Sociétés secrètes, théories du complot et secrets d'états

Voici, pour l'anecdote complotiste, mais tout à fait pertinente et justifiée, le témoignage d'un ancien haut cadre des services de securite intérieure tunisiens :

LE COUP D'ETAT DU 14 JANVIER : 10 QUESTIONS A JOHN WAYNE (1)JOHN WAYNE| 15-01-2018 16:33

Q-1 : Qu'est ce qui a poussé le Président Ben Ali a quitter la Tunisie le 14 Janvier 2011 ?
JW : Je suis le premier au monde à avoir dévoilé sur Business News que le Président Ben Ali avait fait l'objet d'un coup d'état de l'armée dont les commanditaires étaient des agents de la CIA en poste à l'ambassade des Etats Unis à Tunis. Mais pour remonter aux sources de ce complot qui aura détruit le monde Arabe et la Tunisie, il faut remonter aux débuts de l'ancien Ministre K.M. L'homme en question avait déjà cumulé de solides liens avec le gouvernement Américain. Il aurait ensuite consolidé ses contacts avec le gouvernement Américain en tant que Ministre de la Défense Tunisien. Les Américains ont continué leur plan de destitution de Ben Ali en faisant miroiter a K.M. qu'il deviendrait le prochain Président suite à un coup d'état de l'armée Nationale. Ce qui manquait au complot était un écran de fumée ou je dirais une situation de crise. La diffusion et la traduction des Wikileaks par la chaine Qatari Al Jazira ont amorcé le mouvement de révolte et de mécontentement dont le paroxysme fut fourni par l'immolation de Mohamed Bouaazizi en Décembre 2010.

Q-2 : Les Américains complotaient-t-ils contre Ben Ali et son régime avant l'entrée en scène du Ministre de la Défense K.M. ?
JW : Les Américains complotent contre la Tunisie depuis la fin des années 70 quand le MTS a fait son apparition et débuté ses hostilités suite à la révolution Iranienne de l'Ayatollah Ruhallah Khomeiny. Leurs interventions étaient toutefois discrètes car Bourguiba même âgé, jouissait d'une popularité solide. Il n'y aurait jamais eu de coup d'état militaire possible contre Bourguiba même à la fin de son règne. L'intervention des Etats Unis en Tunisie dans un but de déstabilisation s'est faite plus active après le 7 Novembre 1987 car Ben Ali était considéré comme un inconnu et surtout comme un Président anti-Américain. Les Américains ont accéléré leur mouvement d'ingérence et de complot à partir de l'année 2005 et surtout 2007 en finançant l'opposition par des ONG de la CIA et en contactant directement les islamistes Tunisiens en Tunisie. A la veille du 14 Janvier 2011, les Américains disposaient en Tunisie de collaborateurs Tunisiens solides.

Q-3 : Vous dites que Ben Ali était un inconnu pour les Américains. L'on dit pourtant que le 7 Novembre 1987 s'est fait avec l'accord de la CIA et des Américains.
JW : Ce qui ont disséminé cette rumeur sont les islamistes Tunisiens qui eux-mêmes préparaient un assaut armé du Palais de Carthage vers le 8 Novembre 1987. Ben Ali les a pris au dépourvu. Le coup d'état médical du 7 Novembre était bel et bien un coup d'état purement Tunisien sans aucune intervention étrangère. Ce qui explique qu'au lendemain du 7 Novembre 1987, les Etats Unis et la France ont marqué un moment de flottement avant de reconnaitre Ben Ali comme Président légitime. Mais surtout, il existe une règle en politique étrangère Américaine qui dit clairement que les Etats Unis ne mettent au pouvoir que leurs marionnettes et leurs pions les plus loyaux. La distance que Ben Ali a créé avec les Etats Unis au lendemain du 7 Novembre a prouvé que Ben Ali n'était pas l'homme des Etats Unis mais l'homme du Ministère de l'Intérieur Tunisien et de Bourguiba. La première grande ligne que Ben Ali a appliqué au lendemain du 7 Novembre fut de s'éloigner des Américains d'avantage et de se rapprocher de Yasser Arafat. Sa répression des islamistes suite aux attentats de Bâb Saadoun a renforcé la vision des Etats Unis d'un Ben Ali qui n'était pas loyal aux Etats Unis. Sans compter ses positions et critiques lors de la première guerre du Golfe et suite aux attentats du 11 septembre 2011.
Ben Ali était vu par Washington comme étant anti-Américain et même un ennemi silencieux des Etats Unis proche d'Alger et surtout de la Libye de Kadhafi. N'oubliez pas que contrairement à l'époque de Bourguiba, Ben Ali n'a jamais eu de querelles avec Kadhafi et que les deux hommes étaient très proches. Toutes les crises entre la Libye et la Tunisie après le 7 Novembre 1987 étaient des sautes d'humeur d'un Kadhafi bon et généreux et qui aimait la Tunisie. Des querelles que Ben Ali réglait par l'envoi de son Ministre des Affaires Etrangères à Tripoli. Kadhafi était un homme très généreux qui n'exigeait de la Tunisie de l'après 7 Novembre 1987, qu'attention, respect, et affection.

Q-4 : Parlez-nous des derniers moments qui ont précédé le départ de Ben Ali le 14 Janvier 2011.
JW : Tous les coups d'états de la CIA se ressemblent car leurs agents sont formés sur les dossiers secrets des coups d'états précédents qui ont tous été spectaculaires de Téhéran à Santiago du Chili, en passant par Saigon. En général, la CIA commandite toujours un haut gradé de l'armée ou un homme politique affluent en lui faisant miroiter soit le pouvoir, soit des avantages financiers car la CIA possède une myriade de comptes offshore numérotés surtout dans les Caraïbes. Dans un coup d'état de la CIA, il y a en général un Palais Présidentiel et une armée rebelle. Pour s'attaquer à un Palais Présidentiel, il faut des blindés qui en général se trouvent en possession de l'armée, et une aviation. Ce sont les tanks et l'aviation qui poussent les Présidents à résister jusqu'à la mort, à fuir, ou à se suicider. Dans le cas du coup d'état de Carthage du 14 Janvier 2011, celui- ci s'est fait de façon plus discrète que les autres coups d'état de la CIA. Des communications entre des hauts gradés de l'armée et la CIA ont été interceptées par des agents de la DST grâce à un scanner de forte puissance placé à l'ambassade de France. Celles-ci ont été transmises à l'Elysée qui n'a jamais compris qu'un coup d'état militaire se préparait. Les menaces contre Ben Ali ont débuté le 13 Janvier 2011 et ont atteint leur paroxysme le matin du 14 Janvier 2011. Ben Ali entouré de sa famille et surtout de son petit garçon n'avait pas grand choix que de quitter ou être assassiné et sa famille massacrée par des commandos de l'armée.

Q-5 : Et les tanks et l'aviation typiques des coups d'état de la CIA ?
JW : l'armée nationale a déplacé des unités blindées vers le palais de Carthage peu avant le départ de Ben Ali dans un effort ultime d'intimidation. Les unités de la sécurité Présidentielle étaient en nombre suffisant pour assurer la sécurité du Président et contrairement à ce qui a été dit, il n'y a jamais eu de marche populaire vers le Palais de Carthage car la manifestation de l'avenue Habib Bourguiba a été maitrisée et les manifestants dispersés. Les blindés du général RA étaient un message fort à Ben Ali et à ses unités de sécurité loyales, qu'un assaut du palais était imminent. Quant à l'aviation, je vous invite à écouter les menaces diffusées par les chaines Al Arabiya et Al Jazira aux alentours du 15 et 16 Janvier 2011 et qui font état de bombardements imminents par l'aviation Tunisienne des membres de la sécurité Présidentielle et de la Garde Nationale retranchés à l'intérieur du Palais de Carthage.

Q-6 : Donc d'après vous, le 14 Janvier est un coup d'état de l'armée nationale dont les cerveaux sont des agents de la CIA ?
JW : Non, le coup d'état du 14 Janvier est une attaque directe du Pentagone sur la souveraineté Tunisienne. Les révélations du général Ahmed Chabir que je respecte énormément, font d'état de systèmes de communication de l'armée et de la Garde Nationale brouillés. Pour brouiller les systèmes de communication de l'armée qui ont été modernisés il y a de cela environ 8 ou 9 ans, cela signifie qu'un Jammer de très haute puissance a été utilisé. Celui-ci ne peut agir que d'un avion qui volerait dans l'espace international comme ce fut le cas pour l'assassinat d'Abou jihad, ou d'un navire de guerre qui agirait juste en dehors des eaux territoriales Tunisiennes. Il est évident pour l'ancien militaire que je suis, que le Jammer qui a brouillé les communications de l'armée et de la Garde Nationale Tunisiennes provenait d'un des navires Américains de la sixième flotte qui sont basés en Méditerranée. Ce qui signifie aussi que l'armée Américaine et comme je l'ai déjà écrit maintes fois, s'apprêtait à intervenir du côté de l'armée Tunisienne en cas de résistance acharnée des Bénalistes à l'intérieur du palais de Carthage. Des faits donc d'une gravité extrême pour l'avenir de la Tunisie et de sa souveraineté.

Q-7 : Quels ont été les rôles du général Ali Sériati et du Ministre Ridha Grira ?
Ali Sériati a été un homme loyal à Ben Ali jusqu'au bout. Ce Patriote était persuadé que Ben Ali allait être assassiné et que son départ, du moins temporaire, diffuserait la tension qui entourait le palais de Carthage. Il n'a jamais eu l'intention de prendre le pouvoir pour la simple et bonne raison qu'il était lui-même l'objet de menaces. Il pensait qu'en encourageant Ben Ali à quitter, il pourrait négocier avec l'armée Tunisienne une espèce de Statu Quo jusqu'au retour de Ben Ali. Il faut se rappeler que Sériati ne possédait ni l'autorité, ni les hommes nécessaires à prendre le pouvoir et que la garde Présidentielle loyale à Ben Ali était limitée en effectifs et subissait un état de siège. Ali Sériati était un homme qui éprouvait énormément de loyauté et de respect pour Ben Ali. Je connais cet homme. Il n'aurait jamais trahi le Président sachant que trahir Ben Ali revenait à trahir la Nation Tunisienne.
J'ai toujours pensé que Grira était un homme qui n'était pas à a sa place en Tunisie surtout en Ministre de la Défense. Il ne comprenait rien ni à la politique ni à la Tunisie tout court. Cet homme a joué le rôle de mouton de panurge le 14 Janvier 2011. Il a fait arrêter le général Sériati sous les ordres du General RA et pour suivre un mouvement de trahison en masse qui se dessinait autour du palais de Carthage. Grira a été arrêté par précaution car il ne représentait pas un grand danger vu qu'il n'avait ni formation policière, ni formation militaire. Sériati représentait un très grand danger pour l'armée puisqu'il s'agissait d'un homme exceptionnellement intelligent et dont les connaissances militaires et de renseignement étaient parmi les meilleures du monde Arabe. Qu'Ali Seriati n'ait pas été abattu comme l'ont été certains de mes frères du Ministère de l'Intérieur, tient du miracle.

Q-8 : Vous êtes aujourd'hui un fonctionnaire de Bourguiba et de Ben Ali qui vit reclus, furtif, et parfois même en exil entre Tunis, Londres, et Moscou. Le peuple Tunisien en entier éprouve de la haine pour vous et vos critiques acerbes. Que reprochez-vous aux Tunisiens ?
JW : Je reproche aux Tunisiens d'avoir été indignes des grands leaders dont ils ont bénéficié. Les Tunisiens sont un peuple odieux de ratés et de traitres. Et quand je dis ratés, je veux dire par là que même avec des diplômes de grandes universités, ils n'ont pas réussi à saisir le complot qui se trame contre le monde Arabe depuis la création d'Israël et celui contre la Tunisie depuis l'apparition des islamistes Tunisiens vers la fin des années 1970. Les Tunisiens sont incultes et leurs connaissances sont des ragots et des anecdotes de l'histoire déformées à la Tunisienne. La mentalité du Tunisien et son intelligence peuvent être comparées à la recette d'un plat Tunisien épicé. Le Tunisien est un fanfaron et un fumiste, qu'il soit diplômé de Harvard ou docker. Mais surtout, les Tunisiens vénèrent les étrangers. Le Tunisien moyen a comme référence universelle le roumi ou le blanc Européen. S'ajoute à cela une admiration pour les Américains qu'ils voient comme faisant partie d'une race supérieure. La mentalité du Tunisien n'a guère change depuis que les GI qui avaient battu Rommel, et de leurs blindés en provenance de Mèdjez Al Bâb et Goubelat, distribuaient des morceaux de fromage et de Corned beef aux mendiants en guenilles Tunisiens qui les accueillaient. Ou quand les bourgeois Tunisiens sortaient dans les rues pour admirer les Américains lorsque leurs blindés traversaient les rues de Tunis. Le Tunisien est un être dégoutant et bas à la mentalité colonisée et qui ne s'épanouit que lorsque son pays est occupé. Mais la chose la plus grave et qui est une preuve de la faiblesse intellectuelle des Tunisiens, est qu'ils n'ont jamais compris que la Tunisie était un territoire stratégique pour les autres puissances. Le diplômé ou non, Ministre ou sous-fifre, politicien ou homme de la rue, déclare souvent d'un air stupide : « Nous n'avons pas de pétrole. En quoi nous allons intéresser les autres puissances ? » Ce qui est en lui-même une preuve de stupidité profonde et de mentalité sous-développée incurable.

Q-9 : Je ne vous suis pas. Comment la Tunisie est-elle un territoire stratégique pour les autres puissances ?
JW : Imaginez un instant et dans ce contexte de pré-guerre nucléaire dans lequel nous sommes, que la Tunisie devienne une base Russe. Cela signifiera que la Russie pourra disposer de missiles balistiques conventionnels ou nucléaires en territoire Tunisien. Ces missiles pourraient atteindre en quelques minutes et avec une précision prodigieuse n'importe quelle ville d'Europe y compris Londres, ou Bruxelles centre de commencement de l'OTAN. Cela signifierait que la puissance de la Russie en force nucléaire serait multipliée par cent. Pour frapper à l'intérieur de l'Europe de l'Ouest, la Russie doit utiliser ses missiles déployés à des milliers de kilomètres, à la frontière avec l'Ukraine. Ces missiles perdraient en précision et pourraient être interceptés. Si la Russie utilisait ses bombardiers stratégiques, ceux-ci pourraient aussi être interceptés et abattus bien avant qu'ils n'aient le temps de larguer leurs ogives nucléaires. Il en est de même pour l'utilisation de sous-marins. La Tunisie comme base Russe serait un formidable développement de l'histoire mais les Tunisiens en peuple à l'intelligence réduite ne réalisent pas ce fait. Pourquoi les Américains et l'OTAN ont-ils sollicité l'aide du General RA et de BCE pour s'attaquer à Kadhafi ? La réponse est qu'en attaquant le Guide par la partie Ouest de la Tripolitaine et en armant les rebelles de cette région, Kadhafi était de fait encerclé et son aide militaire Algérienne effectivement coupée. Mais le manque d'intelligence des Tunisiens est également illustré dans les conséquences de leur révolution sur le monde Arabe qu'ils continuent à clamer comme étant exemplaire.

Q-10 : Quels sont vos plans futurs ?
Je suis un orphelin de Bourguiba et un flic de Ben Ali incorruptible.
Ce qu'on fait les Américains et les Qataris à la Libye et à la Tunisie ne m'épate pas pour autant. Les Nations Arabes ont comme plus grand handicap leurs peuples que les puissances étrangères monnaient depuis des siècles. Mais le Nationalisme Arabe est immortel. Tôt ou tard il donne naissance à mouvement neuf et énergétique. Il y a eu le Déstour et le neo-Destour. Il y aura le néo-mouvement National Tunisien qui est déjà représenté par des Hommes comme Mezri Haddad, comme l'honorable Militante Abir Moussi, ou moi-même.
Deux évènements majeurs frapperont la Tunisie : une attaque terroriste de grande enverge de type 11 Septembre, et un coup d'état nationaliste. L'homme qui vous parle en ce moment prendra un jour d'assaut le Palais de Carthage entouré de membres du Ministère de l'Intérieur et de la Garde Nationale l'arme de Bourguiba au poing. Les militants Nationalistes du Monde Arabe qu'ils soient Kadhafistes, Bourguibistes, Nasseristes, ou Benalistes sont immortels. Les jours de beurres, des islamistes, et des droits de l'hommistes Tunisiens employés par le Mossad, l'OTAN, et Israël sont comptés.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Ancien Haut Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

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Ah ! Ma chère Tunisie, mes chers patriotes, si vous saviez combien vous me manquez...

Mon médium m à moi même appris que Psychopompos n'a jamais rien dit au sujet de John Wayne...^^ !

...Et pourquoi, pour l'exemple, tout ce que dit un Jacques Grimault est parfaitement vrai, tout en sachant qu'en Vérité, il raconte vraiment n'importe quoi...

...Et bien parce qu'il essaie de saisir et de comprendre des phénomènes, alors qu'il a projeté sa problématique personnelle d'un lien à son grand père, en occultant totalement le père !

Plus concrètement, quand un Jacques Grimault parle des "Bâtisseurs", il raconte n'importe quoi précisément parce qu'en occultant ou plutôt en ne faisant pas le lien avec la cilivisation Egyptienne (en tant que bâtisseurs eux-mêmes), il déplace sa problématique du petit fils qui, certes, est lié à "l'ancien", au "grand-père" et non à son père. Il aura manqué dans la dialectique de sa vie, une génération...qu'il tente par tous les moyens (projection), délirants ici, de faire se matérialiser...à l'échelle des civilisations antiques ! Dès lors, tout ce qu'il racontera sera, en quelque sorte, toujours "à côté" de la vérité : et il n'y a pas "pire" que d'être "à côté", lorsque l'on aborde la question du Vrai.

Le parallèle délirant est le suivant : les bâtisseurs = le grand-père / les Egyptiens = le père (qui, donc, n'ont fait que recevoir passivement) / l'interprète et le messager (de la fin des temps, n'est-ce pas, puisqu'il n'arrête pas de parler d'un message capital venu du fond des âges pour nous, pauvres hommes pseudo "modernes"...) = Jacques Grimaut...ici, en interprétant actif (contrairement à son père), puisqu'il dit que lui seul à reçu ce savoir de son grand-père.

Et comme le monde antique est d'essence "maternelle", on peut divaguer à foison sur les rapports entre physique et métaphysique : va chercher la lumière (réelle) dans les tréfonds utérin d'une mère ^^ ! (loul) (pour la réponse sérieuse : la lumière dans ce cas précis, est incarnée par la mère elle-même, mais bon, passons...).

Donc, Jacques Grimault avance une dialectique Ternaire-Antique, alors qu'il a manqué/sauté une étape consubstantiellement liée à cette dialectique : sa problématique "oedipienne" s'est vue appliquée "littéralement" dans ses élucubrations, somme toute, très intéressant pour celui qui veut comprendre comment le psychisme humain fonctionne, mais aussi parce qu'il développe certaines idées tout à fait intéressantes à analyser en elles-mêmes : le tout est de savoir remettre les choses et les mots à leur juste place ^^ !

C'est bien pour cela, par exemple, qu'il (et tous d'ailleurs) ne parvient pas à faire le lien entre la "triade" monothéiste et la "triade" polythéiste (les principes ternaires qui se jouent dans ces systèmes de croyance). C'est à dire que Grimault n'a jamais su voir l'enjeu entre Islam , Christianisme , Judaïsme, synthèse de tous les enjeux passés mais aussi et surtout (re)nouvelés.

Sa théorie sur l'équateur "penché" (qui n'est pas la sienne à la base, comme d'habitude, dans tous ces cas là...) est en fait à comprendre comme une tentative désespéré de RELIER son grand-père, à son père et à lui-même, pour parler psychanalytique... Les bâtisseurs, sont aux origines des Incas, Mayas, Aztèques, Rapa-Nui, Egyptiens, etc. etc...

Il croit faire le lien et mettre en exergue le "chaînon manquant", bien au contraire, il ne fait que dissocier, rompre et diviser les phénomènes en présence. Et dans cette confusion fondamentale, il ne voit pas, en effet, la différence qui existe en "Antique" et "Moderne", sauf à les mettre dans un sorte de "confrontation" où les "Modernes" sont aveugles, ne voyant pas ce qui les attend (bien sûr, l'Apocalypse...), etc. etc.... Alors, que, mon cher Jacques Grimault, les Modernes, s'ils ont connaissance de quelque chose, c'est bien de tout ce qu'il s'est passé avant eux !!! Mais, le problème, c'est qu'ils ne vont pas le dire !!! Il aurait du mieux lire les Textes sacrés du Monothéisme, et surtout le Coran (parce que c'est ce dernier qui permet de faire la synthèse dialectique des phénomènes et des enjeux --- ce qui fait que l'on peut dès lors mettre en liaison, et comme il se doit, les Antiques des Modernes, etc.) !

Pour preuve en mode CQFD :

" Et Nous fîmes traverser la mer aux Enfants d’Israël. Pharaon et ses armées les poursuivirent avec acharnement et inimitié. Puis, quand la noyade l’eut atteint, il dit: «Je crois qu’il n’y a d’autre divinité que Celui en qui ont cru les enfants d’Israël. Et je suis du nombre des soumis». " (Coran 10.90)

Aussi, en Islam, le principe Ternaire des Antiques, dont l'incarnation ultime est celle Egyptienne, peu mener...Pharaon lui-même...à la foi en un Dieu unique.... MAIS CA SEUL LE CORAN L'ENONCE ET POUR CAUSE !!!! CQFD de chez CQFD !

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Aussi, tout ce qu'il dit est très intéressant, mais...euh...comment dire...totalement erroné XD !

Gio... Snif... Snif Gio...