Shadow of the Colossus Remake (16/16)
Non vous ne rêvez pas il s'agit bien du lecteur Youtube, c'est donc enfin mon retour sur cette plateforme en espérant que ça sera plus pour le meilleur que le pire, y'a encore du boulot avant que tout revienne à la normale, je dois mettre à jour ma chaîne YT avec les dernières vidéos hors épopées/rediff lives mais je vais quand même essayer de continuer l'upload de God of War en parallèle.
On fera également des tests de live sur Youtube, si ça fonctionne bien tant mieux sinon ce sera le retour de twitch.
Voilours, je sais que beaucoup parmi vous ne pouvaient plus ou mal voir mes vidéos, ça devrait résoudre pas mal de problème.
176 Commentaires
Bonjour Grozours et toute la communauté.
5 ans, voilà 5 gozannées que j’attends de visionner cette épopée.
« Si vous n’avez pas fait le jeu, faites le de votre côté sinon vous aller vous gâcher l’expérience ».
Prenant ces belles paroles au pied de la lettre, j’avais décidé de regarder après avoir fait le jeu de mon côté.
——Ps2 jap/Tv cathodique/jeu Ntsc-J—-
Le titre en japonais traduit est « Wonda et les colosses »
Le jeu ps2 à un framerate autour de 15,20fps et beaucoup d’aliasing. Une colorimétrie particulière à la ICO.
Pour de la ps2, le jeu est jolie, les colosses sont très bien rendu ainsi que leur fourrure.
Tous les superlatifs que j’ai entendu autour de ce jeu n’intriguaient. C’est un jeu à part entière, une expérience épique.
Autant je me suis ennuyé sur Ico et j’en était ressorti déçu autant ce Shadow of colossus est intouchable.
Beaucoup d’émotion dans ce jeu, je n’aimait pas tuer les colosses mais je n’avait pas le choix (comme le protagoniste). La scène du cheval très marquante.
Nous avons un arc et un cheval, je pensais que c’était juste des « outils » pour agrémenter l’aventure mais finalement ils sont essentiels autant que l’épée.
Je ne savait ni pour les lézards, ni pour les fruits. Dans un monde comme cela, je n’y aurai jamais pensé. Le jeu n’est pas dur de base, c’est juste du bonus.
Pour moi le tour de force du jeu vient d’une de ces mécaniques.
La peur de tomber des colosses !
Dans un jeu traditionnel, nous lutons pour ne pas mourir car cela signifie un game over. Ici nous lutons pour ne pas tomber tant l’ascension des colosses est éprouvante. On perd peu de vie en tombant mais le fait de tout refaire pour arriver au point faible est un challenge.
Malheureusement le jeu souffre d’un seul et unique défaut. La rejouabilité.
Sachant maintenant comment battre chacun des 16 colosses, je ne vois plus du tout l’intérêt du jeu.
Un petit avis sur l’épopée du Grozours.
J’aurai aimé dire que c’était passionnant et super mais le fait que le Grozours s’attarde sur les fruits et les lézards (ce qui est bien pour apprécier les panorama de cette version) et tue les colosses en 2 min ça casse tout.
Il a joué comme quelqu’un qui connaissait le jeu par cœur donc finalement cela a donné une épopée plutôt ennuyante.
Un walkthrough finalement.
Cette version remaniée par bluepoint est magnifique, je regrette presque de l’avoir fait sur ps2. Je me garde cette nouvelle version pour dans plusieurs années quand j’aurai un peu oublié le jeu.
Quelle fin ce Shadow of the Colossus! J'ai pas pu m'empêcher d'avoir un petite larme à l'œil avec cette mise en scène!
C'était vraiment très cool de regarder cette épopée. Et c'est toujours aussi impressionnant de voir ces colosses malgré que j'ai déjà fait le jeu. Et en ce qui concerne tes petits moments à gambader dans la nature, j'aimais bien. Il y avait une ambiance calme, apaisante.
Très bonne épopée
Voici la raison pour lesquelles les vidéos du Hooper sont devenues universelles. Le partage du flambeau et de l'expérience. Bien évidemment, je suis particulièrement persuadé qu'en temps que joueur ultra occasionnel, je n'aurais jamais entendu parler de ce jeu. Quelle aurait été cette erreur incommensurable. Le sens que prend la vie évolue et des choix sont réalisés, qui ont un impact considérable sur le cheminement de l'existence, surtout en ce qui concerne les loisirs. Avec les études, il m'a été impossible de retoucher à une manette et j'ai donc effectué une opération irréversible mais dont j'étais certain du succès, transférer ma passion pour l'art vidéo-ludique à travers celle du Hooper et ses magiques vidéos. Je n'ai jamais douté du bien fondé de ce sacrifice personnel ô-combien important pour moi. Mais sachant que le Gros Ours a presque exactement la même perception de cette sphère artistique ainsi qu'une façon (lente) de jouer qui me ressemble inextricablement, je lui ai donné virtuellement le soin de transcender sa passion en instructions et découvertes manifestes dans la mesure où il est le seul être qui me permet encore de voir ces jeux que j'aimais tant et ces expériences que j'aurais voulu réaliser, mais je suis fier d'avoir offert ce cœur palpitant assoiffé d'art, d'humour et de challenge au Hooper, unique personne capable de le comprendre aussi bien. Et c'est en contemplant un tel bijou que cette réussite basée sur sa personnalité hors normes est des plus explicites.
Clairement, SoTC est un simple miracle. Réussir à se dresser ainsi contre l'ordre établi et, ne serait-ce que penser à un tel chef d'œuvre, est passible d'exclusion de l'ordre restreint du jeu vidéo. Ueda est un génie, un des plus grands maîtres du jeu vidéo et être aussi jeune, autant au sommet de son art, redonne souffle à toutes les créations virtuelles. S'ériger en 2005 contre la société de consommation et les technologies contemporaines (la PS2 qui crache ses tripes !) aurait pu causer le démantèlement de la "teem Ico". Et pourtant, une pépite de fable écologique et aux rêveurs a été façonné et le tort serait de ne pas l'intégrer dès lors au panthéon des rares chefs d’œuvres absolus des pixels. Car ici, c'est peut-être la première fois que de pixels il n'en est pas vraiment question. S'amusant à mêler génialement les cadre, le miyazaki du jeu vidéo réalise un coup de maître qui abasourdit par la densité et le brassage d'informations de son titre qui s'épanouit plus en plus à chaque nouvelle séquence. Cette expérience transgenre fait partie de ces rares éléments de l'Humanité dont on comprend dès la première seconde que la puissance évocatrice n'en sera que plus amplifiée poétiquement à mesure de son déroulement.
Ici, tout est vain et c'est ce qui parachève un tel miracle, de la quête de notre héros au monde englouti qui s'avère être une prison métaphysique aux barreaux dont la rédemption est tissée de sacrifice. La clôture du jeu en est que plus bouleversante, après 15 colosses prophétiques, se réalise un nouveau et énième morceau de bravoure dans lequel la fin est à la fois cohérente au possible et anti-spectaculaire, un fait rarissime (un autre jeu l'a-t-il effectué ?). En effet, lors du magistral
En outre, le gameplay n'a pas été dénaturé d'un kopeck, c'était incroyable il y a près de 15 ans, ça l'est encore plus de nos jours et c'était un tour de force de vouloir reconstituer ce Frankestein de jeu avec les technologies actuelles, et chose faite et c'est exceptionnellement bouleversant. On est écrasé sous la taille des décors et leur suprématie indéniable.
Chaque colosse est unique et la façon de les annihiler également. Ce qui fait de ce jeu, a priori, le plus grand coup de maître est la réflexion menée pour les combats incandescents, parfois d'une absurdité et dont le "tirage" de cheveux confine au Kafkaïen et dont on a vu grâce à ces vidéos qu'une infime partie, chaque joueur les réalisant à son rythme. La partition de Kow Otani confirme la qualité soyeuse de cette ode à la vie, certaines musiques (dont The Opened Way et tout le ending, accessoirement) appartiennent aux plus grandes musiques de jeux vidéos de tous les temps. Et la fin, belle à en pleurer réalise les maillons d'une chaîne dans le grand cycle de la vie en plus de surprendre par son caractère encore plus universel qu’imaginé.
En effet, même les défauts du jeu deviennent des qualités, car le placement de la caméra, la vacuité du monde et le gameplay anarchique étant le triptyque construisant le cœur battant de l'épopée SoTC dont l'édifice s'étoffe étonnement avant de se transfigurer. Comment imaginer un quelconque soupçon d'originalité avec un jeu complet dans le monde voir avec des "quêtes annexes" (et pas que des lézardos et autres mangues à choper !), une caméra stable et un gameplay intuitif permettant de dessouder les colosses d'un coup d'épée de vrai bonhomme bien placé ? C'est bien au contraire tout l'inverse et cet archaïsme délicieusement anachronique en est le critère fondamental. Il conviendra donc de reconsidérer The Last Guardian à la lumière éternelle du feu d'agro et de son compagnon de voyage, parmi lesquels, comme pour Trico, l'émotion réelle naît vraiment. Il faut presque se démener, se battre avant tout contre le game design avant de se targuer d'affronter les boss qui parsèment ces terres magistrales et désolées et qui sont l'intégralité du jeu d'une ambiance rarement atteinte jusqu'à présent.
Merci Gros Ours pour ce magistral let's play qui nous a fait découvrir un tel chef d'œuvre Et le retour à Youtube ! Voici venu l'heure d'un moment tant attendu que redouté. Bien évidemment, ce lecteur est infiniment plus performant (exit le lecteur de Daily qui avait abrité de manière évidente le Malin), mais le revers de la bonne grosse médaille (j'espère réellement que mes craintes seront infondées et dissipées rapidement) est qu'un afflux de trolls et d'abrutis débarquent sur le site du Hoopy et que par la force des choses, la communauté ne change de manière irrémédiable avec les vidéos uploadées en parallèle sur YT. Mais faisons confiance à l'Ours pour rester évidemment le même (les dons ! :p) et remercions le infiniment pour les complexifications que le transfert a posé.
Bref, c'est non sans émotion qu'on constate à partir de l'être Hooperien et à sa grandiose épopée de vidéaste que les individus sont bel et bien capables du meilleur, puisant sans cesse dans la destruction créatrice du nouveau et de l'ancien, opérant des cycles liant l'initial et le renouveau, comme nous le prouve le retour à Youtube de ses début et cet ovni d'œuvre d'art au sens le plus noble du terme, qui rejoint les angles de notre monde et qui a permis à l'Ours de se rattacher au jeu vidéo canonique car ce titre de renom est un mythe vivant et vivifiant qui redonne foi en l'espèce Humaine qui est tout à la fois sa thèse et son antithèse, ce qui le façonne et le détruit, à l'image de son héros, et bien évidemment de l'audace de son orfèvre, Ueda, qui sans manichéisme ont su briser les codes et les conventions, uniques cendres sur lesquelles tout peut maintenant se reconstruire.
Merci pour ce beau poste !
Merci à toi d'avoir tout lu ! :p
Il est loin d'être seul :)
Oh, merci mon Hoopy, c'est tellement ronron d'avoir un Gourou de cet acabit ! :p
Aaaaah oui ! The Last Guardian, l'émotion avec... un gameplay pourri.
Mais il paraît que c'est poétique, donc faut rien dire. ^^
Et après on crache sur Red Dead 2...
#jepourrisl'ambiance
Mais tellement Kylor, loul. ^^
Je n'ai pas regardé les lives de RDR2 mais en effet, il paraît que ce n'est pas bien folichon !
Superbe épopée avec un Hooper plein de nostalgie. J'ai attendu de me procurer et me faire cette pépite sur PS4 avant de regarder tes vidéos. Ça fait un petit moment que je voulais y jouer mais jamais eu l'occasion... Merci à ce remaster. Franchement, je ne suis pas déçu de cette aventure. Un jeu atypique en effet. J'ai surtout accroché à cette ambiance hors du commun, une sorte de voyage dans un environnement gigantesque avec en sentiment de solitude incroyable. Bref, un chef d’œuvre du jeu vidéo. Après, on aime ou on n'aime pas. En tout cas, ça change des AAA donc toujours sympathique.
PS : J'avoue avoir pesté contre certains colosses (surtout l'avant dernier =P).
Très bonne épopée Hooper, vraiment très bonne. J'aurais adoré faire le jeu car il m'inspirait vraiment beaucoup. J'avais même commencé à regarder les premiers épisodes, et quand tu as dit "Si vous n'avez pas fait le jeu, arrêtez tout de suite la vidéo, faite le, et revenez après", je me suis dit que t'avais complètement raison parce ce que c'est le genre de jeu que j'adore, qui me transporte.
Après je me suis dit que le jour où j'aurais une PS2, une PS3 ou une PS4 bah... ce sera pas demain la veille. Donc j'ai regardé (à tort surement). C'était très cool à suivre car tu nous racontais combien ce jeu t'as marqué et t'as changé face au jeu vidéo. On t'as sentit passionné, non pas grognon ou de mauvaise foi, mais nostalgique face a une oeuvre peu commune qu'est Shadow of the Colossus. Très bonne expérience donc, le fait que tu connaisses déjà le jeu a eu un petit avantage, sinon l'épopée aurait duré 67 épisodes, loul. (Et je dois être le seul connard qui n'était pas dérangé par le mode photo que tu activais tout le temps).
En plus ça rappelle Putain 5 ans, donc que du bonheur.
Bonne épopée pour un jeu qui le mérite, j'avoue n'avoir pas du tout accroché à la démo proposée à l'époque sur PS2, d'autant plus que c'était en fin de vie de la console si je ne dis pas de bêtises. Le jeu m'attirait mais ça ramait vraiment trop, je me souviens avoir galère comme pas possible sur le tout premier colosse (qui est celui de la démo).
J'ai finalement sauté le pas avec cette version PS4 et je dois dire que j'ai beaucoup apprécié le jeu. En fait, en te regardant sur les 3 premières parties j'ai eu envie de découvrir par moi même le moyen de battre chaque colosse car c'est clair que tout l'intérêt, tout le sel du jeu comme tu dis est là.
Etrangement je n'ai pas trop galéré, sauf pour l'avant dernier colosse qui est assez tordu. Au passage concernant le dernier colosse il suffit en fait de planter son épée dans sa main à la fin pour qu'il la stabilise suffisamment de temps pour pouvoir décocher la fameuse flèche. Pour tout dire sans connaître l'existence du point faible à l'épaule et avec l'effet de pluie sur PS4 ça m'a énervé "a little" jusqu'à ce que j'en vienne par rage, à planter mon épée dans sa main. A croire que c'était voulu par les devs!!
Bref, merci pour cette belle découverte, une expérience qui diffère de l'ordinaire c'est une certitude. D'un point de vue personnel je ne le considère pas comme un jeu marquant, la faute en partie à cette découverte tardive je pense mais pas que. A la
sortie du jeu sur PS2 je lui est très grandement préféré la poésie d'un Okami beaucoup plus coloré et "festif". L'ambiance désertique du jeu me rappelle un certain Twillight Princess que j'ai détesté pour ça à l'époque (même si les deux jeux n'ont rien à voir). J'avais d'ailleurs en parti zappé SOTC à cause de ça, mon meilleur ami de l'époque m'avait prévenu qu'en dehors des colosses il n'y avait pas grand chose.
Actuellement étant plus âgé, j'ai eu plus de feeling avec la poésie présente dans le jeu, néanmoins je trouve le gameplay presque trop minimaliste, comme tu le dis à juste titre, ce jeu c'est une expérience!
Je n'ai jamais fait ce jeu du coup j'ai du mal à savoir si c'est vraiment le jeu qui a un prblm de maniement ou ci c'est Hooper encore qui fait n'importe quoi sur le pad avec ses gros doigts poilu , quand on connait le skill du Hooper on est en droit de se poser la question^^ , mais c'est vrai que la scène sur la main du boss était vraiment immonde , si vraiment ça vient du jeu perso j'aurais balancé la manette par la fenêtre , j'ai trouvé ça vraiment pas bon tout ces bugs de collisions , le perso qui reste coincé de partout , le maniement a l'air horrible comme dans The last guardian , mais bon au début de cette dernière partie je me suis dit que ça aurait pu être pire... si le personnage sifflait en aspirant je me serais suicidé.... xD
Le gameplay de ce jeu est..."particulier", oui, un brin flottant ^^.
Personnellement, ça ne m'a jamais dérangée et je n'ai jamais considéré cela comme un défaut, comme avec the last gardian, je trouve que ça fait partie intégrante de leur personnalité. Mais, je conçois que tout le monde puisse ne pas adhérer au "concept" :p
Shadow of the Colossus. Cette épopée m'oblige à rédiger un commentaire.
L'expérience et le point de vue que tu nous partages à travers ces vidéos m'ont touchés, parce que j'ai vécu exactement la même chose lorsque j'ai découvert le jeu à sa sortie, et malgré le temps passé, je vis encore la même chose aujourd'hui.
J'ai donc pris un immense plaisir à "refaire" ce jeu en ta compagnie.
Je suis content (et soulagé) que ce remake conserve en tous points le gameplay d'origine. Cela dit, je suis l'un des seuls à être moins enthousiaste notamment sur ces deux points :
Première chose, le visage des personnages humains qui a quelque peu changé : c'est un peu trop lambda à mon goût, un peu trop lisse... et la "dégradation physique" progressive du héros n'est pas suffisamment marquée par rapport à la version originale, où vers la fin il avait quand même l'air salement amoché. Et puis j'aimais bien son allure, il avait pas la même gueule ni le même regard.
D'ailleurs pour moi c'est pas un hasard si le héros de The Last Guardian a un léger rendu cell shading ; Ueda semble vouloir autre chose qu'un aspect manga ou réaliste pour ses personnages.
Deuxième chose, les couleurs.
Je suis totalement d'accord pour dire que cette refonte graphique est splendide... Mais la "photo" du jeu, sa colorimétrie, a beaucoup changé depuis la version PS2 où les teintes étaient plus osées, donnant un aspect plus surréaliste à cet univers : plus de mauve dans ce décor-ci, plus de vert dans ce décor-là... On ne retrouve plus tout à fait les mêmes ambiances ici.
Or pour moi, le choix de l'étalonnage fait aussi partie de la direction artistique définie par son auteur, c'était une intention. Donc même si le remake est magnifique, je le trouve aussi plus "standardisé" sur ce point, peut-être moins singulier qu'avant pour le coup.
Quoiqu'il en soit, Shadow of the Colossus reste Shadow of the Colossus. Un grand jeu, pour plein de raisons.
Je trouve ça épatant que cet auteur, Fumito Ueda, et bien sûr son équipe, soient parvenus à nous sortir trois jeux aussi grandioses, que ce soit sur le plan émotionnel / artistique (les univers sont imaginés et travaillés d'une façon très singulière), sur l'expérience à chaque fois novatrice et unique du game design (idées qui sont régulièrement repompées ailleurs et c'est pas pour rien), mais aussi sur l'aspect technique (et je ne parle pas du framerate, mais de cette technique qui est au service du concept et de l'immersion).
En résumé, je trouve que très peu de jeux poussent aussi loin le degré de finition de ces trois aspects à la fois (artistique / design / technique) et avec autant de cohérence et de sensibilité.
Pour moi, Fumito Ueda, c'est un peu le Miyazaki du jeu vidéo.
Et j'espère vraiment que cet auteur parviendra à en concevoir encore d'autres, il mérite tellement de pouvoir s'exprimer encore !
Merci pour cette épopée Hooper,
et pour cette bouffée de nostalgie qui vient de refaire surface.
J'ai regardé une comparaison entre les deux versions, et oui, je suis d'accord avec toi : le visage n'est pas pareil; il n'a ni la même gueule, ni le même regard. Celui de l'original était moins expressif, ça montrait toute la mélancolie du héros. J'adore son expression dans la version ps2 quand il dépose le corps de la jeune fille, au début du jeu. Quelle tristesse dans son visage et son regard.
mais bordel ce jeu n'a aucun sens, aucune logique.
Je pense que gastlab va te renvoyer téter ta mère.
disons que la tienne à l'air d'avoir connu, par le mode des blagues de l'écho.