Petite critique tres rapide, histoire d'exprimer vite fait mon ressenti sur le film.
Headhunters, est un film sympatoche, sans etre non plus un chef d'oeuvre. J'ai bien aimé le jeu de Aksel Hennie, mais j'ai moins fait gaffe a celui des autres acteurs. Le scénario est sympa et se laisse suivre sans pour autant proposer de grosses surprises. Fin bref, je sais pas trop quoi dire sur le film, étant donné qu'il n'y a pas grand chose a en dire xD
C'est un thriller sympatoche, et qui se laisse regarder sans déplaisir. Je vous le recommande ;)
Le sixième sens (1987) de Micheal Mann (Collateral, Heat, le dernier des Mohicans).
Une fois encore, je n'ai pas aimé, je me suis même pas mal ennuyé !
Le film ne fait que 2 heures mais j'ai eu l'impression d'y être resté 4h !
La bande-son, typique des 80s, a quand même réussi à me tenir éveiller, idem pour l’esthétisme en générale (décors, couleurs) apportant une petite ambiance au film.
Par contre la mise en scène... vraiment pas terrible ! Idem pour le jeu des acteurs, l'intrigue creuse et molle qu'on suit sans réel intérêt et le rythme n'est pas super..
Ce film a du charme mais il n'est très clairement pas à mon goût et à la hauteur de son remake.
Je sais pas quoi trop dire, si ce n'est rien. Ca n'a rien à voir avec ce que j'attendais et on est loin du niveau du silence des agneaux, y'a énormément de moments de flottements ou il ne se passe pas grand chose.
Le docteur Lecter fait quelques caméos mais il ne sert à rien on le voit bien trop peu... A mon grand regret.
Mis à part ça la bande son est cool et quelques scènes sont sympathiques avec le dragon rouge.
Rien de mémorable pour ma part, à part les fringues et les coupes de cheveux. (Mais pas un calvaire non plus hein ça se regarde)
So kitsch.
Miami Vice / 10
Citation:
Ah l'attraction du train de vienne c'est pas celle là ou il y a le passage en formule 1 assez génial?
J'ai toujours eu un peu de mal avec les vieux films, ça doit être le 2nd film le plus ancien (après freaks) que j'arrive à regarder en intégralité.
L'histoire, je pense que tout le monde la connaît vu qu'elle a été reprise dans plusieurs films: un scientifique parvient à se rendre invisible et se transforme en tueur.
Les effets spéciaux sont réussis pour l'époque, la voix de l'acteur principal est assez creepy et le noir et blanc donne un certain cachet au film.
Le film arrive à alterner des moments de suspense avec des passages davantage comiques.
à voir au moins une fois
note: 7/10
Je me suis aperçu que j'avais déjà vu l'homme qui tua liberty valance (certainement dans un cycle western sur canalsat), bref pour compenser je materai la part 2 du batman pour avoir une vue d'ensemble.
edit: pas mieux pour la critique de rambo 3 et encore je ne sais pas où tu as réussi à trouver les 3 points
Le Sixième Sens
J'avoue que j'ai été assez surpris par Le Sixième Sens. En fait, je ne m'attendais pas à un film avec un rythme aussi lent, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film surtout dans la 1er partie. J'ai bien plus aimé lorsque le meurtrier se dévoile. Le film préfère jouer sur son ambiance 80's et son esthétique, même si ça ne m'a pas vraiment parlé. Il y a beaucoup de moments de flottements.
Malheureusement, je me suis ennuyé devant Le Sixième Sens, au final le film m'a laissé de marbre.
Le bonus ▼▲
J'en profite qu'on soit dans les années 80, car j'ai découvert un très bon montage vidéo récemment, je me dit que ça devrait parler à quelques fans des films des années 80. Il y a quelques petits spoils (ça reste très court), les films sont notés dans la description.
Voila :)
Le Locataire
L'histoire se centre sur le personnage de Trelkovsky, un homme simple et humble qui loue un appartement. Dès le début du film on se retrouve en empathie pour Trelkovsky. C'est derrière ce personnage plein de bonnes intentions que va naître une schizophrénie et une folie furieuse.
Le film alterne entre des scènes de la vie commune et d'autres beaucoup plus angoissantes. Comme le héros, on se demande si tout est bien réel
Spoiler ▼▲
(les gens à la fenêtre dans l'appartement dans face).
Pour conclure, j'ai adoré ce film et cette tension qui monte jusqu'à la fin.
Petit freestyle sur le 6ème Sens avant d'enchaîner sur les films de Teufeu (me manque plus que le film de Lumet à voir !)
En espérant que ce soit lisible, je me suis bien amusée à la faire !
Film d'animation retraçant les aventures de batman.
Cette fois on a droit à un batman vieillissement qui reprend du service après 10 ans d'inactivité pour face à une nouvelle menace.
Les deux films sont construits de manière similaire, à savoir une première partie axée sur un ennemi récurrent de l'univers de batman et l'autre mettant en scène des ennemis inédits (du moins à ma connaissance). On n'est donc pas dépaysé en retrouvant double face et le joker.
Dans la première partie on a droit à un nouveau gang: le gang des mutants dont le chara design est largement pompé de hokuto no ken. Le chef de la bande est stéréotypé et on peut dire que c'est un méchant vraiment méchant; quant à l'apparition de double face, elle est aussi furtive qu'inutile.
La seconde partie commence fort avec un tranny nazi affublé de croix gamées pour cacher ses seins... et souci du détail oblige, il utilise des armes d'époque (MP40, lüger). Ensuite vient l'apparition du joker (meilleur moment de l'anime) pour finir sur un duel entre batman et superman.
Ce face à face, justement, est à la frontière du nanar: on voit superman qui vient de détourner un missile nucléaire lancé par les vilains soviétiques se faire dérouiller par un papy batman qui s'est fait charcuter le bide.
Côté réalisation, j'ai été choqué au début par l'animation, les arrières plans sont encore moins animés que ceux de street fighter 2 mais au final, plus le film avance plus on arrive à s'y faire.
Aussi, je ne sais pas vraiment ce qu'ils ont voulu faire avec le personnage de batman mais ils lui ont fait une telle mâchoire carrée qu'il ressemble à un frère bogdanov, et le personnage de Robin est tout droit sorti d'un anime bas de gamme du club dorothée.
Le film essaie aussi de faire une satyre de notre société et n'épargne ni les fonctions régaliennes ni les médias, mais là encore rien de bien transcendant.
A ce titre l'armée et la police passent pour des incapables finis: ils ratent leur cible à moins de 2 mètres, ils ont 2 de tension et aucune organisation...
Vers la fin, les scènes dégoulinantes de bons sentiments s'enchaînent et sont vraiment too much.
conclusion: à voir seulement pour l'intrigue du joker
note: 5,5/10
Citation:
Il me reste plus qu'un film à voir :p
je te conseille deep red dans la liste de superquick
Pas de critiques « farfelues » ce mois-ci, je vais retourner aux fortes, magnifiques, grandioses critiques textuelles pour le grand bonheur de notre ami Yoco.
{ Mondo Plympton } de Bill Plympton (1999)
Spoiler ▼▲
Il y a quelque chose de fascinant dans cette compilation de court-métrages. Oh non, je ne vais pas vous parler de la qualité des films ou du talent incroyable de Monsieur le réalisateur. En tout cas, je ne vais pas vous en parler tout de suite.
Je vais dans un premier temps discuter avec vous de la confusion à laquelle j’ai fait face lorsque j’ai dû comprendre et assimiler le contenu de cette compilation.
Aux Etats-Unis, Mondo Plympton a été diffusé à la télévision sous la forme de 9 court-métrages réalisés quelque part entre 1980 et 1999. Référencé de la sorte, les gens discutent joyeusement de ces 9 court-métrages sous la banderole « Mondo ». Bien sûr, ce ne sont pas des court-métrages inédits mais il est de toute façon assez difficile d’avoir la chance d’en regarder autant en dehors des festivals ! Bref, c’était l’option parfaite pour le fan occasionel.
En France, Mondo Plympton a bénéficié d’une sortie DVD chez un éditeur indépendant mais la « gaffe », c’est que les « 9 » court-métrages se sont transformés en « 11 » et que les films proposés n’étaient presque plus du tout les mêmes, ah.
Comme c’est embêtant.
Je fais donc, pour la première fois, face à deux films qui sont littéralement vendus sous le même nom mais qui n’ont pas du tout le même contenu. Imaginez un peu la confusion lors de discussions potentielles entre deux fans pensant avoir vu le même « film ».
Oui, on s’occupe comme on peu.
Bref, j’ai regardé la version française de la compilation.
Et qu’est-ce que c’est intéressant !
Peut-on parler un peu de M. Plympton ? Il est grand, beau et fort et en plus il sait dessiner et animer comme c’est pas permis. Certes il se fait vieux maintenant mais, eh, on peut pas tout avoir.
L’animation poussée à l’extrême, c’est lui. Il est toujours brillant de voir comment animer devient une façon d’exprimer des choses impossibles, absurdes, folles. Plympton est un génie dans le sens où il réussit à embarquer son spectateur dans un univers extrême, il touche tout le monde sans exception.
Bien sûr, sa passion et son audace sont particulièrement intrigantes lorsqu’on prend soin de remarquer qu’il travaille seul dans une sorte de brouillon infini, qui tourne en boucle sans effort (ou presque). Le rire semble être son arme de prédilection, et tant mieux. On apprécie tellement ses blagues, son humour noir (mais pas trop). Certains regretteront peut-être l’incohérence, ce n’est pas situé dans le concret, un peu satyrique tout au plus. On a peur de faire face à une vitrine technique exploitant les moindres possibilités de l’animation traditionnelle. « C’est pas faux », comme dirait l’autre. C’est un parti pris et on s’amuse comme des petits fous. « Oui mais ça se répète un peu » « Oh chut ! » Mais bon, il y a tout de même beaucoup d’ingéniosité à déguster lorsqu’un nouveau petit film se lance.
On en fait plus, des comme ça.
3,5/5
{ La vieille dame et les pigeons } de Sylvain Chomet (1997)
Spoiler ▼▲
Paris est belle, sexy, voluptueuse. Paris est la ville de l’amour, de la beauté, du luxe.
Les pigeons vivent à Paris. Les pigeons sont sexy, beaux, envoûtants.
Et surtout très appétissants.
Il était une fois un vieux gendarme n’ayant plus de quoi se nourrir de façon digne. Heureusement, il fait la connaissance d’une dame (vieille) qui donne des pépites au chocolat aux grassouillets et hilarants pigeons. Sa situation désespérée semble s’éclipser lorsqu’il a la brillante idée de se transformer en pigeon afin d’obtenir le Saint Graal : la bonne bouffe.
Dans cet incroyable court-métrage complètement hallucinant par son histoire, M. Chomet dénonce, dégoûte, nous fait rire. C’est un somptueux mélange de multiples émotions, le tout ponctué par une mise-en-scène perturbante où pigeons, Américains et autres petits trucs ronds se déplacent de la même façon. C’est une sorte de danse épuisante décrivant la façon dont le glauque rejoint la poésie avant de se terminer dans une course folle dans laquelle l’humour hoche la tête en vous disant « Regardez-moi et riez face à cette horreur ».
J’ai regretté quelque peu le carnage trop poussé. On est face à un véritable film d’horreur et le dégoût pourrait en rebuter quelques-uns. Bien sûr, on est forcément admiratifs et j’ai très envie de voir les autres œuvres de M. Chomet, peut-être quelque chose de plus calme, plus posé, pourrait m’envoûter au point de le soutenir devant ma télé.
On ne sait jamais.
On en fait plus des comme ça (bis) mais cette fois c’est un gentil monsieur Français.
Que demande le peuple ?
(j’ai aussi beaucoup apprécié les autres court-métrages, bien qu’ils soient forcément bien moins développés, Bob’s Birthday est tout de même un excellent vaudeville)
3,5/5
{ Memories } de Kouji Morimoto, Tensai Okamura et Katsuhiro Ootomo (1995)
Spoiler ▼▲
/ !\ Alerte COM-PI-LA-TION
Pffff, cela faisait tellement longtemps que j’entendais parler de ce film japonais. Le souci, c’est lorsqu’on fait grandir cette envie, on l’entretient, on la chouchoute. Puis le moment chéri vient enfin, on le regarde, on le juge.
Et on est déçus.
Enfin, ça c’est ce qui arrive dans la plupart des cas.
Je n’ai pas été déçue avec Memories.
Difficile, lorsqu’on éprouve un respect immense pour M. Satoshi Kon, de ne pas trembler un peu en regardant Magnetic Rose. Cette prouesse, cette tension. Je vais vous dire : lorsqu’on a cette « chose » qui nous attire pour l’animation, ce petit « machin » qui nous pousse à chercher d’autres œuvres encore et encore, on est vraiment conquis lorsqu’on regarde Memories. Et là, je me rends compte que j’utilise beaucoup de superlatifs, c’est mal. Pire, je fais ça avec tous les films que j’ai vus pour l’instant. Je suis désolée.
C’est juste que c’est si bien que ça.
L’esthétisme est juste, et le premier scénario nous permet de nous embarquer complètement dans l’aventure. Tout semble avoir été planifié, choisi, de telle façon à ce qu’un rien nous coupe le souffle. On va dire que j’ai été tellement impressionnée que je n’ai pas pu m’empêcher de trouver la 2e partie plus essoufflée dans son idée : une sorte de Wargames ridiculisé. Encore une fois, l’animation est incroyable et fourmille de détails et de passion. Le scénario et le style ne sont pas du tout les mêmes, certes, mais on profite et on s’amuse énormément.
Résumons un peu, 1ère partie : Alien rencontre The Phantom of the Opera. C’est fou, incroyable. La deuxième partie je vous en ai déjà parlé et enfin, la troisième. C’est un message presque subtile, doux et finalement peu rébarbatif. L’esthétisme prend encore une fois le centre de l’œuvre et on apprécie, ou non, le non-scénario puis-qu’aucune péripétie ne perturbe la vie de nos bien-heureux, fiers de mener la guerre de l’URSS- euh le pays imaginaire tenus par des communi- euh des gens rouges ahah ouh j’ai chaud ici.
Bref il y a tellement d’idées en si peu de temps qu’on en ressort ébloui. On se rend compte enfin de la chance qu’on a d’avoir accès à ce type de films.
On est juste très satisfaits tout simplement. Une bonne chose de faite je dirais.
4/5
{ Manhunter } de Michael Mann (1986)
Spoiler ▼▲
« Oui alors j’ai vu le film mais moi j’ai préféré le film qui est sorti après » Jean-Poul Kritic, qui n’a pas trop aimé Manhunter.
On rigole, on rigole, mais Jean-Poul il n’a pas tort.
J’ai bénéficié d’une chance (ou plutôt mon côté inculte m’a fait signe) incroyable puisque je n’ai vu aucun des films ou séries mettant en scène le fameux Lektor, euh non, Lecter. Quoi de mieux pour se plonger dans l’univers que la première œuvre cinématographique avec ce personnage « pluglok tu meurs » ?
Il transpire les années 80, d’accord, bon, ce n’est pas grave hein. Ça peut arriver à tout le monde. Un petit coup de fatigue et hop, te voilà un peu démodé, plus personne ne te regarde et on se moque même de tes habits. Qu’est-ce qu’on fait dans ce cas-là ? On fait le mort ? Non ! On s’assume et on fonce bien dans le tas pour montrer à quel point on est fou.
Ça ne peut pas fonctionner à tous les coups.
Le souci de Manhunter, c’est que son histoire n’impressionne plus grand monde. M. William, je n’ai pas non plus apprécié votre façon de vous dandiner pour montrer à quel point vous êtes fâché, confus, parano, bref toutes ces émotions qui ne rendent pas si bien finalement. Heureusement, Noonan est là et mon Dieu, qu’il est effrayant et convaincant. J’ai vraiment eu peur lorsqu’on l’aperçoit pour la première fois, en fusion parfaite avec un collant transparent. Une véritable tension, un malaise planent lorsque son personnage décrit ses ambitions, avant de nous offrir sur un plateau une des choses les plus effrayantes qu’il m’ait été donné de voir (indice pour vous, chez vous : je brûle).
Malheureusement, on ne sait pas trop ce qu’on doit faire en regardant ce film. Soit on accroche au point d’être un fou passionné (finalement comme le grand méchant), soit on transpire et on attend un peu en écoutant de la musique très trop pop rock 80’s ouh là là ça pique.
Disons que la scène de fin plombe énormément le film par son infatigable niaiserie.
Quelques plans cinématographiques attireront l’œil, mais on ne peut pas s’empêcher de crier « Oui, mais pourquoi ? » avant de replonger dans une sorte d’indifférence. Ce n’est pas forcément désagréable, mais ce n’est pas spécialement fascinant non plus.
Je ne suis pas tombée dedans quand j’étais petite.
Bon, j'avoue que j'ai eu un peu peur quand j'ai vu Eddie Murphy au casting. Mais j'avais tort, il s'avère assez bon dans le film, il ne fallait donc pas que je me fie aux apparences. Elles peuvent être trompeuses... c'est ce que cette petite comédie sympathique démontre, sous ses airs de film léger.
L'histoire, c'est celle de deux requins de la bourse qui s'amusent à bouffer tout crus les gens, et à monter des petites expériences sociologiques sur la nature humaine, entre eux, parce que c'est trop cool les cobayes. Aussi, peut-on faire d'un petit voyou un véritable prince et le plus snobinard des mecs fortunés une vraie loque ? Est ce dans les gênes, dans le caractère ou bien environnemental ? Et puis, tiens, et si on essayait pour savoir ? On parie un billet ?
Je vous laisse deviner la suite...
Le film réussit à aborder des sujets assez graves sans jamais être lourd, même si nous pouvons deviner la morale un peu conventionnelle avant la fin. Mais ce n'est pas grave. J'ai passé un bon moment, la comédie est passée crème, ce qui est un bon point me concernant. J'ai également retrouvé le John Landis amoureux des animaux dans ce film, ce qui m'a fait sourire. La scène du train est également réussie, je crois bien que c'est ma préférée ! Oh, et puis, il y a Jamie Lee Curtis (que j'avais même pas reconnue au début), et ça c'est bien !
Pas un vrai coup de coeur, mais agréable à suivre !
Une critique plutôt difficile à faire, de par le caractère très original du film ainsi que par le fait que je sois sortie très déçue de cet animé.
Décidément... je suis désolée pour Nady et Teufeu d'être aussi dure avec leur film d'animation japonais, dont je suis plutôt friande d'habitude mais là...
Plusieurs choses qui expliquent cela :
- je m'attendais à un truc de fou furieux aux vues des critiques/ notes positives sur les sites de référence.
- j'ai détesté le style, et ça, c'est en grande partie ce qui a plombé tout le reste. Oui, c'est hyper original, ça foisonne d'idées à la seconde. C'est survitaminé et super créatif ! Mais non. Je me suis ennuyée et je n'ai absolument pas accroché au délire. Même les quelques élans de génie et de poésie présents n'ont pas suffi à me faire sortir de ma torpeur.
- en bonus, du mauvais goût typiquement jap : des mecs pervers, des crottes, de l'excès eeetc...
Oui, le but du film n'est pas de faire dans la demi-mesure. Oui, c'est une ode assumée à la liberté créative, à la vie, et aux possibilités infinies qu'elle nous offre. J'adhère complètement au message, je n'ai juste pas aimé sa mise en forme.
J'admets que le film est audacieux et va au bout de ses idées, je respecte profondément cela, et la démarche artistique qui va avec. Après tout, déplaire fait aussi partie du rôle de l'Art. C'est même à cela qu'on le reconnait.
Et puis, je crois bien que la prochaine fois, je prendrai mes dispositions avant d'appréhender un film aussi barré...
Petite critique tres rapide, histoire d'exprimer vite fait mon ressenti sur le film.
Headhunters, est un film sympatoche, sans etre non plus un chef d'oeuvre. J'ai bien aimé le jeu de Aksel Hennie, mais j'ai moins fait gaffe a celui des autres acteurs. Le scénario est sympa et se laisse suivre sans pour autant proposer de grosses surprises. Fin bref, je sais pas trop quoi dire sur le film, étant donné qu'il n'y a pas grand chose a en dire xD
C'est un thriller sympatoche, et qui se laisse regarder sans déplaisir. Je vous le recommande ;)
Le Sixième Sens
Le sixième sens (1987) de Micheal Mann (Collateral, Heat, le dernier des Mohicans).
Une fois encore, je n'ai pas aimé, je me suis même pas mal ennuyé !
Le film ne fait que 2 heures mais j'ai eu l'impression d'y être resté 4h !
La bande-son, typique des 80s, a quand même réussi à me tenir éveiller, idem pour l’esthétisme en générale (décors, couleurs) apportant une petite ambiance au film.
Par contre la mise en scène... vraiment pas terrible ! Idem pour le jeu des acteurs, l'intrigue creuse et molle qu'on suit sans réel intérêt et le rythme n'est pas super..
Ce film a du charme mais il n'est très clairement pas à mon goût et à la hauteur de son remake.
4/10
Faites sauter la banque
Une comédie avec Louis de Funès pas très connue par rapport à sa filmographie mais qui vaut le coup d’œil.
6/10
Rambo III
...
3/10
Le Sixième Sens
Je sais pas quoi trop dire, si ce n'est rien. Ca n'a rien à voir avec ce que j'attendais et on est loin du niveau du silence des agneaux, y'a énormément de moments de flottements ou il ne se passe pas grand chose.
Le docteur Lecter fait quelques caméos mais il ne sert à rien on le voit bien trop peu... A mon grand regret.
Mis à part ça la bande son est cool et quelques scènes sont sympathiques avec le dragon rouge.
Rien de mémorable pour ma part, à part les fringues et les coupes de cheveux. (Mais pas un calvaire non plus hein ça se regarde)
So kitsch.
Miami Vice / 10
Si si.
@Lockoss: Aaaah je suis entièrement de ton avis ! ... mais.. mais attend voir un peu ! :D
Il ne vous reste plus que 3 jours !
L'homme invisible proposé par fuegosuave
Je me suis aperçu que j'avais déjà vu l'homme qui tua liberty valance (certainement dans un cycle western sur canalsat), bref pour compenser je materai la part 2 du batman pour avoir une vue d'ensemble.
edit: pas mieux pour la critique de rambo 3 et encore je ne sais pas où tu as réussi à trouver les 3 points
Le Sixième Sens
J'avoue que j'ai été assez surpris par Le Sixième Sens. En fait, je ne m'attendais pas à un film avec un rythme aussi lent, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film surtout dans la 1er partie. J'ai bien plus aimé lorsque le meurtrier se dévoile. Le film préfère jouer sur son ambiance 80's et son esthétique, même si ça ne m'a pas vraiment parlé. Il y a beaucoup de moments de flottements.
Malheureusement, je me suis ennuyé devant Le Sixième Sens, au final le film m'a laissé de marbre.
Le Locataire
L'histoire se centre sur le personnage de Trelkovsky, un homme simple et humble qui loue un appartement. Dès le début du film on se retrouve en empathie pour Trelkovsky. C'est derrière ce personnage plein de bonnes intentions que va naître une schizophrénie et une folie furieuse.
Le film alterne entre des scènes de la vie commune et d'autres beaucoup plus angoissantes. Comme le héros, on se demande si tout est bien réel
Pour conclure, j'ai adoré ce film et cette tension qui monte jusqu'à la fin.
Il me reste plus qu'un film à voir :p
Yo !
Petit freestyle sur le 6ème Sens avant d'enchaîner sur les films de Teufeu (me manque plus que le film de Lumet à voir !)
En espérant que ce soit lisible, je me suis bien amusée à la faire !
Batman returns part 1&2 proposé par fuegosuave
je te conseille deep red dans la liste de superquick
Pas de critiques « farfelues » ce mois-ci, je vais retourner aux fortes, magnifiques, grandioses critiques textuelles pour le grand bonheur de notre ami Yoco.
{ Mondo Plympton } de Bill Plympton (1999)
{ La vieille dame et les pigeons } de Sylvain Chomet (1997)
{ Memories } de Kouji Morimoto, Tensai Okamura et Katsuhiro Ootomo (1995)
{ Manhunter } de Michael Mann (1986)
Oh, si j'avais su ! Perso, je préfère (de peu) Brendan mais le Chant de la mer est tip top, c'est clair !
Un fauteuil pour deux, de John Landis (1983)
Bon, j'avoue que j'ai eu un peu peur quand j'ai vu Eddie Murphy au casting. Mais j'avais tort, il s'avère assez bon dans le film, il ne fallait donc pas que je me fie aux apparences. Elles peuvent être trompeuses... c'est ce que cette petite comédie sympathique démontre, sous ses airs de film léger.
L'histoire, c'est celle de deux requins de la bourse qui s'amusent à bouffer tout crus les gens, et à monter des petites expériences sociologiques sur la nature humaine, entre eux, parce que c'est trop cool les cobayes. Aussi, peut-on faire d'un petit voyou un véritable prince et le plus snobinard des mecs fortunés une vraie loque ? Est ce dans les gênes, dans le caractère ou bien environnemental ? Et puis, tiens, et si on essayait pour savoir ? On parie un billet ?
Je vous laisse deviner la suite...
Le film réussit à aborder des sujets assez graves sans jamais être lourd, même si nous pouvons deviner la morale un peu conventionnelle avant la fin. Mais ce n'est pas grave. J'ai passé un bon moment, la comédie est passée crème, ce qui est un bon point me concernant. J'ai également retrouvé le John Landis amoureux des animaux dans ce film, ce qui m'a fait sourire. La scène du train est également réussie, je crois bien que c'est ma préférée ! Oh, et puis, il y a Jamie Lee Curtis (que j'avais même pas reconnue au début), et ça c'est bien !
Pas un vrai coup de coeur, mais agréable à suivre !
Mind Game, de Masaaki Yuasa (2004)
Une critique plutôt difficile à faire, de par le caractère très original du film ainsi que par le fait que je sois sortie très déçue de cet animé.
Décidément... je suis désolée pour Nady et Teufeu d'être aussi dure avec leur film d'animation japonais, dont je suis plutôt friande d'habitude mais là...
Plusieurs choses qui expliquent cela :
- je m'attendais à un truc de fou furieux aux vues des critiques/ notes positives sur les sites de référence.
- j'ai détesté le style, et ça, c'est en grande partie ce qui a plombé tout le reste. Oui, c'est hyper original, ça foisonne d'idées à la seconde. C'est survitaminé et super créatif ! Mais non. Je me suis ennuyée et je n'ai absolument pas accroché au délire. Même les quelques élans de génie et de poésie présents n'ont pas suffi à me faire sortir de ma torpeur.
- en bonus, du mauvais goût typiquement jap : des mecs pervers, des crottes, de l'excès eeetc...
Oui, le but du film n'est pas de faire dans la demi-mesure. Oui, c'est une ode assumée à la liberté créative, à la vie, et aux possibilités infinies qu'elle nous offre. J'adhère complètement au message, je n'ai juste pas aimé sa mise en forme.
J'admets que le film est audacieux et va au bout de ses idées, je respecte profondément cela, et la démarche artistique qui va avec. Après tout, déplaire fait aussi partie du rôle de l'Art. C'est même à cela qu'on le reconnait.
Et puis, je crois bien que la prochaine fois, je prendrai mes dispositions avant d'appréhender un film aussi barré...