Bonsoir à tous, aujourd'hui je poste sur le forum le premier chapitre d'une longue fanfiction sur Hitman, qui se déroule 2 mois après la fin de Hitman Absolution !
Il faut savoir que tout les personnages sont de mon invention (à part 5 personnages issus des précédents Hitman) !
Et je tenais également à dire que j'ai écris cette fanfiction uniquement dans le but de la poster sur des forums, j'y ai pris beaucoup de plaisir et, étant un très gros fan de l'univers d'Hitman, j'ai décidé d'écrire et de vous offrir à vous, membres de Hooper.fr, mon interprétation de l'univers de l'agent 47 !
Sur ce, bonne lecture et à bientôt sur le topic !!!
Chapitre 1 :
Un homme se baladait tranquillement dans les rues d'un des quartiers les plus prisés de New York.
Il portait un costume assez élégant et une cravate rouge, ainsi que des gants noirs et un pantalon de la même couleur.
Il avait le crâne rasé et ses rides naissantes contrastaient avec ses yeux bleus d'une froideur exceptionnelle et son absence total d'expressions faciales et d'émotions : il était toujours d'un calme olympien.
Les gens se retournaient quand il passait pour regarder le gigantesque pansement marron qui couvrait la plaie béante qu'il s'était fait en arrachant le code-barres qui composaient son nom avec un rasoir.
Les gens s'empêchaient de rire en le voyant, mais ils ne savaient pas qu'ils étaient en face du plus grand tueur de la création, l'un des hommes les plus recherchés de tous les temps : l'agent 47 !
47 se rendait comme tous les jours au magasin de son quartier pour faire ses courses : cela faisait 2 mois qu'il avait tué Benjamin Travis et qu'il s'était rangé, il vivait désormais dans une splendide maison d'un quartier chic de New York.
Toutefois, il ne pouvait s'empêcher d'être nostalgique de son ancien travail et de ses plus belles victimes : Ort-Meyer, Zavoratko, Albert Fournier, Alexander Leland Cayne, Blake Dexter et Benjamin Travis.
Il ne pouvait s'empêcher de se rappeler cette satisfaction qu'il avait eu quand il avait éliminé ces personnes, et toutes les autres aussi !
Mais 47 s'était rangé et il n'était plus en contact avec l'univers du meurtre, enfin sauf une fois, il y a quelques semaines...
Mais une voix sèche le tira de ses rêveries en disant :
- 14$50, s'il vous plaît !
L'agent 47 releva lentement la tête et plongea son regard dans celui de la caissière, qui déglutit et 47 demanda de sa voix rauque et dénuée d'expression :
- Un billet de 20$, ça vous va ?
La caissière acquiesça vivement d'un signe de la tête, rendit son argent à 47 qui sortit vivement de la boutique en prenant ses courses.
Il remonta tranquillement le long de la rue et repensa au moment où il avait retrouvé le goût du meurtre : c'était il y a 2 semaines, quand un cambrioleur s'était introduit chez lui par effraction.
Le pauvre homme n'avait même pas pu atteindre l'escalier qui menait au 1er étage car 47 avait surgi derrière lui et l'avait égorgé d'un geste rapide avec un couteau de cuisine.
Le cambrioleur s'était effondré par terre et était mort en moins d'une seconde pendant que 47 s'occupait de nettoyer la tâche de sang qui ornait le tapis de l'entrée.
Il avait ensuite pendu le corps à la fenêtre d'un couple de mafieux qui habitent juste à côté de chez lui.
47 soupira en s'apercevant qu'il était arrivé chez lui, puis il fronça les sourcils en s'apercevant qu'une grosse voiture blanche était garée devant chez lui.
47 marmonna :
- Cette voiture n'appartient à personne dans le quartier !
D'un geste rapide, il se dirigea vers sa voiture, une grosse berline noire garée à proximité, puis il ouvrit le coffre et déposa ses courses dedans, il en sortit deux pistolet avec silencieux (Silverballers) et une corde à piano qu'il rangea dans sa poche.
Il se dirigea tranquillement vers la berline blanche et put apercevoir l'homme à l'intérieur : c'était un homme noir d'une trentaine d'années, qui avait une oreillette sur l'oreille gauche et d'épaisses lunettes de soleil qui masquaient ses yeux, mais 47 pouvait deviner grâce à l'inclinaison de sa tête qu'il surveillait l'entrée de la maison.
47 saisit une pièce de monnaie et la lança violemment devant le garde qui,surpris, détourna le regard, ce qui permit à 47 d'entrer dans la maison sans se faire repérer.
47 s'arrêta dans l'entrée, se retourna pour voir si le garde ne le regardait pas, puis il examina les environs : il vit un homme dans le salon, de dos, qui était occupé à fouiller dans les armoires.
47 regarda ensuite dans le miroir et vit un homme dans la cuisine qui lisait des dossiers et 47 entendit des bruits de pas au 1er : il en déduisit qu'il y avait au moins un troisième homme.
47 commença à se mouvoir sans bruit et il se faufila dans le salon, il sortit sa corde à piano de sa poche et commença à la tendre tout en approchant discrètement du garde.
Soudain, le garde entendit un bruit et commença à tourner la tête : 47 bondit, donna un coup de pied dans les genoux du garde qui tomba à genoux, lui enserra la corde autour du cou et serra de toutes ses forces.
Le garde essaya de se débattre et de crier, mais l'étreinte de 47 était trop forte et son visage se mit à bleuir.
Au bout d'un moment, le garde cessa définitivement de bouger et 47 laissa tomber doucement son corps par terre, avant de ranger sa corde dans sa poche et de se diriger vers la cuisine.
47 s'arrêta devant la porte de la cuisine et il s'aperçut que le second garde était face à la porte, donc il sortit son Silverballer et s'avança lentement vers le garde.
Le garde leva la tête, vit le tueur à gages se diriger vers lui, il poussa un petit cri et tenta de saisir son arme, mais la balle de 47 traversa son front et se logea dans la porte du congélateur sans qu'il puisse rien faire.
Le garde écarquilla les yeux l'espace d'une seconde, puis il s'effondra lourdement sur le sol, ce qui alerta le troisième garde qui se mit à descendre rapidement les escaliers.
47 se retourna et tira dans la main du garde qui venait d'arriver dans la cuisine.
Le dernier garde lâcha son arme en hurlant de douleur et 47 en profita : il se jeta sur le garde, le plaqua sur le sol, saisit son bras et commença à le tordre violemment.
Le garde hurla de douleur, mais 47 n'en eut cure et demanda de sa voix dénué d'émotion :
- Pour qui tu bosses ?
Le garde dit distinctement :
- Va te faire foutre, connard !
47 accentua encore plus sa prise sur son bras, ce qui fit hurler encore plus le garde, qui dit rapidement :
- Notre patron...nous a envoyé ici...pour qu'on puisse savoir...si tu étais le meilleur tueur de tous les temps...47 !
47 répondit simplement :
- Merci !
Sur ses mots, il tordit d'un coup sec le bras du garde, qui se cassa dans un craquement sinistre.
Le garde s'effondra sur le sol en hurlant à en mourir tout en tenant son bras blessé et 47 saisit son pistolet pour en finir une fois pour toute, quand une matraque s'abattit sur sa nuque.
47 s'effondra et vit le chauffeur de la berline relever son collègue blessé, avant de s'évanouir...
31 fois le mot 47, un record! :p
Nan c'est plutôt plaisant à lire Hogo007, sympa. Le seul truc là c'est que quand on ouvre le topic c'est un peu "Whet? Keskécéksa?" J'aimerais bien savoir quelle fut ta motivation pour commencer l'écriture d'un Hitman, est ce que c'est réellement une histoire inventée etc, etc... Ce serait cool que tu dises avant de commencer le récit comment t'es venu l'idée, ça m'intrigue un peu. :p
EDIT : Merci. :3
Et voici maintenant le second chapitre !
Chapitre 2 :
47 se réveilla en battant des paupières et en maugréant. Il se passa la main sur la nuque, là où le chauffeur de la berline l'avait frappé et il s'aperçut que son pansement avait disparu.
Il se releva brusquement et il vit qu'il se trouvait dans une pièce d'une blancheur incroyable, qui ne contenait qu'un lit et un miroir.
Il se précipita vers celui-ci, le saisit et regarda l'arrière de son crâne : son pansement avait bel et bien été arraché, exposant la plaie béante qu'il avait sur la nuque.
Soudain, une voix grave résonna derrière lui :
- Bonjour 47, j'espère que vous avez bien dormi.
47 se retourna brusquement et vit le chauffeur de la berline accompagné d'un homme blond aux yeux bleus d'une vingtaine d'années avec un bras cassé qu'il reconnut immédiatement comme étant le garde survivant de la maison.
47 demanda d'une voix rauque :
- Qui êtes-vous ?
Le garde au bras cassé répondit :
- Je suis Steve Slow et voici Jean LeRoux ! Nous faisons partie de l'Organisation !
47 fronça les sourcils, se tourna vers LeRoux et lui demanda :
- L'Organisation ?
LeRoux répondit avec un sourire :
- Le patron va tout vous expliquer ! Veuillez nous suivre, je vous prie !
Les deux gardes sortirent de la cellule en emmenant 47, qui s'aperçut que ses ravisseurs l'avaient dépouillé de sa corde à piano et de ses Silverballers.
Ils ouvrirent une grande porte en bois de chêne massif et ils laissèrent entrer 47 dans une immense salle dans laquelle travaillaient plus d'une centaine de personnes, toutes accrochées à leurs ordinateurs.
47 demanda :
- Mais que font tous ces gens ?
Slow lui répondit en étouffant un soupir :
- Le patron vous expliquera tout ça dans quelques minutes 47, alors soyez patients !
Ils arrivèrent au même moment devant une autre porte en bois et les deux gardes s'effacèrent pour laisser entrer 47 qui referma la porte derrière lui.
47 se retrouva dans un immense et luxueux bureau, avec un balcon de lequel on avait une magnifique vue de New York.
47 se rendit sur le balcon et se pencha pour admirer la vue quand une voix grave demanda d'un ton amusé :
- La vue vous plaît, agent 47 ?
47 se retourna pour observer l'individu : c'était un homme d'une quarantaine d'années, avec des cheveux sombre et de grands yeux marrons.
Il portait un ensemble et un chapeau de cow-boy noir, ce qui fit froncer les sourcils de 47 qui répondit cependant avec calme :
- Oui, c'est une très jolie vue. Qui êtes-vous ?
L'homme sourit et tendit la main à 47 en disant :
- Je m'appelle Jacques Richards et je suis le chef de l'Organisation !
47 observa attentivement Richards avec ses yeux de tueur, puis il demanda :
- Pourquoi vous m'avez enlevé ?
Richards fronça légèrement les sourcils, puis dit à 47 :
- Asseyez vous, je vais tout vous expliquer !
47 s'assit et regarda fixement Richards, qui commença à parler d'une voix rauque :
- Comme je vous l'ai dit, je suis le chef de l'Organisation qui est une entreprise qui emploie des tueurs à gages, nous sommes en quelque sorte les rivaux de l'Agence.
Richards soupira et continua :
- Le hic, c'est qu'à part Slow et LeRoux, nos autres agents sont des incapables, alors je vous ai enlevé pour vous demander...
Richards se pencha et demanda tout en regardant 47 dans les yeux :
- Est ce que vous accepteriez de travailler à l'Organisation ?
47 se mit alors à réfléchir : il avait définitivement fait un trait sur son passé quand il avait éliminé Benjamin Travis et il ne voulait pas redevenir un tueur.
Mais, en même temps, il avait été crée pour tuer, c'était un clone qui n'éprouvait pas de sentiments et le meurtre était sa passion, son leitmotiv que dis-je : sa vie !
C'est pour cette raison que 47 se pencha et demanda à Richards :
- Pour tous mes contrats, vous me fournirez les informations nécessaires ainsi que le chauffeur et bien sur, l'argent ?
Richards sourit et serra la main de 47 en disant :
- Bien sur et bienvenue parmi nous, 47 !
Richards se mit soudainement à taper sur son bureau et la porte s'ouvrit, laissant entrer 2 personnes : un grand blond borgne avec des yeux noirs qui fixait 47 avec mépris et un petit brun avec des yeux verts et un costume de scientifique qui fixait 47 avec crainte et respect.
Richards désigna le premier homme en disant :
- 47, je vous présente le sous-chef de l'Organisation, Edward Hoolicant !
Hoolicant hocha rapidement de la tête pour saluer 47 et Richards désigna ensuite le second homme en disant :
- Et voici le responsable des briefings et du service informatique de l'Organisation, Jack Ryan !
Ryan hocha timidement de la tête et Hoolicant se mit à parler de sa voix grave :
- Avant de pouvoir devenir un véritable membre de l'Organisation, tu vas devoir passer des tests : 3 contrats sélectionnés par mes soins que tu vas devoir accomplir pour devenir un véritable membre de l'Organisation !
Richards remarqua la mine contrarié de 47 et enchaîna :
- Mais avant ça, Ryan va vous faire visiter nos installations !
Ryan hocha la tête et dit d'une petit voix aigue :
- Suivez moi, 47 !
47 sortit du bureau et retourna dans la salle centrale où Ryan se mit à parler :
- Nous sommes ici dans la salle de contrôle, c'est là où nous recevons les demandes de contrat et que nous expédions l'argent sur le compte des employés !
Ryan sortit de la pièce et se dirigea vers une autre grande salle dans laquelle se trouvait 3 alcôves. Il expliqua :
- La première pièce à ta droite, c'est le stand de tir ! La pièce à gauche, c'est la salle de réunion et la salle du milieu, c'est le local des scellés, c'est impossible d'y rentrer !
Ryan se tourna vers 47 et lui dit :
- Maintenant, vous allez rentrer chez vous, Hoolicant va sélectionner le 1er contrat et on viendra vous chercher ! Sur ce...
Une matraque s'abattit de nouveau sur son crâne et il entendit Ryan terminer :
- Bonne nuit 47 !
Sur ses mots, il s'évanouit une fois de plus...