein de comédiens de doublage connus et talentueux : Donald Reignoux, Martial le Minoux, Caroline Pascal, Patrick Borg (Son Goku ! ) et bien d'autres. (Par contre le mixage est pourri, même en le changeant dans les options, comme si il n'était pas pris en compte lors de certaines séquences, comme les cinématiques)
Le ton du jeu est d'ailleurs faussement enfantin et traite parfois de thèmes assez sérieux (le harcèlement scolaire par exemple et globalement les traumatismes du passé) et certains personnages cachent une part plus sombre ou tragique.
Le gameplay s'accorde très bien avec tout le reste du jeu, On sent clairement un jeu fait avec passion ou chaque section de l'équipe de développement va dans la même direction que l'autre pour donner un tout homogène, ce qui me faire dire, une fois de plus, qu'un jeu est plus que la somme de ses parties.
Les petits broutilles à reprocher ne sont pas grand chose en comparaison des nombreux points forts mais on peut citer : le gameplay manquant de précision, les cinématiques un peu cra-cra dû à l'âge du jeu.
Un dernier niveau franchement désagréable (escort mission pénible avec PNJ idiot qui fonce dans les ennemis et qui n'arrête pas de hurler + phase de plate-forme où on se prend de plein fouet le manque de précision soulevé + boss à la Hitbox bien foireuse...)
Des soucis techniques avec la version PC : cinématiques étirés en 16/9 et idem pour les menus (un patch non-officiel trouvé sur internet règle ça) et des bugs bloquants si on n'active pas la V-Sync dans les options (!)
Après tout ça, j'ajoute Psychonauts 2 à la liste des jeux que j'attends avec impatience.
Arc : Le Clan des Deimos sur PS2
Bon... Je vais être franc directement, je n'ai pas terminé le jeu car j'ai abandonné au boss final. Si je voulais le battre ça demandait trop de levelling et je n'ai pas eu le courage^^
Ce JRPG a quand même pris son coup de vieux notamment en termes de rythme car il faut être patient que cela soit dans la narration, l'exploration comme les combats (mélangeant tour par tour classique et léger aspect tactique). Pourtant il y a un univers accrocheur, une double-histoire qui se met vraiment bien en place.
Bref le prototype de jeu toujours sympa à faire mais jamais transcendant sur aucun de ses points.
Sell kids for food
J'ai fini mario 3D LAND sur 3DS.
Vraiment un bon mario. Au départ je le trouvais vraiment trop facile mais finalement avec les mondes spéciaux là on a un vrai challenge, c'était très bon.
Point spécial pour ce magnifique rendu 3D. LE level design est très bien pensé pour l'usage sur la 3DS. Mais comme d'hab avec nintendo, y'a les jeux nintendo qui utilisent bien les fonctions de leurs appareils, et le reste ^^
JE me suis aussi fait RE 3 sur PS4.
Franchement je m'attendais à pire. J'étais au courant qu'il manquait des passages du coup là dessus j'étais pas surpris, même si je trouve dégueu qu'ils fassent du pied en montrant la tour de l'horloge avant de finalement faire passer le reste à l'hopital.
Par contre j'ai été vraiment agréablement surpris, c'est sur les points positifs de ce jeu. Le nemesis est très bien rendu, surtout comparé à Mr X où j'avais peur qu'il soit décevant vue les retour sur ce jeu. Toute la première moitié est aussi très sympathique avec les rues de Raccoon city c'est toujours un plaisir d'y faire un tour (c'est ce qui m'avait vraiment plu dans RE 3 sur ps1 que j'avais préféré aux autres RE).
Après dans l'ensemble je dirais qu'il est sympathique, pas autant qu'il aurait pu l'être. Mais je lui préfère largement le jeu sur ps1.
J'ai terminé World of Final Fantasy développé par Square Enix et TOSE sur PS4.
Dans World of Final Fantasy, on dirige deux jeunes ados du nom de Lann et Reynn épaulés par Tama, un myrage refourgué par une certaine Enna Kros. Les myrages sont des monstres équivalents aux pokémons et seront au centre de l'aventure de nos 2 jumeaux.
Pour faire vite, cette étrange Enna Kros s'incruste dans le bar tenu par Lann et Reynn pour leur apprendre qu'ils sont des myramanciens : Des êtres très puissants capables de capturer des myrages et de s'en servir au combat pour protéger Grymoire, le monde d'où ils viennent. Seulement voilà, ni l'un ni l'autre n'est conscient de cette réalité puisqu'ils sont bizarrement devenus amnésiques.
C'est ainsi que nos jeunes compères décident de quitter les Neuf-Fresnaies et de traverser le portail vers Grymoire afin d'en savoir plus sur leurs passés, éventuellement recouvrer la mémoire et peut-être même retrouver leurs parents.
Evidemment la tâche ne sera pas aisée, car le monde de Grymoire est sur le point d'être envahie par les armées de Bahamut...
World of Final Fantasy est un J-RPG tout ce qu'il y a de plus classique avec toutefois 2 originalités propres : Son système de pyramide et comme son nom l'indique, la présence de personnages emblématiques de Final Fantasy.
Le périple sera très très linéaire de bout en bout, on dévie rarement de la progression suivante : village/donjon/village/donjon.... etc...
Les villages sont très très petits et inintéressants : On y trouve quelques PNJs avec lesquelles échanger une ligne de dialogue ou récupérer une quête annexe. Ne cherchez pas à entrer dans les maisons, dans l'auberge ou dans le shop car ce n'est jamais possible : Le seul marchand du jeu est et restera au hub central du jeu : Les Neuf-Fresnaies. L'arrivée à un village signifie souvent un nouveau chapitre, une nouvelle rencontre, une cut-scene et au suivant. Même si il y a quelques coffres cachés ici et là, l'exploration n'est pas de mise dans World of Final Fantasy.
Si les villages représentent souvent juste une avancée dans l'histoire, les donjons ne sont uniquement prétextes à la chasse aux poké... euhh myrages. Car à part ça, c'est le vide en termes de level-design. Si certains apportent une légère nouvelle mécanique par rapport au précédent, d'autres sont de véritables lignes droites (littéralement) uniquement bousculés par les combats aléatoires.
Ajoutez à cela un univers sans identité propre : A savoir que l'on traversera des bons vieux lieux communs comme la forêt, le monde de la glace, les volcans, le désert, la mer... Tout ça d'une manière complètement décousue et dans une non-cohérence assumée.
Donc oui, le coeur du jeu est le système de pyramide en combat, qui va de paire avec la chasse aux myrages :
Si Lann et Reynn peuvent changer de forme et passer en chibi, c'est pour proposer 2 formations différentes pour leurs pyramides respectives. Du coup, ils existent en Grand et en Petit, tout comme les myrages qui sont soit Petit, Moyen ou Grand. Le but sera donc de constituer des pyramides à l'aide d'un petit myrage, sur la tête d'un myrage moyen, lui-même sur la tête de Reynn version "gigantus" (appellation d'humains taille normale dans le monde de Grymoire).
Pas question ici d'équipements, d'armures, d'épées, de boucliers etc etc... Non, toutes les caractéristiques se modifient en fonction des myrages choisis pour la pyramide. Donc, par exemple, si vous savez que vous allez traverser un monde de feu, formez votre pyramide avec des myrages d'eau... Simple, basique.
Et concernant les myrages, il y a de quoi faire car non seulement ils sont nombreux, mais en plus ils peuvent évoluer ! Ils ont chacun un sphérier de compétences à débloquer en montant de niveau (il faut avoir le myrage avec soi) et il ne faut surtout pas hésiter à changer ses formations après chaques donjons. D'où un menu-ing assez important tout au long du titre.
Si vous capturez tous les myrages d'une zone (seul intérêt des donjons) et si vous faites les bons choix pour vos pyramides, le jeu sera une promenade de santé jusqu'à la fin.
Le système de combat ressemble à celui de Child of Light ou Grandia : Le curseur de vos personnages et des adversaires avance sur une ligne de temps, sa vitesse dépendant des caractéristiques de chacun, votre tour arrive lorsque ce curseur arrive au bout. Là vous aurez accès à l'attaque, les objets, les compétences correspondant aux myrages dans votre pyramide et bien évidemment à la capture.
Avant de pouvoir capturer un myrage, il faut d'abord le faire tomber de sa pyramide si il en fait partie. Puis, les conditions de capture vous seront indiqués grâce à la compétence Acuité (indispensable). Quelques exemples : Il faudra peut-être simplement l'affaiblir, ou lui infliger des dégâts de feu, altérer son état, lui donner un coup critique... etc... etc... Vous ne pourrez probablement pas attraper certains myrages à la première rencontre, nécéssitant peut-être une compétence, un objet que vous ne possédez pas sur le coup ou même un niveau bien supérieur de vos personnages.
En plus de ces myrages petit, moyen ou grand, vous pourrez aussi capturer des "Ex". Les Ex sont des myrages plus difficiles à obtenir mais plus puissants qu'il faudra invoquer car impossible à positionner à la base d'une pyramide. Ils seront jouables contrairement aux "sauveurs" qui, eux, n'interviendront que le temps d'une attaque dévastatrice.
Mais qui sont ces "sauveurs" ? Et bien j'y viens : Ce sont les personnages que l'on connaît venant de différents opus de Final Fantasy.
Au fil des chapitres, ils interviendront pour aider les jumeaux dans leur quête ou simplement pour le clin d'oeil avant de pouvoir être appelés en combats. Autant être honnête, la plu-value d'intégrer ces figures mythiques n'apporte finalement pas plus de profondeur scénaristique, mais un simple fan-service. Ce qui est dommage pour un jeu qui s'appelle "World of Final Fantasy".
On se baladera aussi dans des lieux connus en écoutant des thèmes remixés de la saga de Square. Alors oui, parfois il y a des mélanges d'univers plutôt cocasses comme le château de Figaro (FFVI) se déplaçant dans le désert grâce aux réacteurs mako (FFVII), mais ça ne va jamais plus loin que ça et d'ailleurs je spoil le meilleur exemple. Il faut aussi savoir que tout ce petit monde est en chibi, donc même si les attaques des sauveurs sont assez impressionnantes visuellement, elles perdent quand même en classe à cause de ça. Mais là, c'est le parti pris du jeu, chacun jugera selon ses goûts.
On reconnaîtra aussi bien évidemment le bestiaire, les chocobos seront évidemment présents, les pampas, les morbols... etc...
Le problème majeur que je trouve à ce J-RPG, c'est son manque de personnalité et surtout le manque d'invitation au voyage : Quelque part c'est logique, à vouloir saupoudrer du FFIII ici et du FFX là, on obtient une mixture bancale et amenée là, comme un cheveu sur la soupe. L'idée de départ semble foireuse et se démontre dans une progression ultra hâchée, où l'on fait ses déplacements à partir d'une liste, quoi de plus impersonnel ?
En parlant de liste, "la jeune fille au nom oublié" (je sais pas si elle vient d'un FF) vous en soumettra une, avec pléthore de quêtes annexes. L'occasion de retrouver nos anciens héros pour de petites saynètes suivis d'un combat. On retiendra l'effort de proposer un mini scénario et une mise en scène pour chacune de ces quêtes, mais la triste vérité, c'est qu'on s'en fout généralement.
Le pire dans tout ça, c'est que quand vous avez terminé tous les donjons du jeu et donc le voyage : Certaines quêtes principales viendront s'intercaler dans cette même liste ! Oui il y a une "excuse" scénaristique à ce comble, mais peu convaincante.
World of Final Fantasy s'avère être un J-RPG sympathique, car tout de même agréable à jouer. On sent le savoir-faire de Square Enix derrière via les nombreuses cut-scenes. A ce propos, l'humour est omniprésent et le calembour fuse à la moindre occasion, il faut s'accrocher. Lann comprend constamment tout ce qu'on lui dit de travers, et sa soeur Reynn le remet toujours en place. La localisation française se permet même de placer des références ici et là : Ne soyez pas choqués d'y voir la célèbre phrase d'une Nabilla, ouep... Le titre se veut très enfantin dans ses cinématiques, ses dialogues. Très "mignons" dans son enrobage coloré, sa D.A. minimaliste et ses persos en chibi. N'y voyez pas d'exploit technique, World of Final Fantasy n'a pas plus d'ambition que d'être très propre mais souffre quand même d'un léger aliasing.
Quant au scénario, Square Enix nous pond là un background plutôt riche et même confusant à base de prophéties diverses. Malgré un lot d'informations utiles mais surtout inutiles, on a, comme les personnages, l'envie d'en savoir plus sur eux-mêmes mais aussi sur l'intentions des vilains et qui ils sont.
Ce n'est pas forcément un jeu que je conseille, même aux fans de Final Fantasy. Car même s'il n'est pas mauvais, il faut être conscient qu'il est surtout un jeu de chasse aux monstres sans aucune dimension épique et non ouvert sur l'exploration, les zones étant trop "fermés" pour ça.
Mais si vous n'êtes pas trop exigeant et qu'un RPG mignon et pas difficile vous tente, pourquoi pas ?
From Dust sur PS3
Le mode histoire uniquement. Le mode défis j'ai testé un peu mais ça ne m'a pas scotché. J'ai globalement bien aimé ce mélange de God game et de jeu de réflexion. La progression est vraiment bien faîte pour avoir les pouvoirs et possibilités au fur et à mesure. Y a un côté assez joussif de modeler une terre selon nos envies et les besoins de notre peuple fonctionnant plutôt bien. Les seuls bémols sont le pathfinding des membres de la tribu et la caméra pas toujours optimale, surtout quand il faut virer de l'eau pour construire un village. Si techniquement le jeu n'est pas fou en ce qui concerne la qualité des textures comme les animations, il est bien plus intéressant dans la gestion des différentes matières avec lesquelles on doit interagir.
Bref, j'ai passé de bons moments dessus notamment les passages où l'on doit lutter contre les éléments (ainsi que la montre) pour créer les villages puis les protéger.
Sell kids for food
Luigi's Mansion 2
C'était moyen, franchement moins bon que le premier je trouve.
Le jeu se perd un peu dans des trucs qui n'ont pas grand chose à faire ici.
Je vois Luigi's Mansion comme une sorte de parodie de survival horror, particulièrement du premier Resident Evil (manoir, lieux à débloquer, ambiance horrifique, backtracking etc...), donc mettre du scoring, bof.
Pareil pour le découpage en missions, ça casse le rythme et l’exploration.
Idem pour la multiplicité des manoirs, un seul bien designé ça me semble bien plus intéressant dans le genre que 5 petits. Surtout si c'est pour nous mettre un manoir de glace (!) et du "désert", c'est déjà souvent cliché de faire ça dans des jeu aux ambiances plus classiques, mais là en plus l'ambiance devrait se démarquer en "fausse-horreur", donc ça n'a rien à faire ici.
Et le professeur "Kass Burnes" qui nous interromps toutes les deux minutes pour nous dire un truc inutile, "mais TA GUEULE", qu'est-ce que ce personnage est pénible... En plus ça casse le sentiment de solitude.
Reste que le gameplay est chouette, même si comme dans le premier c'est parfois difficile de voir si on oriente bien l'aspirateur ou la lampe.
Les animations sont toujours impressionnantes et l'humour de manière générale fonctionne bien.
Terminator : Resistance
Un bonbon sympathique si on aime les deux premiers films Terminator.
Pour un jeu tiré de licence de film ça s'en sort plutôt bien.
Les développeurs ont parfaitement su retranscrire l'ambiance (dans le futur post-apo) et c'est le plus gros point fort du jeu, on s'y croirait avec les couleurs très bien choisies, les designs respectueux et les musiques sorties des films (des frissons par moment !) qui sont bien utilisées.
D'ailleurs le fan-service est bien dosé, ça n'en fait pas des caisses, mais ça sait joué du clin d'oeil quand il faut :p . Le seul truc qui me chagrine à ce niveau c'est l'absence du
Le jeu est franchement respectueux de la licence, on sent que c'est fait par des gens qui voulait rendre honneur et pas lâcher simplement un produit, en plus le scénario ne me semble pas rentrer en contradiction avec les deux premiers films (les suites on s'en fout hein :p )
La narration est (relativement) soigné, les personnages sont assez étonnements travaillé, ça ne vole pas hyper haut non plus, mais ils n'ont pas fait ça à l'arrache, ça fait plaisir. Il y a d'ailleurs des relations à entretenir, qui donne un côté The Walking Dead de Telltale.
Pour le gameplay je suis plus mitigé, c'est classique et plutôt efficace, mais ça fait une espèce de pot-pourri d'emprunt à droite à gauche, notamment dans l'immersive sim : niveaux, xp, points de compétences, arbres de talents, infiltration, piratage, crochetage (identique au jeux Bethesda !)
Les armes manquent clairement de pêche au niveau des sensations, c'est quand même con pour un FPS.
Pareil pour les niveaux, certains sont un peu ouverts et on explore, ils sont très chouettes et d'autres sont une ligne droite de bourrinage, eux sont à chier.
Le jeu n'as pas énormément de moyen, il n'a ni l'ambition d'un AAA ni sa technique (et ne prétend pas le contraire !)
Et si on n'est pas sensible à la licence Terminator, il reste seulement un FPS moyen. Vu que j'aime beaucoup les deux films de James Cameron, ça m'a fait plaisir de le faire.
Streets of Kamurocho
Sorti à l'occasion d'un récent anniversaire de Sega (je ne sais plus le combien et je m'en tape), c'est un Streets of Rage se déroulant dans l'univers de Yakuza, et c'est gratuit.
Mais ce n'est pas parce que c'est gratuit qu'il faut tout pardonner, j'ai pas perdu d'argent mais du temps (bon pas beaucoup non plus vu la durée de vie :p)
C'est un bête re-skin de Streets of Rage 2, l'apparence des persos jouables change, pareil pour celle des ennemis, des objets ramassables et quelques noms sur les bâtiments.
En dehors de ça c'est pareil, le gameplay est identique à Streets of Rage 2, les bruitages sont exactement les mêmes, les paterns ennemis idem...
Mais le pire c'est que c'est une version tronqué de Streets 2, il n'y a que le premier stage...
Donc si on aime Yakuza c'est rigolo quelques minutes pour les clins d'oeils, sinon ça ne vaut pas le coup d'y jouer, autant jouer au vrai Streets 2.
Je suis un peu méchant pour un truc gratuit, mais c'était quand même décevant que voulez vous...
Vraiment étrange, cette popularité du tout premier Luigi's Mansion, alors qu'il est largement en-dessous du 2 (pas fait le 3) : on sent trop le "jeu apéritif pour attendre le prochain Mario". Le level-design du 2 enfonce celui du premier, sans parler des mécanismes et de l'interactivité plus poussés, ou encore l'animation des Boos qui sont bien plus vivants dans le 2. La rejouabilité du 2 est excellente pour le score. Et à la même époque que le 1 sur Gamecube, il y avait Grabbed by the Ghoulies de Rare : un jeu beaucoup plus abouti et fourni dans son contenu que le jeu Nintendo, mais qui n'a pas eu droit à tant d'éloges a posteriori. Mais bon, il y a des mystères, comme ça. ^^
Autrement, je ne me suis jamais vraiment senti "seul" dans le 1, pas plus que le 2. Puis au moins, le professeur K. Tastroff est nettement plus drôle dans le 2.
Le 1 reste quand même un jeu très sympa.
Par contre, je n'ai pas compris les reproches sur le fait de mettre un manoir de glace et un manoir de sable : au contraire, ce sont des thèmes tout à fait raccord avec l'horreur, il y a un certain nombre de livres ou films fantastiques qui ont ce genre de décor qui change un peu du gothique européen habituel. Ce sont des décors qui peuvent très bien aller avec le fantastique et l'horreur.
Sinon, hier soir, j'ai terminé Pour la Grenouille Sonne le Glas (ou bien Kaeru no Tame ni Kane wa Naru, mais ce titre japonais à rallonge ne parlera pas à grand monde pour s'en souvenir, et je n'aime pas trop le titre anglais officiel), sur Game Boy (dans sa version japonaise d'origine, je n'ai pas utilisé de patch de traduction).
Vraiment excellent, l'un des meilleurs jeux que j'ai faits sur Game Boy. Plus de détails là-bas : https://www.hooper.fr/forums/consoles-portables/game-boy-pour-la-grenouille-sonne-le-glas-kaeru-no-tame-ni-kane-wa-naru#comment-1675386