Étonnant préambule sur la qualité des thèmes musicaux dans les jeux, mais intéressant ! :p
Non ce n'est pas de la nostalgie ou quoi que ce soit Hooper, je crois que ton constat est exact !
Tu as résumé ça en disant moins de purge mais moins de chefs-d'œuvre, c'est exactement ça.
De nos jours il y a souvent quelques thèmes marquants, puis le reste sera plus une ambiance globale, agréable mais pas forcément incroyable.
SOTC était peut-être le dernier jeu avec une BO de fou, possible, je ne m'étais jamais fait la réflexion... Il y a des exceptions tout de même, comme Nier (là je trouve un peu dur, il y a pas mal de mélodies très chouettes), y compris le Automata. Ou encore les Souls, notamment les Dark Souls, ou Elden Ring, avec lesquels le thème principal n'est pas la seule mélodie de qualité.
Mais globalement tu as raison, la conception sonore est souvent top, Alien Isolation est un excellent exemple, mais les mélodies marquantes sont moins nombreuses.
Que vaut-il mieux, moins de purge mais moins de thèmes marquants ou plein de purges mais beaucoup de thèmes inoubliables à côté ? Hmmm... dilemme ! :p
Je me rends compte que mon préambule de commentaire est aussi long que ton préambule dans cette vidéo, donc je m'arrête là, passons au jeu... :p
Très drôle de voir que la musique de ce Terminator 2 est affreuse... vive les OST des 90's... :p Merci tonton Hooper, de nous faire découvrir les purges de ton enfance ! :p
C'est dommage en tout cas, car le jeu, en dehors des graphismes plutôt digne d'une Nes, aurait pû être correct s'il avait été plus énergique ! On est loin d'un Contra/Probotector pour rester dans le même genre, où ça pète de partout !
Puis on nous fait trop tournicoter en plus... chercher des objets dans ce genre de jeu, bof... ou alors il faut que ce soit des bonus, sinon c'est juste un moyen artificiel de rallonger la durée des niveaux... puis aucune envie de refaire le jeu, alors que le principe du genre c'est d'y revenir, donc en terme de rejouabilité.... on repassera !
Cette version rate complètement la cible, vraiment dommage...
Vidéo sympa néanmoins, toujours marrant, surtout quand il y a "des gros nichons" un type qui croise les bras sur une affiche. XD
T'es incroyable ! :p Le jeu ne l'était pas autant, dommage...
Encore un beau gâchis ce jeu.
C'est dommage car avec un bien meilleur traitement il aurait pu être un jeu tout à fait correct.
Ça aurait pu être un jeu très varié entre scène d'action, petit moment d'enquête, et course en moto dans la ville façon GTA 1 avant l'heure.
Les objectifs principaux ne sont pas long dés lors que tu connais le jeu.
Tout ça aurait pu avoir un bien meilleur rythme, mais à la place ils ont rendu tout ça extrêmement lent avec l'ajout de collectible à la noix pour augmenter la durée de vie et forcer à trainer, fouiller des heures dans le niveau.
Un choix plus judicieux aurait été de gardé uniquement que les objectifs principaux du film mais avec un emplacement qui change à chaque run, exemple: le loot des armes au 1er stage ou la position de John Connor au centre commercial.
Ainsi on garderai toujours une légère exploration des niveaux pour chaque nouvelle partie mais juste en ce limitant qu'aux objectifs principaux, ce serai déjà bien plus digeste.
Comme pour les autres jeux Terminator, Robocop, tu pourra plus tard faire un comparatif avec les versions 8-bits, NES et Master System.
Sinon tu peu toujours te rabattre sur le jeu T2 Arcade Game, dispo en arcade, sur SNES, Megadrive et Amiga.
Un jeu de rail shooter de Terminator 2, qui, je crois, peu ce jouer aussi à la manette sur console.
Les versions SNES / Megadrive sont un peu différente l'une face à l'autre, sur l'aspect graphique notamment.
La version SNES et Amiga, graphiquement, sont plus proche de la version arcade, mais la version Megadrive n'est pas en reste pour autant et peu aussi avoir son charme.
A noté aussi que le jeu existe dans des versions "demake" sur Gameboy, Game Gear et Master System.
Hooper qui nous parle de l'un de ses héros d'enfance : le T-800 ! D'ailleurs, le bel ours était-il du genre à se déguiser ? Peut-être le fait-il encore aujourd'hui, entre deux lives (ou pendant), qui sait ! Personnellement, j'ai toujours adoré me costumer ou encore imiter les animaux et les végétaux !
Môme déjà, j'emmenais mes costumes de Spider-Man, Superman ou Zorro à l'école. Même s'il est moins populaire (pour notre génération) que l'araignée et l'extraterrestre, je préfère le renard. Un jour, je parlerai de mon amour pour le magnifique film de Martin Campbell : "Le Masque de Zorro". Il faut savoir que Catherine Zeta-Jones est mon premier béguin en tant que bambin, après Pocahontas pour sûr. D'ailleurs, j'avais une très jolie poupée de l'Indienne qui avait ses cheveux qui devenaient violets lorsqu'on les mettait dans la flotte. Je le faisais dans mon bain.
J'ai retrouvé cette poupée sur l'Internet (quel outil formidable lorsqu'il est bien utilisé). Je vous envoie la photo si quelqu'un souhaite se la procurer pour soi-même ou pour ses petites têtes blondes. Il n'est pas interdit que je cède moi-même aux caprices de la nostalgie !
Donc, j'emmenais un de mes nombreux déguisements à l'école. Évidemment, je mettais des vêtements au-dessus et je ne les retirais que pour de grandes occasions, comme pour impressionner les filles. C'est d'ailleurs un conseil que je peux vous donner ; si vous voulez vous faire remarquer par une demoiselle, déguisez-vous en super-héros, elles en raffolent ! Ça avait marché sur Marie, une superbe bipède aux yeux bleus. Elle était très intelligente, d'où une certaine sensation d'infériorité par rapport à elle. Hélas, nos chemins se sont brusquement séparés lorsque j'ai préféré donner mon dessert au réfectoire à mon meilleur ami de l'époque (Aloïs) plutôt qu'à elle. C'était en CM2. Les années passent, la blessure reste !
D'ailleurs, je viens de repenser à une histoire cocasse vieille de 22 ans en écrivant mes paragraphes précédents.
En 2002, et comme chaque année dans mon lotissement, il y avait un jour spécial pour célébrer et partager cette fête commerciale qu'est Halloween entre mioches. Tandis que tout le monde était déguisé en monstres et autres joyeusetés, j'avais opté pour mon costume du légendaire Superman, malgré l'achat du déguisement de Ghostface par ma maman quelques jours plus tôt à Géant Mandelieu. Malheureusement, mon costume de l'homme d'acier avait une cape bien trop petite. Pour corriger ce léger problème de taille, ma maman m'a agrafée une serviette rouge de la salle de bain qui correspondait parfaitement au niveau de la couleur et de la longueur. Malheureusement, beaucoup de jeunes gens se sont moqués de moi, car je n'étais pas "un vilain pas beau", mais un magnifique apollon à la force démentielle. Ce jour-là, j'ai compris pourquoi E.T. voulait autant rentrer chez lui dans son célèbre film éponyme : les extraterrestres n'étaient pas les bienvenus sur ce bout de cailloux pourtant on ne peut plus banal à l'échelle universelle !
Mais le pire restait à venir. Rendez-vous compte, malgré cette journée de dur labeur à crapahuter dans tout le lotissement comme des athlètes se préparant pour les JO, notre portion de bonbons était rachitique. Car oui, le partage des friandises était équitable à la fin de la journée (un système communiste), et vu qu'il y avait beaucoup de morveux qui participaient, nous n'avions presque rien individuellement. De mon point de vue, cette répartition était injuste, puisque certains avaient obtenu beaucoup plus de bonbons que d'autres, moi notamment !
C'est avec le cœur meurtri et les mains tremblantes que j'écris et j'admets avoir dérapé un court laps de temps. Moi-même, ayant juré autrefois de toujours défendre les faibles et de faire le bien par bonté d'âme : j'ai changé !
C'est ainsi que pour outrepasser le manquement en sucre que j'ai subi bon gré mal gré en 2002, j'ai concocté avec mon meilleur ami de l'époque (toujours Aloïs) un stratagème des plus machiavéliques pour l'édition prochaine. Comme chaque année, nous avions reçu dans la boîte aux lettres un prospectus indiquant l'heure à laquelle l'événement allait avoir lieu, le cheminement du groupe et quelques broutilles. Avec ces précieuses informations, nous avons décidé de lancer notre plan intitulé : À nous les bonbecs !
La manœuvre n'était pas si difficile, mais encore fallait-il être bon acteur devant les personnes qui ouvriraient les portes. Le but était, en plus de savoir un minimum mentir, de devancer le groupe de gamins et d'adultes qui organisaient le schmilblick. Du coup, on a décidé de commencer à frapper aux portes 30 minutes avant que le groupe ne parte pour leur habituelle tournée annuelle, en disant qu'exceptionnellement cette année, il y avait plusieurs groupes - ce qui était faux. Résultats des courses : on s'est retrouvés avec 2 énormes sacs-poubelle remplis à ras bord de précieuses gourmandises rien que pour nous. Malins, les lynx !
Il faut dire que même si nous avons partagé nos trouvailles en 3 parts égales, le petit frère de mon ami ayant aidé également, j'étais la tête pensante de l'opération. Pourquoi n'ai-je pas gardé l'entièreté pour ma pomme me direz-vous ? Déjà, il aurait été beaucoup plus difficile de convaincre les gens de me donner de la richesse glycémique seul plutôt qu'à plusieurs. Mine de rien, nous étions crédibles à trois. Puis, je n'ai jamais été friand plus que ça des sucreries, ça me fout l'estomac en vrac aussi rapidement qu'un jeune s'asseyant pour la première fois aux joies des galipettes ascensionnelles, mais se rendant hélas compte qu'il a déjà fait feu avant de baisser son froc. D'ailleurs, je ne vous explique pas l'état des chiottes les jours qui ont suivi : ça sortait liquide !
En tout cas, les organisateurs avaient les nerfs à vif, car ils ont su que des loubards les avaient joyeusement doublés. Peu de temps après, mon papa m'a encouragé dans ma manœuvre en disant que c'était de cette façon qu'il fallait agir dans la vie pour s'en sortir ! Ma maman était quant à elle mi-figue, mi-raisin sur la situation. Néanmoins, elle était heureuse en voyant la banane hebdomadaire dessinée sur ma tronche depuis cette réussite, même si elle pensait inexorablement à l'état des toilettes pendant les prochaines semaines...
Lecteurs, lectrices, et même si j'ai une envie folle de vous enlacer tendrement pour avoir lu mes péripéties terriennes, j'ai assez déblatéré sur ma vie passée pour cette fois. Il va sans dire que mes nombreux mots parlant de guimauves et d'autres délices m'ont ouvert la panse. Je pense me préparer une délicieuse pomme d'amour et la savourer devant le Charlie et la Chocolaterie de notre bien-aimé Tim Burton.
Alors j'ai pas trop compris le rapport avec la video du hooper.
Tu nous raconte ca, un peu comme un cheveux sur la soupe mais c'est bien ecrit et
Ca ma surtout fait rire.
Si tu raconte une simple anecdote de gosse aussi bien, tu dois être sacrément doué pour écrire de vrai histoires.
Pour reprendre le sujet des mélodies en début de vidéo, octopath traveler 1 et 2 sont les must have dans le domaine, je les préfère même à chrono trigger etc.
J'y ai beaucoup joué a celui la a l'époque , je n'ai jamais réussi a passer le niveau de cyberdyne.Il y a sur super nes le T2 the arcade game qui étais sympa mais affreusement dur aussi.
WARNING : Regarder ce live vous spoilera la gueule et pour couronner le tout vous donnera un avis biaisé sur ce qu'il est manette en main. Une tuerie! Pour peux que ...
10 Commentaires
Étonnant préambule sur la qualité des thèmes musicaux dans les jeux, mais intéressant ! :p
Non ce n'est pas de la nostalgie ou quoi que ce soit Hooper, je crois que ton constat est exact !
Tu as résumé ça en disant moins de purge mais moins de chefs-d'œuvre, c'est exactement ça.
De nos jours il y a souvent quelques thèmes marquants, puis le reste sera plus une ambiance globale, agréable mais pas forcément incroyable.
SOTC était peut-être le dernier jeu avec une BO de fou, possible, je ne m'étais jamais fait la réflexion... Il y a des exceptions tout de même, comme Nier (là je trouve un peu dur, il y a pas mal de mélodies très chouettes), y compris le Automata. Ou encore les Souls, notamment les Dark Souls, ou Elden Ring, avec lesquels le thème principal n'est pas la seule mélodie de qualité.
Mais globalement tu as raison, la conception sonore est souvent top, Alien Isolation est un excellent exemple, mais les mélodies marquantes sont moins nombreuses.
Que vaut-il mieux, moins de purge mais moins de thèmes marquants ou plein de purges mais beaucoup de thèmes inoubliables à côté ? Hmmm... dilemme ! :p
Je me rends compte que mon préambule de commentaire est aussi long que ton préambule dans cette vidéo, donc je m'arrête là, passons au jeu... :p
Très drôle de voir que la musique de ce Terminator 2 est affreuse... vive les OST des 90's... :p Merci tonton Hooper, de nous faire découvrir les purges de ton enfance ! :p
C'est dommage en tout cas, car le jeu, en dehors des graphismes plutôt digne d'une Nes, aurait pû être correct s'il avait été plus énergique ! On est loin d'un Contra/Probotector pour rester dans le même genre, où ça pète de partout !
Puis on nous fait trop tournicoter en plus... chercher des objets dans ce genre de jeu, bof... ou alors il faut que ce soit des bonus, sinon c'est juste un moyen artificiel de rallonger la durée des niveaux... puis aucune envie de refaire le jeu, alors que le principe du genre c'est d'y revenir, donc en terme de rejouabilité.... on repassera !
Cette version rate complètement la cible, vraiment dommage...
Vidéo sympa néanmoins, toujours marrant, surtout quand il y a
"des gros nichons"un type qui croise les bras sur une affiche. XDT'es incroyable ! :p Le jeu ne l'était pas autant, dommage...
Merci pour la vidéo.
Encore un beau gâchis ce jeu.
C'est dommage car avec un bien meilleur traitement il aurait pu être un jeu tout à fait correct.
Ça aurait pu être un jeu très varié entre scène d'action, petit moment d'enquête, et course en moto dans la ville façon GTA 1 avant l'heure.
Les objectifs principaux ne sont pas long dés lors que tu connais le jeu.
Tout ça aurait pu avoir un bien meilleur rythme, mais à la place ils ont rendu tout ça extrêmement lent avec l'ajout de collectible à la noix pour augmenter la durée de vie et forcer à trainer, fouiller des heures dans le niveau.
Un choix plus judicieux aurait été de gardé uniquement que les objectifs principaux du film mais avec un emplacement qui change à chaque run, exemple: le loot des armes au 1er stage ou la position de John Connor au centre commercial.
Ainsi on garderai toujours une légère exploration des niveaux pour chaque nouvelle partie mais juste en ce limitant qu'aux objectifs principaux, ce serai déjà bien plus digeste.
Comme pour les autres jeux Terminator, Robocop, tu pourra plus tard faire un comparatif avec les versions 8-bits, NES et Master System.
Sinon tu peu toujours te rabattre sur le jeu T2 Arcade Game, dispo en arcade, sur SNES, Megadrive et Amiga.
Un jeu de rail shooter de Terminator 2, qui, je crois, peu ce jouer aussi à la manette sur console.
Les versions SNES / Megadrive sont un peu différente l'une face à l'autre, sur l'aspect graphique notamment.
La version SNES et Amiga, graphiquement, sont plus proche de la version arcade, mais la version Megadrive n'est pas en reste pour autant et peu aussi avoir son charme.
A noté aussi que le jeu existe dans des versions "demake" sur Gameboy, Game Gear et Master System.
Hooper qui nous parle de l'un de ses héros d'enfance : le T-800 ! D'ailleurs, le bel ours était-il du genre à se déguiser ? Peut-être le fait-il encore aujourd'hui, entre deux lives (ou pendant), qui sait ! Personnellement, j'ai toujours adoré me costumer ou encore imiter les animaux et les végétaux !
Môme déjà, j'emmenais mes costumes de Spider-Man, Superman ou Zorro à l'école. Même s'il est moins populaire (pour notre génération) que l'araignée et l'extraterrestre, je préfère le renard. Un jour, je parlerai de mon amour pour le magnifique film de Martin Campbell : "Le Masque de Zorro". Il faut savoir que Catherine Zeta-Jones est mon premier béguin en tant que bambin, après Pocahontas pour sûr. D'ailleurs, j'avais une très jolie poupée de l'Indienne qui avait ses cheveux qui devenaient violets lorsqu'on les mettait dans la flotte. Je le faisais dans mon bain.
J'ai retrouvé cette poupée sur l'Internet (quel outil formidable lorsqu'il est bien utilisé). Je vous envoie la photo si quelqu'un souhaite se la procurer pour soi-même ou pour ses petites têtes blondes. Il n'est pas interdit que je cède moi-même aux caprices de la nostalgie !
Donc, j'emmenais un de mes nombreux déguisements à l'école. Évidemment, je mettais des vêtements au-dessus et je ne les retirais que pour de grandes occasions, comme pour impressionner les filles. C'est d'ailleurs un conseil que je peux vous donner ; si vous voulez vous faire remarquer par une demoiselle, déguisez-vous en super-héros, elles en raffolent ! Ça avait marché sur Marie, une superbe bipède aux yeux bleus. Elle était très intelligente, d'où une certaine sensation d'infériorité par rapport à elle. Hélas, nos chemins se sont brusquement séparés lorsque j'ai préféré donner mon dessert au réfectoire à mon meilleur ami de l'époque (Aloïs) plutôt qu'à elle. C'était en CM2. Les années passent, la blessure reste !
D'ailleurs, je viens de repenser à une histoire cocasse vieille de 22 ans en écrivant mes paragraphes précédents.
En 2002, et comme chaque année dans mon lotissement, il y avait un jour spécial pour célébrer et partager cette fête commerciale qu'est Halloween entre mioches. Tandis que tout le monde était déguisé en monstres et autres joyeusetés, j'avais opté pour mon costume du légendaire Superman, malgré l'achat du déguisement de Ghostface par ma maman quelques jours plus tôt à Géant Mandelieu. Malheureusement, mon costume de l'homme d'acier avait une cape bien trop petite. Pour corriger ce léger problème de taille, ma maman m'a agrafée une serviette rouge de la salle de bain qui correspondait parfaitement au niveau de la couleur et de la longueur. Malheureusement, beaucoup de jeunes gens se sont moqués de moi, car je n'étais pas "un vilain pas beau", mais un magnifique apollon à la force démentielle. Ce jour-là, j'ai compris pourquoi E.T. voulait autant rentrer chez lui dans son célèbre film éponyme : les extraterrestres n'étaient pas les bienvenus sur ce bout de cailloux pourtant on ne peut plus banal à l'échelle universelle !
Mais le pire restait à venir. Rendez-vous compte, malgré cette journée de dur labeur à crapahuter dans tout le lotissement comme des athlètes se préparant pour les JO, notre portion de bonbons était rachitique. Car oui, le partage des friandises était équitable à la fin de la journée (un système communiste), et vu qu'il y avait beaucoup de morveux qui participaient, nous n'avions presque rien individuellement. De mon point de vue, cette répartition était injuste, puisque certains avaient obtenu beaucoup plus de bonbons que d'autres, moi notamment !
C'est avec le cœur meurtri et les mains tremblantes que j'écris et j'admets avoir dérapé un court laps de temps. Moi-même, ayant juré autrefois de toujours défendre les faibles et de faire le bien par bonté d'âme : j'ai changé !
C'est ainsi que pour outrepasser le manquement en sucre que j'ai subi bon gré mal gré en 2002, j'ai concocté avec mon meilleur ami de l'époque (toujours Aloïs) un stratagème des plus machiavéliques pour l'édition prochaine. Comme chaque année, nous avions reçu dans la boîte aux lettres un prospectus indiquant l'heure à laquelle l'événement allait avoir lieu, le cheminement du groupe et quelques broutilles. Avec ces précieuses informations, nous avons décidé de lancer notre plan intitulé : À nous les bonbecs !
La manœuvre n'était pas si difficile, mais encore fallait-il être bon acteur devant les personnes qui ouvriraient les portes. Le but était, en plus de savoir un minimum mentir, de devancer le groupe de gamins et d'adultes qui organisaient le schmilblick. Du coup, on a décidé de commencer à frapper aux portes 30 minutes avant que le groupe ne parte pour leur habituelle tournée annuelle, en disant qu'exceptionnellement cette année, il y avait plusieurs groupes - ce qui était faux. Résultats des courses : on s'est retrouvés avec 2 énormes sacs-poubelle remplis à ras bord de précieuses gourmandises rien que pour nous. Malins, les lynx !
Il faut dire que même si nous avons partagé nos trouvailles en 3 parts égales, le petit frère de mon ami ayant aidé également, j'étais la tête pensante de l'opération. Pourquoi n'ai-je pas gardé l'entièreté pour ma pomme me direz-vous ? Déjà, il aurait été beaucoup plus difficile de convaincre les gens de me donner de la richesse glycémique seul plutôt qu'à plusieurs. Mine de rien, nous étions crédibles à trois. Puis, je n'ai jamais été friand plus que ça des sucreries, ça me fout l'estomac en vrac aussi rapidement qu'un jeune s'asseyant pour la première fois aux joies des galipettes ascensionnelles, mais se rendant hélas compte qu'il a déjà fait feu avant de baisser son froc. D'ailleurs, je ne vous explique pas l'état des chiottes les jours qui ont suivi : ça sortait liquide !
En tout cas, les organisateurs avaient les nerfs à vif, car ils ont su que des loubards les avaient joyeusement doublés. Peu de temps après, mon papa m'a encouragé dans ma manœuvre en disant que c'était de cette façon qu'il fallait agir dans la vie pour s'en sortir ! Ma maman était quant à elle mi-figue, mi-raisin sur la situation. Néanmoins, elle était heureuse en voyant la banane hebdomadaire dessinée sur ma tronche depuis cette réussite, même si elle pensait inexorablement à l'état des toilettes pendant les prochaines semaines...
Lecteurs, lectrices, et même si j'ai une envie folle de vous enlacer tendrement pour avoir lu mes péripéties terriennes, j'ai assez déblatéré sur ma vie passée pour cette fois. Il va sans dire que mes nombreux mots parlant de guimauves et d'autres délices m'ont ouvert la panse. Je pense me préparer une délicieuse pomme d'amour et la savourer devant le Charlie et la Chocolaterie de notre bien-aimé Tim Burton.
Oompa-Loompa !!!
Alors j'ai pas trop compris le rapport avec la video du hooper.
Tu nous raconte ca, un peu comme un cheveux sur la soupe mais c'est bien ecrit et
Ca ma surtout fait rire.
Si tu raconte une simple anecdote de gosse aussi bien, tu dois être sacrément doué pour écrire de vrai histoires.
Mmmh... Je sais pas trop pourquoi mais je sens que toi tu va te faire dégager à la grenade dans pas trop longtemps XD
Pourquoi il se ferait dégager au juste ? Il prend du temps à écrire en étant drôle en plus...
C'est bien une reprise du thème du film t'as pas laissé jouer assez longtemps :
https://www.youtube.com/watch?v=H0EuMJvyj-Y&list=PLErsx10Ke4uwDSH94oOsj30SrQJgj8TWJ
Le jeu est éclaté mais la version SNES du thème est limite meilleure que l'originale
C'était l'occasion de faire Sparkster SNES, snif..
Pour reprendre le sujet des mélodies en début de vidéo, octopath traveler 1 et 2 sont les must have dans le domaine, je les préfère même à chrono trigger etc.
J'y ai beaucoup joué a celui la a l'époque , je n'ai jamais réussi a passer le niveau de cyberdyne.Il y a sur super nes le T2 the arcade game qui étais sympa mais affreusement dur aussi.