Ayant découvert Perfect blue et Paprika il n'y a pas si longtemps je me suis lancé avec gourmandise dans ce visonnage, et bien qu'étant assez casse gueule de passé derrière ces deux bestiaux je dois avouer que je n'ai pas du tout été déçu.
J'ai été hapé dès le début par l'histoire de ces trois biffins: Hana le travesti, Gin le vieil ours bouru et Miyuki le garçon manqué, tous trois sdf dans un tokyo s'appretant à fêter noel.
Très attachants dès le départ on prend plaisir à suivre leur aventure débutée à la découverte d'un nourisson près d'une poubelle.
Tout au long de leur parcours on commencera à en apprendre plus sur leur passé respectif et par la même comprendre comment ils en sont arrivés là. Les regrets sera le fil conducteur de ce film et le point commun de nos protagonistes, cependant on s'intéressera aussi à comment gérer ses regrets, en buvant, en essayant d'aller de l'avant ou tout simplement en essayant d'oublier, malheureusement on oublie jamais très longtemps, c'est pourquoi on retrouvera souvent nos héros face à face avec leurs choix passés et ceux à venir.
Il y a vraiment des passages émouvants notamment avec Gin dit "le vieux chnoc" et miyuki (mon perso préféré, tantôt téméraire tantôt peureuse) qui vera son caractère évoluer au contact du bébé.
Dans ce décor peu verdoyant et assez terne de part la difficulté qu'éprouve notre trio a survivre au jour le jour on arrive à percevoir certains moments de fraicheur voir d'humour, je pense tout particulièrement à la scène ou Gin attend le dernier souffle d'un vieil sdf, qui finira par mourir deux fois... voir trois avec l'arrivé des droogies d'orange mécanique version jap.
L'ost est très immersive et colle parfaitement aux dessins (que j'adore, tout comme l'animation), on aura le droit à beaucoup de musiques d'ambiance à base d'arcodéon, d'harmonica etc... ce qui donnera parfois l'impression de se ballader dans un vieux paris des années 50/60, un délice.
Mini bémol sur certaines coincidences un peu trop grosses mais bon on ne lui en tiendra pas rigueur.
La fin de film gardera son lot de surprises ce qui rajoute la petite cerise sur le gateau.
Bref, vous avez compris, j'ai beaucoup aimé et je le conseille à tous ceux qui seraient passé à côté.
Contrairement à d'autres, j'ai trouvé la première partie du film extrêmement mal négociée. Le jeu des acteurs principaux (comme les seconds rôles d'ailleurs) semblent en roue libre et manque de sobriété. On a l'impression que tout est vécu de manière externe. Les acteurs jouent à jouer et passent complètement à côté de l'émotion qu'ils sont censés vivre et susciter. C'est faux et artificiel avec pour conséquence de nous faire entrevoir des personnages bourgeois qui semblent plats et creux. Tout repose alors sur la mise en scène, qui multiplie des effets de stylisation intéressants mais qui alourdissent plus le propos qu'ils ne l'étayent. La montée en puissance du film se retrouve gâtée par une réalisation trop impatiente qui cherche à multiplier les indices sur la folie naissante et le mal-être de Cluzet.
Jusqu'à la scène de la projection. Alors le film bascule dans quelque chose qui m'a davantage parlé. Cette fameuse gifle, anodine en apparence, marque le point de non-retour et réellement (enfin!) le début de l'enfer. Comme une vague à marée montante, avec un reflux puis une avancée toujours plus lointaine qui emporte tout sur son passage. Je n'ai trouvé aucunement répétitive les crises de paranoïa qui s'instaurent alors. Elles poussent toujours un peu plus loin les personnages dans leurs retranchements. Béart et Cluzet quittent enfin leurs oripeaux de personnages auxquels eux-même ne croyaient pas pour faire naître avec justesse une fragilité à fleur de peau. La tension et le malaise montent enfin et on y croit. La scène de l'orage, avec tout ce qu'il représente comme symboliques, fonctionne à merveille. Les ellipses, les images fantasmées et troubles trouvent leur sens jusqu'à un final que j'ai trouvé plutôt bon et assez couillu pour le coup, où à la suite d'une erreur médicale grossière sous-estimant le degré de dangerosité de Paul (mais peut-être que cette rencontre avec le docteur n'était qu'un fantasme de plus?), le spectateur en vient à se demander si Nelly va réussir à passer la nuit, summum de l'angoisse. En nous laissant ainsi, en proie avec ce questionnement sur la sécurité physique de Nelly et avec des personnages au bord de la rupture, Chabrol n'a plus rien à montrer. L'enfer est enfin à son paroxysme et ne peut plus desserrer son étreinte.
J'ai fini ma critique sur Boy !
Bon, me reste plus cas colorié ... mais j'ai fini ! (après je sais pas si je vais colorier, je le ferais si j'ai le temps, j'ai 2 autres films à faire xD).
@ el tourteau : Je reviens rapidement sur Empire Records : en tout cas je te remercie d'avoir été sport et d'avoir voulu visionner le film car tu aurais clairement pu faire l'impasse dessus. C'est tout à ton honneur.
Pour Tokyo Godfathers, très bonne critique et je suis content qu'il te plaise surtout si tu connaissais déjà Satoichi Kon, alors tu ne peux qu'apprécier. Pour complèter sa filmographie dans ses oeuvres moins connue, je te conseille aussi Millenium Actress et son travail en tant que scénariste et directeur artistique sur le premier segment de l'anthologie Memories mijotée par Katsuhiro Otomo. Un très grand monsieur parti beaucoup trop tôt.
@ el tourteau : Je reviens rapidement sur Empire Records : en tout cas je te remercie d'avoir été sport et d'avoir voulu visionner le film car tu aurais clairement pu faire l'impasse dessus. C'est tout à ton honneur.
Bah pas vraiment, comme je l'ai dit j'étais assez motivé, c'était vraiment un film qui aurait pu me plaire.
Je suivrai vos conseils à toi et Yoco pour le reste de sa filmo.
Voila pour ma critique sur Boy.
Quelques petites précisions: Ceux qui n'ont pas vu le film ne comprendront pas la moitié des images, il y a pas mal de référence a tout un tas de chose, l'avant dernière et la dernière image sont fait de cette façon exprès, en rapport avec le film et pour un clin d'oeil.
Bref, pour tout comprendre, regardez le film et pis c'est tout !
Je vais colorier la BD également parce que avec le scanner, on voit bien que certains traits ne sont pas assez "appuyé". Mais bon dans le doute, si j'ai pas le temps de le faire dans le temps imparti, vous avez ma critique !
Ne cherchez pas Enfer, je vais essayer un truc bien plus construit, je rendrai la critique a Monsieur Kaz en fin de mois.
Donc les films de Notre ami Hugo super fan de comédies donc.
Spoiler ▼▲
Sur un arbre perché est une film franco-italien, réalisé par Serge Korber, c'est un réal qui a déjà travaillé avec de Funés dans le film , l'homme d'orchestre, un film plutot moyen, dans lequel on se fais relativement chier.
Autant dire que je m'attendais a mieux sur ce long-métrage.
Bon que dire de ce film, sincèrement , j'aime bien les films de de funés, en général je ne m'attends pas à grand chose, mais la gestuelle et les comiques de situations de l'acteur suffisent a rattraper un film dont le scénario est franchement à l'ouest en général, sans parler de la réalisation qui les films de oury mis à part est franchement pas le point fort des films de defunés.
Bon pas de chance j'ai pas accroché à ce film, déjà parceque le réalisateur à tout fait dans ce film pour bloquer la gestuelle de l'acteur afin d'insister sur son jeu, l'effet direct ben c'est que le film qui est censé etre une comédie avec Louis de funès, deviens franchement pas drôle.
Je n’ai pas beaucoup rigolé dans cette comédie que je qualifierai plutôt de film a du mal a ce placer entre comédie ou drame. Le coté survival a la « 127 heures » version française est sympa. Par contre, coté comédie, c’est pas au top. On pourrait dire que de funés sauve le film malgré tout car il reussis a se passer de sa gestuelle pour essayer d'etre drole mais avec moi la sauce n'a pas prise.
Louis De Funes est un comique qui déborde d’énergie mais il lui faut de la place et la, tout ce passe dans une voiture.
L'histoire dans les grandes lignes, en gros c'est M, Henri Roubier, un promoteur français, et Mazzini, un Italien,qui viennent de conclure un accord leur assurant la mainmise sur les autoroutes européennes. Mais un accident précipite la voiture d’Henri et ses occupants sur la cime d’un pin parasol accroché à la paroi d’une falaise...
Voilà ce qui aurait pu être la plus grande qualité du film mais qui en deviens son plus grand défaut, l’histoire aux premiers abords parait risqué et original : un film qui se déroule pratiquement que dans une voiture, une sorte de huis clos en plein air si je puis dire. Cette situation est intéressante car, elle permet une multitude de possibilité que ce soit aux niveau des gags, ou du comique de situation, ce qui devrai être un environnement propice aux péripéties comiques en tout genre, malheureusement on se fait chier. Les situations et les gags sont mal amenés et pas forcement marrant. La psychologie des personnages est trés banal et peu attachantes, ils font un peu tout et n’importe quoi, les situations sont un peu improbable (l’explosion du bateau…). Il fallait faire preuve d’une grande imagination afin de nourrir efficacement le scénario et enfin, il était indispensable de canaliser les gesticulations de la star, ce qui plutôt réussis mais au détriment de l'humour général du film, qui du coup au lieu d'être une comédie sympathique ce transforme en pseudo drama de serie z.
Malgré quelques trouvailles (les fantasmes cinématographiques de de Funès qui permettent au cinéaste de rendre hommage aux films de la Hammer), les auteurs n’ont malheureusement guère atteint leur but. Dès le moment où le cinéaste s’échappe de la voiture accidentée, il perd le fil conducteur de son récit pour s’attacher à une critique facile de la médiatisation à outrance, ainsi que de la classe dirigeante, incapable de prendre des décisions humainement acceptables. On tombe clairement dans le cliché du patron ne pensant qu'a sa réussite au détriment de l'humain, ce qui gâche le propos du film tant on s'attend a une comédie burlesque et absurde, et non une critique facile d'un cliché de la société.
Si l’on ajoute à cela le complot ourdi par les industriels concurrents de Louis de Funès et les tentatives de meurtre du mari jaloux de Géraldine Chaplin, le film se noie dans une série de sous-intrigues qui sèment la confusion au sein d’ un script qui démarrait plutôt bien.
Si une fois de plus Serge Korber a eu le grand mérite de pousser Louis de Funès à se dépasser en arpentant des terres comiques qu’il ne connaissait pas, Sur un arbre perché est une nouvelle démonstration de son incapacité à exploiter correctement un thème ambitieux, notamment dans son écriture franchement bateau et l'incapacité a ce concentrer sur une intrigue simple et un comique de situation efficace.
Donc ouais une petite déception quand même, c'était l'un des rares de funés que je n'avaias ps vu et j'en sort pas une expérience mémorable.
Je vous met tout de même la bande annonce si cela vous intéresse.
Spoiler ▼▲
Les Rebelles de la forêt donc, est un film d'animation américain réalisé par Jill Culton , Roger Allers et Anthony Stacchi (en), sorti en 2006.
Il fait l'objet de trois suites sorties directement en dvd : Les Rebelles de la forêt 2 en 2008, Les Rebelles de la Forêt 3 en 2010, et Les Rebelles de la forêt 4 en 2015.
Pour dire quelques mots sur la réalisatrice principale Jill Culton, elle a surtout fait ses preuves chez Pixar (Monstres & Cie, Toy Story, 1001 pattes). Rare femme dans ce monde terriblement masculin, elle réalise ici son premier long mérage, Les Rebelles de la forêt, avec l'oscarisé Roger Allers, le réalisateur du Roi Lion.
Dans les grandes lignes c'est l'histoire de Boog, un ours de foire qui profite de la civilisation en habitant chez sa maîtresse, est un jour abandonné en forêt à quelques jours de l'ouverture de la saison de chasse, avec un cerf, Elliot, qui veut absolument se faire des amis. Avec à leur poursuite un chasseur déterminé ils vont devoir retrouver le chemin de la civilisation vite fait.
L'histoire met donc en image des animaux loufoques qui parlent et tentent de sauver leur propre peau en faisant les imbéciles idiots. Sur cette trame se greffent des actions impertinentes et de rocambolesques mésaventures qui ne m'on malheureusement pas assez surpris
Intitulé Les rebelles de la forêt, ce premier long-métrage d'animation de Sony Pictures n'inclut pas beaucoup de rebelles mais beaucoup de forêt, et choisit de recycler tous les thèmes et les revirements scénaristiques habituels de films pour enfants et c'est un peu ce qui m'a dérangé au début de moins.
Ayant grandis avec les premiers Pixar, et tout les Disney, le film n'a pas pu passer outre le syndrome de la comparaison maladive , mais passé cette mauvaise manie de vouloir absolument tout comparer , le film se laisse regarder même s'il ne révolutionne rien, il a bien posé son emprunte sur ses acquis si je puis dire.
L'histoire ne gagnera aucun prix d'innovation, même si elle parvient à conserver un intérêt constant pendant 85 minutes. On recycle les thèmes qui ont fait leurs preuves chez les enfants : l'affranchissement de la mère, l'amitié, la différence et l'intimidation. Et heureusement, les références pour les adultes sont nombreuses et efficaces. C'est donc beaucoup plus agréable à regarder pour le grand enfant que ton cousin Tony qui viens de découvrir le patin à roulettes. Reste que thématiquement, rien à faire, on tourne vite en rond.
On pourrait seulement citer le vague message écolo que le film tente de faire passer, même si cela n'est pas pour me déplaire, cela manque de finesse, mention spécial pour la fin qui insiste avec un gros marteau sur ce bon message.
Quelques mots sur la technique :
Le premier film cette quadrilogie tout de même, est finalement le premier long-mérage d'animation a être présenté entièrement en 3D IMAX. C'est impressionnant, d'autant que cela manifestement rehausse le niveau de détails des textures et des pelages pour rendre justice au film sur un immense éran.
Le dessin est efficace et l'animation fluide, il n'y a rien à reprocher niveau technique.La beauté de la ligne graphique traditionnelle, des ombres et de la profondeur de champ concourt ainsi à mettre en évidence l’image de synthèse. Si les personnages et les décors sont forcément animés en 3D, leur ligne, leur contour, leur éclat coloré doivent davantage au dessin animé. Inspiré directement des images d’Eyvind Earle, le peintre de décor de Disney (La Belle au bois dormant, La Belle et le clochard, Fantasia), Les Rebelles de la forêt trouve une esthétique originale et particulièrement réussie dans la conception d’éléments (feuilles, pelage, poils, chevelure) au premier abord statiques dans un film d’animation.
Conclusion donc un film qui n'a rien pour surprendre les parents, dans cette aventure colorée aux touches de réalisme appuyées, qui plaira aux enfants, preuve qu'on a préféré bien exploiter un genre archi-populaire plutôt que d'ouvrir une nouvelle voie, c'est dommage d'autant plus qu' entre une image très alléchante ,un scénario qui ne surprend pas assez, la loufoquerie de certaines situations et les caractères bien trempés de Boog et d’Elliot sont une décapante trouvaille.
Pareil je vous met la bande annonce.
Spoiler ▼▲
Bon je suis désolé Hugosuper, mais les Johnny English, je peux pas en faire une critique construite, tellement j'ai pas pu voir la seconde partie du deuxième film, franchement j'ai pas envie de faire une critique sur ce film pour le démonter, de bout en bout, car j'ai pas accroché a l'humour, pour moi c'est juste des films a prétextes pour faire des gags, j'ai pas grand chose a dire de plus, c'est du burlesque quoi, assez débile, sa peut plaire a un certains public, certes, mais j'ai franchement pas envie de dire du mal pour rien donc je me contenterais de ces quelques lignes.
J'ai camp même vu le premier et une partie du deux^^
Bravo aux premiers qui ont déjà fait leurs critiques qui sont vraiment bien ! J'ai d'ailleurs beaucoup aimé celle de Nady, super bien fait, ça donne envie de lire.
Bon sinon pour ma part, j'ai fait ma première critique sur un film proposé par Pech : "How I live now" que j'ai vu avant-hier. Je ne suis pas super content du résultat mais j'essayerai de m'améliorer une prochaine fois (si j'en refais une comme ça).
Attention au spoil toutefois, même si le film ne se joue pas sur un twist magistral :
EDIT : pour des raisons de droit d'auteur (j'aurais du m'en douter) je change d'hébergeur vidéo :
Ayant découvert Perfect blue et Paprika il n'y a pas si longtemps je me suis lancé avec gourmandise dans ce visonnage, et bien qu'étant assez casse gueule de passé derrière ces deux bestiaux je dois avouer que je n'ai pas du tout été déçu.
J'ai été hapé dès le début par l'histoire de ces trois biffins: Hana le travesti, Gin le vieil ours bouru et Miyuki le garçon manqué, tous trois sdf dans un tokyo s'appretant à fêter noel.
Très attachants dès le départ on prend plaisir à suivre leur aventure débutée à la découverte d'un nourisson près d'une poubelle.
Tout au long de leur parcours on commencera à en apprendre plus sur leur passé respectif et par la même comprendre comment ils en sont arrivés là. Les regrets sera le fil conducteur de ce film et le point commun de nos protagonistes, cependant on s'intéressera aussi à comment gérer ses regrets, en buvant, en essayant d'aller de l'avant ou tout simplement en essayant d'oublier, malheureusement on oublie jamais très longtemps, c'est pourquoi on retrouvera souvent nos héros face à face avec leurs choix passés et ceux à venir.
Il y a vraiment des passages émouvants notamment avec Gin dit "le vieux chnoc" et miyuki (mon perso préféré, tantôt téméraire tantôt peureuse) qui vera son caractère évoluer au contact du bébé.
Dans ce décor peu verdoyant et assez terne de part la difficulté qu'éprouve notre trio a survivre au jour le jour on arrive à percevoir certains moments de fraicheur voir d'humour, je pense tout particulièrement à la scène ou Gin attend le dernier souffle d'un vieil sdf, qui finira par mourir deux fois... voir trois avec l'arrivé des droogies d'orange mécanique version jap.
L'ost est très immersive et colle parfaitement aux dessins (que j'adore, tout comme l'animation), on aura le droit à beaucoup de musiques d'ambiance à base d'arcodéon, d'harmonica etc... ce qui donnera parfois l'impression de se ballader dans un vieux paris des années 50/60, un délice.
Mini bémol sur certaines coincidences un peu trop grosses mais bon on ne lui en tiendra pas rigueur.
La fin de film gardera son lot de surprises ce qui rajoute la petite cerise sur le gateau.
Bref, vous avez compris, j'ai beaucoup aimé et je le conseille à tous ceux qui seraient passé à côté.
Video Club hooperien
L'enfer de Chabrol.
J'ai fini ma critique sur Boy !
Bon, me reste plus cas colorié ... mais j'ai fini ! (après je sais pas si je vais colorier, je le ferais si j'ai le temps, j'ai 2 autres films à faire xD).
@ el tourteau : Je reviens rapidement sur Empire Records : en tout cas je te remercie d'avoir été sport et d'avoir voulu visionner le film car tu aurais clairement pu faire l'impasse dessus. C'est tout à ton honneur.
Pour Tokyo Godfathers, très bonne critique et je suis content qu'il te plaise surtout si tu connaissais déjà Satoichi Kon, alors tu ne peux qu'apprécier. Pour complèter sa filmographie dans ses oeuvres moins connue, je te conseille aussi Millenium Actress et son travail en tant que scénariste et directeur artistique sur le premier segment de l'anthologie Memories mijotée par Katsuhiro Otomo. Un très grand monsieur parti beaucoup trop tôt.
Sell kids for food
Le meilleur de satoshi kon ça reste paranoïa agent c'est pas cher chez dybex foncez.
Bah pas vraiment, comme je l'ai dit j'étais assez motivé, c'était vraiment un film qui aurait pu me plaire.
Je suivrai vos conseils à toi et Yoco pour le reste de sa filmo.
Video Club hooperien
(3,5/5)
Voila pour ma critique sur Boy.
Quelques petites précisions: Ceux qui n'ont pas vu le film ne comprendront pas la moitié des images, il y a pas mal de référence a tout un tas de chose, l'avant dernière et la dernière image sont fait de cette façon exprès, en rapport avec le film et pour un clin d'oeil.
Bref, pour tout comprendre, regardez le film et pis c'est tout !
Je vais colorier la BD également parce que avec le scanner, on voit bien que certains traits ne sont pas assez "appuyé". Mais bon dans le doute, si j'ai pas le temps de le faire dans le temps imparti, vous avez ma critique !
Mes critiques du moi de juillet donc.
Ne cherchez pas Enfer, je vais essayer un truc bien plus construit, je rendrai la critique a Monsieur Kaz en fin de mois.
Donc les films de Notre ami Hugo super fan de comédies donc.
@el tourteau: Sympa ta critique vidéo ! ça manque un peu de vigueur et c'est un peu trop long pour moi mais l'idée est là.
@Suprême Yoshiphile: Rigolote ta BD, avec du coloriage ça aura beaucoup plus de gueule en effet.
ça marche, d'ailleurs je signale qu'il ne vous reste plus que 12 jours (en comptant celle-ci) pour regarder vos films et rédiger vos critiques.
Il nous manque encore une personne pour compléter le jury, qui veut se porter volontaire ? Si personne se dévoue, j'en piocherai un d'office !
Salut à tous !
Bravo aux premiers qui ont déjà fait leurs critiques qui sont vraiment bien ! J'ai d'ailleurs beaucoup aimé celle de Nady, super bien fait, ça donne envie de lire.
Bon sinon pour ma part, j'ai fait ma première critique sur un film proposé par Pech : "How I live now" que j'ai vu avant-hier. Je ne suis pas super content du résultat mais j'essayerai de m'améliorer une prochaine fois (si j'en refais une comme ça).
Attention au spoil toutefois, même si le film ne se joue pas sur un twist magistral :
EDIT : pour des raisons de droit d'auteur (j'aurais du m'en douter) je change d'hébergeur vidéo :