The Last of Us 2 (7/X)

0 tension ce jeu, franchement pour l'instant on dirait que c'est le 1 ya quasiment rien de neuf. Je viens de me mater les épopées Silent Hill mais on est tellement loin avec ce jeu là.
En tout cas pour l'instant, hyper déçu du jeu, je suis surpris que tu ne dises pas que c'est un film interactif. Le semi open-world là c'est une autre case à cocher et c'est tout après c'est couloir land, ça fait pas peur, c'est les mêmes ennemis, les mêmes mécaniques ... en 60 fps...
Heureusement le duo des filles marche bien.

Cette mauvaise foi des enfer.

- J'étais caché dernière le meuble il aurais jamais du me toucher, dans le 1er Last ça serais jamais arriver.

Sinon personne pour répondre au Hooper pour les vitres des voitures.

La raison est simple NG n'a tout simplement pas modélisé l'intérieur de certaines voitures surement par manque de temps, ceux que tu peux pas casser forcement voila la raison. ^^
Quand tu vois l'intérieur des voitures tu peux casser les vitres voila. :)

Ma dose de vitres cassées !! Vite !
Mohamed Henni simulator.

Aïe aïe aïe... J’attendais avec beaucoup d'impatience la rencontre et les combats avec les premiers humains mais le tout est malheureusement un peu gâché.

Pourquoi ?

-des scènes archi-violentes : les ennemis qui pleurent de terreur lorsqu’ils sont blessés, qui t’insultent lorsque tu frappes leur pote ou qui crient leur nom avec émotion lorsque tu les achève, le démembrement... PEGI-18 je veux bien mais... Ho ! Y’a pas un problème là ?

Ce n’est pas assez ?

- des moments bien ridicules : le mec tout seul qui dit ‘Elles s’enfuient’ alors que ces potes sont dead, le badinage de Dina et Elie alors qu’elles viennent de faire une bonne boucherie, les faisant passer pour deux Termina-tueuses psychopathes sans âme, le fait qu’elles se baladent tranquillement dans des zones bien ouvertes à la merci de n’importe quel guetteur ou sniper.

Et on tartine tout ça avec un gros gros gros problème de rythme (on passe de zones ouvertes géantes magnifiques mais sans ennemis à de toutes petites zones fermées plus infestées que le métro aux heures de pointe), d’action (on passe son temps à looter), des objectifs peu clairs (« On fait quoi ? On va où ? » « Par-là, je crois. » « Je te suis. »), AUCUNE morale ou leçon à tirer de tout ce capharnaüm, des dialogues niais de série B américaine, le scénario qui n’avance pas d’un pouce alors qu’on aimerait le voir se dévoiler petit à petit (avec des notes par exemple, on voit bien qu’elles ne servent à rien, là !)...
'Horizon ? Horizon 2.0 Down ?? C'est toi ?' Se frotte les yeux.
'Non, c'est pas lui.'

Et pour bien finir de nous sortir du contexte, on ajoute du hors-sujet : du sexe, une amourette gay bien à la mode, de la religion, du langage crû, du sexisme inversé (on ne joue que des filles), on saupoudre tout ça de violence et de scènes malsaines, on secoue... et le soufflé retombe.

C’est bien simple. C’est bien la première fois que j'entend le Hooper dire plusieurs fois de suite ‘On se fait un peu chier, non ?’ ou ‘Mais ça doit être chiant à regarder, tout-de-même.’, puis de se reprendre rapidement en faisant tourner la caméra ‘Ahem ! Mais quand même, c’est beau...’ (Y’a de bonnes balades à se faire dans la région). Bon, heureusement pour nous qu’il nous sauve la vidéo en trouvant une petite astuce des familles pour passer le temps (voir ci-dessous la pub Carglass de mon collègue Lagrogne).

Mais où est passée l’histoire, me direz-vous ?
'Allo, l’histoire ? Allo ??’‘Vous avez bien demandé l’histoire, nous avons bien noté votre appel, ne quittez pas. Sachez que dans le cadre de notre démarche qualité Marketing, votre appel est susceptible d’être enregistré. Vous avez bien demandé l’histoire, ne quittez pas...’

Y’a pas à dire, on sent bien la perte de Bruce Straley à la réalisation, surtout en terme de vision globale et de mise en scène. Son duo avec Druckmann fonctionnait vraiment bien sur le premier, mais là avec Halley Gross, c’est la (Gross) catastrophe ! Tu as l’impression qu'ils cherchent à tout prix à impressionner, alors qu’ils n’avaient juste qu’à garder l’aspect quête initiatique du premier volet, se concentrer sur le développement de la communauté de Jackson, construire un vrai groupe, une vraie famille, faire évoluer les personnages survivants, leur donner un sens, de nouveaux objectifs dans la survie, de véritables opposants politiques sous forme de factions ou de castes et en définitive faire évoluer les parties non-exploitées de son grand-frère numérique. Ils se sont perdus. On aurait espéré du 'Sic Parvis Magna'. On ne l'a retrouvé que sous forme de clin d'oeil.
Dommage !

C'est violent quand même les affrontements contre les humains, rien que la dame qui se fait arracher la jambe gauche par un coup de pompe et qui gémit. C'est plus horrible que tous les claqueurs du jeu.

Et puis entre ces phases de combat on a des causettes entre deux ados qui donnent des notes sur leurs embrassades, ou font des choses saphiques après avoir touché et égorgé des infectés putrides.

Cette histoire de vengeance est antipathique également, tout ce défouraillage pour ça ? Difficile d'avoir de la sympathie pour les personnages ou le scénario.

Le Seigneur a pourtant dit : vous avez appris qu'il a été dit "Œil pour œil, dent pour dent". Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un frappe à mort ton ami sur la tête avec un club de golf, présente-lui la tienne sur un tee.

mais commentaire on disparut tien ?