Attend Hei, tu es en train de dire que tu partages tout ton disque dur en P2P quand tu utilises Freenet ? Je comprend pas :/
Et tu parles de fonctionnement par nœud, mais c'est pas le fonctionnement même du P2P ?
oui et non le p2p tu forme un noeud avec une personne mais le reseau n est pas cripter voila pourquoi hadopi est la etc...
et non pas tout une partie seulement (toi tu y met ce que tu veux y partager) seulement vue que tu fais office aussi de serveur il est normal que tu acceuille les donné des gens avec qui tu forme des noeuds (seulement tu ne sait pas ce que c'est et c est automatique effacer si la police vient a te saisir ton pc ;)
de plus maintenant c est un Darknet donc c est un internet sous internet si tu veux sauf qu il n y a plus aucune barrière c est totalement libre... pour le meilleur et pour le pire aussi
ça m'a l'air long, fatalement incomplet et fastidieux tout ça non?
L'intérêt principal et essentiel de Wikipédia étant qu'il était updaté tous les jours..
Si je fais une photo de WIkipedia le 28 janvier 2012, à quoi bon?
Je suis bon pour l'achat de l'encyclopédie en livres non actualisable, fixe dans le temps, nulle, aussitôt acheté aussitôt obsolète pour le monde...
Donc soit c'est julien Lepers
Soit on va le faire ce putain de boycott en mars
« Qu’est-ce que c’est que cette bête bizarre ? », vous allez me demander...
Tout simplement le fer de lance de la prochaine génération de logiciels d’échange de pair à pair, celle des logiciels anonymes. Ces derniers - par leur architecture décentralisée, le fait qu’ils organisent des échanges d’informations cryptées et qu’ils utilisent des transmissions indirectes pas « nodes » intermédiaires - assurent l’impossibilité totale de déterminer ce qui est échangé et quels sont ceux qui partagent des données.
L’utilisation de clefs de cryptage numériques, pouvant aller jusqu’à 4096 bits pour certains systèmes, garantit le fait que même la NSA ne pourra intercepter puis analyser les informations transitant par ces réseaux.
Mais c’est là la moindre des choses que FREENET est capable de faire, car ce logiciel possède un potentiel qui risque fort de faire vaciller les fondations d’Internet dans son ensemble.
En effet, là où Internet met en communication des ordinateurs individuels avec des serveurs qui sont les réceptacles du contenu du réseau, FREENET propose à chaque utilisateur de faire de son ordinateur un serveur indépendant, en partageant une fraction de son disque dur avec les autres utilisateurs. Cet espace contiendra alors des fragments de données cryptées pouvant être redistribués aux autres utilisateurs grâce aux clefs de cryptage qui leur sont associées.
Chaque ordinateur connecté à FREENET est à ce réseau ce qu’un neurone est à un cerveau : le fragment d’un tout, dont la puissance cumulée croit de manière exponentielle avec le nombre de participants.
FREENET ne permet donc pas seulement d’échanger des fichiers, mais a permis également la création d’un véritable « Internet parallèle » dont les « FREE-pages » sont stockées, là aussi de manière cryptée, dans la mémoire cache de chaque machine. Il ne s’agit pas d’un projet nouveau, mais il semble retrouver une seconde jeunesse ces derniers temps...
La force de ce système est qu’il interdit en raison de son fonctionnement même toute censure et tout contrôle... Nul ne peut empêcher la diffusion d’informations sur FREENET ni en retrouver les auteurs... Du pain béni pour les dissidents politiques chinois et d’autres régimes totalitaires qui se sont emparés de cet outil pour communiquer et partager leurs idées sous le regard impuissant d’un gouvernement central qui s’arrache les cheveux à essayer de trouver une parade qui n’existe pas.
Bien entendu, le système a ses dérives, et les anarchistes de tous poils y ont également trouvé un havre de tranquillité pour y exprimer leurs revendications et partager leur expérience de la guérilla sans crainte d’être retrouvés.
Mais dans l’ensemble, FREENET ressuscite cette liberté et cette insouciance qui existait au tout début d’Internet, et beaucoup de ses membres y trouvent un défouloir pour exprimer en public leur malaise de la société.
Ici, chacun est libre de balancer des « Sarko facho » ou de traiter nos dirigeants et ministres de « buses », si tel est son désir... Nul ne pourra l’arrêter, si ce n’est au travers d’un argumentaire solidement construit, ce que les freenautes manquent rarement de faire, tant dans l’ensemble ils ont appris à élever au rang d’art noble la discussion contradictoire.
FREENET est donc l’outil ultime permettant aux individus de s’exprimer. Des informations que l’on ne trouve nulle part ailleurs peuvent y être dénichées, et il impose donc à celui qui y navigue de garder un bon esprit critique vis-à-vis des données qui lui parviennent, car il est rare que leurs auteurs soient clairement indentifiables, à moins qu’ils le désirent.
Mais de ce fait, le contrôle censorial de ce réseau est impossible, et il peut permettre à certain d’accéder à des nouvelles que le gouvernement ne souhaite pas voir diffuser, ou à des connaissances que certains groupes d’influence aimeraient mieux voir disparaître.
Pour résumer, FREENET rend à chaque citoyen sa pleine souveraineté dans son accès et son partage de l’information.
Le potentiel est rapide à imaginer :
-Des journaux citoyens qu’aucun ministre ne pourrait espérer pouvoir censurer ou influencer (3)
-Des discographies et des filmographies entières disponibles à la première FREE-page venue
-Le partage sans restriction d’information copyrightées, brevetées ou protégées par un quelconque droit d’auteur
-La création de FREE-radios et de FREE-TV impossibles à censurer et torpillant le pouvoir d’influence des médias traditionnels
-La possibilité pour chaque citoyen d’exprimer sans restriction son point de vue sur l’actualité et la politique, ainsi que son avis sur une personne, qu’il s’agisse d’une célébrité, d’un artiste, d’un homme politique, ou d’un simple anonyme
-Etc.
Toute information ou oeuvre diffusée auprès du public tombe donc, de fait, dans le domaine public, et est pleinement et librement accessible grâce à ce réseau.
FREENET est donc un cauchemar pour tout gouvernement, entreprise, ou groupe d’influence fondant son pouvoir sur le contrôle de l’information, car il permet à celle-ci d’être diffusée sans restriction.(3)
En échange de cette liberté promise, FREENET n’impose que deux choses à ses utilisateurs :
-La tolérance vis-à-vis du point de vue des autres
-Le développement d’un certain esprit critique face aux informations qui leur parviennent.
Mais il s’agit là de deux qualités que chaque citoyen responsable doit s’efforcer d’avoir, après tout...
En définitive, Renaud Donnedieu de Vabre risque fort d’entrer dans l’histoire comme étant le ministre qui, avec sa loi DADVSI et sa volonté de contrôle d’Internet, aura réussi à convaincre les P2Pistes français de migrer vers le seul réseau garantissant aujourd’hui la pleine liberté d’expression et de partage des connaissances.
Ian Clarke n’espérait certainement pas un tel soutien...
Je me pose une sérieuse question. Où se situe le cloud computing dans tout ce merdier? Je veux dire, entre l'Internet totalement libre et les serveurs de partage de fichiers en P2P, le cloud computing est-il considéré comme étant légal? Je ne m'y connais pas des tonnes en informatique, mais il me semble que si le P2P n'est pas légal, le cloud computing ne l'est pas non plus. Non?
Je parle des Dropbox & cie. Parce que j'ai des documents professionnels de la plus haute importance sur ces serveurs. Ils sont bien stockés sur un serveur externe non?
Non Non le CC est totalement légal car chacun ne peut accéder que à la partie qui lui revient, mais ça permet par exemple de stocker ses documents/photos/etc... sur le serveur CC et pas avoir à se les trimballer sur un DD externe. C'est surtout utile si on a plusieurs ordi ou si on veut partager nos fichier en famille/entre potes
edit: vous inquiétez pas pour vos fesses, sur un autre thread j'ai refilé tout les IRC des Anon, si yen a un qui doit flipper de voir le FBI débarquer c'est moi ^^/
Attend Hei, tu es en train de dire que tu partages tout ton disque dur en P2P quand tu utilises Freenet ? Je comprend pas :/
Et tu parles de fonctionnement par nœud, mais c'est pas le fonctionnement même du P2P ?
Voilà le lien:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:T%C3%A9l%C3%A9charger_la_base_de_donn%C3%A9es
La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
envie de parler poney?
oui et non le p2p tu forme un noeud avec une personne mais le reseau n est pas cripter voila pourquoi hadopi est la etc...
et non pas tout une partie seulement (toi tu y met ce que tu veux y partager) seulement vue que tu fais office aussi de serveur il est normal que tu acceuille les donné des gens avec qui tu forme des noeuds (seulement tu ne sait pas ce que c'est et c est automatique effacer si la police vient a te saisir ton pc ;)
de plus maintenant c est un Darknet donc c est un internet sous internet si tu veux sauf qu il n y a plus aucune barrière c est totalement libre... pour le meilleur et pour le pire aussi
http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/le-projet-freenet-internet-et-le-8158
TOUT EST EXPLIQUER EN DETAILLE ICI
: LIVE
Bon et bien merci
Mais j'ai rien pigé...
ça m'a l'air long, fatalement incomplet et fastidieux tout ça non?
L'intérêt principal et essentiel de Wikipédia étant qu'il était updaté tous les jours..
Si je fais une photo de WIkipedia le 28 janvier 2012, à quoi bon?
Je suis bon pour l'achat de l'encyclopédie en livres non actualisable, fixe dans le temps, nulle, aussitôt acheté aussitôt obsolète pour le monde...
Donc soit c'est julien Lepers
Soit on va le faire ce putain de boycott en mars
Je suis vraiment désolé les mecs mais Darknet ça me fait penser qu'à une seule chose:
La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
envie de parler poney?
FREENET
« Qu’est-ce que c’est que cette bête bizarre ? », vous allez me demander...
Tout simplement le fer de lance de la prochaine génération de logiciels d’échange de pair à pair, celle des logiciels anonymes. Ces derniers - par leur architecture décentralisée, le fait qu’ils organisent des échanges d’informations cryptées et qu’ils utilisent des transmissions indirectes pas « nodes » intermédiaires - assurent l’impossibilité totale de déterminer ce qui est échangé et quels sont ceux qui partagent des données.
L’utilisation de clefs de cryptage numériques, pouvant aller jusqu’à 4096 bits pour certains systèmes, garantit le fait que même la NSA ne pourra intercepter puis analyser les informations transitant par ces réseaux.
Mais c’est là la moindre des choses que FREENET est capable de faire, car ce logiciel possède un potentiel qui risque fort de faire vaciller les fondations d’Internet dans son ensemble.
En effet, là où Internet met en communication des ordinateurs individuels avec des serveurs qui sont les réceptacles du contenu du réseau, FREENET propose à chaque utilisateur de faire de son ordinateur un serveur indépendant, en partageant une fraction de son disque dur avec les autres utilisateurs. Cet espace contiendra alors des fragments de données cryptées pouvant être redistribués aux autres utilisateurs grâce aux clefs de cryptage qui leur sont associées.
Chaque ordinateur connecté à FREENET est à ce réseau ce qu’un neurone est à un cerveau : le fragment d’un tout, dont la puissance cumulée croit de manière exponentielle avec le nombre de participants.
FREENET ne permet donc pas seulement d’échanger des fichiers, mais a permis également la création d’un véritable « Internet parallèle » dont les « FREE-pages » sont stockées, là aussi de manière cryptée, dans la mémoire cache de chaque machine. Il ne s’agit pas d’un projet nouveau, mais il semble retrouver une seconde jeunesse ces derniers temps...
La force de ce système est qu’il interdit en raison de son fonctionnement même toute censure et tout contrôle... Nul ne peut empêcher la diffusion d’informations sur FREENET ni en retrouver les auteurs... Du pain béni pour les dissidents politiques chinois et d’autres régimes totalitaires qui se sont emparés de cet outil pour communiquer et partager leurs idées sous le regard impuissant d’un gouvernement central qui s’arrache les cheveux à essayer de trouver une parade qui n’existe pas.
Bien entendu, le système a ses dérives, et les anarchistes de tous poils y ont également trouvé un havre de tranquillité pour y exprimer leurs revendications et partager leur expérience de la guérilla sans crainte d’être retrouvés.
Mais dans l’ensemble, FREENET ressuscite cette liberté et cette insouciance qui existait au tout début d’Internet, et beaucoup de ses membres y trouvent un défouloir pour exprimer en public leur malaise de la société.
Ici, chacun est libre de balancer des « Sarko facho » ou de traiter nos dirigeants et ministres de « buses », si tel est son désir... Nul ne pourra l’arrêter, si ce n’est au travers d’un argumentaire solidement construit, ce que les freenautes manquent rarement de faire, tant dans l’ensemble ils ont appris à élever au rang d’art noble la discussion contradictoire.
FREENET est donc l’outil ultime permettant aux individus de s’exprimer. Des informations que l’on ne trouve nulle part ailleurs peuvent y être dénichées, et il impose donc à celui qui y navigue de garder un bon esprit critique vis-à-vis des données qui lui parviennent, car il est rare que leurs auteurs soient clairement indentifiables, à moins qu’ils le désirent.
Mais de ce fait, le contrôle censorial de ce réseau est impossible, et il peut permettre à certain d’accéder à des nouvelles que le gouvernement ne souhaite pas voir diffuser, ou à des connaissances que certains groupes d’influence aimeraient mieux voir disparaître.
Pour résumer, FREENET rend à chaque citoyen sa pleine souveraineté dans son accès et son partage de l’information.
Le potentiel est rapide à imaginer :
-Des journaux citoyens qu’aucun ministre ne pourrait espérer pouvoir censurer ou influencer (3)
-Des discographies et des filmographies entières disponibles à la première FREE-page venue
-Le partage sans restriction d’information copyrightées, brevetées ou protégées par un quelconque droit d’auteur
-La création de FREE-radios et de FREE-TV impossibles à censurer et torpillant le pouvoir d’influence des médias traditionnels
-La possibilité pour chaque citoyen d’exprimer sans restriction son point de vue sur l’actualité et la politique, ainsi que son avis sur une personne, qu’il s’agisse d’une célébrité, d’un artiste, d’un homme politique, ou d’un simple anonyme
-Etc.
Toute information ou oeuvre diffusée auprès du public tombe donc, de fait, dans le domaine public, et est pleinement et librement accessible grâce à ce réseau.
FREENET est donc un cauchemar pour tout gouvernement, entreprise, ou groupe d’influence fondant son pouvoir sur le contrôle de l’information, car il permet à celle-ci d’être diffusée sans restriction.(3)
En échange de cette liberté promise, FREENET n’impose que deux choses à ses utilisateurs :
-La tolérance vis-à-vis du point de vue des autres
-Le développement d’un certain esprit critique face aux informations qui leur parviennent.
Mais il s’agit là de deux qualités que chaque citoyen responsable doit s’efforcer d’avoir, après tout...
En définitive, Renaud Donnedieu de Vabre risque fort d’entrer dans l’histoire comme étant le ministre qui, avec sa loi DADVSI et sa volonté de contrôle d’Internet, aura réussi à convaincre les P2Pistes français de migrer vers le seul réseau garantissant aujourd’hui la pleine liberté d’expression et de partage des connaissances.
Ian Clarke n’espérait certainement pas un tel soutien...
Talion
: LIVE
Je me pose une sérieuse question. Où se situe le cloud computing dans tout ce merdier? Je veux dire, entre l'Internet totalement libre et les serveurs de partage de fichiers en P2P, le cloud computing est-il considéré comme étant légal? Je ne m'y connais pas des tonnes en informatique, mais il me semble que si le P2P n'est pas légal, le cloud computing ne l'est pas non plus. Non?
Je parle des Dropbox & cie. Parce que j'ai des documents professionnels de la plus haute importance sur ces serveurs. Ils sont bien stockés sur un serveur externe non?
>Va falloir que tu penses sérieusement à les retirer
Certains ne s'en sont pas donné la peine sur MU....
Effectivement mon chère mais cette conversation l'est deja ;) Attention d ailleurs le FBI va bientot defoncer ta porte ;)
: LIVE
Non Non le CC est totalement légal car chacun ne peut accéder que à la partie qui lui revient, mais ça permet par exemple de stocker ses documents/photos/etc... sur le serveur CC et pas avoir à se les trimballer sur un DD externe. C'est surtout utile si on a plusieurs ordi ou si on veut partager nos fichier en famille/entre potes
edit: vous inquiétez pas pour vos fesses, sur un autre thread j'ai refilé tout les IRC des Anon, si yen a un qui doit flipper de voir le FBI débarquer c'est moi ^^/
La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
envie de parler poney?