Haaa Bioshock 2. Qu'est ce que j'ai adoré l'attraction qui présente la ville et aussi le fait de pouvoir se préparer à des attaques ennemies quand on récolte de l'ADAM (il me semble) où on se met au bon endroit en préparant des pièges...
Bon, parce que cette année je me suis donné la mission de terminer tous mes jeux PS4 non finis (voire non entamés pour certains), je me suis retroussé les mains et j'ai enchainé Shadow of The Colossus et The Last Guardian.
Pour Shadow of the Colossus, j'avais déjà essayé la version PS2 fut un temps, jadis, mais comme c'était un exemplaire emprunté a un ami juste histoire de tester, j'étais allé que jusqu'au 4e colosse avant de devoir le rendre. Donc là j'ai profité du remake PS4 qu'on m'a offert à Noel 2018 qui prenait impardonnablement la poussière depuis, pour réparer ça.
Verdict bah, comme beaucoup j'ai complètement été charmé. Y'a bien 1 ou 2 colosses pas super ouf mais rien de quoi entâcher un magnifique tableau général. Un jeu que je referai très certainement, sans mal. Si je devais donner une note aproximative, au moins un 8, probablement un 9/10.
...CONTRAIREMENT à The Last Guardian, où une seule fois m'a amplement suffit, pour au moins 10 bonnes années, haha. Bon, je vais pas y aller par 4 chemins, je me suis fait chier. Et pourtant, j'admire quand même la volonté de faire quelque chose de différent, une expérience assez unique. Avec un Trico tantôt irritant, tantôt adorablement attachant. Mais voila, même si j'admire la beauté du truc, je me suis quand même ressenti de la frustration la moitié du temps. Lui ce serait plus du 6/10 au mieux.
The Last Guardian, où une seule fois m'a amplement suffit, pour au moins 10 bonnes années, haha. Bon, je vais pas y aller par 4 chemins, je me suis fait chier. Et pourtant, j'admire quand même la volonté de faire quelque chose de différent, une expérience assez unique. Avec un Trico tantôt irritant, tantôt adorablement attachant. Mais voila, même si j'admire la beauté du truc, je me suis quand même ressenti de la frustration la moitié du temps. Lui ce serait plus du 6/10 au mieux.
Je viens de finir ghouls'n ghost sur megadrive mini et comment dire... C'est pratiquement tous ce que j'aime.
Au premier abord on pourrait le croire plus dure qu'un Castlevania IV par exemple. Mais franchement, chaque niveau peut être passé assez facilement voir tres facilement, une fois qu'on a trouvé une technique.
Le boss Ohme (celui avec les vers qui sortent du corps ) est par contre pour moi le passage le plus difficile du jeu. J'ai galéré quand même. La première fois comme la deuxième !
OST de grande qualité, level design très réussi, difficulté plutôt bien gérée ( sauf peut etre sur les boss ou l'on peut passer d'un boss difficile a un boss que l'on first try ).
Le gameplay est réussi notamment grâce au système d'upgrate d'armure qui nous permet d'avoir une super attaque différente pour chaque arme.
La maniabilité et quand a elle, plutôt bonne, mais les sauts restent quand même tres rigide. Plus que dans Castlevania IV je dirais.
Au final, si je dois le comparaître a un grand jeu de platforme comme Castlevania IV que j'ai torché plus d'une fois ( oui je sais, le mieux serait de le comparaître a un super ghouls'n ghost ou a ghost'n goblins mais je ne les aient pas fait loul XD ) Je dirais que je préfère quand même Castlevania IV sur quasiment tout les points.
L'OST avec plus de théme mythique sur Super Castlevania IV. la qualité du level design est pour moi superieur sur SC IV avec les effets de rotation de certaines plateformes... La DA d'ailleur me parle plus dans SC IV que dans Ghouls'n Ghost.
En revanche, la plus part des boss, voir tous, sont plus intéressant du coté de Ghouls'n Ghost que SC IV Sauf pour le boss de fin ou Dracula est bien superieur a Lucifer.
A noter quand même que SC IV est sortie 3 ans apres Ghouls'n Ghost faut pas l'oublié non plus
Au final, le jeu me donne vraiment envie de me faire super Ghouls'n Ghost ainsi que Ghost 'n Goblins.
Beyond Good and Evil sur PS3
Version HD donc. Seconde fois que je faisais le jeu, et c'était un plaisir de retrouver son univers original, ses personnages attachants, sa musique sublime et son gameplay varié. C'est vraiment un titre à part, certes imparfait, mais il dispose d'un tel supplément d'âme je trouve...
Entre deux bourre-pifs sur Sekiro, j'ai fait le diptyque Kane & Lynch de chez IO Interactive (les devs de la série Hitman).
Le but évident de ces deux jeux est d'essayer de faire vivre au joueur une expérience qui nous immerge dans les films de Michael Mann, et plus particulièrement Heat et Collateral.
Alors, qu'est-ce que ça vaut ? (2 balles pour les 2 jeux, en vrai, mais là n'est pas la question ^^)
Kane & Lynch : Dead Men
Des deux jeux, c'est clairement celui-ci qui copie le plus les films de Mann. Et, il faut le dire, ce n'est pas désagréable de se retrouver à jouer ces moments de cinéma ^^
Et pif paf pouf, je m'évade de prison en shootant des flics sur l'autoroute, bim et vlan, je vis une fusillade en plein milieu du centre ville après avoir braqué une banque, et ratatatata, je défonce des vigiles au milieu de la foule dans une boîte de nuit, tout ceci est assez rigolo, on ne va pas se mentir.
Alors on accepte le gameplay un peu mou et pas folichon et le scénario aux personnages simplistes et caricaturaux. Après tout, bon, on s'amuse quand même.
Et puis... je ne sais pas ce qui se passe mais d'un coup, le jeu nous dit que, non, ce n'est plus un polar urbain mais un jeu de guerre.
On se retrouve donc à La Havane avec un fusil d'assaut et des grenades et on doit dérouiller du guérillero à la pelle. Et. C'est. Nul.
Mais alors... Nuuuuuuuuuul :D
Le dernier tiers du jeu est une purge assez hallucinante, tous les défaut de gameplay nous sautent à la tronche, c'est d'une répétitivité sans nom, c'est moche, c'est sans intérêt, la fin est torchée de chez torchée, Nom de Dieu de bordel, comment tu fais pour autant rater la fin de ton jeu, hein, dis donc, Jamy ?!
Bref, un jeu moyen mais sympathique qui devient une grosse purge dans son dernier tiers.
Heureusement, ça se termine en 4 ou 5 heures environ.
Kane & Lynch 2 : Dog Days
Alors cet épisode m'intriguait pour une raison très particulière : son visuel.
Là où Dead Men restait assez classique à ce niveau, Dog Days décide d'embrasser à fond le côté found footage et caméra épaule et propose donc un rendu assez radical... qui est parfois digne du gerbotron, on ne va pas se mentir (quand on sprint, c'est assez hardcore à quel point la caméra part dans tous les sens) :D
Pourtant, ce rendu donne au jeu une certaine personnalité, un petit truc en plus assez immersif, il faut bien le dire.
Et côté narration, c'est pareil : les devs ont décidé de jouer à fond le côté morcelé, de vraiment faire comme si la caméra s'allume et s'éteint et n'enregistre que des instants, des bribes. Ainsi, on n'a pas toutes les infos, on ne sait pas toujours exactement ce qu'on fait là et tout ça mêlé au rendu visuel ainsi qu'à l'hystérie permanente des personnages donne un sentiment d'urgence, une tension permanente qui fonctionne plutôt bien. Alors par contre, c'est assez brutal en terme de narration et la fin, par exemple, est vraiment très très très abrupte ^^
Contrairement au premier épisode, celui-ci propose moins de scènes iconiques inspirées des films de Mann (à part la dernière mission, très inspirée du final de Heat) mais l'avantage, là encore, c'est que ça lui permet d'avoir plus d'identité.
Côté scénario, c'est toujours un peu nul mais c'est quand même un peu mieux écrit. Et c'est d'une violence tellement excessive que ça en devient presque drôle :D
Le gameplay reste moyen et se paie le luxe d'être moins complet que celui du premier opus (plus de CAC ni de grenades) mais les sensations de jeux sont plus agréables donc, au final, c'est quand même mieux, manette en main.
En clair, c'est pas génial non plus, mais c'est mieux que le premier ^^
Et, là aussi, ça se termine en environ 4 ou 5 heures.
Je pense qu'il y avait un certain potentiel avec cette série et un troisième opus qui aurait mélangé les qualités des deux premiers aurait pu faire un bon petit TPS urbain et cinématographique. Malheureusement, on sent fort l'inexpérience du studio dans ce genre de jeu ce qui donne ce diptyque assez médiocre. Dommage.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
Fait en 2016, refait cette semaine avec toujours un sentiment global mitigé.
- Le scénario: pour ma part, il peut être découpé en 3 parties. Le début m'a bien plu avec cette histoire de jeune femme mystérieuse à retrouver et à sauver. C'est classique mais moi pour un jeu vidéo ça me suffit. On bascule dans le WTF à la moitié du jeu avec cette histoire de
Spoiler ▼▲
réalités parallèles
. Puis la fin, qui a tant fait couler d'encre et a tant divisé à l'époque, est pour moi ratée car inutilement beaucoup trop complexe et alambiquée. Cela n'a aucun sens, ça n'a ni queue ni tête et c'est bourré d'incohérences. En même temps le thème est tellement casse-gueule...
- La DA est évidemment l'énorme point fort du jeu. Columbia est juste sublime; à l'instar de Rapture on voit bien que la ville a été hyper travaillée. La technique est un peu à la ramasse mais c'est compensé par une esthétique parfaite, des couleurs et des jeux de lumières splendides. Mais surtout, et ça je l'ai rarement lu sur le topic du jeu, moi j'ai particulièrement apprécié l'aspect évolutif de l'ambiance / atmosphère de la ville. Au début c'est magnifique, il fait super beau, Columbia s'avère hyper accueillante, puis on s'aperçoit très vite qu'il y a un truc malsain derrière tout ça. Progressivement l'environnement deviendra plus sombre, avec des teintes rougeâtres, on va plonger dans la violence puis carrément dans une
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ambiance d'Apocalypse
, à tel point que cela devient carrément oppressant, étouffant lorsqu'on se rapproche du dénouement. Alors que, souvenez-vous, Rapture avait la même gueule du début à la fin. Forcément, en même temps la météo au fond de l'océan, voilà quoi ^^
- L'exploration est sympa, avec un petit bémol. Le jeu alterne intelligemment les phases "couloir" contemplatives, les vastes zones ouvertes à explorer (mention spéciale pour moi au quartier de l'armurerie, j'ai adoré) et les gunfights en arène. Le petit hic c'est que le loot est omniprésent, on passe notre temps à fouiller des poubelles, des armoires et des bureaux, et ça au bout de 10 heures c'est chiant.
- Le gameplay en combat: mitigé. Les toniques sont sympas et variées, elles offrent pas mal de combinaisons possibles (entre elles et avec les armes classiques) même si je ne me suis servi que de Possession, l'électro-quartz et le baiser du Diable. Je referai peut-être une partie un jour en m'interdisant d'utiliser ces trois-là tiens. L'aérotram est clairement un plus, il rend les combats un peu plus nerveux et permettent des possibilités stratégiques variées. Les armes sont classiques, surtout dans leur design, mais efficaces avec des sensations correctes, et perso j'ai abusé du fusil à pompe loul. Ah et moi j'accorde une grande importance aux bruitages dans les jeux, et j'ai kiffé le son du pompe, un gros BANG bien sonore comme il faut. Parce que dans le premier Bioshock, le son du pompe était foiré car trop sourd et pas assez fort, bref.
- Enfin, Elizabeth. C'est vraiment cool car elle n'est pas du tout un boulet, elle ne nous gêne pas et même elle nous aide en nous filant médikits, cristaux et munitions toujours à bon escient pendant les combats.
Voilà, donc en gros j'ai passé un bon moment mais c'est pas plus de 14-15 pour moi ^_^
Haaa Bioshock 2. Qu'est ce que j'ai adoré l'attraction qui présente la ville et aussi le fait de pouvoir se préparer à des attaques ennemies quand on récolte de l'ADAM (il me semble) où on se met au bon endroit en préparant des pièges...
Sell kids for food
Bon, parce que cette année je me suis donné la mission de terminer tous mes jeux PS4 non finis (voire non entamés pour certains), je me suis retroussé les mains et j'ai enchainé Shadow of The Colossus et The Last Guardian.
Pour Shadow of the Colossus, j'avais déjà essayé la version PS2 fut un temps, jadis, mais comme c'était un exemplaire emprunté a un ami juste histoire de tester, j'étais allé que jusqu'au 4e colosse avant de devoir le rendre. Donc là j'ai profité du remake PS4 qu'on m'a offert à Noel 2018 qui prenait impardonnablement la poussière depuis, pour réparer ça.
Verdict bah, comme beaucoup j'ai complètement été charmé. Y'a bien 1 ou 2 colosses pas super ouf mais rien de quoi entâcher un magnifique tableau général. Un jeu que je referai très certainement, sans mal. Si je devais donner une note aproximative, au moins un 8, probablement un 9/10.
...CONTRAIREMENT à The Last Guardian, où une seule fois m'a amplement suffit, pour au moins 10 bonnes années, haha. Bon, je vais pas y aller par 4 chemins, je me suis fait chier. Et pourtant, j'admire quand même la volonté de faire quelque chose de différent, une expérience assez unique. Avec un Trico tantôt irritant, tantôt adorablement attachant. Mais voila, même si j'admire la beauté du truc, je me suis quand même ressenti de la frustration la moitié du temps. Lui ce serait plus du 6/10 au mieux.
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks
Je viens de finir ghouls'n ghost sur megadrive mini et comment dire... C'est pratiquement tous ce que j'aime.
Au premier abord on pourrait le croire plus dure qu'un Castlevania IV par exemple. Mais franchement, chaque niveau peut être passé assez facilement voir tres facilement, une fois qu'on a trouvé une technique.
Le boss Ohme (celui avec les vers qui sortent du corps ) est par contre pour moi le passage le plus difficile du jeu. J'ai galéré quand même. La première fois comme la deuxième !
OST de grande qualité, level design très réussi, difficulté plutôt bien gérée ( sauf peut etre sur les boss ou l'on peut passer d'un boss difficile a un boss que l'on first try ).
Le gameplay est réussi notamment grâce au système d'upgrate d'armure qui nous permet d'avoir une super attaque différente pour chaque arme.
La maniabilité et quand a elle, plutôt bonne, mais les sauts restent quand même tres rigide. Plus que dans Castlevania IV je dirais.
Au final, si je dois le comparaître a un grand jeu de platforme comme Castlevania IV que j'ai torché plus d'une fois ( oui je sais, le mieux serait de le comparaître a un super ghouls'n ghost ou a ghost'n goblins mais je ne les aient pas fait loul XD )
Je dirais que je préfère quand même Castlevania IV sur quasiment tout les points.
L'OST avec plus de théme mythique sur Super Castlevania IV. la qualité du level design est pour moi superieur sur SC IV avec les effets de rotation de certaines plateformes... La DA d'ailleur me parle plus dans SC IV que dans Ghouls'n Ghost.
En revanche, la plus part des boss, voir tous, sont plus intéressant du coté de Ghouls'n Ghost que SC IV Sauf pour le boss de fin ou Dracula est bien superieur a Lucifer.
A noter quand même que SC IV est sortie 3 ans apres Ghouls'n Ghost faut pas l'oublié non plus
Au final, le jeu me donne vraiment envie de me faire super Ghouls'n Ghost ainsi que Ghost 'n Goblins.
Et encore, tu joues à la version inférieure : sur Arcade, le jeu est transfiguré ! :-)
Pour moi, le meilleur épisode de la série (même si je n'ai pas encore joué à Ultimate Ghosts'n Goblins sur PSP).
Trois ans, plutôt.
Ha oui, je suis aller vérifier et tu as raison il est sortie en 1991. De memoire pour moi c'etait 93.
/!\ La précision de M. Rudolf ! heureusement qu'il veille au grain :p
Beyond Good and Evil sur PS3
Version HD donc. Seconde fois que je faisais le jeu, et c'était un plaisir de retrouver son univers original, ses personnages attachants, sa musique sublime et son gameplay varié. C'est vraiment un titre à part, certes imparfait, mais il dispose d'un tel supplément d'âme je trouve...
Sell kids for food
Ouais, c'est totalement ça, les ennemis qui sont aveugles et yep, c'est bien pendant les récoltes d'ADAM qu'ils débarquent comme des toxicomans.
Entre deux bourre-pifs sur Sekiro, j'ai fait le diptyque Kane & Lynch de chez IO Interactive (les devs de la série Hitman).
Le but évident de ces deux jeux est d'essayer de faire vivre au joueur une expérience qui nous immerge dans les films de Michael Mann, et plus particulièrement Heat et Collateral.
Alors, qu'est-ce que ça vaut ? (2 balles pour les 2 jeux, en vrai, mais là n'est pas la question ^^)
Kane & Lynch : Dead Men
Des deux jeux, c'est clairement celui-ci qui copie le plus les films de Mann. Et, il faut le dire, ce n'est pas désagréable de se retrouver à jouer ces moments de cinéma ^^
Et pif paf pouf, je m'évade de prison en shootant des flics sur l'autoroute, bim et vlan, je vis une fusillade en plein milieu du centre ville après avoir braqué une banque, et ratatatata, je défonce des vigiles au milieu de la foule dans une boîte de nuit, tout ceci est assez rigolo, on ne va pas se mentir.
Alors on accepte le gameplay un peu mou et pas folichon et le scénario aux personnages simplistes et caricaturaux. Après tout, bon, on s'amuse quand même.
Et puis... je ne sais pas ce qui se passe mais d'un coup, le jeu nous dit que, non, ce n'est plus un polar urbain mais un jeu de guerre.
On se retrouve donc à La Havane avec un fusil d'assaut et des grenades et on doit dérouiller du guérillero à la pelle. Et. C'est. Nul.
Mais alors... Nuuuuuuuuuul :D
Le dernier tiers du jeu est une purge assez hallucinante, tous les défaut de gameplay nous sautent à la tronche, c'est d'une répétitivité sans nom, c'est moche, c'est sans intérêt, la fin est torchée de chez torchée, Nom de Dieu de bordel, comment tu fais pour autant rater la fin de ton jeu, hein, dis donc, Jamy ?!
Bref, un jeu moyen mais sympathique qui devient une grosse purge dans son dernier tiers.
Heureusement, ça se termine en 4 ou 5 heures environ.
Kane & Lynch 2 : Dog Days
Alors cet épisode m'intriguait pour une raison très particulière : son visuel.
Là où Dead Men restait assez classique à ce niveau, Dog Days décide d'embrasser à fond le côté found footage et caméra épaule et propose donc un rendu assez radical... qui est parfois digne du gerbotron, on ne va pas se mentir (quand on sprint, c'est assez hardcore à quel point la caméra part dans tous les sens) :D
Pourtant, ce rendu donne au jeu une certaine personnalité, un petit truc en plus assez immersif, il faut bien le dire.
Et côté narration, c'est pareil : les devs ont décidé de jouer à fond le côté morcelé, de vraiment faire comme si la caméra s'allume et s'éteint et n'enregistre que des instants, des bribes. Ainsi, on n'a pas toutes les infos, on ne sait pas toujours exactement ce qu'on fait là et tout ça mêlé au rendu visuel ainsi qu'à l'hystérie permanente des personnages donne un sentiment d'urgence, une tension permanente qui fonctionne plutôt bien. Alors par contre, c'est assez brutal en terme de narration et la fin, par exemple, est vraiment très très très abrupte ^^
Contrairement au premier épisode, celui-ci propose moins de scènes iconiques inspirées des films de Mann (à part la dernière mission, très inspirée du final de Heat) mais l'avantage, là encore, c'est que ça lui permet d'avoir plus d'identité.
Côté scénario, c'est toujours un peu nul mais c'est quand même un peu mieux écrit. Et c'est d'une violence tellement excessive que ça en devient presque drôle :D
Le gameplay reste moyen et se paie le luxe d'être moins complet que celui du premier opus (plus de CAC ni de grenades) mais les sensations de jeux sont plus agréables donc, au final, c'est quand même mieux, manette en main.
En clair, c'est pas génial non plus, mais c'est mieux que le premier ^^
Et, là aussi, ça se termine en environ 4 ou 5 heures.
Je pense qu'il y avait un certain potentiel avec cette série et un troisième opus qui aurait mélangé les qualités des deux premiers aurait pu faire un bon petit TPS urbain et cinématographique. Malheureusement, on sent fort l'inexpérience du studio dans ce genre de jeu ce qui donne ce diptyque assez médiocre. Dommage.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Bioshock Infinite sur PS3.
Fait en 2016, refait cette semaine avec toujours un sentiment global mitigé.
- Le scénario: pour ma part, il peut être découpé en 3 parties. Le début m'a bien plu avec cette histoire de jeune femme mystérieuse à retrouver et à sauver. C'est classique mais moi pour un jeu vidéo ça me suffit. On bascule dans le WTF à la moitié du jeu avec cette histoire de
- La DA est évidemment l'énorme point fort du jeu. Columbia est juste sublime; à l'instar de Rapture on voit bien que la ville a été hyper travaillée. La technique est un peu à la ramasse mais c'est compensé par une esthétique parfaite, des couleurs et des jeux de lumières splendides. Mais surtout, et ça je l'ai rarement lu sur le topic du jeu, moi j'ai particulièrement apprécié l'aspect évolutif de l'ambiance / atmosphère de la ville. Au début c'est magnifique, il fait super beau, Columbia s'avère hyper accueillante, puis on s'aperçoit très vite qu'il y a un truc malsain derrière tout ça. Progressivement l'environnement deviendra plus sombre, avec des teintes rougeâtres, on va plonger dans la violence puis carrément dans une
- L'exploration est sympa, avec un petit bémol. Le jeu alterne intelligemment les phases "couloir" contemplatives, les vastes zones ouvertes à explorer (mention spéciale pour moi au quartier de l'armurerie, j'ai adoré) et les gunfights en arène. Le petit hic c'est que le loot est omniprésent, on passe notre temps à fouiller des poubelles, des armoires et des bureaux, et ça au bout de 10 heures c'est chiant.
- Le gameplay en combat: mitigé. Les toniques sont sympas et variées, elles offrent pas mal de combinaisons possibles (entre elles et avec les armes classiques) même si je ne me suis servi que de Possession, l'électro-quartz et le baiser du Diable. Je referai peut-être une partie un jour en m'interdisant d'utiliser ces trois-là tiens. L'aérotram est clairement un plus, il rend les combats un peu plus nerveux et permettent des possibilités stratégiques variées. Les armes sont classiques, surtout dans leur design, mais efficaces avec des sensations correctes, et perso j'ai abusé du fusil à pompe loul. Ah et moi j'accorde une grande importance aux bruitages dans les jeux, et j'ai kiffé le son du pompe, un gros BANG bien sonore comme il faut. Parce que dans le premier Bioshock, le son du pompe était foiré car trop sourd et pas assez fort, bref.
- Enfin, Elizabeth. C'est vraiment cool car elle n'est pas du tout un boulet, elle ne nous gêne pas et même elle nous aide en nous filant médikits, cristaux et munitions toujours à bon escient pendant les combats.
Voilà, donc en gros j'ai passé un bon moment mais c'est pas plus de 14-15 pour moi ^_^
- Rien n'est sûr, tout est possible -