Deux Frères oui je l'ai vu mais Le dernier Loup je connais pas celui-là.
Le seul film sur les loups que je connaisse c'est Croc-Blanc qui est d'ailleurs magnifique au passage.
Croc-Blanc est également l'un des films de mon enfance (pas revu depuis). Tout comme L'Ours que je viens de revoir : c'était bien (mais les coupures de pub, c'est vraiment casse-couille).
J'attends encore quelques jours pour me décider, mais je pense que je vais annuler mon abonnement UGC Illimité : hors de question de me faire systématiquement contrôler à l'entrée comme un criminel, par des gens qui ne sont pas des flics ou militaires (et dont je ne suis même pas sûr qu'ils soient vaccinés).
À voir, car on est déjà contrôlé pour voyager. Mais tout dépend de ce qu'ils demandent dans la vie de tous les jours dans ces pays.
De toute façon, je ne suis pas d'humeur à voyager actuellement. Je veux me détendre en voyageant, pas me prendre la tête (sinon, autant rester dans son pays).
Je me servirai de mon passe si j'y suis vraiment obligé (pour travailler ou changer de région par exemple).
À voir, car on est déjà contrôlé pour voyager. Mais tout dépend de ce qu'ils demandent dans la vie de tous les jours dans ces pays.
Ouais, alors ça dépend des pays : l'Islande demande un pass ET un test PCR depuis quelques jours. Malte et la Suisse me demandent un formulaire chacun. Après, l'Autriche demande un pass pour certains lieux (concerts, restaurants etc.), le Danemark fait pareil que la France à peu près avec son coronapass — ils l'ont depuis avril, eux —, la Grèce vient d'imposer un pass pour certains trucs... ça dépend vraiment.
Bon je vous ai déjà dit que j'enchainais actuellement des documentaires et courts-métrages de cinéastes franco-arméniens donc voilà la suite :
Sans retour possible de Jacques Kébadian et Serge Avédikian
Au début des années 1980, les deux réalisateurs partent à la rencontre des survivants du génocide des Arméniens vivant en France. Des personnages évidemment âgées qui racontent leur survie, la perte de leurs proches, les années qui suivent puis leur parcours en France ainsi que l'épineuse question de la transmission comme la relation compliquée avec l'Arménie soviétique de l'époque. Comme pour quasiment tous les documentaires dont je vais parler ensuite, c'est intéressant, c'est même nécessaire mais on ne va pas se mentir, c'est un documentaire assez froid, peu passionnant qui se contente juste de rapporter des paroles avec quelques idées de mises en scène très oubliables.
Extrait ▼▲
Dis-moi pourquoi tu danses ? de Jacques Kébadian
Documentaire d'une heure sur une troupe française de danseurs arméniens qui sont généralement des descendants de victimes/survivants du génocide. C'est intéressant dans le sens où la culture permet de transmettre un héritage mais ça n'a rien de remarquable.
Extrait ▼▲
Vingt ans après de Jacques Kébadian
Le cinéaste avait réalisé un documentaire pour Fr3 en 1982 sur le retour en Arménie Siviétique d'un de ses amis qui retrouvait 13 ans après l'avoir quitté ses camarades de classe. Puis entre 2001 et 2002, il reprend contact avec ces camarades tout en insérant des images de Erevan en 1994 alors que l'Arménie nouvellement indépendante souffre grandement de la guerre. Une sorte de chassé croisé entre 3 époques (1982/1994/2001-2002) et trois pays (Arménie, France et Etats-Unis). Ca parle de guerre, de diaspora, d'identité nationale. Intéressant sans être passionnant.
Extrait ▼▲
Colombe et Avedis de Jacques Kébadian
Court-métrage où le réalisateur donne la parole à Avédikian qui tente de raconter l'amour de ses deux grands-parents récemment disparus. Un couple qui a survécu au génocide et qui a tenté de se construire une vie comme ils pouvaient entre la Syrie, la France et l'Arménie soviétique. Plutôt intéressant si on aime les récits de vie. Sinon rien de bien marquant.
L'Atelier de Jacques Aslanian de Jacques Kébadian
Autre court-métrage sans aucun intérêt. Le réalisateur pose juste sa caméra tandis qu'un artiste montre ses toiles et parle d'art. Bref j'ai décroché direct d'autant plus que les travaux de l'artiste m'ont laissé dubitatif.
Sans transition :
10 000 Heures de Joachim Hedén
Comédie suédoise sur un trentenaire qui gagne une sorte de Loto puis décide de tout envoyer balader pour devenir joueur de foot pro. Vite vu vite oublié tant le film n'a rien de remarquable malgré un départ assez intéressant. La manière dont la lubie du héros va affecter ses relations autour de lui promettait beaucoup plus mais le film reste trop sage et surtout assez maladroit par moments. La mise en scène est assez pauvre avec quelques effets souvent ratés. Les personnages ont le mérite d'être assez attachants avec quelques gags qui fonctionne. Niveau comédie on est plus dans le doux-amère que la volonté de faire rire à tout prix. Bref, vous ne ratez pas grand chose.
Dans le même genre, toujours de Jean-Jacques Annaud, il faut également regarder Le dernier loup.
(Deux frères était sympa aussi, avec les tigres)
Deux Frères oui je l'ai vu mais Le dernier Loup je connais pas celui-là.
Le seul film sur les loups que je connaisse c'est Croc-Blanc qui est d'ailleurs magnifique au passage.
Croc-Blanc est également l'un des films de mon enfance (pas revu depuis). Tout comme L'Ours que je viens de revoir : c'était bien (mais les coupures de pub, c'est vraiment casse-couille).
J'attends encore quelques jours pour me décider, mais je pense que je vais annuler mon abonnement UGC Illimité : hors de question de me faire systématiquement contrôler à l'entrée comme un criminel, par des gens qui ne sont pas des flics ou militaires (et dont je ne suis même pas sûr qu'ils soient vaccinés).
Tant pis pour Kaamelott et cie.
(quelle bande de tarés et de despotes ! )
Question : ton pass sanitaire, tu vas l'utiliser ailleurs que pour le ciné ou tu vas boycotter tout et pas que les cinés ?
Boycott au maximum.
Du coup même pas de voyage. :(
À voir, car on est déjà contrôlé pour voyager. Mais tout dépend de ce qu'ils demandent dans la vie de tous les jours dans ces pays.
De toute façon, je ne suis pas d'humeur à voyager actuellement. Je veux me détendre en voyageant, pas me prendre la tête (sinon, autant rester dans son pays).
Je me servirai de mon passe si j'y suis vraiment obligé (pour travailler ou changer de région par exemple).
Ouais, alors ça dépend des pays : l'Islande demande un pass ET un test PCR depuis quelques jours. Malte et la Suisse me demandent un formulaire chacun. Après, l'Autriche demande un pass pour certains lieux (concerts, restaurants etc.), le Danemark fait pareil que la France à peu près avec son coronapass — ils l'ont depuis avril, eux —, la Grèce vient d'imposer un pass pour certains trucs... ça dépend vraiment.
Bon je vous ai déjà dit que j'enchainais actuellement des documentaires et courts-métrages de cinéastes franco-arméniens donc voilà la suite :
Sans retour possible de Jacques Kébadian et Serge Avédikian
Au début des années 1980, les deux réalisateurs partent à la rencontre des survivants du génocide des Arméniens vivant en France. Des personnages évidemment âgées qui racontent leur survie, la perte de leurs proches, les années qui suivent puis leur parcours en France ainsi que l'épineuse question de la transmission comme la relation compliquée avec l'Arménie soviétique de l'époque. Comme pour quasiment tous les documentaires dont je vais parler ensuite, c'est intéressant, c'est même nécessaire mais on ne va pas se mentir, c'est un documentaire assez froid, peu passionnant qui se contente juste de rapporter des paroles avec quelques idées de mises en scène très oubliables.
Dis-moi pourquoi tu danses ? de Jacques Kébadian
Documentaire d'une heure sur une troupe française de danseurs arméniens qui sont généralement des descendants de victimes/survivants du génocide. C'est intéressant dans le sens où la culture permet de transmettre un héritage mais ça n'a rien de remarquable.
Vingt ans après de Jacques Kébadian
Le cinéaste avait réalisé un documentaire pour Fr3 en 1982 sur le retour en Arménie Siviétique d'un de ses amis qui retrouvait 13 ans après l'avoir quitté ses camarades de classe. Puis entre 2001 et 2002, il reprend contact avec ces camarades tout en insérant des images de Erevan en 1994 alors que l'Arménie nouvellement indépendante souffre grandement de la guerre. Une sorte de chassé croisé entre 3 époques (1982/1994/2001-2002) et trois pays (Arménie, France et Etats-Unis). Ca parle de guerre, de diaspora, d'identité nationale. Intéressant sans être passionnant.
Colombe et Avedis de Jacques Kébadian
Court-métrage où le réalisateur donne la parole à Avédikian qui tente de raconter l'amour de ses deux grands-parents récemment disparus. Un couple qui a survécu au génocide et qui a tenté de se construire une vie comme ils pouvaient entre la Syrie, la France et l'Arménie soviétique. Plutôt intéressant si on aime les récits de vie. Sinon rien de bien marquant.
L'Atelier de Jacques Aslanian de Jacques Kébadian
Autre court-métrage sans aucun intérêt. Le réalisateur pose juste sa caméra tandis qu'un artiste montre ses toiles et parle d'art. Bref j'ai décroché direct d'autant plus que les travaux de l'artiste m'ont laissé dubitatif.
Sans transition :
10 000 Heures de Joachim Hedén
Comédie suédoise sur un trentenaire qui gagne une sorte de Loto puis décide de tout envoyer balader pour devenir joueur de foot pro. Vite vu vite oublié tant le film n'a rien de remarquable malgré un départ assez intéressant. La manière dont la lubie du héros va affecter ses relations autour de lui promettait beaucoup plus mais le film reste trop sage et surtout assez maladroit par moments. La mise en scène est assez pauvre avec quelques effets souvent ratés. Les personnages ont le mérite d'être assez attachants avec quelques gags qui fonctionne. Niveau comédie on est plus dans le doux-amère que la volonté de faire rire à tout prix. Bref, vous ne ratez pas grand chose.
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