Longtemps vu comme le << Zelda de la Mega Drive >>, Landstalker est en réalité un jeu qui dispose d'une personnalité
propre et affirmée, qui sied à merveille avec l'image du SEGA de l'époque.
Landstalker : The Treasures of King Nole
Support Mega Drive - Genesis
Editeur SEGA
Développeur Climax
Genre Jeu de Rôle
Sortie officielle Oct 1993
Joueurs max 1 en local
Import NON
Titre alternatif Landstalker : Koutei no Zaihou / Landstalker
UPC/EAN 4974365613532
d'aventure japonnais sont
des ramassis de clichés ?
C'est que vous n'avez jamais
croisé la route de Ryle,
un chasseur de trésors plus
intéressé par le contenu
de sa bourse que par le devenir
de ses semblables. Par un
truchement du destin, les
petites affaires du héros
de Landstalker vont bien
évidemment le conduire
à sauver le monde.
quête on ne peut plus
noble, jamais le jeu ni
ses protagonistes
(impossible d'oublier
Friday, la petite fée
qui le suit partout !)
ne se départiront de
l'humour qui les habite.
L'humanité qui émane du jeune
elfe et des personnages qu'il
croisera tout au long de son
périple est d'une sincérité
confondante, contribuant à
rendre l'univers particulièrement
attachant. Cette volonté de ne
pas se donner de grands airs,
de ne pas rentrer dans des
cases, de côté en un sens un
peu rebelle, à m'image de la
Mega Drive, font de Landstalker
un titre à l'empreinte indélébile.
Des scènes percutantes
Une remise en question
Des décisions importantes
Les moins :
Des moments un peu longs
Un épisode court
Un manque d'interaction
1. Le jeu s'éloigne pas mal des
clichés des jeux d'aventure
d'autrefois, ce qui le rend
particulièrement attachant.
2.Outre son impressionnante
vue en 3D isométrique,
Landstalker impressionnait par
la qualité de ses graphismes.
3.Le gros point noir du jeu se
situe dans sa maniabilité, qui
rend pénible la moindre phase de plate-forme.
le nécessaire pour qu'on le
remarque. Plutôt que d'utiliser
une caméra aérienne comme
le voulait les normes de
l'époque, il va en effet miser
sur une vue 3D isométrique
impressionnante, à la fois
originale, bien sentie et
maladroite. Celle-ci entraînera
en effet quelques gros ratés
- un escalier planqué dans le
décor à cause de l'effet de
perspective, des phases de
plate-forme à s'arracher les
cheveux tant l'appréciation des
directions et des distances était
chamboulé -
on reste marqué par la qualité
d'énigmes et puzzles, présents
en nombre tout le long de la
progression. Sur bien des
points, Landstalker n'a rien
envier au Zelda : A Link to the
Past auquel il était comparé.
S'il y avait un regret à avoir,
outre le fait que le jeu n'ait pas
véritablement donné naissance
à une saga, c'est que la
traduction française de l'époque
n'est pas d'une fidélité
exemplaire, une sorte de
censure assez incompréhensible
contribuant à donner à la fin
un coté bâclé complètement
absent de la version original.
Un topic sur Landstalker éxiste déjà, avec tous les objets disponible, les quêtes annexe ...etc
Le topic de Landstalker