Moi aussi, j'ai adoré ce film! Kurt Russel est vraiment charismatique. Comme j'ai pas suivi beaucoup de film de lui (Tango et Cash, etc...) quand on parlait de lui pour son charisme, j'étais dubitatif, mais j'avais tord, il est vraiment excellent.
Sans compter que je suis un fans absolue de MGS (la trilogie de la PS1&2). Ce fut l'occasion de découvrir tous les clin d'oeil.
Réaction à chaud ! Whouaow, la claque dans la tronche que je me suis prise ! Ce film est une bombe ! La prestation d'Adjani est hallucinante, mais c'est juste démentiel. Les dialogues sont d'une intelligence remarquable. Ce film est cauchemardesque, surréaliste . Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Il va me rester en tête longtemps, je crois. La BO est dérangeante à souhait. Vers la fin du film, j'ai vraiment commencer à avoir peur (et à la scène du métro !!!). Je résumerais ce film en une réplique : "Oh...my...God !" Marquant. Très marquant. Pfiou, quel film !
EDIT: c'est le genre de film qui peut être sujet à de multiples interprétations.
Spoiler ▼▲
Pour l'instant, le message que je vois, c'est : essayer d'assembler ce qui s'oppose = chaos . La foi est aussi un élément clé du film. Je suis convaincue que "le monstre" que l'on peut voir est le Dieu, la représentation de la foi, ou de l'amour suprême d'Adjani (elle dit bien qu'elle abandonne le hasard pour la foi). Donc, que penser ? Neil dit qu'il pense que Dieu est la lèpre ... Et pourquoi tous ces meurtres rendraient le monstre "fini/parfait/divin", "le bien est seulement une réflexion sur le mal" dit Adjani ? Dieu est il le Diable (je pense aux doubles aux yeux verts que l'on peut voir qui représenteraient le bien et le mal tentant de s'assembler. D'ailleurs, quand les deux doubles/êtres divins se réunissent à la fin, on peut entendre des bombes, annonçant l'Apocalypse, la fin du Monde ?) ? Le film pourrait aussi être l'histoire de deux fous qui se déchirent/s'aiment et qui finissent par mourir. On pourrait aussi discuter du double sens du titre (possession: jalousie / ou possession par un être divin (Dieu ou le Diable). En tout cas, ce qui ressort, c'est toujours une dualité qui tente de se rassembler se soldant toujours par un échec, ou pire.
Je pourrais me gratter la tête pendant des heures, ce film a l'air tellement complexe à comprendre dans son entièreté (peut être est ce impossible d'ailleurs)!
J'ai le film, mais je l'ai pas encore mater. Ton avis m'encourage sérieusement.
J'ai regarder le vent se lève. Je fais partie de ceux qui voient ce film comme un chef d'oeuvres. J'ai déjà donné mon avis dans une autre section, et j'ai comparer ce film à 8 et demi (le plus grand film de tous les temps XD), pour le côté rêves. Mais attention, c'est un film sérieux, un peu à la manière de Princesse Mononoke... attendez une minute, mais tous les films de Miyazaki sont sérieux... Bref, je veux dire que le personnage principale est un adulte, il n'y a pas de fantastique dedans, sauf dans les rêves à la façon de huit et demi(je sais j'abuse avec ce film)... en pourrait croire même avoir affaire à Takahata. Bref c'est excellentissime!
J'ai regarder le vent se lève. Je fais partie de ceux qui voient ce film comme un chef d'oeuvres. J'ai déjà donné mon avis dans une autre section, et j'ai comparer ce film à 8 et demi (le plus grand film de tous les temps XD), pour le côté rêves. Mais attention, c'est un film sérieux, un peu à la manière de Princesse Mononoke... attendez une minute, mais tous les films de Miyazaki sont sérieux... Bref, je veux dire que le personnage principale est un adulte, il n'y a pas de fantastique dedans, sauf dans les rêves à la façon de huit et demi(je sais j'abuse avec ce film)... en pourrait croire même avoir affaire à Takahata. Bref c'est excellentissime!
Ah, il faut vraiment que j'aille voir ce dernier Myiazaki^^
Sinon, de mon côté, une autre petite fournée:
Resident Evil: Apocalypse Depuis peu, certains YouTubers, Durendal en tête, affichent leur sympathie pour la série de films Resident Evil, affirmant que, une fois mis de côté le lien avec le jeu, on passe un moment sympa devant des films d'actions décomplexés et fun. Alors, bon, voilà, j'avais vu le premier film de Paul W.S. Anderson (ne SURTOUT pas le confondre avec Paul T. Anderson!) et j'avais trouvé ça très mauvais. Mais bon, faut croire que la leçon ne m'avait pas suffi, du coup, j'ai voulu voir la suite^^
Bon, ben, la conclusion, c'est que c'est vraiment très mauvais: mal écrit, mal filmé, mal joué, le film enchaîne les mauvaises séquences avec un aplomb et un sérieux inébranlables, tout ce petit monde étant visiblement persuadé de faire un vrai bon film d'action. Le pire, c'est que le film n'a même pas le bon goût d'être suffisamment mauvais pour en devenir drôle! Non, ici, seul l'ennui arrive à tiré son épingle du jeu... A éviter, bien entendu^^
Ocean's 13 Le premier volet m'avait plu pour son côté malin et sa capacité à distiller une "cool attitude" sans forcer et avec élégance. Le deuxième m'avait plu de par sa liberté de ton et son côté comédie plus assumé, n'hésitant pas à malmené l'image de ses acteurs pourtant élevés au rang de sex-symbols.
Ce troisième volet essaie de coupler les deux et... disons que ça marchouille gentiment, mais sans faire d'étincelles non plus. On se retrouve face à un braquage à Las Vegas moins bon que le premier et un humour moins drôle que le deuxième. Ça se suit sans déplaisir, mais le film est très vite oublié par la suite.
L'évadé d'Alcatraz Un classique du film carcéral que je n'avais pas vu depuis des années! C'est toujours aussi efficace et sans fioriture. Don Siegel arrive à créer une ambiance tendue bien comme il faut et le charisme de Eastwood et Patrick McGoohan fait le reste. Reste le problème de la traduction du titre en français qui ne laisse pas trop de place au suspense quant à l'issue du film (un peu comme pour Les évadés, avec Tim Robbins^^)... Le film n'a pas vraiment vieillit et se regarde encore avec beaucoup de plaisir.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
Pour répondre à ceux qui ont émis leur avis sur 'Le Vent se lève', voici a critique personnelle mais néanmoins objective :
Spoiler ▼▲
Un film à l'esthétisme fidèle à l’œuvre entière du maître, en forme de biopic en partie autobiographique qui déçoit réellement tandis que le sujet politisé en fond ne cesse d'amener à la réflexion. Mais où est passé Miyazaki ? La question mérite effectivement d'être posée au vu des récents événements autour du film : L'annonce de son dernier film a été lancée. Mais cela ne s'arrête pas là car le film en lui-même n'a que peu de choses à voir avec un Miyazaki dit 'classique' et cela n'est pas une bonne nouvelle. Pour la première fois, le Studio Ghibli ne joue pas sur des personnages inventés mais bel et bien des personnes ayant existé à savoir Jiro Horikoshi (ingénieur chez Mitsubishi Heavy Industries dans les années 20 et 30 qui sont ici montrées) et Tatsuo Hori (écrivain de la première moitié du 20e). L'un est un ingénieur en aéronautique de génie qui a notamment participé à la majeure partie des avions qui seront sublimés dans le film et le Mitsubishi A6M Zero ('chasseur Zero', un avion qui révolutionnera les combats durant la Seconde Guerre mondiale) pour n'en citer qu'un, l'autre est un écrivain dont le scénario s'inspire de par sa vie personnelle de même que le titre est originaire d'un poème de Paul Valéry dans Le Cimetière marin. Mais venons-en au film à proprement parler... Il s'agit d'un mélodrame assez pompeux par moments mais aussi flamboyant dans d'autres et donc au final assez inégal. Ainsi, on distingue très nettement les scènes de génie pur qui sont celles d'aviation, le trait est fin et l'on comprend pourquoi l'autobiographie se met ici en place pour le cinéaste nippon : Sa passion pour les avions, comme c'était déjà le cas dans d'autres de ces films et en particulier 'Porco Rosso', est intacte du fait de son histoire avec une famille dans le milieu aéronautique depuis de début du siècle dernier. La patte de Miyazaki est immédiatement reconnaissable et la profondeur des personnages ne trompera personne car le héros contentera la majorité vu l'universalité de sa pensée mais parfois énervant de faire autant de zèle. D'un autre côté, sa (très et trop?) tendre fiancée apporte la deuxième partie de la profondeur des personnages centrée sur la relation des deux amoureux et c'est précisément là où le bas blesse. Tout semble surjoué, cliché, standardisé pour avoir une rencontre qui ratisse bien large et par dessus rajouter de la dramatisation en se rapprochant à la fois de l'aspect biopic sur l'écrivain et de sa femme tuberculeuse mais aussi de l'aspect autobiographique d'Hayao Miyazaki qui a perdu sa mère étant jeune, on est proche du tire-larmes en définitive et tous ces plans à la limite de la niaiserie plombe littéralement l'émerveillement dont les critiques presse font état ! La musique de Joe Hisaishi toujours orientée vers le classique n'est pas trop mal sans être tout à fait parfaite, gage de sublimation pour les scènes de vol mais aussi très scolaire quand l'intimité est plus de mise. En troisième point d'orgue, et non des moindres vu la polémique et l'importance cachée qu'il représente, vient le thème cher au réalisateur du pacifisme revendiqué. En effet, une fois de plus et du coup point commun de la grande majorité de ses films, Miyazaki accroche un public plus mature que pour 'Totoro' ou 'Ponyo' par exemple en rentrant dans le vif du sujet sur un Japon en état de crise économique, de pauvreté et de guerre. Italie, Allemagne et Chine sont les pays dûment évoqués avec une moralité singulière concernant le protagoniste (Miyazaki a fait aussi ce dernier film pour rétablir quelques faits sur ses motivations) qui ne souhaite que faire des avions pour le plaisir qu'il y prend et non envers un quelconque devoir nationaliste, il est donc embarqués comme ses compère dans le tumulte de l'histoire. Une phrase résume bien cette situation : 'On n'est pas des marchands d'armes, on veut juste faire de bons avions', cette justification est un peu facile. Pourtant, difficile de nier d'un trait la part de responsabilité dans la conception d'avions de chasse et de bombardiers toujours plus performants pour partir à la guerre et par la même rattraper l'écart technologique avec l'Allemagne plongée dans le nazisme à partir de la moitié du film (un film d'ailleurs trop long mais on y viendra). L'innocence sereine de Jiro est donc discutable d'autant que la dureté des plans évoquant l'horreur de la guerre elle-même, à l'incendie ou au tremblement de terre, apparaît bien souvent pour rappeler les conséquences de ses actes et plus encore lorsqu'il s'agit des rêves où les avions tombent au sol... Malgré la polémique sur le pacifisme accru à la limite de l'antinationalisme selon certains et celle de la cigarette omniprésente qui (même si le film ne se destine pas tout à fait à des enfants) est curieuse pour un film d'animation même en prenant en compte les habitudes de l'époque, le succès est assez éloquent au Japon où le metteur en scène est élevé au rang d’icône. L’œuvre sera plus difficile à positiver en dehors du pays d'origine et en toute objectivité, le fait d'avoir un scénario très faible y est pour beaucoup on l'aura compris. Pourtant, la verve inventive qui tend délibérément à se rapprocher du réel est de toute beauté tant les dessins imposent immédiatement le respect pour cette fresque aérienne qui indubitablement tombe à plat lors des plans plus terre à terre et des relations humaines et sociétales. Un point rapide sur la version française, à éviter forcément pour qui ne jure que par la pureté des dialogues en langue originelle. Bref, 'Le Vent se lève' n'est pas au niveau de 'Princesse Mononoké', pourtant plus adapté pour l'Occident au regard du succès qu'il a eu en Europe. Il restera certainement le plus sombre et le plus réaliste notamment historiquement, à défaut d'être le plus noir ni le plus réussi.
Clint Eastwood et Leonardo DiCaprio rendent hommage au premier directeur du FBI, John Edgar Hoover. L'oeuvre retrace ses débuts de patron jusqu'à sa mort en montrant les événements majeurs de sa carrière.Ce biopic est d'une réelle qualité et n'hésite pas à dévoiler la vie professionnelle et privée de ce grand homme tout en gardant une face cachée comme il savait si bien le faire. Edgar adopte un comportement élitiste et détourne la réalité pour glorifier ses actes héroïques imaginaires à travers les médias. Leonardo DiCaprio incarne et comprend parfaitement son rôle, sa présence est d'une fidélité authentique. Clint Eastwood met en scène le portrait d'un homme fort et engagé dans son combat pour sa patrie mais fragile et dominé lorsqu'il tombe son costume.
Un film éducatif, intéressant et croustillant qui méritait bien quelques minutes de plus pour se compléter.
Mad, ton commentaire est trop compact, met des espaces!
Hier, j'ai suivi Détective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme.
Tsui Hark est un réalisateur dont je n'aime les film que quand je ne sais pas que c'est lui qui les a réalisé. Par exemple: il était une fois en chine, j'ai adoré, Histoire de fantômes chinois: un long métrage d'animation, j'avais adoré! Mais à chaque fois que je savais que Tsui Hark était au commande, j'ai détesté ses films: Seven Swords par exemple. Pour en revenir au Detective Dee, parfois j'amais parfois je n'amais pas et vice visa. Par exemple il y avait un personnage albinos que je n'aimais pas au début et ben j'ai fini par l'apprécié.
En fait, il y avait deux gros souci: à chaque fois qu'on parle de politique dans un film d'art martiaux chinois (comme par exemple dans Hero), j'ai toujours l'impression que le réalisateur cherche à lécher le cul des chefs d'état chinois, ce fut aussi le cas avec ce film: l'impératrice est venu par la trahison est le meutre, mais en fait c'est mieux qu'elle continue à diriger, elle stabilise le pays. Deuxième souci, le detective Dee, je n'ai pas trouvé son don de détective ou son intuition aussi fameuse que ça, c'est le genre de personnage de film qui est intelligent juste parce que les autres personnages le trouve intelligent. Bref, inspecteur ce fut moyen, c'est pas une bouse, et ce n'est pas un chef d'oeuvre, niveau combat, je n'ai pas particulièrement été impressionné aussi.
C'est rigolo les changement du ciné chinois, ça me fait bizarre. Certes ça fait un sacré bail que Andy Lau à perçu, mais ça me fait toujours bizarre de le voir dans un bon rôle. Je l'ai connu jouant un général japonais dans First of Fury (celui avec Jet Li), ou aussi un tocard dans un film dans je ne me souviens pas du titre. Il y a aussi Donnie Yen, je l'ai connu au primaire et c'est quand je suis vers la fin de l'univ qu'il se met à percer!
La technique est maîtrisée, le style bande dessinée est bien amené et le côté déjanté est présent dans toute la longueur du film. A part cela Enfermés Dehors n'a rien d'une bonne production, pourtant le scénario semblait prometteur. Les vannes s'écrasent les unes après les autres et les dialogues deviennent de plus en plus absurdes.
Beaucoup de références mais celles-ci sont à peine visibles tant les minutes semblent longues et que la fin est attendue.
L'humour ne s'adresse pas aux enfants à cause de la drogue et de la vulgarité sauf que les adultes n'y trouveront pas leurs comptes à cause des blagues très limitées et grotesques. Pas de juste milieu, on adore ou on déteste.
Le but d'Albert Dupontel était de dénoncer en s'amusant. Défi perdu, son film est lourd et tombe dans les clichés.
Pas une catastrophe mais pas une réussite.
Hier soir, difficile de faire un choix à la TV surtout quand y'a Les Incorruptibles ! J'aime changer un peu de registre de temps en temps donc "pouf arte". Je ne connais absolument rien de la culture asiatique et encore moins des réalisations de Tsui Hark. J'ai lu que mait à quelques connaissances de sa filmographie. ^^
Visuellement c'est très beau, les couleurs claquent la rétine...dommage que quelques effets spéciaux rajoutés en post-prod gâche le plaisir et le réalisme. Certaines scènes de différents ambiances sont sympathiques (celle "sous terraine"). Le rythme galope galope.... on est captivé. Autant vous dire, l'histoire mêlant légendes/enquête avec des noms imprononçables cela me sortait un peu par la tête. Un peu de docu/revisionnage sur le film serait même préférable.
Au final, le film est impressionnant par ses décors, costumes (surprenant les tenues de la Reine ou futur Reine... je sais plus) & peut être quelques scènes d'actions.
Moi aussi, j'ai adoré ce film! Kurt Russel est vraiment charismatique. Comme j'ai pas suivi beaucoup de film de lui (Tango et Cash, etc...) quand on parlait de lui pour son charisme, j'étais dubitatif, mais j'avais tord, il est vraiment excellent.
Sans compter que je suis un fans absolue de MGS (la trilogie de la PS1&2). Ce fut l'occasion de découvrir tous les clin d'oeil.
Ah, Carpenter <3 !
Je viens de regarder :
Possession, 1981
Réaction à chaud ! Whouaow, la claque dans la tronche que je me suis prise ! Ce film est une bombe ! La prestation d'Adjani est hallucinante, mais c'est juste démentiel. Les dialogues sont d'une intelligence remarquable. Ce film est cauchemardesque, surréaliste . Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Il va me rester en tête longtemps, je crois. La BO est dérangeante à souhait. Vers la fin du film, j'ai vraiment commencer à avoir peur (et à la scène du métro !!!). Je résumerais ce film en une réplique : "Oh...my...God !" Marquant. Très marquant. Pfiou, quel film !
EDIT: c'est le genre de film qui peut être sujet à de multiples interprétations.
J'ai le film, mais je l'ai pas encore mater. Ton avis m'encourage sérieusement.
J'ai regarder le vent se lève. Je fais partie de ceux qui voient ce film comme un chef d'oeuvres. J'ai déjà donné mon avis dans une autre section, et j'ai comparer ce film à 8 et demi (le plus grand film de tous les temps XD), pour le côté rêves. Mais attention, c'est un film sérieux, un peu à la manière de Princesse Mononoke... attendez une minute, mais tous les films de Miyazaki sont sérieux... Bref, je veux dire que le personnage principale est un adulte, il n'y a pas de fantastique dedans, sauf dans les rêves à la façon de huit et demi(je sais j'abuse avec ce film)... en pourrait croire même avoir affaire à Takahata. Bref c'est excellentissime!
Bonjour, bonjour!
Ah, il faut vraiment que j'aille voir ce dernier Myiazaki^^
Sinon, de mon côté, une autre petite fournée:
Resident Evil: Apocalypse Depuis peu, certains YouTubers, Durendal en tête, affichent leur sympathie pour la série de films Resident Evil, affirmant que, une fois mis de côté le lien avec le jeu, on passe un moment sympa devant des films d'actions décomplexés et fun. Alors, bon, voilà, j'avais vu le premier film de Paul W.S. Anderson (ne SURTOUT pas le confondre avec Paul T. Anderson!) et j'avais trouvé ça très mauvais. Mais bon, faut croire que la leçon ne m'avait pas suffi, du coup, j'ai voulu voir la suite^^
Bon, ben, la conclusion, c'est que c'est vraiment très mauvais: mal écrit, mal filmé, mal joué, le film enchaîne les mauvaises séquences avec un aplomb et un sérieux inébranlables, tout ce petit monde étant visiblement persuadé de faire un vrai bon film d'action. Le pire, c'est que le film n'a même pas le bon goût d'être suffisamment mauvais pour en devenir drôle! Non, ici, seul l'ennui arrive à tiré son épingle du jeu... A éviter, bien entendu^^
Ocean's 13 Le premier volet m'avait plu pour son côté malin et sa capacité à distiller une "cool attitude" sans forcer et avec élégance. Le deuxième m'avait plu de par sa liberté de ton et son côté comédie plus assumé, n'hésitant pas à malmené l'image de ses acteurs pourtant élevés au rang de sex-symbols.
Ce troisième volet essaie de coupler les deux et... disons que ça marchouille gentiment, mais sans faire d'étincelles non plus. On se retrouve face à un braquage à Las Vegas moins bon que le premier et un humour moins drôle que le deuxième. Ça se suit sans déplaisir, mais le film est très vite oublié par la suite.
L'évadé d'Alcatraz Un classique du film carcéral que je n'avais pas vu depuis des années! C'est toujours aussi efficace et sans fioriture. Don Siegel arrive à créer une ambiance tendue bien comme il faut et le charisme de Eastwood et Patrick McGoohan fait le reste. Reste le problème de la traduction du titre en français qui ne laisse pas trop de place au suspense quant à l'issue du film (un peu comme pour Les évadés, avec Tim Robbins^^)... Le film n'a pas vraiment vieillit et se regarde encore avec beaucoup de plaisir.
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Pour répondre à ceux qui ont émis leur avis sur 'Le Vent se lève', voici a critique personnelle mais néanmoins objective :
J. Edgar
Clint Eastwood et Leonardo DiCaprio rendent hommage au premier directeur du FBI, John Edgar Hoover. L'oeuvre retrace ses débuts de patron jusqu'à sa mort en montrant les événements majeurs de sa carrière.Ce biopic est d'une réelle qualité et n'hésite pas à dévoiler la vie professionnelle et privée de ce grand homme tout en gardant une face cachée comme il savait si bien le faire. Edgar adopte un comportement élitiste et détourne la réalité pour glorifier ses actes héroïques imaginaires à travers les médias.
Leonardo DiCaprio incarne et comprend parfaitement son rôle, sa présence est d'une fidélité authentique. Clint Eastwood met en scène le portrait d'un homme fort et engagé dans son combat pour sa patrie mais fragile et dominé lorsqu'il tombe son costume.
Un film éducatif, intéressant et croustillant qui méritait bien quelques minutes de plus pour se compléter.
Mad, ton commentaire est trop compact, met des espaces!
Hier, j'ai suivi Détective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme.
Tsui Hark est un réalisateur dont je n'aime les film que quand je ne sais pas que c'est lui qui les a réalisé. Par exemple: il était une fois en chine, j'ai adoré, Histoire de fantômes chinois: un long métrage d'animation, j'avais adoré! Mais à chaque fois que je savais que Tsui Hark était au commande, j'ai détesté ses films: Seven Swords par exemple. Pour en revenir au Detective Dee, parfois j'amais parfois je n'amais pas et vice visa. Par exemple il y avait un personnage albinos que je n'aimais pas au début et ben j'ai fini par l'apprécié.
En fait, il y avait deux gros souci: à chaque fois qu'on parle de politique dans un film d'art martiaux chinois (comme par exemple dans Hero), j'ai toujours l'impression que le réalisateur cherche à lécher le cul des chefs d'état chinois, ce fut aussi le cas avec ce film: l'impératrice est venu par la trahison est le meutre, mais en fait c'est mieux qu'elle continue à diriger, elle stabilise le pays. Deuxième souci, le detective Dee, je n'ai pas trouvé son don de détective ou son intuition aussi fameuse que ça, c'est le genre de personnage de film qui est intelligent juste parce que les autres personnages le trouve intelligent. Bref, inspecteur ce fut moyen, c'est pas une bouse, et ce n'est pas un chef d'oeuvre, niveau combat, je n'ai pas particulièrement été impressionné aussi.
C'est rigolo les changement du ciné chinois, ça me fait bizarre. Certes ça fait un sacré bail que Andy Lau à perçu, mais ça me fait toujours bizarre de le voir dans un bon rôle. Je l'ai connu jouant un général japonais dans First of Fury (celui avec Jet Li), ou aussi un tocard dans un film dans je ne me souviens pas du titre. Il y a aussi Donnie Yen, je l'ai connu au primaire et c'est quand je suis vers la fin de l'univ qu'il se met à percer!
hier soir j'ai revu le fugitif !!!!!!!
rien à dire , une excellent film qui m'a bien plus du début à la fin !
chaton , tu vivra dans nos cœurs
Caribou live sur youtube
Enfermés dehors
La technique est maîtrisée, le style bande dessinée est bien amené et le côté déjanté est présent dans toute la longueur du film. A part cela Enfermés Dehors n'a rien d'une bonne production, pourtant le scénario semblait prometteur. Les vannes s'écrasent les unes après les autres et les dialogues deviennent de plus en plus absurdes.
Beaucoup de références mais celles-ci sont à peine visibles tant les minutes semblent longues et que la fin est attendue.
L'humour ne s'adresse pas aux enfants à cause de la drogue et de la vulgarité sauf que les adultes n'y trouveront pas leurs comptes à cause des blagues très limitées et grotesques. Pas de juste milieu, on adore ou on déteste.
Le but d'Albert Dupontel était de dénoncer en s'amusant. Défi perdu, son film est lourd et tombe dans les clichés.
Pas une catastrophe mais pas une réussite.
Détective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme.
Hier soir, difficile de faire un choix à la TV surtout quand y'a Les Incorruptibles ! J'aime changer un peu de registre de temps en temps donc "pouf arte". Je ne connais absolument rien de la culture asiatique et encore moins des réalisations de Tsui Hark. J'ai lu que mait à quelques connaissances de sa filmographie. ^^
Visuellement c'est très beau, les couleurs claquent la rétine...dommage que quelques effets spéciaux rajoutés en post-prod gâche le plaisir et le réalisme. Certaines scènes de différents ambiances sont sympathiques (celle "sous terraine"). Le rythme galope galope.... on est captivé. Autant vous dire, l'histoire mêlant légendes/enquête avec des noms imprononçables cela me sortait un peu par la tête. Un peu de docu/revisionnage sur le film serait même préférable.
Au final, le film est impressionnant par ses décors, costumes (surprenant les tenues de la Reine ou futur Reine... je sais plus) & peut être quelques scènes d'actions.
Vive le chocolat & le saxophone!