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la ligue des fans de Tarantino (Analyse Django unchained)

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Re: la ligue des fans de Tarantino

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WIKI : Le réalisateur Steven Soderbergh est crédité dans l'équipe de tournage, en tant que directeur d'une seconde équipe.

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Re: la ligue des fans de Tarantino

C'est exactement ce que je dis !! N'imp ces rumeurs, c'est pour se faire une pub toute prête faut pas se leurrer^^

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Re: la ligue des fans de Tarantino

D'accord Mad Max je m'incline, j'avais tord :)

"le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé et ceux qui creusent, et toi tu creuse"

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Re: la ligue des fans de Tarantino

une petite interview de l’équipe du film centrer sur la musique:

Edité par batjas le 18/12/2012 - 23:34

"le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé et ceux qui creusent, et toi tu creuse"

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Re: la ligue des fans de Tarantino

YEAH !!

Pour Noël aux States et le 16 janvier en Europe n'oubliez pas.

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Re: la ligue des fans de Tarantino

Il est grandement l'heure de remonter ce topic avec un retard de 4 jours impardonnables, pour parler bien évidement de DJANGO unchained.

J'ai été le voir aujourd'hui et il faut dire pour commencer que le film a reçu un accueil assez incroyable tans du coter de la critique que du coter du public. Personnellement j'y suis allez a reculons non pas parce que je n'aime pas Tarantino bien entendu mais parce que j'avais peur. Peur de la déception face à mes souvenirs de films qui resterons graver dans ma mémoire, puisque le dernier en date (Inglorious basterd) ne m'a pas autant marquer que les autres même si le film est très bon, je ne saura pas comment l'expliquer mais enfin c'est comme sa.
Et quand j'ai su que Tarantino ce lançait dans un western j’étais assez enthousiaste mais en voyant la première bande annonce j'ai été refroidis, je la trouvais trop banal elle ne retranscrivait pas ce que j'avais aimer dans ces précédent film a part les quelques punchlines et le sang qui gicle sur le coton. Et c'est pour sa que je n'attendais rien en me rendant à la séance et c'est la que je me suis rendu compte que j'avais sous estimer la bêtes et m’étais tromper sur toute la ligne.

Je vais me lancer dans une analyse sans prétention aucune, je risque de spoiler mais je ne veut pas couper le texte en insérant les "spoiler" donc si vous ne l'avez pas vu je vous conseil de ne pas lire ce qui va suivre, Si vous pouviez me donner votre avis sur cette critique sa serait sympas (
Elle est un peu longue je suis desoler mais je me suis laisser emporter par la passion
):

DJANGO s'ouvre dans la pure tradition des westerns hollywoodiens: un paysage aride ou petit grains de sable et rochers foisonne pour nous dépeindre l'ouest américain. Après ce début très traditionnel la camera s'abaissent et nous révèle la bonne idée de Tarantino, implanter le thème de l'esclavage dans un western parce que, bien évidement une telle idée était impossible quand des réalisateurs comme John Ford on écrit l'histoire du western (même encore aujourd'hui le thème semble tabou, on l'a bien vu avec la fausse polémique totalement débile et la sortit de spike lee absolument incompréhensible).
On suis donc ces esclaves enchainer, escorter par des négrier qui partent pour être vendu, mais le destin semble avoir choisit une autre route pour ces malheureux. C'est la que le Dr King Schultz incarner par christoph waltz au renne d'une diligence pour le moins original sort du brouillard, il embarque avec lui un esclave qui n'est autre que Django qui détient des informations d'on il a besoin.

Et c'est l'histoire d'un voyage initiatique entre un natif Européen solitaire chasseur de prime, arrivé depuis quatre ans aux état-unis c'est un peut le cowboy par excellence dans ce qu'il a de plus égoïste et cupide, mais qui parle avec une verve qui déstabilise ce qui croise sont chemin au point qu'elle semble être une arme plus efficace que le meilleur des colts, et un esclave afro américain né au états unis incarné par Jamie fox.

Cette association au départ très intéresser devient plus qu'un simple échange d'information contre une liberté très artificielle, Schultz sent que cet esclave à un potentiel, il est insoumis et insolent. De plus il veut retrouver sa femme et c'est cette carotte que Shultz agitera pour l'inciter à le seconder dans sa chasse à la prime. Et donc au-delà du voyage initiatique, c'est le thème de la vengeance très important dans le genre du western et chère à Tarantino que ce film traite.

Je n'ai pas pu m’empêcher en voyant le film et en y repensant de faire un parallèle avec Léon, je ne sait pas si Tarantino a parler de cette référence dans ses interview, mais c'est vrai que le voyage initiatique + la quette de vengeance + les chasseur de prime me rappelle ce film que j'adore, de plus Django c'est un peu mathilda, un personnage qui n'a pas de légitimité dans le monde qui l'entoure l'un parce qu’il est noir et l'autre parce qu'il a 12 ans et puis en les lunette que Django porte, ronde ressemble à s'y m’éprendre à celle qui font partie de l'apparat de nettoyeur de Léon. La quête de Django l’amènera à tuer ses ancien oppresseur, à apprendre à tirer et a tuer de sang froid, il devra revêtir des costume pour se fondre dans le paysage.

Malgré sont aspect très cinématographique et ancrée dans une volonté de divertir, on ne peut pas nier que le film malgré des liberté dans l'espace temporel auquel ce déroule le film, il a une certaine valeur historique indéniable dans laquelle Quentin Tarantino nous livre son point de vue. il ne peut s’empêcher de mettre l'histoire de l’Amérique fasse a ses contradiction, une Amérique ou l'on traite des hommes comme de vulgaire objet, ou la justice n'existe pas, seule le bruit des colt siffle et résonne pour faire sonner le verdict et ou chaque parcelle de terre est tacher du sang des innocent.
Un seul homme dénote dans cet univers c'est bien évidemment Django qui lui a un but noble poussez par des sentiment pur. Le premier meurtre de sang froid de Django illustre ce propos, Shultz le pousse a tuez un homme recherché devant son fils sans aucun scrupule et Django qui semblait prêt a tuez des blanc pour le plaisir mais qui une fois devant le fait accomplit ne voit plus la couleur mais l'Homme.
C'est après cet acte que Django s'endurcit, ne voyant plus que sont but et ne se souciant plus des moyens pour l'atteindre il dépasse le maitre dans la violence et l'insolence qu'il est prêt a déployer pour revoir sa femme quitte a renier une quelconque solidarité entre lui et la communauté noire. il est un électron libre au même titre que Clint Eastwood dans la trilogie du Dollar. Mais une fois qu'il réussi avec Schultz retrouver sa femme chez Leonardo Dicaprio alias Calvin Candie un négrier violent et psychopathe auquel il veulent l'acheter en lui faisant croire qu'il sont intéresser par le "mandigo fight" (je ne connais pas la traduction en francais), et bien son masque de bad boy ne tient plus et ils sont démasquer par Samuel l. jackson, Stephen un noir insolent et très intelligent qui voient l'entourloupe ainsi il se voient obliger de l'acheter au prix fort sinon Calvin la tuera. Mais tout ne se passera comme prévue et Django sera de nouveau séparé de sa femme, ne renonçant jamais il va repartir la sauver et régler ses compte une bonne fois pour toute pour accomplir sa vengeance avec un "V" majuscule. une fois accomplit Django part en héros, symbole d'une certaine émancipation du peuple noir à l'aube de la guerre de sécession.

La force de ce film réside dans la capacité de Tarantino à rendre le kitsch drôle et a manier "l'oxymore" notamment dans la scène très violente de Mandigo fight ou une esclave noir fait tomber des bonbons de toute les couleur après le retentissent "finish him!!!". Tarantino en enfant du Texas est dans son élément et n'a jamais autant soigner l'image de son film avec de magnifique paysage et un rapport à la lumière dans la pure tradition des western.


En tout cas ce qui est sure c'est que, peut être que le "D" de DJANGO est muet mais le fracas de sa vengeance résonne encore dans les immense plaine arride du Texas.

Edité par batjas le 20/01/2013 - 02:55

"le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé et ceux qui creusent, et toi tu creuse"

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Re: la ligue des fans de Tarantino

Quelques critiques web sur le film :




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Re: la ligue des fans de Tarantino (Analyse Django unchained)

Citation:
Tarantino en enfant du Texas est dans son élément

Tellement dans son élément que...
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Re: la ligue des fans de Tarantino (Analyse Django unchained)

spoiler à regarder seulement si vous avez vu Django Unchained et Reservoirs Dogs

Edité par Born to wild le 20/01/2013 - 11:20
Portrait de batjas
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Re: la ligue des fans de Tarantino (Analyse Django unchained)

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"le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé et ceux qui creusent, et toi tu creuse"