Hébé... Je ne pensais pas que parler d'un téléfilm Disney Channel allait déclenché un débat aussi improbable...
Sinon Panic Room fait partie des films que j'ai vu à l'époque des vidéo clubs. Faudrait que je le revois (comme la majeure partie de la filmo de Fincher par ailleurs...)
Sinon :
Les Aventures de Huckleberry Finn de Steven Sommers
Cette adaptation de 1993 de l’œuvre culte de Mark Twain m'a mis un sacré coup de vieux. Je l'avais vu au Grand Rex à sa sortie grâce au CE de mon père... Il y a 26 ans... Putain... Le problème est que le film a aussi pris son coup de vieux que cela soit la mise en scène, la narration, la direction artistique ou les décors... Cela fait vraiment téléfilm de luxe et par grosse production du début des années 1990. Ensuite il faut avouer que l'on a une approche assez mature du divertissement familial avec des scènes liées à la violence infantile, l'infanticide, le racisme/l'esclavagisme et une vendetta sanglante. Je ne connais pas l'oeuvre de base donc je ne jugerai pas la qualité de l'adaptation. Bref ça se laisse regarder surtout parce que quelques scènes sortent du lot mais le film en tant que tel a quand même du mal à enir via un rythme bizarre et une très mauvaise gestion du temps qui passe. Côté casting on a le droit à un tout jeune, et vraiment bon, Elijah Wood et des seconds rôles sympathiques comme Robbie Coltrane et Jason Robards.
J'ai décidé de regarder Panic room comme vous en parliez et je l'ai trouvé vraiment mauvais
Pas grand chose n'a pas de sens et sa m'a sorti du film l'héroïne qui prend des décisions un peu con pareil pour les cambrioleurs et c'est bourré de clichés scénaristique qui n'a ni queue ni tête
Pourtant je suis pas vraiment critique quand je regarde un film mais alors là non c'est pas bon du tout
Moi, Moche et Méchant 2 de Chris Renaud et Pierre Coffin
Cette suite est vraiment à mettre dans le panier des palanqués de film d'animation qui sortent chaque année dans nos écrans que l'on voit sans en retenir grand chose. Bref, c'est du fast-food cinématographique qui va contenter toute la famille notamment grâce aux Minions qui sont la réelle plus-value de la licence. Sinon tout le reste est calibré dans un rythme d'enfer. C'est bien fait, ça fait souvent sourire et l'histoire se suit sans déplaisir. Mais au final c'est un peu fade.
The Three Musketeers(Les Trois Mousquetaires)– George Sidney – 1948
Pour Mankiewicz, Hollywood tenait à la fois de la tour d’ivoire et du campement de chercheurs d’or ; et la Metro-Goldwin-Mayer était le Cartier des fabricants de films. En 1948, le rythme de la MGM tourne en gros autour d’un film par semaine. Si la Paramount produit surtout des comédies, la Warner des films de gangsters, et la Fox des films d’aventure, Louis B. Mayer exige avant tout que sa firme produise des films « propres » avec des personnages riches et bien habillés. Il ne déteste rien tant qu’une tache d’ombre sur le visage de la jeune première. « On mettait de la laque sur tous les films MGM », ironise encore Mankiewicz. Et pour fabriquer ces films à l’hygiène irréprochable, Mayer a réuni une armada de producteurs, eux-mêmes placés sous la responsabilité de « top producers », Irving Thalberg, David O. Selznick, Bernie Hyman, Hunt Stromberg, Sam Katz, et Pandro S. Berman qui produit ici cette nouvelle adaptation du roman d’Alexandre Dumas.
Je vais faire court. Pourquoi ce film, sous la direction de George Sidney, nous laisse en bouche un bouquet d’arômes, un pétillant que les autres adaptations n’ont pas ? Le casting, certes. Lana Turner en Milady de Winter et Vincent Price en Richelieu créent le plus beau tandem de pourritures que le cinéma nous ait donné de voir. Ces deux-là se sont bien trouvés. Ils complotent, manigancent, trompent, font assassiner en s’éclatant comme des petits fous ! La rencontre de deux mantes religieuses dont une plus religieuse que l’autre à en croire son titre de cardinal.
Non, ce qui donne à ce film sa saveur toute particulière, ce sont les scènes d’escrime. Construites comme des chorégraphies expressives de l’action en s’attachant à révéler et à servir la personnalité du soliste, en l’occurence Gene Kelly, elles reposent entièrement sur la virtuosité de celui-ci. Virevoltant, bondissant, léger, aérien, cet « oiseau de feu » transfigure les combats en véritables comédies-ballets. Pour que ses gestes aient autant de grâce et de souplesse, on se dit qu’il faut les avoir soumis à certains partis de formes, à certains artifices de mesure, à un souci méthodique de vivacité et de passion. Ah oui ! Voir d’Artagnan ferrailler est jubilatoire ! Gene Kelly arrive à donner l’impression de découvrir ce qu’il va faire à l’instant même où il le fait, alors qu’il a tout réglé lui-même à la virgule près, contraignant la caméra à le suivre dans le feu de l’action sans en perdre une miette. Voilà en bref. Si l’on devait donner trois raisons de voir et revoir ce film : Gene Kelly, Gene Kelly et Gene Kelly.
Ha ! Cette version des Trois Mousquetaires ! Un des films de mon enfance sur une vieille VHS bien usé par le temps... Fuadrait vraiment que je le revois. Merci pour cette Madelaine de Griggith Depakote avec un texte plutôt bien troussé !
Sinon :
#Alive de Cho Il-Hyung
Ce film de zombie sud-coréen (exclusivité Netflix dans le reste du monde) est aussi classique qu'efficace. Ne vous attendez pas vraiment à quelque chose qui fait peur ni quelque chose d'excessivement gore. Il s'agit presque d'un huis-clos ou un jeune homme est obligé de se confiner dans appart d'une grande cité alors qu'une apocalypse zombie se déroule autour de lui. Le film s'intéresse beaucoup aux conséquences de cet isolement forcé avec un certain succès faisant que le film est globalement plaisant à suivre en enchaînant les poncifs du genre (transformation pour comprendre le phénomène, spectateur impuissant d'une victime, le raid difficile pour trouver de la nourriture, rencontres compliquées avec d'autres humains...) avec efficacité y rajouter l'apport des nouvelles technologies pour de bonnes idées. Les comédiens sont bons et la mise en scène est très soignée. Les zombies sont un mélange de ceux de 28 jours plus tard tendance vampires qui ne sont pas très convaincant quand ils sont mis en scènes de manière saccadé et bien plus quand c'est du plus classique. Bref, un film de zombie honnête qui ne renouvelle rien mais qui s'avère sympa à mater.
Spoiler, fin du deuxième acte du film ▼▲
Tempête de Boulettes Géantes de Phil Lord et Christopher Miller
Ce film d'animation en images de synthèse de 2009 est une pépite trop méconnue à mes yeux. 3ème fois que je le vois et je ne m'en lasse pas. Sans être fou techniquement (à part le dernier acte) et doté d'une histoire assez convenue mais tellement bien écrite dans la caractérisation des personnages, ses thématiques universelles développée et surtout son humour aussi efficace que protéiforme. L'idée de base complètement folle (il pleut de la nourriture) est vraiment bien utilisée. Bref, si vous aimez les films d'animation, il faut le voir !
C'est excellent, Tempête de Boulettes Géantes (titre français merdique, au passage). J'adore les personnages qui sont super attachants, c'est original et bien rythmé.
Je l'ai vu il y a très longtemps Tempête de boulettes géantes donc je m'en souviens plus. Mais sinon, les deux réalisateurs ont fait La Grande aventure Lego qui a été une énorme surprise tant c'était con, drôle, intelligent et rudement bien fait à la fois. Et sinon, je me suis tapé d'énormes barres de rire devant leurs films 21 et 22 Jump Street.
J'ai beaucoup moins accroché par contre. Après, je n'ai absolument aucune affinité avec le monde des Lego (quand j'étais petit, je jouais plutôt au Meccano ^^), donc ça doit jouer un peu.
J'ai joué avec les Lego, les Meccano et les K'nex, perso.^^
Mais j'ai préféré les Lego : je faisais des trucs de ouf avec, je m'inventais des histoires et tout. Et ce que j'ai aimé dans ce film Lego c'est que derrière un produit marketing on fait un truc qui reprend parfaitement tout ce qui fait le charme des Lego, créer des univers cohérents uniquement dans le monde des Lego etc. et le tout avec des trucs moins innocents comme pas mal d'easter eggs, des trolls et des trucs plus adultes (sur les relations amicales ou amoureuses notamment, ou alors la figurine de Dumbledore dépeinte comme le stéréotype de l'icone gay efféminée : osé dans un film Lego^^).
Hébé... Je ne pensais pas que parler d'un téléfilm Disney Channel allait déclenché un débat aussi improbable...
Sinon Panic Room fait partie des films que j'ai vu à l'époque des vidéo clubs. Faudrait que je le revois (comme la majeure partie de la filmo de Fincher par ailleurs...)
Sinon :
Les Aventures de Huckleberry Finn de Steven Sommers
Cette adaptation de 1993 de l’œuvre culte de Mark Twain m'a mis un sacré coup de vieux. Je l'avais vu au Grand Rex à sa sortie grâce au CE de mon père... Il y a 26 ans... Putain... Le problème est que le film a aussi pris son coup de vieux que cela soit la mise en scène, la narration, la direction artistique ou les décors... Cela fait vraiment téléfilm de luxe et par grosse production du début des années 1990. Ensuite il faut avouer que l'on a une approche assez mature du divertissement familial avec des scènes liées à la violence infantile, l'infanticide, le racisme/l'esclavagisme et une vendetta sanglante. Je ne connais pas l'oeuvre de base donc je ne jugerai pas la qualité de l'adaptation. Bref ça se laisse regarder surtout parce que quelques scènes sortent du lot mais le film en tant que tel a quand même du mal à enir via un rythme bizarre et une très mauvaise gestion du temps qui passe. Côté casting on a le droit à un tout jeune, et vraiment bon, Elijah Wood et des seconds rôles sympathiques comme Robbie Coltrane et Jason Robards.
Sell kids for food
la passion que veux tu la passion :D
J'ai décidé de regarder Panic room comme vous en parliez et je l'ai trouvé vraiment mauvais
Pas grand chose n'a pas de sens et sa m'a sorti du film l'héroïne qui prend des décisions un peu con pareil pour les cambrioleurs et c'est bourré de clichés scénaristique qui n'a ni queue ni tête
Pourtant je suis pas vraiment critique quand je regarde un film mais alors là non c'est pas bon du tout
La cinéphilie est un sport de combat !
Sinon :
Moi, Moche et Méchant 2 de Chris Renaud et Pierre Coffin
Cette suite est vraiment à mettre dans le panier des palanqués de film d'animation qui sortent chaque année dans nos écrans que l'on voit sans en retenir grand chose. Bref, c'est du fast-food cinématographique qui va contenter toute la famille notamment grâce aux Minions qui sont la réelle plus-value de la licence. Sinon tout le reste est calibré dans un rythme d'enfer. C'est bien fait, ça fait souvent sourire et l'histoire se suit sans déplaisir. Mais au final c'est un peu fade.
Sell kids for food
Puisque tu parles combat...
Ha ! Cette version des Trois Mousquetaires ! Un des films de mon enfance sur une vieille VHS bien usé par le temps... Fuadrait vraiment que je le revois. Merci pour cette Madelaine de Griggith Depakote avec un texte plutôt bien troussé !
Sinon :
#Alive de Cho Il-Hyung
Ce film de zombie sud-coréen (exclusivité Netflix dans le reste du monde) est aussi classique qu'efficace. Ne vous attendez pas vraiment à quelque chose qui fait peur ni quelque chose d'excessivement gore. Il s'agit presque d'un huis-clos ou un jeune homme est obligé de se confiner dans appart d'une grande cité alors qu'une apocalypse zombie se déroule autour de lui. Le film s'intéresse beaucoup aux conséquences de cet isolement forcé avec un certain succès faisant que le film est globalement plaisant à suivre en enchaînant les poncifs du genre (transformation pour comprendre le phénomène, spectateur impuissant d'une victime, le raid difficile pour trouver de la nourriture, rencontres compliquées avec d'autres humains...) avec efficacité y rajouter l'apport des nouvelles technologies pour de bonnes idées. Les comédiens sont bons et la mise en scène est très soignée. Les zombies sont un mélange de ceux de 28 jours plus tard tendance vampires qui ne sont pas très convaincant quand ils sont mis en scènes de manière saccadé et bien plus quand c'est du plus classique. Bref, un film de zombie honnête qui ne renouvelle rien mais qui s'avère sympa à mater.
Tempête de Boulettes Géantes de Phil Lord et Christopher Miller
Ce film d'animation en images de synthèse de 2009 est une pépite trop méconnue à mes yeux. 3ème fois que je le vois et je ne m'en lasse pas. Sans être fou techniquement (à part le dernier acte) et doté d'une histoire assez convenue mais tellement bien écrite dans la caractérisation des personnages, ses thématiques universelles développée et surtout son humour aussi efficace que protéiforme. L'idée de base complètement folle (il pleut de la nourriture) est vraiment bien utilisée. Bref, si vous aimez les films d'animation, il faut le voir !
Sell kids for food
C'est excellent, Tempête de Boulettes Géantes (titre français merdique, au passage). J'adore les personnages qui sont super attachants, c'est original et bien rythmé.
Je l'ai vu il y a très longtemps Tempête de boulettes géantes donc je m'en souviens plus. Mais sinon, les deux réalisateurs ont fait La Grande aventure Lego qui a été une énorme surprise tant c'était con, drôle, intelligent et rudement bien fait à la fois. Et sinon, je me suis tapé d'énormes barres de rire devant leurs films 21 et 22 Jump Street.
J'ai beaucoup moins accroché par contre. Après, je n'ai absolument aucune affinité avec le monde des Lego (quand j'étais petit, je jouais plutôt au Meccano ^^), donc ça doit jouer un peu.
J'ai joué avec les Lego, les Meccano et les K'nex, perso.^^
Mais j'ai préféré les Lego : je faisais des trucs de ouf avec, je m'inventais des histoires et tout. Et ce que j'ai aimé dans ce film Lego c'est que derrière un produit marketing on fait un truc qui reprend parfaitement tout ce qui fait le charme des Lego, créer des univers cohérents uniquement dans le monde des Lego etc. et le tout avec des trucs moins innocents comme pas mal d'easter eggs, des trolls et des trucs plus adultes (sur les relations amicales ou amoureuses notamment, ou alors la figurine de Dumbledore dépeinte comme le stéréotype de l'icone gay efféminée : osé dans un film Lego^^).