Skip to Content

[JEU] un film = une phrase

Dernière contribution

6103 posts / 0 nouveau(x)
Portrait de mait
Hors ligne
A rejoint: 3 septembre 2011
Contributions: 2470
Re: [JEU] un film = une phrase

Bon je relance, une femme décide de partir d'un nouveau pieds et pour ça elle prend de nouvelles résolutions et commence un journal intime.

Portrait de Agent.Zero.Zero
Hors ligne
A rejoint: 30 décembre 2011
Contributions: 1120
Re: [JEU] un film = une phrase

bridget jones?

Tu étais épatant dans Wall Street !

Portrait de mait
Hors ligne
A rejoint: 3 septembre 2011
Contributions: 2470
Re: [JEU] un film = une phrase

Bravo! a toi!

Portrait de Agent.Zero.Zero
Hors ligne
A rejoint: 30 décembre 2011
Contributions: 1120
Re: [JEU] un film = une phrase

une facile parce que je suis pas inspiré:

"alors demain c'est la lessive? plus rien à se mettre hein ?

Tu étais épatant dans Wall Street !

Portrait de mait
Hors ligne
A rejoint: 3 septembre 2011
Contributions: 2470
Re: [JEU] un film = une phrase

Purée, c'est un film qui est passé à la télé cette semaine!
Fou d'Irène?

Portrait de Agent.Zero.Zero
Hors ligne
A rejoint: 30 décembre 2011
Contributions: 1120
Re: [JEU] un film = une phrase

pas du tout :)

Tu étais épatant dans Wall Street !

Portrait de NicoNico
Hors ligne
A rejoint: 6 décembre 2011
Contributions: 5523
Re: [JEU] un film = une phrase

Terminator !

Team Mimic en ostryer de Vriginie

"All those moments will be lost in time, like tears in rain."

You gain brouzouf
My legs are ok

Portrait de Agent.Zero.Zero
Hors ligne
A rejoint: 30 décembre 2011
Contributions: 1120
Re: [JEU] un film = une phrase

yes

Tu étais épatant dans Wall Street !

Portrait de NicoNico
Hors ligne
A rejoint: 6 décembre 2011
Contributions: 5523
Re: [JEU] un film = une phrase

Bon, on continue les amis !

Une scène bouleversante d'un film bouleversant :

"- Il va y avoir des générations grâce à ce que vous avez fait.
- Je n’en ai pas fait assez.
- Vous en avez fait tellement."

Team Mimic en ostryer de Vriginie

"All those moments will be lost in time, like tears in rain."

You gain brouzouf
My legs are ok

Portrait de shari
Hors ligne
A rejoint: 9 septembre 2011
Contributions: 372
Re: [JEU] un film = une phrase

La Liste de Schindler évidement !
Et comme je suis sûr de ma réponse, voici ma citation, attention, pavé !

Citation:
Chacun sa vie, chacun sa morale. Et si je devais résumer ma vie. Ma vie elle est très simple. C’est celle d’un pauv’ type. Voilà le genre de truc qu’ils devraient écrire un jour. C’est l’histoire d’un homme comme tant d’autre, son histoire est banale. Ça commence en France, en plein cœur du merdier, au pays du fromage et des collabos. Cet homme naît près de Paris en 1939. En 41 sa mère l’abandonne. Il ne la reverra jamais. À la libération, il apprend enfin l’identité de son père. Un résistant communiste mort en Allemagne dans un camp de concentration. Il a six ans. Un conflit intérieur commence alors. D’autant plus qu’à la même époque un éducateur lui vole son innocence au nom de Jésus. À quatorze ans, poussé par la nécessité de survivre, il apprend le métier de boucher. Et pendant dix ans il travaille comme apprenti chez différents patrons. Économisant sous après sous pour payer le bail de sa future boutique. À trente ans il y parvient et s’installe à Aubervilliers. Les débuts sont difficiles mais au bout de deux ans son affaire chevaline prend de l’envol. Enfin il peut vivre. Il rencontre une jeune ouvrière bovineuse et déchire son hymen à l’hôtel de l’Avenir, juste en face de l’usine où elle travaille. Mais les événements se précipitent. Neuf mois plus tard il se retrouve père d’une fillette, Cynthia, dont la mère ne veut rien savoir. Elle les abandonne tous les deux et le père doit élever seul sa fille. Les années passent. La boucherie tourne tant bien que mal. Le boucher achète un petit appartement à crédit où la fille grandit, enfermée dans son mutisme. Sa puberté arrive. Elle prend des formes. Et le père, célibataire malgré lui, doit lutter contre la tentation. Et c’est alors que le drame éclate, la jeune fille a ses premières règles. Prise d’une douleur inconnue elle part retrouver son père dans sa boucherie. Mais sur le chemin un ouvrier tente de la séduire. Un voisin les voit et ramène la jeune fille à son père. Celui-ci, découvrant la tâche de sang sur la jupe de son enfant, croit au viol. Il saisit un couteau et sort à la recherche du coupable. Sur le chantier voisin se trouve un autre ouvrier. Le boucher se précipite sur lui et le défigure à coups de couteau. L’innocent survit, le boucher se retrouve en prison tandis que ça fille est placée dans une institution. Il lui écrit quelques lettres. Les mois passent. Pour sortir de prison le boucher doit céder son appartement et sa boutique. Il retrouve enfin la liberté, mais il a tout perdu. Pour survivre, il se fait engager comme serveur dans un café. Il devient l’amant de la patronne. Celle-ci tombe enceinte, lui propose de vendre le café pour repartir à zéro dans une autre ville, tout les deux. Avec l’argent du café, elle pourrait même lui payer le bail d’une boucherie. N’ayant pas le choix, l’homme accepte. Pour la première fois il se rend à l’institution où est gardée sa fille. Et lui fait ses adieux. Celle-ci le regarde partir sans un mot. Le lendemain, à l’aube, il quitte la ville en voiture avec la patronne, espérant échapper au sombre tunnel de son existence. Ils parviennent à Lille et s’installent chez la mère de la femme, en attendant de trouver un autre appartement et une boutique à elle. Comparées aux rues de Paris où il a toujours vécu, celles du nord de la France lui paraissent triste et déserte. Pour la première fois de sa vie, il se sent comme un étranger. Les images de son père mort en déportation loin de son pays refont surface. Mais le boucher, comme tout homme, est avant tout un être de pure survie. Il décide de mettre au placard son passé et d’oublier la trahison faite à sa fille, ainsi que son amour pour elle. Enfin, l’amour c’est un bien grand mot. Peu de gens peuvent se vanter de l’avoir connu.

Edité par shari le 17/11/2012 - 11:53