J'en suis à la deuxième page et j'ai déjà un mal de crâne pas possible. Mais oui, ils expliquent vraiment très bien, j'ai compris beaucoup de choses grâce à eux, et ce n'est pas encore fini j'imagine..
Elizabeth a éliminé (en terme mathématique) la constance du problème, en d'autres termes : la racine.
Ou pas... -_-
J'ai pigé le problème cependant :
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vous voulez appréhender l’infini et prenez la fin comme point de départ de vos raisonnements ... Désolé de vous décevoir mais ça n'est pas possible! pour une raison simple l'infini est non-finit :
pour mathématiser la chose à chaque instant T se crée n+1 réalités donc pour supprimer la "racine" comme tu dis il faut supprimer l'existence même de booker. Hors pas de booker =>pas d'élizabeth=> pas d'élisabeth=> booker existe =>naissance d'élisabeth etc etc ... Ni élisabeth ni booker lui même ne peuvent le supprimer.
Après les dimensions infini on s'attaque à un gros morceau : le voyage dans le temps et plus précisément l'impossible réécriture de l'histoire:
-l'histoire est mémoire : on m'enseigne que napoléon perd à waterloo ; j'y vais et le fais gagner ; on m'aura alors enseigné qu'il a gagné ; je n'y serait donc pas allé il aura donc perdu etc ...
-l'histoire est fait : Je reviens en arrière pour tuer mon père avant ma naissance ; je ne suis donc jamais né ; il n'est donc pas mort ; je suis donc né...
Ajoutez à ça la relativité temporel d'un individu par rapport à lui même...
Et vous obtenez l'impossibilité d'un scénario cohérent impliquant une réécriture majeure du passé / une altération des réels possibles.
Pour moi, ce que fait Elisabethe à la fin, c'est pas de supprimer Comstock dans toutes les réalités. Ce qui est fait est fait (on entend souvent ça des luteces dans le jeu), aucune raison qu'une réalité soit effacé, c'est impossible, et ça pauserait le problème classique du paradoxe temporel, en effacant les raisons qui les ont poussé à voyager dans le temps pour réécrir l'histoire, ils annulent leurs besoin de voyager dans le temps pour la réécrir et donc personne n'a pu la réécrir et ça perd toute logique et cohérence. Non, pour moi ce qu'elle fait, c'est créé une série de réalité ou comstock n'existera pas pour qu'en paralèle une autre série de réalité existe ou Anna ne sera pas enlevé à Booker. Mais ca n'efface pas les réalités qu'on parcourus les protagonistes pour en arriver là. Elles suivent leurs cours y'a juste beaucoup d'autres réalités qui sont apparus en parallèle.
Tu n'as pas dû comprendre où je voulais en venir...
Je vais prendre un paragraphe d'une autre personne pour mieux illustrer mes propos, après c'est ma perception de la fin :
Spoiler ▼▲
Enfin ce que je trouve irrationnel dans vos explications c'est que regarder à la fin quand on visite les phares on voit plusieurs Booker... et tous ces Booker auront une chance de donner naissance au prophète... Donc tuer un Booker ne revient pas à mettre fin à Comstock... Par contre imaginer qu'un seul Booker a eu une fille... Alors à la fin quand Booker dit : "Il faut mettre fin à ceci depuis le berceau" Elizabeth aurait compris que le seul moyen qu'il n'y ait pas tous ses "problèmes" serait de ne pas naître... Et elle tue Booker car c'est le SEUL UNIQUE qui a un enfant, se tuer elle même n'aurait rien changé car plusieurs Elizabeth existe.
En mettant fin à l'existence de Booker elle ne mets pas fin au Prophète qui existera surement avec un autre Booker mais fin à la descendance.
Heureusement qu'en tuant Dewitt, on ne tue pas tous les Dewitt. Dans une réalité, il meurt, dans une autre, il vit. Il n'y' a pas de Dewitt originel, puisque dans une autre réalité, il existera toujours. C'est un peu la métaphore d'un personnage de jeu vidéo qui meurt et revit immédiatement comme si rien ne s'était passé. En tuant Andrew Ryan, on ne met pas fin à la dictature de Rapture, en armant la Vox Populi, on met en place un autre extrême, une autre folie, quoi qu'on fasse, il n'est pas vraiment question de choix.
Spoiler ▼▲
Sans oublier le problème de la femme de Booker... Je n'arrive toujours pas à bien comprendre ce détail : est-ce Comstock qu'il l'a envoyé pour donner un enfant à Booker ? Sachant que Comstock savait que trop bien la psychologie et l'état de Booker au retour de guerre. N'aurait-il pas profité de cela sachant qu'il était stérile et avait besoin d'un héritier pour sa prophétie ? Après tout Comstock connaissait les deux seuls chemins pouvant être emprunté : renier son passé et devenir le Comstock qu'on connait OU ne point le renier et rester Booker DeWitt l'alcoolique, le joueur etc...
à la fin quand on visite les phares on voit plusieurs Booker... et tous ces Booker auront une chance de donner naissance au prophète...
Faux rien ne nous informe sur eux il peut s'agir de booker qui comme le notre ont déjà choisi aussi bien que de booker n'ayant pas donné élisabeth ou tout autre scénario possible.
Citation:
Par contre imaginer qu'un seul Booker a eu une fille... Alors à la fin quand Booker dit : "Il faut mettre fin à ceci depuis le berceau" Elizabeth aurait compris que le seul moyen qu'il n'y ait pas tous ses "problèmes" serait de ne pas naître... Et elle tue Booker car c'est le SEUL UNIQUE qui a un enfant, se tuer elle même n'aurait rien changé car plusieurs Elizabeth existe.
En mettant fin à l'existence de Booker elle ne mets pas fin au Prophète qui existera surement avec un autre Booker mais fin à la descendance.
Re faux qui plus est tuer notre booker ne sert à rien puisqu'elle est
Citation:
déjà
née, il faudrait tuer booker dans son passé mais ce n'est pas ce qu'il se passe .
Pour la méthaphore on est plus sur le thème de la perpétuation et de la folie inhérente à l'homme que sur l'immortalité du personnage de jv ^^
oui mais toutes les scènes ou on reconstitue le déroulement des choses sont faites par notre booker, comme si notre booker prenait la place du booker du monde qu'ils investissent (quand il donne le bébé, quand il essaye de le reprendre, tout ça, c'est censé également être les booker de ces mondes là qui font tout ça). Peut être que ça fait partit du pouvoir d'Elisabeth de permettre au Booker du jeu d'incarner d'autres version de lui même, après ça a été fait pour que ça soit plus percutant, ça c'est sur, au final ça gène pas à la compréhension de la fin, c'est juste que le fait que le booker qu'on suit depuis le début incarne les versions de booker des mondes qu'on visite et controle ses faits et gèstes n'est effectivement, pas expliqué
Je pense qu'on arrivera pas à se mettre d'accord sur cette fin, après tout ça fait partie du débat.
Par contre j'ai édité mon message sur une question qui me turlupine.
c'est pas des souvenirs, Elisabethe n'a pas le pouvoir de voyager dans le souvenir des gens, amis de créer des failles sur d'autres versions de la réalité, à une époque différente si elle le veut.
J'en suis à la deuxième page et j'ai déjà un mal de crâne pas possible. Mais oui, ils expliquent vraiment très bien, j'ai compris beaucoup de choses grâce à eux, et ce n'est pas encore fini j'imagine..
Ou pas... -_-
J'ai pigé le problème cependant :
Héhé pas bête ryan mais la encore paradoxe temporel : notre booker a déjà choisi(tout le problème est la ) donc ça ne marche pas .
Tu n'as pas dû comprendre où je voulais en venir...
Je vais prendre un paragraphe d'une autre personne pour mieux illustrer mes propos, après c'est ma perception de la fin :
Totocofee,
Ces passages sont des souvenirs , pas forcément les siens même s'il est plus que probable que si.
Je pense qu'on arrivera pas à se mettre d'accord sur cette fin, après tout ça fait partie du débat.
Par contre j'ai édité mon message sur une question qui me turlupine.
c'est pas des souvenirs, Elisabethe n'a pas le pouvoir de voyager dans le souvenir des gens, amis de créer des failles sur d'autres versions de la réalité, à une époque différente si elle le veut.