Première vidéo proposant le nouveau format (faut bien chercher mais il est la :p) sauf qu'il est noyé dans un traitement bien trop long, l'objectif sera de réduire la durée par 5 tout en gardant le système de jingle.
Ptite boulette, il n'y a "que" 4 forgerons.
Présentation du second épisode des FF dans sa version Game boy advance.
Un film-intéractif impréssionnant mais vite lassant.
Si vous trouvez qu'il y a des similitudes avec la vidéo "prise de tête" du mème jeu c'est normal car cette dernière ne devait à l'origine pas ètre mise en ligne.
Probablement l'adaptation vidéoludique la plus originale du film de Spielberg.
Live du 07.08.2017 sur Lost Odyssey
716 Commentaires
Il faut bien comprendre que tout les joueurs ne sont pas fait pour ce genre de jeu. donc il est tout à fait normal d'être hermétique à ce genre de jeu qui propose un concept assez abstrait.
Mais après, je peux te répondre à certaines de tes questions, si cela ne te gène pas.
Il y a deux interprétations à ce sujet. La première, c'est pour maximiser l'arrivée jusqu'au bosses, ce qui répond aussi à la question de la musique (il y a d'ailleurs des musiques avant les bosses, pour créer une tension). Ce qui fait que beaucoup se souviennent de ses combats de colosses.
C'est en quelque sorte l'art des intervalles vidéo-ludiques (va voir l'art invisible de scott mcloud à ce sujet, si ce n'est déjà fait).
De l'autre ça nous renseigne sur le héros, Wandra. Wandra, de par le fait qu'il voyage dans cette contrée déserte, nous dit deux choses à ce sujet. Le premier est qu'il est déterminé à ce qu'il fait, quitte à aller contre l’autorité. le second est qu'il est un homme solitaire, voir associable, qui n'est pas gênée par le vide.
C'est un point très réussi dans ce jeu, de nous faire passer du caractère des personnages par le jeu, comme avec métroïd, ou plus explicitement, god of war.
Pour sauver cette fille. Là encore c'est de la caractérisation par le gameplay. Premièrement, on rejoint l'idée qu'il est obstinée, voire même qu'il est égoïste. deuxièmement, on voit qu'il y a une évolution du personnage, une évolution ou celui-ci paît de son du ses crimes, ou plutôt, révéler ce qu'il est devenu.
Mais tout cela nous ramène surtout à un point centrale dans ce jeu. Car ce que dit le jeu de Wandra, il le dit de nous et de nos habitudes de gameplay. Il s'agit purement et simplement d'une déconstruction d'un composant majeur du jeu vidéo, à savoir satisfaire notre volontés égoïste au détriment du restes, voir jusqu'à la folie.
tu peux voir cette déconstruction dans link's awakening aussi, de façon plus subtile.
C'est intelligent et profond, j'en suis sûre. En fait, tu sembles confondre complexité et profondeur, ce qui sont deux choses différentes cependant.
J'aime bien ton explication, honnêtement ça me fait réfléchir deux minutes quand même. D'accord d'accord, pourquoi pas, je suis pas buté, je vais pas rester camper sur ma position, je trouve que ça se tient. Bon, j'ai pas grand chose à répondre, au bout d'un moment, je vais pas accabler un jeu simplement parce que je n'ai pas su l'apprécier. En tout cas je voulais quand même souligner le fait que je t'ai lu, et que ça m'a intéressé mine de rien, c'est le genre de discussion qui me plait et que je trouve enrichissante.
Je dirais plutôt que Shadow of the Colossus, à l'instar des Elder Scrolls, est un jeu qui joue énormément sur le concept d'errance, que j'aime beaucoup dans les JV car il est souvent lié au sentiment d'évasion et de dépaysement. Cependant, là où un jeu comme Morrowind couplait cette errance à des mécanismes de jeu traditionnels, Shadow of the Colossus s'avère beaucoup plus contemplatif ; c'est justement cette absence d'objectif annoncé qui permet au joueur d'aborder le titre comme il l'entend.
Du coup, c'est sûr que le jeu a de quoi diviser : soit on est sensible à l'atmosphère du titre et on prend plaisir à se perdre dans les plaines immenses qui composent le jeu, soit on regrette le manque de phases de gameplay en dehors des combats contre les géants. Pour ma part, j'y vois plus une forme de voyage vers l'inconnu, un peu comme Journey ; c'est un jeu qui se base beaucoup plus sur l'empathie et l'affectif que sur le pur aspect ludique.
Je dirais que Shadow of the Colossus est à ranger dans le même carton que Limbo, à savoir un jeu qui propose une expérience qui semble fascinante par son non-dit, son ambiance, mais qui, une fois fini, se conclut par un "tout ça pour ça ?" décevant.
Ce n'est pas une question d'incompréhension de l'intrigue. Celle de Shadow of the Colossus est simpliste au possible : on aime une fille, elle tombe malade, la seule solution pour la sauver, c'est d'aller tuer 12 colosses, et comme tous les amoureux, on est égoïste, on ne demande même pas pourquoi il faut les tuer, on les tue quand même,
Bref, ça questionne sur notre humanité, et le jeu est fondamentalement déprimant (les cris des colosses quand on les a tué, et tout simplement le fait qu'on les attaque alors qu'ils ne nous ont rien fait) et au fond, c'est bien ça que je reproche à ce jeu : on nous propose d'incarner un connard.
Et après, y en a qui critiquent la fin de Prince of Persia 2008 qui raconte exactement la même chose, sauf que dans PoP 2008, on a quand même passé le jeu entier à essayer de sauver la planète, et que c'est juste à la fin qu'on décide, par amour, de laisser le mal revenir. Bref, si la "vraie" fin de PoP 2008 est dans le DLC, comme certains veulent le faire croire, où est la vraie fin de Shadow of the Colossus ? (pour moi, la "vraie" fin de PoP 2008 est celle de la galette, pas besoin du DLC) Bon, je digresse, mais les 2 fins étant semblables dans ce qu'elles incarnent, je fais ce rapprochement.
Bref, c'est magnifique comme fin de voir l'amour au-dessus de tout autre sentiment moral et en même temps, dans SotC, c'est déprimant de voir que jamais le héros ne se pose la moindre question sur ces meurtres qu'il commet. Il est égoïste de bout en bout.
Ceci prouve que SotC est un bon jeu, puisqu'il ouvre à la discussion, mais nul ne peut dire que son histoire est profonde ou complexe. Et niveau gameplay, y a rien, c'est quasi le néant. C'est un monde en forme d'hub pour affronter 12 colosses. Dans Street Fighter 2, c'est pareil, on a 12 combattants à affronter, et à la place du hub, on a une carte automatique. Tout l'intérêt de SotC est dans le côté épique de l'affrontement avec des colosses (la 1ère fois dans un jeu vidéo qu'on affrontait des adversaires aussi grands) mais depuis, le temps a passé, les adversaires gigantesques sont devenus légions avec des gameplays plus intéressants que grimper dessus pour leur planter une épée sur la tête. Et donc ce qui était nouveau et impressionnant en 2005 ne l'est plus aujourd'hui. Et comme en dehors de ce côté impressionnant, le jeu est vide, ben pas beaucoup de raisons d'y revenir, sauf historique ou nostalgique.
Et je suis d'accord sur le fait que le colosse géant à l'épée est le plus intéressant de tous. Y a aussi celui qui marche entre 2 bâtiments vers la fin, que je trouve sympa visuellement. Mais sur les 12, y a l'effet de surprise du 1er, y a ce 3ème boss, et après, ça devient redondant. Donc un jeu assez vide au final, qui compte surtout sur son effet de surprise. Oui, voir des grosses bêbêtes à l'écran, ça impressionne, on se sent tout petit à côté. Mais quand on passe 10 minutes à les affronter, ça devient barbant. Et d'ailleurs, c'est un jeu qui ne dépasse pas les 6h de jeu, peut-être 12h si on est un peu lent à comprendre la façon de tuer les colosses. C'est un boss rush de 12h voilà.
SotC fonctionne. Je ne remets pas ça en question. Jeu contemplatif, oui, mais qui aurait pu être plus intéressant avec plus de questionnement, plus de choix, plus de variété possible.
J'ai un peu de mal avec Braid à cause de ça aussi. Ceux qui ont vu la fin comprendront.
SotC, tant qu'on est à le découvrir, durant sa 1ère partie, il fait rêver, je suis sensible à l'atmosphère de ce jeu. Mais une fois le générique de fin arrivé, je retombe à du "tout ça pour ça" décevant.
Je te rassure, 99% des jeux me font le même effet : "Mais pourquoi ai-je perdu autant de temps sur ce jeu ?" Et pour les films ou les livres, aussi. Pareil.
Et bien, j'ai un peu ressentis la même chose, tout ça pour ça, d'autant plus que la première moitié de l'aventure est bien meilleur que la deuxième comme tu l'as dit pour des tas de raisons. En revanche, je ne suis pas insensible aux jeux qui poussent à l'interprétation, j'ai adoré Limbo par exemple, vraiment, et la fin m'a plu. Je ne sais pas vraiment quoi dire car ton monstrueux pavé a vraiment évoqué plein de point sur lesquels je te rejoins, et je suis content de voir que je ne suis pas calomnié d'hérétique pour ne pas avoir aimé ce jeu ^^ car oui, à la fin, je me suis quand meme dit "putain...enfin cette torture est finie", je me suis forcé car c'est un jeu cultissime, mais les derniers colosses, je n'ai pris aucun plaisir à les combattre, le gameplay se répétant vraiment trop et le manque de réactivité de ces ennemis me faisait littéralement péter un boulon (pour en revenir au sujet d'origine, la video de Hooper, j'ai découvert Demon's souls il y a peu, et me suis régalé en le finissant, je dirais même d'ailleurs que c'est l'un de mes coups de coeur de la ps3).
C'est énorme!Tu as ressenti au plus profond de toi la morale de ce jeu,je m'explique:
Si demain,pour une personne chère à ton coeur,tu devais exterminer toute une population...le ferais-tu?
C'est l'essence de ce jeu.
Les colosses ne se défendent pas ou peu car ils sont des divinités solitaires,n'ayant pas de prédateurs,et liées (voire soudées, pense au colosse de l'épée ;-) )à leur environnement.
Entre chaque colosse,on peut se poser la question:Dois-je continuer à les exterminer?
L'égoisme évoqué par d'autres forumeurs est la clé du jeu.Chaque chevauchée peut te donner le temps de percevoir la cruauté de ta quête...vas tu faire demi-tour et te recueillir sur la tombe de ta bien aimée...ou vas tu aller exécuter de sang froid une autre créature innocente?
Le vide appelle la réflexion..rusher vers le prochain colosse (boss?)n'est qu'une démonstration de l'inconscience de la portée de ses actes!
Bonne review Hooper,je trouve ça génial que tu ai donné envie à pleins de gens de découvrir le jeu,en fait peu de personnes sont vraiment capables de faire ça.
Sinon ouais,la vidéo est longue et y a un sacré travail de capture et de montage,toute les explications collent parfaitement à ce qu'on voit,pour ceux qui connaissent pas le jeu,y a vraiment un côté "éducatif" (et un peu de spoil aussi).
Je pense que tu as largement les capacités pour produire du contenu de qualité similaire et plus court (puisque c'est la direction recherché)donc bonne chance pour ça.
Continue de produire avec autant de passion,c'est rare de nos jours :D
J'éspère vraiment que dans les mois à venir tu nous refais une ou plusieurs vidéos de ce genre,à mon avis c'est en forgeant qu'on devient forgeron, et le format que tu cherches ne s'étoffera qu'avec le temps :) Bonne chance !
Bonjour M. Hooper, rien de surprenant dans cette vidéo : de la très bonne qualité comme d'habitude. Je me permets de te tutoyer, on ressent que les vidéos sont structurées et qu'il y a toujours de la passion dans tes vidéos, continue ainsi !
Bravo Hooper, très bonne review c'est vraiment du bon boulot.
De manière personnelle j'avais déjà acheté le jeu sur Steam il y a quelques mois, j'ai toujours pas commencé et malheureusement je crois que ta reviex me confirme que ce n'est probablement pas pour moi.
Le gameplay ressemble à Monster Hunter comme ça et j'ai pas accroché à MH.
J'ai du mal avec les jeux difficiles en 3D. Le seul que j'ai aimé c'est Ninja Gaiden. Sinon je galère alors qu'en 2D j'aime la difficulté, car j'ai l'impression que c'est toujours ma faute si je meurt. En 3D j'arrive pas à faire ce que je veux, la caméra est pas placée où je le souhaite ou mon personnage n'a pas esquivé dans la direction que j'espérais.
Il n'y a que les FPS où je me démerde bien. Enfin peut-être qu'un jour je m'y mettrais finalement.
Quand j'ai vu le système de combat et la façon de bouger du personnage je me suis dit : "C'est du Monster Hunter ce truc ?" :p
Est ce que dans ce jeu il y'a des dialogues et des PNJ ? Ou tout autre chose pour casser la routine du genre marcher, donner des coups de tranchoir puis marcher...
Oui
Après les "dialogues" (c'est des monologues en fait) avec les PNJ cassent pas trois pattes à un canard non plus. Ils faut faire "parler" plusieurs fois d'affilée et ils t'en apprennent plus ou moins sur l'univers du jeu, souvent de façon très mystérieuse et en terminant toujours leurs phrases par un rire désespéré / maniaque / sadique. Et parfois quand tu as épuisé toutes les lignes de dialogue ils te filent un item. Et ils vendent des objets parfois.
Bon, c'est le moment de lancer le nouveau format de mon avis sur les vidéos du Hooper :p
Tout d'abord, je craignais que le nouveau format ne donne un côté beaucoup trop aseptisé aux futures Reviews ; au final, c'est un peu le cas mais en partie seulement. Contrairement à ce que je pensais, la nouvelle structure n'a pas empêché les petits HS et autres apartés mais ceux-ci sont restés beaucoup plus maîtrisés que dans d'autres reviews comme RE6.
Par contre, les jingles pour annoncer les transitions me paraissent totalement dispensables, ils coupent le rythme de la Review et lui donnent un côté beaucoup trop artificiel, d'autant qu'en revisionnant rapidement la vidéo je me suis rendu compte que les transitions étaient déjà largement perceptibles. Pour reprendre tes termes, j'ai l'impression que tu nous tiens un peu trop par la main monsieur Hooper :p Mais bref, passons aux points positifs !
Tout d'abord, gros atout de cette Review : elle est exhaustive. Pour avoir torché le jeu dans tous les sens, j'ai cherché les points que tu aurais pu oublier et au final j'en ai trouvé assez peu.
Autre point fort : malgré les quelque 2h30 de vidéo, je n'ai pas vu le temps passer. Il est vrai que j'ai suivi la vidéo en mode podcast (en jouant à un autre jeu quoi :p), connaissant déjà la majorité des boss du jeu, mais quand la Review a pris fin je me suis dit : et beh, c'est déjà fini les deux heures et demie ? En ce sens la durée ne m'a pas gêné du tout, après j'imagine que ça réclame beaucoup plus de travail et que le modèle n'est pas viable sur le long terme, ce que je peux comprendre.
Par ailleurs, la poésie de l'univers de Dark Souls a été particulièrement bien retranscrite dans la Review. En fait, un certain nombre de qualités que j'avais ressenti en y jouant mais que j'aurais eu du mal à exprimer si on m'avait demandé mon avis sur le jeu sont également très bien expliquée, ne serait-ce que la topographie et la qualité du level design. En ce sens, il y a dans cette vidéo une forme de pédagogie que je n'ai retrouvée dans aucune des nombreuses Reviews (écrites ou vidéo) du jeu que j'ai pu trouver sur le Net, c'est d'ailleurs selon moi ce qui fait la particularité de cette vidéo face à la concurrence.
Enfin, les deux plus beaux boss du jeu (je parle d'esthétique et pas de qualité du combat) font l'objet d'une séquence isolée de gameplay pur : c'est une très bonne idée et cela permet à la fois d'admirer le travail réalisé par les artistes et d'apprécier l'OST de ces boss qui est réellement une pure merveille.
Comme dit plus haut, le nouveau format est moins artificiel que je ne craignais mais on voit qu'il n'est pas encore parfaitement maîtrisé. Entre l'introduction et les différentes parties de la Review on retrouve certains doublons (notamment en ce qui concerne la topographie) qui nuisent quelque peu au bon déroulement de la Review pour le spectateur (en fait on se dit un peu "oui oui d'accord, on l'a déjà entendu ça, next please !). Heureusement les doublons de ce genre restent peu nombreux, ce n'est donc pas trop grave.
Par ailleurs, il manquait quelque points importants selon moi pour cette Review : j'aurais bien aimé que soient évoquées les nombreuses références culturelles de Dark Souls notamment pour Anor Londo qui s'inspire largement de célèbres monuments de la Renaissance (l'escalier à double vis du Château de Chambord, la Cathédrale de Milan...) . C'est un fait qui n'est jamais évoqué dans les tests du jeu et pourtant cela m'a scotché quand je l'ai découvert car ces références sont tellement bien intégrées au jeu qu'il est facile de passer à côté si l'on ne s'y connaît pas en histoire de l'art.
En ce qui concerne la difficulté, elle est réellement mal dosée selon moi et c'est un point sur lequel tu n'as pas assez insisté dans ta Review : les boss alternent entre le fabuleux (Sif, les 4 Rois, Ornstein et Smough, les gargouilles...) le correct (le Papillon au Clair de Lune, le Dragon des égoûts, Quelaag) et le nullissime. Et c'est là que le bât blesse : certains combats sont réellement mal conçus et ne procurent absolument aucun plaisir, je pense notamment au Bed of Chaos qui fait s'écrouler certaines parties prédéfinies de sa salle, ce qui rend le combat incroyablement frustrant quand on ne connaît pas par coeur les zones en question. D'autres boss ne sont pas mal conçus mais beaucoup trop faciles comme Nito ou Seath, qui arrivent assez tard dans le jeu mais sont des free kills en puissance.
Enfin, il aurait été judicieux de prendre l'exemple du scaling pour illustrer l'absence d'information de Dark Souls. En fait, certaines armes bénéficient plus ou moins de la caractéristique associée ; par exemple, si une épée a "B" en dextérité, sa puissance sera largement augmentée par votre Dextérité, si bien qu'elle sera peut-être beaucoup plus puissante qu'une arme qui a pourtant plus d'attaque mais un scaling moins favorable. Du coup le joueur lambda qui ignore cela prend les grosses armes avec plein d'attaque mais qui ne bénéficient pas des caractéristiques ce qui le pénalise au final, curieusement je n'ai pas retrouvé dans les Reviews de critiques à ce sujet alors que c'est un élément important de la customisation qui, bien souvent, passe totalement à l'as.
J'ai beaucoup aimé l'explication de la topographie et la comparaison avec le cube car c'est exactement ce que j'ai ressenti en jouant sans pouvoir mettre le doigt dessus ; c'est particulièrement visible dans les égoûts, totalement labyrinthiques et où on se paume totalement avant de se rendre compte qu'un simple escalier (déblocable après avoir fini le niveau) permet de revenir à son point de départ ! J'ai trouvé ce sentiment absolument génial et celui-ci est très bien détaillé dans la Review.
Note finale :
Et surtout n'oublions pas le bon vieux :
Le probleme des commentaires c'est que son message est vite noyé dans les pages precedentes.
Alors si on fait de gros efforts pour rediger illustrer et tout, c'est dommage.
Pas grave c'était surtout pour le délire du truc :D Et puis ça m'a pas pris des heures non plus, 20-25 minutes à tout casser ^^
Très bonne review qu'on a eu la sur un très bon jeu en plus :P
Juste quelques petites erreurs comme le nombre de forgerons qui est bien de 5 et non de 4 ( 1 de plus avec le contenu du DLC)
Mais sinon vraiment content que le jeu t'ai plu ;)
Pour le nouveau format c'est un peu mieux structuré mais ça reste du Hooper contrairement a certaines chose qu'on a pu lire sous cette vidéo lol
Sinon une chose que je ne comprend pas, pourquoi noter le jeu à la fin et surtout comment gère tu la notation ? (car tu avais dis il y a quelques années ne pas comprendre le principe de noter un jeu ;) )
Très bonne vidéo d'explication de ton ressentit Hooper , j'ai très bien compris les messages que tu voulais nous faire passer , ce jeu est une véritable aventure , pour moi qui ne manque rien , un jour je me le ferai :)
Hooper tu m'as donné envie de faire ce jeu.
Au passage j'ai profité d'une super réduction, sur Steam il est à 6,79€ tout le week-end. J'ai donc craqué.
Par contre la version PC est super mal optimisée sans mods c'est atroce ! O_o
Ça ramait sévère et c'était super moche avant que j'installe ce mod (http://upwardgaming.com/dark-souls-how-to-fix-lag/) qui débloque la limite de FPS et de résolution et c'est le jour et la nuit entre avant et maintenant !